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France Stratégie - Rapport - L'insertion professionnelle des jeunes - 0 views

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    C'était une des onze mesures pour la jeunesse promises par le gouvernement au printemps 2016. La concertation en faveur de l'insertion professionnelle des jeunes, lancée en septembre dernier, s'est conclue mardi 24 janvier 2017 par la remise d'un rapport de diagnostic à la ministre du Travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social. Auteur(s) Marine Boisson-Cohen, Hélène Garner, Philippe Zamora Il s'agissait, selon les termes de la ministre, « d'un exercice exigeant » de dialogue avec la jeunesse. Piloté par France Stratégie et la DARES jusqu'à sa conclusion en décembre, la concertation en faveur de l'insertion professionnelle des jeunes a réuni les représentants des huit organisations patronales et syndicales ainsi que de quatre organisations de jeunesse (UNEF, FAGE, JOC, MRJC) lors de six séances de travail thématiques. Il ressort de l'exercice un diagnostic largement partagé autour de trois grands constats. Une jeunesse hétérogène C'est un fait, la situation des jeunes sur le marché du travail s'est dégradée. Multiplié par 3,5 en 40 ans, le taux de chômage des jeunes atteint aujourd'hui 24 %. Un trait commun à toute l'Europe mais particulièrement marqué en France où le taux d'activité des jeunes est inférieur de 4,5 points à la moyenne européenne. Attention à ne pas faire d'amalgame (statistique) pour autant ! Si leur taux d'activité est faible c'est d'abord parce que 50 % des 18-24 ans sont encore en étude. Le « vrai » point noir pour la France, ce sont les 13,8 % des 20-24 ans au chômage - un sur-chômage qui persiste encore dix ans après leur entrée sur le marché du travail - et les 15 % des 15-29 qui ne sont ni en emploi, ni en études, ni en formation (les NEETs). Cette précision souligne l'importance qu'il y a à parler des jeunesses au pluriel. Et c'est là le premier constat partagé par les parties prenantes. S'ils ont bien des diffic
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A qui profitent les aides à l'insertion de l'université ? / Céreq Bref / publ... - 0 views

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    Depuis 2007 et la loi d'autonomie des universités, dite « loi LRU », l'insertion professionnelle fait partie des missions de l'université. Les dispositifs d'accompagnement des étudiants ont été davantage intégrés aux cursus universitaires. Les services dédiés déjà existants comme les Services Universitaires d'information et d'orientation ont été renforcés. Les bureaux d'aide à l'insertion professionnelle (BAIP), présents sur chaque campus et créés par la même loi, ont rendu plus lisible et ont concrétisé cette politique d'insertion. Mais à qui bénéficient ces aides à l'insertion ? Le Céreq par le biais d'un questionnement spécifique de l'enquête Génération 2010 permet de dresser un premier bilan sur la diffusion des aides à l'université en essayant d'apprécier les bénéfices retirés par les diplômés sur le marché du travail. Cette nouvelle étude montre que plus des deux tiers des diplômés de licence et master sortis de formation en 2010 ont bénéficié d'une ou plusieurs aides à l'insertion proposées par les universités. Plus de 80% d'entre eux les ont trouvées utiles. A l'issue d'une licence générale ou d'un master, les étudiants ayant bénéficié de ces dispositifs présentent une meilleure insertion. Trois ans après la promulgation de la loi, les aides à l'insertion sont déjà largement diffusées : les aides pour trouver un stage et connaître les débouchés professionnels sont les plus fréquentes avec respectivement 39% et 38% des diplômés de licence et master bénéficiaires alors que seuls 19% ont été accompagnés pour identifier leurs compétences. Les différences s'établissent ensuite entre diplômes et domaines de spécialités. Les étudiants de licence professionnelle sont les plus concernés. Les écarts sont sensibles avec les chiffres de la licence générale, diplôme au sein duquel les aides sont le moins répandues. L'écart atteint trente p
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DREES - Les valeurs des jeunes adultes, leur perception de l'avenir et de la protection... - 0 views

