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DREES - Ressources et accès à l'autonomie résidentielle des 18-24 ans - 0 views

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    Le cheminement vers l'indépendance des jeunes adultes passe par l'accès à un logement autonome, mais aussi l'acquisition de ressources propres. En 2014, les jeunes adultes de 18-24 ans résidant en France disposent de 9 530 euros de ressources individuelles en moyenne, provenant pour un tiers d'aides familiales. Les jeunes adultes qui poursuivent des études sans exercer d'activité rémunérée ont de faibles ressources individuelles : 4 390 euros en moyenne pour ceux qui résident dans le logement familial et 8 890 euros pour ceux qui l'ont quitté. Ceux en emploi la plus grande partie de l'année ont les ressources individuelles les plus élevées : 14 870 euros quand ils résident chez leurs parents et 16 470 euros pour les autres. À l'opposé, les jeunes inactifs ou au chômage la majeure partie de l'année disposent des plus faibles ressources. Quitter le nid familial est un processus continu : fi n 2014, un jeune de 18-24 ans sur cinq se trouve dans une situation intermédiaire dans laquelle il vit à la fois dans un logement autonome et chez ses parents. 43 % des jeunes adultes ont leur propre logement, mais ils ne sont que 17 % à y résider exclusivement et à fi nancer seuls ce logement. Les parcours sont très di- érents là aussi selon leur situation d'activité : les jeunes en études, notamment ceux poursuivant des études sélectives ou supérieures, ou ceux issus des milieux favorisés, quittent souvent le domicile parental sans pour autant devenir indépendants vis-à-vis de leurs parents ; les jeunes sortis du système éducatif, eux, attendent généralement d'avoir une situation su- samment stable pour partir du logement parental de façon indépendante. Référence : Laura Castell et Christelle Thouilleux (INSEE), Nathalie Missègue, Mickaël Portela, et Raphaëlle Rivalin (DREES), « Ressources et accès à l'autonomie résidentielle des 18-24 ans », Les Dossiers de la Drees, n°8, Drees, novembre 2016.
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DREES - Les valeurs des jeunes adultes, leur perception de l'avenir et de la protection... - 0 views

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    La Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) publie trois études sur les valeurs, jugements et opinions des jeunes en France et en Europe, dans la collection « Les Dossiers de la DREES ». Elle mobilise pour cela dix années de son Baromètre d'opinion sur la protection sociale, et s'appuie sur les réponses de près de 8 000 jeunes de 18 à 29 ans, interrogés entre 2004 et 2014. À l'encontre des idées reçues, les jeunes Français sont globalement optimistes pour leur avenir, et dans des proportions bien plus fortes que leurs ainés : 65 % des moins de 25 ans contre 46 % des 50-54 ans. De même, si 44 % des jeunes Français de moins de 25 ans pensent avoir une moins bonne situation que leurs parents au même âge (tendance en hausse depuis la crise économique), ce sentiment de « déclassement intergénérationnel » est plus faible que chez les 25-50 ans. Les jeunes Français sont néanmoins toujours bons derniers au palmarès des optimistes en Europe, dépassés même par les jeunes des pays les plus touchés par la crise (Espagne, Portugal). Des clivages apparaissent en outre avec, d'un côté, les jeunes en cours d'études ou en emploi et diplômés du supérieur, les plus optimistes pour leur avenir, et de l'autre, les jeunes les moins diplômés et les précaires, qui le sont le moins. Famille, genre, immigration : les jeunes défendent des valeurs d'ouverture Les jeunes Français sont plus favorables que leurs aînés à l'égalité des rôles entre les femmes et les hommes, plus tolérants aux nouvelles formes de couples et de familles et rejettent globalement l'ensemble des stéréotypes de genre, à l'opposé des plus de 65 ans dont les opinions diffèrent très fortement. Neuf jeunes sur dix sont en désaccord avec le modèle traditionnel de la femme au foyer s'occupant des enfants, et tout autant avec l'idée de privilégier l'emploi des hommes à celui des femmes. De mêm
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DREES - Devenir adulte : comment évoluent les ressources ? - 0 views

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    Ce dossier propose une analyse descriptive de la composition des ressources des jeunes de 18 à 24 ans, à partir de l'enquête nationale sur les ressources des jeunes 2014 (ENRJ 2014, DREES-INSEE), autour des trois types de ressources : les revenus issus de la sphère domestique, les revenus du travail et ceux provenant des transferts sociaux. En France, les jeunes de 18 à 24 ans reçoivent en propre 770 euros en moyenne par mois fin 2014, issus du travail, des transferts et aides des familles, et de l'aide sociale publique. Entre 18 et 24 ans, le montant moyen reçu augmente fortement, passant de 430 euros à 1 120 euros. La composition des ressources des jeunes évolue assez linéairement entre ces deux âges, avec notamment une substitution progressive entre les ressources issues du travail et celles issues de la famille. La sphère du travail prend une place de plus en plus importante. Elle représente 29 % des ressources à 18 ans et 77 % à 24 ans. À l'inverse, l'aide financière régulière des parents se restreint, passant de 53 % de l'ensemble des ressources à 18 ans à 7 % à 24 ans. Les étudiants qui ont eu une activité au cours de l'année 2014, en dehors des vacances scolaires, ont des revenus du travail de 4 290 euros par an en moyenne, soit environ 360 euros par mois. Ce montant est de 3 320 euros en incluant dans le champ les étudiants qui ne travaillent que pendant les vacances scolaires, soit moins de 300 euros par mois. Pour la moitié des étudiants ces revenus annuels liés au travail sont inférieurs à 2 720 euros. La moitié (49 %) des 18-24 ans ne sont plus en études et sont en phase d'insertion sur le marché du travail. Parmi les étudiants sortis de formation initiale selon l'ENRJ, 58 % se déclarent en emploi fin 2014, 33 % au chômage