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    La Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) publie trois études sur les valeurs, jugements et opinions des jeunes en France et en Europe, dans la collection « Les Dossiers de la DREES ». Elle mobilise pour cela dix années de son Baromètre d'opinion sur la protection sociale, et s'appuie sur les réponses de près de 8 000 jeunes de 18 à 29 ans, interrogés entre 2004 et 2014. À l'encontre des idées reçues, les jeunes Français sont globalement optimistes pour leur avenir, et dans des proportions bien plus fortes que leurs ainés : 65 % des moins de 25 ans contre 46 % des 50-54 ans. De même, si 44 % des jeunes Français de moins de 25 ans pensent avoir une moins bonne situation que leurs parents au même âge (tendance en hausse depuis la crise économique), ce sentiment de « déclassement intergénérationnel » est plus faible que chez les 25-50 ans. Les jeunes Français sont néanmoins toujours bons derniers au palmarès des optimistes en Europe, dépassés même par les jeunes des pays les plus touchés par la crise (Espagne, Portugal). Des clivages apparaissent en outre avec, d'un côté, les jeunes en cours d'études ou en emploi et diplômés du supérieur, les plus optimistes pour leur avenir, et de l'autre, les jeunes les moins diplômés et les précaires, qui le sont le moins. Famille, genre, immigration : les jeunes défendent des valeurs d'ouverture Les jeunes Français sont plus favorables que leurs aînés à l'égalité des rôles entre les femmes et les hommes, plus tolérants aux nouvelles formes de couples et de familles et rejettent globalement l'ensemble des stéréotypes de genre, à l'opposé des plus de 65 ans dont les opinions diffèrent très fortement. Neuf jeunes sur dix sont en désaccord avec le modèle traditionnel de la femme au foyer s'occupant des enfants, et tout autant avec l'idée de privilégier l'emploi des hommes à celui des femmes. De mêm
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L'Hétairie - La Polémique autour d'APB ou comment occulter l'indispensable dé... - 0 views

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    Alors que Parcoursup, la nouvelle plateforme d'inscription dans l'enseignement supérieur, est mise en ligne ce lundi, Jérôme Ferrand-Ammar et Florian Turc analysent pour L'Hétairie les termes du débat sur l'orientation des étudiants, un débat simplifié à l'excès. Or, faire œuvre utile en matière de réforme de l'enseignement supérieur impose de poser au préalable les bons constats. Les auteurs expliquent en premier lieu que la dualité entre filières sélectives et filières non-sélectives au niveau Bac+1 a été consacrée dès la loi de 1984 qui autorisait une filière ne pouvant matériellement pas accepter tous les étudiants candidats à opérer un choix parmi ceux-ci, à condition que ce choix ne soit pas motivé par le dossier scolaire. Confronté à un accroissement important du nombre de nouveaux inscrits dans le supérieur, ce système dual craque depuis trop longtemps. J. Ferrand-Ammar et F. Turc rappellent ensuite que la procédure Admission Post-Bac (APB) a constitué un indéniable saut qualitatif dans l'inscription à l'Université : les algorithmes d'affectation utilisés visent alors à limiter l'injustice et l'arbitraire dans les procédures ainsi qu'à objectiver les choix. Mais le principal grief légitimement formulé à l'encontre d'APB porte aujourd'hui sur la procédure de tirage au sort appliquée en dernier recours - et de façon très marginale (tout au plus 1% des nouveaux inscrits) - pour départager les candidats dans les filières en tension. Ce choix politique a été opéré en 2009 ; il est donc à porter au crédit de Frédérique Vidal d'avoir souhaité mettre réellement fin à cette pratique. Seulement, on peut s'interroger sur le point de savoir si Parcoursup n'est pas un remède pire que le mal. En premier lieu, on peut craindre que cette nouvelle procédure cache une sélection déguisée : les Universités disposent de la possibilité de répondre « oui
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IFOP - Regards croisés sur l'information et la prévention du sida sentre les ... - 0 views

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    Le suivi barométrique de l'Ifop pour Sidaction fait état en 2017 d'une baisse du sentiment d'information sur le VIH / sida combinée à une légère remontée de la vigilance des jeunes à l'égard des risques de propagation de la maladie. Les personnes âgées de 15 à 24 ans se montrent ainsi plus attentives aux dangers du VIH / sida que l'ensemble de la population, parmi laquelle l'impression que le risque d'être contaminé est minime trouve un écho. Le sentiment d'information sur le sida se dégrade par rapport à 2016 et 2014. 79% des jeunes estiment être bien informés sur le VIH (-3 points par rapport à 2016 et -10 points par rapport à 2014), soit une proportion au plus bas depuis 2009. Le sentiment d'information des jeunes rejoint celui de l'ensemble des Français, qui se situe également à 79% des personnes interrogées. D'une manière plus détaillée, les interviewés se sentent de moins en moins bien informés sur l'existence d'un traitement d'urgence en cas de relation sexuelle non protégée (44%, -3 par rapport à 2016). A l'inverse, de plus en plus de jeunes se déclarent bien au fait sur le traitement prescrit aux personnes séropositives (41%, +2). L'état des connaissances sur le VIH de l'ensemble de la population rejoint globalement celles observées chez ces jeunes générations. Les Français sont par exemple moins bien informés sur l'existence et l'intérêt des préservatifs féminins (56%, < de 6 points par rapport aux jeunes). Ils sont à l'inverse plus au fait de l'existence d'autotest de dépistage du VIH (51%, > de 6 points). A l'instar des enseignements de l'étude de 2016, il apparaît toujours nécessaire de maintenir un niveau d'information élevé chez les jeunes sur l'épidémie du sida, les risques associés et les traitements existants. La lecture des résultats pour différents indicateurs sur les représentations associées au sida fait état de la persistance d'id
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IFOP - Les parents face à l'orientation scolaire des lycéens et des étudiants - 0 views

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    A l'occasion de la première édition du Salon de l'Etudiant Spécial Parents organisé ce samedi 8 octobre porte de la Villette à Paris, l'Etudiant a commandé à l'Ifop une enquête auprès des parents de lycéens et d'étudiants qui met en lumière leurs craintes quant à l'orientation scolaire et l'avenir professionnel de leurs progénitures. Les principaux enseignements de l'enquête : Un portail APB considéré comme " flou" par une majorité de parents "Plutôt flou". C'est ainsi qu'une majorité (61 %) de parents de lycéens et d'étudiants connaissant APB décrivent le système d'affectation dans le supérieur. Or, durant l'année du bac, tous les élèves de terminale ont l'obligation de classer sur ce portail, par ordre de préférence, les formations dans lesquelles ils souhaitent poursuivre leurs études. Des chiffres qui témoignent des limites de cette procédure mais également de l'appréhension qu'elle suscite : plus d'un utilisateur sur deux exprime un sentiment de malaise avec cet outil (54%). Et qui s'explique en partie par les polémiques récurrentes dont elle est l'objet. Depuis plusieurs années, en effet, l'association Droit des lycéens dénonce l'opacité d'APB et se bat pour que le ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche publie l'algorithme utilisé. Une demande pour l'instant restée sans suite… Autre enseignement : la forte corrélation entre la notoriété du portail et la catégorie socioprofessionnelle. En effet, 66 % des parents ouvriers en ont déjà entendu parler contre 100 % des cadres supérieurs. En moyenne, 85 % des parents interrogés connaissent APB. Un degré d'information sur ces questions qui varient beaucoup en fonction du niveau social des parents … Deux parents sur trois (64%) se sentent bien informés pour aider leur enfant. De manière plus générale, on constate également une forte relation entre le sentiment d'être bien informé pour aider son enfan
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Cour des comptes - - Le Rapport public annuel 2018 : le service civique - 0 views

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    La Cour des comptes consacre une partie de son rapport 2018, publié ce 7 février, au service civique. Et l'intitule ainsi : "Le service civique : une montée en charge réussie, un dispositif mal financé aux effets mal connus".Les Sages de la rue Cambon saluent en effet dans un premier temps la "hausse rapide des effectifs du service civique", rendue possible "par une mobilisation soutenue de l'administration d'Etat". En 2014, le nombre de volontaires était de 35.000 ; il aura presque quadruplé s'il atteint les 135.000 fin 2017 - on comptait 92.000 volontaires en 2016. Pour atteindre ce résultat honorable par rapport aux engagements pris au sommet de l'Etat - le chiffre de 150.000 est évoqué mais c'est plutôt l'objectif de "stabilisation" de l'actuel gouvernement (voir notre article du 28 septembre 2017), François Hollande avait pour ambition d'atteindre 350.000 jeunes en 2018 -, le secteur public s'est "inégalement mobilisé". La cour souligne le succès des "grands programmes ministériels", ayant permis d'accueillir 23.000 volontaires en 2016 dont 10.000 au sein de l'Education nationale. A l'inverse et en dépit des "liens [noués] avec les associations d'élus locaux", "le secteur public local reste en retrait". "Une dizaine seulement de collectivités proposaient plus de cent missions en 2016", illustre le rapport.La Cour des comptes estime par ailleurs que l'Etat ne devrait pas supporter seul le coût du dispositif - qui serait de l'ordre de 448 millions d'euros en 2018, après 385 millions en 2017. Elle n'est pas favorable à "la mise à disposition des volontaires totalement gratuite", susceptible selon elle de "créer une accoutumance porteuse de risque pour le mouvement associatif". Et propose d'"adapter le niveau de l'indemnité forfaitaire aux conditions matérielles de la mission" ou encore de "développer le recours aux fonds privés ou publics d'autres collectivités". Sur le premier point, le ministre de l'Education nationale, Je
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INSEE - Combien coûte un jeune adulte à ses parents ? - 0 views

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    "En 2014, les ménages de parents d'un jeune âgé de 18 à 24 ans déclarent l'aider dans huit cas sur dix, à hauteur de 3 670 euros en moyenne par an. Cela représente un effort global de 8 % du total de leurs revenus disponibles. L'effort des parents, tel qu'ils le déclarent, est le plus important (15 %) lorsque le jeune est un étudiant qui dispose d'un logement autonome mais revient régulièrement chez ses parents (semi-cohabitant). Il est à l'inverse le moins élevé (3 %) lorsque le jeune est cohabitant en emploi. L'aide parentale s'adapte dans une certaine mesure à la situation et aux ressources du jeune, mais les moyens dont disposent les parents pour soutenir leur jeune financièrement conditionnent aussi les choix de ces derniers en matière de logement ou de poursuite d'études. En valeur absolue, le montant de l'aide et des dépenses pour le jeune adulte augmente avec le niveau de vie des parents. Il est cinq fois plus élevé pour les 10 % des ménages de parents les plus aisés que pour les 10 % les plus modestes (7 050 euros, contre 1 310). Pour autant, le taux d'effort est relativement plus important pour les 10 % de parents les plus modestes (13 %) que pour les autres ménages (moins de 9 %, sans autre variation significative selon le niveau de vie). Même à revenu constant, il est plus élevé de moitié pour les ménages de parents cadres, signe de stratégies de reproduction sociale. Le fait que les parents du jeune adulte soient séparés ou aient d'autres enfants à charge a aussi un effet sur l'aide. D'une part, les ménages de parents séparés ont un taux d'effort similaire à ceux restés ensemble lorsqu'ils les aident, mais sont moins nombreux à les aider. Ils aident leur enfant pour des montants moins élevés (- 30 % pour les mères séparées), toutes choses égales par ailleurs. D'autre part, un nombre d'enfants plus élevé réduit la fréquence des aides comme l'effort des parents pou
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INJEP / Crédoc - Baromètre DJEPVA sur la jeunesse 2017 - 1 views

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    a seconde vague du baromètre DJEPVA sur la jeunesse s'inscrit dans la volonté de proposer aux pouvoirs publics, aux corps associatifs, et plus généralement à tous les acteurs mobilisés par la jeunesse, des indicateurs récurrents sur les conditions de vie, les modes de vie, aspirations et attentes des jeunes. Descriptif À la demande de la direction de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative (DJEPVA) et avec l'appui de l'Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire (INJEP) le Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (CRÉDOC) a réalisé la seconde édition du baromètre DJEPVA sur la jeunesse, une enquête nationale auprès de 4 500 jeunes âgés de 18 à 30 ans . En 2017, le dispositif d'enquête a été étendu aux territoires ultramarins (La Réunion, la Guadeloupe, la Guyane et la Martinique). Ce dispositif est adossé à l'enquête permanente du CRÉDOC sur les Conditions de vie et aspirations des Français, qui existe depuis 1978 et permet de resituer les analyses portant sur les jeunes sur des données de contexte général, et de comparer certains des résultats à ceux observés dans d'autres tranches d'âge. Parmi les thèmes abordés dans cette étude, plusieurs avaient déjà fait l'objet de mesure en 2016, permettant des comparaisons dans le temps : * Les aspirations : l'état d'esprit actuel, la satisfaction vis-à-vis de la vie actuelle et les perspectives futures. * La participation citoyenne (nouvelle thématique introduite en 2017) : la forme de participation à la vie publique jugée la plus efficace pour que les choses bougent, participation à une manifestation ou à une grève, signature d'une pétition, l'intention de vote au premier tour des prochaines élections présidentielles, les raisons du vote et de l'abstention à ce premier tour, l'opinion quant à différentes pistes de renouvellement du système politique fran
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Fondation Concorde - Bâtissons l'enseignement supérieur du XXIème siècle - 0 views

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    "Juin 2017 : l'Enseignement supérieur semble toucher le fond. Malgré la qualité des enseignements et le courage des enseignants, tout ce que l'on retient ce sont les 90.000 jeunes qui sont encore sans affectation pour la rentrée prochaine. Les mesures phares que sont le tirage au sort et le contingentement des filières témoignent de la gestion à la petite semaine du précédent gouvernement. Nos universités méritent mieux. Face à une situation de massification des effectifs (+108% d'effectifs depuis 1980) et une désertification des filières professionnelles (-17% sur la même période) il est urgent de réformer l'Enseignement supérieur français, qui constitue encore aujourd'hui un avantage comparatif important pour notre pays, sans sortir les vieilles recettes à savoir la mise en place d'une sélection à l'entrée, ou l'augmentation des frais d'inscription. Le gouvernement a annoncé une réforme du premier cycle visant à supprimer APB et mettre en place des prérequis. Cette volonté réformatrice va dans le bon sens mais doit aller plus loin et s'étendre à tous les pans de l'Enseignement supérieur francais. La Fondation Concorde a ainsi réuni pendant huit mois une vingtaine d'experts universitaires issus de tous les horizons, dans le but de proposer une réforme en profondeur de notre ESR. Articulé autour de 28 propositions, notre projet se veut ambitieux mais réaliste : transformer l'accès au premier cycle en passant d'une logique de filière à une logique de parcours à la carte; doter l'université de nouveaux moyens financiers notamment grâce à la formation professionnelle; et proposer une gestion décentralisée de l'enseignement supérieur, afin que chaque établissement soit le plus à même de construire un projet pédagogique en cohérence avec son territoire. L'avenir de l'Enseignement supérieur français ne passe pas par son démantèlement mais bien par son optimisation pour tendre vers plus d'efficacité et pl
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Telos - Que peut faire Macron pour les jeunes - 0 views

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    "Plusieurs déclarations gouvernementales touchant plus ou moins aux questions de la jeunesse ont alimenté ces dernières semaines l'actualité politique, qu'il s'agisse des aides au logement (dont bénéficient massivement les étudiants), des emplois aidés ou de la sélection à l'université. Une première remarque : lancées à l'emporte-pièce, et sans qu'apparaisse pour le moment une cohérence ou un plan d'ensemble, ces annonces sont politiquement dangereuses. Les jeunes en France, on le sait depuis longtemps (tout le monde garde le souvenir du crash du CPE de Dominique de Villepin), sont une matière hautement inflammable. Attachés aux symboles de l'égalité (même lorsque ces derniers masquent l'inégalité réelle), les jeunes peuvent rapidement succomber à des réflexes protestataires dès lors qu'ils sont attisés par des organisations qui savent par quel bout les prendre. Pourtant l'inaction serait pire que tout car les jeunes ont été bien mal servis par le gouvernement précédent qui avait choisi la facilité de politiques dont tout le monde sait depuis longtemps qu'elles sont inefficaces (les emplois aidés dans le secteur non marchand), mais qui pouvaient donner le sentiment à l'opinion qu'on dépensait beaucoup d'argent pour les jeunes et que donc on s'occupait d'eux. On a déjà dit dans ces colonnes que ces politiques, qui en réalité éloignent les jeunes du marché du travail réel, ne leur rendent pas vraiment service. D'ailleurs les réactions aux annonces de baisse des emplois aidés en sont presque la preuve. Qui proteste en effet ? Les jeunes ? Que nenni, ce sont les associations ou les collectivités locales qui se plaignent de perdre une main d'œuvre bon marché. Mais les emplois aidés ont-ils été conçus pour les associations, les collectivités locales ou pour les jeunes ?"
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INJEP - Enquête RAY-MON 2015-2016 : rapport final de la France : Evaluation d... - 0 views

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    Évaluation du programme européen Erasmus + Jeunesse en actionQuels sont les effets (perçus) du programme européen Erasmus+ Jeunesse en action sur les jeunes, les travailleurs et les animateurs de jeunesse impliqués dans les projets financés par ce programme, ainsi que sur les organisations portant les projets ? Qu'apprennent les bénéficiaires et les responsables de projet à travers leur participation à ces projets ? Quelles compétences acquièrent-ils et comment ? Quels sont les effets sur les organisations, institutions, structures et communautés impliquées dans le programme ? Les objectifs et priorités du programme Erasmus + Jeunesse en action, en particulier la promotion de la citoyenneté active et la participation dans la société civile, l'intégration sociale des jeunes - notamment ceux ayant moins d'opportunités -, ou encore la montée en compétences et la mise en réseau des travailleurs de jeunesse sont-ils réalisés ? Telles sont les principales questions auxquelles différentes études menées à l'initiative du réseau européen RAY depuis plusieurs années cherchent à répondre. Les objectifs poursuivis par le réseau RAY visent à mettre à disposition des acteurs et des décideurs des données sur les résultats et les effets des actions, utiles au pilotage et à la mise en œuvre de ce programme, mais aussi à construire des connaissances sur la mobilité d'apprentissage comme sur le travail de jeunesse, ainsi qu'à comprendre les processus d'apprentissage à l'œuvre, liés à des activités d'éducation non formelle. Les enquêtes et études conduites présentent ainsi une dimension évaluative orientée vers l'action, mais aussi une dimension scientifique à des fins de connaissance. Ce rapport national présente les résultats des deux vagues de l'enquête RAY-MON conduite par l'INJEP en France en novembre 2015, mars 2016. Les données portent sur des projets financés par l'agence française en
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Credoc - Les jeunes (16-25 ans) et les loisirs sportifs - Focus sur les prati... - 0 views

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    "En 2017, près de 8 Français sur 10 vivent dans des zones urbaines [Statista, Projection 2017 basée sur le recensement INSEE 2012). Fait marquant, en France, le territoire urbain a triplé en seulement cinquante ans (INSEE première 707). L'extension des espaces urbains a rendu de plus en plus difficile l'accès à des espaces naturels préservés. Dans ce contexte, les Français semblent exprimer un puissant désir de nature, ce qu'attestent l'explosion du marché de jardinage (Dubost, 1997), le désir de reproduire en ville des modes de vie ruraux, l'envie de consommer des produits alimentaires naturels (en 2018, un ménage sur cinq achète au moins une fois par semaine du bio, CREDOC-CCAF) ou encore les mobilisations citoyennes très récentes pour la protection de la planète et de la biodiversité. Parallèlement nous assistons à un élargissement et une diversification des pratiques sportives (UCPA Credoc) et, en particulier, depuis des années 1990 à un accroissement des loisirs sportifs de pleine nature (Vigarello 1992). Christian Pociello (1999) parle même « d'écologisation des pratiques sportives » dans le sens où l'engouement pour des sports de pleine nature aurait changé le comportement des individus vis-à-vis de l'environnement et aurait modifié durablement leur perception de la nature et leur sensibilité aux enjeux écologiques. C'est dans ce contexte que l'UCPA a souhaité axer le « baromètre CREDOC-UCPA des pratiques sportives des 1625 ans » sur une analyse des « sports de nature » et des « sports de bien-être ». En complémentent du suivi des indicateurs visant à identifier et mesurer les loisirs sportifs des jeunes, le focus de la vague de 2018 cherche à… ➢ … analyser les représentations vis-à-vis des sports de nature et de bien-être ➢ … mesurer l'étendu de la pratique des sports de nature et de bien-être chez les 16-25 ans ➢ … appréhender les motivations et les freins à pratiq
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Opinion Way / France Volontaires - Les Français et les engagements volontaire... - 0 views

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    A l'occasion de la Journée Internationale des Volontaires, le 5 décembre, France Volontaires dévoile les résultats de l'enquête d'opinion réalisée par l'institut OpinionWay, en partenariat avec Courrier International, sur le thème : « Les Français et les engagements volontaires et solidaires à l'international ». Ce sondage révèle les désirs d'engagements des Français, les motivations et les freins, ainsi que la manière dont ils répondent aux enjeux sociétaux ici et là-bas. Parmi les principaux enseignements de cette étude : Les Français perçoivent les bénéfices de l'engagement volontaire à l'international, qui permet de créer une société plus solidaire et plus ouverte à autrui. Près d'une personne sur trois s'est d'ailleurs déj̀ engagée personnellement dans une mission de solidaríté, en France ou à l'international. S'ils en avaient l'opportunité, un tiers des Français seraient prêts à s'engager volontairement pour effectuer des missions à l'international, et en particulier les jeunes. Si tous ne sont pas prêts à partir, la majorité des personnes interrogées voient les bénéfices d'accueillir également en France des volontaires d'autres pays et considèrent ce principe de réciprocité dans le volontariat international comme un bon moyen de favoriser la cohésion sociale et l'ouverture de la société. Les personnes prêtes à partir en mission aspirent avant tout à se rendre utiles, et perçoivent les bénéfices sur le plan personnel que ces missions peuvent apporter : une ouverture sur le monde, des compétences professionnelles, un projet de vie... Les individus prêts à s'engager aimeraient avant tout participer à des missions concernant l'accès à l'éducation, les droits de l'homme ou la lutte contre la pauvreté et les inégalités. Le suivi des parcours d'engagement des individus est un élément important : les per
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Fage - Enquête FAGE-IPSOS - Les jeunes face à la crise : l'urgence d'agir ! - 0 views

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    "Cette enquête réalisée pour la FAGE par l'institut IPSOS vient mettre en lumière une réalité alarmante. Difficultés à s'acheter à manger, difficultés à payer son loyer, renoncement aux soins … Les conséquences du confinement sur les ressources financières des jeunes sont nombreuses et graves. La FAGE avait alerté le gouvernement dès le début de la crise, mais les réponses ont tardé à arriver et ont, pour certaines, étaient insuffisantes. Ce sont ainsi des milliers de jeunes qui ont dû se tourner vers des aides alimentaires mises en place par les associations étudiantes du réseau de la FAGE et par d'autres structures de solidarité. Ce renforcement de la précarité s'explique notamment par la perte d'une activité rémunérée, pendant le confinement et au-delà. Cette situation de précarité ne s'est pas arrêtée après le déconfinement, loin de là. Les jeunes, très incertains face à leur avenir, ont besoin de réponse forte de la part du gouvernement. Les étudiants, qui ont pour certains revus leur projet d'orientation à la baisse doivent recevoir un soutien supplémentaire pour la rentrée. Il est urgent de réformer le système de bourses, de baisser la tarification de la restauration sociale, de renforcer des dispositifs comme l'aide à la mobilité … Pour les jeunes actifs et à la recherche d'un emploi, la crise qui s'annonce, avec la contraction de l'emploi, de l'intérim, des petits boulots, va accroître encore ces situations de pauvreté, en creusant inévitablement les inégalités. Ce sont des centaines de milliers de jeunes, diplômés ou pas ou peu qualifiés qui vont se trouver sans ressources et sans filet de sécurité. Les jeunes attendent une réponse à la hauteur : il est temps de créer un véritable droit à l'accompagnement, financier et humain. Cela doit notamment passer par l'ouverture du RSA au 18-25 ans, et en garantissant un accompagnement à toutes et à tous. Au-delà de l
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Ifop - Les jeunes et l'information sur le VIH / SIDA - 0 views

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    "La vague 5 du baromètre Les jeunes et l'information sur le VIH / SIDA réalisé par l'Ifop et Bilendi pour Sidaction et Elus Locaux Contre le Sida auprès des personnes âgées de 15 à 24 ans relève le haut niveau d'information des jeunes sur le sujet. Mais les conséquences d'une contamination par le virus sont de plus en plus minorées. L'étude livre les enseignements suivants : Le niveau d'information au sujet de la prévention du VIH se situe toujours à un niveau très élevé. Les connaissances sur le traitement du virus du VIH se révèlent a contrario imparfaites, mais s'accroissent par rapport aux enquêtes précédentes. La très forte corrélation entre le niveau d'information et le bénéfice d'une information scolaire sur le VIH implique que cette information scolaire demeure essentielle aujourd'hui, tant les différences de connaissances entre bénéficiaires et non-bénéficiaires sont marquées. Pour autant, la disposition à en parler avec un nouveau partenaire, bien qu'en progrès, demeure toujours minoritaire. La démarche d'information sur le VIH / SIDA s'avère toujours individuelle et les informations ne sont pas échangées entre les jeunes, induisant que le tabou sur le sujet est toujours présent. Par ailleurs, les conséquences de la maladie semblent de plus en plus minorées. Les jeunes de moins de 25 ans semblent moins vigilants, à mesure que des progrès sont faits en matière de prévention et de traitement de la maladie"
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L'insertion des jeunes sur le marché du travail : l'emploi est majoritaire ch... - 0 views

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    "En moyenne sur 2013-2015, 68 % des jeunes sortis de formation initiale depuis 1 à 4 ans sont en emploi, 17 % au chômage et les autres sont inactifs. L'insertion des jeunes sur le marché du travail est progressive et inégale selon le niveau de diplôme. Ainsi, 82 % des jeunes sortants diplômés du supérieur sont en emploi, contre seulement 31 % des non-diplômés. Ces derniers sont plus nombreux à être inactifs (37 %). Les jeunes femmes sont plus souvent inactives que les hommes, en particulier parmi les moins diplômés. Parmi les jeunes sortants actifs, la moitié des non-diplômés sont au chômage, contre un quart pour les diplômés du secondaire et un sur dix pour les diplômés du supérieur. Les jeunes femmes actives sont moins souvent au chômage que leurs homologues masculins (19 % contre 22 %), cela s'explique notamment par le fait qu'elles sont en moyenne plus diplômées. Le taux de chômage des jeunes actifs sortis depuis 1 à 4 ans a fortement augmenté pendant la crise de 2008-2009, plus que celui des actifs présents depuis plus longtemps sur le marché du travail. Depuis, il s'est globalement stabilisé autour de 20 % pour les sortants récents alors qu'il a continué d'augmenter pour les plus anciens. Les conditions d'emploi des jeunes sortants sont moins favorables lorsqu'ils sont moins diplômés. Ainsi, 58 % des jeunes sortants non diplômés qui travaillent occupent un emploi temporaire et 22 % sont en situation de sous-emploi, contre respectivement 25 % et 6 % des diplômés du supérieur long. Les conditions d'emploi des femmes sont également moins favorables que celles des hommes. D'une année sur l'autre, lorsqu'ils quittent un emploi temporaire, les jeunes sortants diplômés du supérieur accèdent deux fois plus fréquemment que les non-diplômés à l'emploi stable. De même, lorsqu'ils sont au chômage, ils ont deux fois plus de chances d'être en emploi un an après que les non-diplômés. E
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Ipsos / Fondapol - Les addictions chez les jeunes (14-24 ans) : l'urgence d'u... - 0 views

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    L'enquête sur les addictions chez les jeunes se fonde sur un échantillon de 1 000 jeunes âgés de 14 à 24 ans représentatif de cette population interrogée par Ipsos. Nous avons également souhaité soumettre notre questionnaire à un échantillon de parents de jeunes de 14-24 ans (402 parents), ainsi qu'au grand public (2 005 personnes) pour mesurer les écarts de perception entre leur propre réalité et celle des jeunes générations. En raison du nombre d'addictions existantes, nous avons fait le choix de centrer le questionnaire sur l'alcool, le tabac, les drogues les plus fréquentes (cannabis, cocaïne, ecstasy, MDMA et GHB), le porno, les jeux vidéo, les réseaux sociaux et les jeux d'argent. L'étude s'organise autour de six axes principaux d'observation et d'analyse : * les consommations déclarées de produits et de comportements potentiellement addictifs chez les jeunes ; * la perception que les parents d'enfants de 14 à 24 ans ont de ces consommations chez les jeunes du même âge ; * la perception que le grand public a de ces consommations chez les jeunes de 14 à 24 ans ; * le niveau de connaissance des risques encourus ; * le système d'attribution des responsabilités ; * le degré d'acceptabilité des différentes mesures de prévention et de soins concernant ces consommations et ces addictions.
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DREES - Devenir adulte : comment évoluent les ressources ? - 0 views

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    Ce dossier propose une analyse descriptive de la composition des ressources des jeunes de 18 à 24 ans, à partir de l'enquête nationale sur les ressources des jeunes 2014 (ENRJ 2014, DREES-INSEE), autour des trois types de ressources : les revenus issus de la sphère domestique, les revenus du travail et ceux provenant des transferts sociaux. En France, les jeunes de 18 à 24 ans reçoivent en propre 770 euros en moyenne par mois fin 2014, issus du travail, des transferts et aides des familles, et de l'aide sociale publique. Entre 18 et 24 ans, le montant moyen reçu augmente fortement, passant de 430 euros à 1 120 euros. La composition des ressources des jeunes évolue assez linéairement entre ces deux âges, avec notamment une substitution progressive entre les ressources issues du travail et celles issues de la famille. La sphère du travail prend une place de plus en plus importante. Elle représente 29 % des ressources à 18 ans et 77 % à 24 ans. À l'inverse, l'aide financière régulière des parents se restreint, passant de 53 % de l'ensemble des ressources à 18 ans à 7 % à 24 ans. Les étudiants qui ont eu une activité au cours de l'année 2014, en dehors des vacances scolaires, ont des revenus du travail de 4 290 euros par an en moyenne, soit environ 360 euros par mois. Ce montant est de 3 320 euros en incluant dans le champ les étudiants qui ne travaillent que pendant les vacances scolaires, soit moins de 300 euros par mois. Pour la moitié des étudiants ces revenus annuels liés au travail sont inférieurs à 2 720 euros. La moitié (49 %) des 18-24 ans ne sont plus en études et sont en phase d'insertion sur le marché du travail. Parmi les étudiants sortis de formation initiale selon l'ENRJ, 58 % se déclarent en emploi fin 2014, 33 % au chômage et 9 % en inactivité en dehors des études. S'ils sont en emploi, ils perçoivent des revenus du travail fin 2014 qui s'élèvent en moyenne à 1 230 euros par mois. Dès ce
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INED - Les violences subies dans le cadre des études universitaires - 0 views

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    Les enquêtes Virage-universités ont été réalisées dans quatre universités partenaires (Université Paris 1-Panthéon-Sorbonne, Université Paris-Diderot et Institut de physique du globe de Paris, Université de Strasbourg et Université de Bretagne occidentale) afin d'explorer les formes que prennent les violences subies par les étudiant-e-s dans le cadre universitaire et leurs conséquences. Elles sont ainsi complémentaires au volet de l'enquête Virage réalisé en population générale qui ne regroupe que 1 120 étudiant-e-s. Le caractère volontaire de l'enquête Virage-universités ne permet pas de connaître l'ampleur des violences en général, puisqu'en raison de son caractère exploratoire, elle n'a concerné que peu d'établissements. Les données recueillies lors des enquêtes Virage-universités renseignent de manière inédite sur les différentes formes que prennent les violences dans le cadre des études universitaires, sur leurs conséquences - notamment sur le parcours d'étude - et sur les ressorts mobilisés par les étudiant-e-s pour les dénoncer. Au total, 6 648 étudiant-e-s ont répondu à l'enquête et 1 882 (1 441 femmes et 441 hommes) ont déclaré au moins un fait au cours des 12 derniers mois. Les violences déclarées sont soit psychologiques, soit en lien à la sexualité, en particulier pour les femmes. Ces faits surviennent dans l'enceinte de l'université mais aussi à l'extérieur. Ils sont en majorité le fait de pair-e-s. Les différentes formes de violences ont des incidences sur les parcours universitaires des personnes. Enfin, bien que les étudiant-e-s parlent des faits qu'elles·∙ils subissent, peu de démarches sont entreprises.
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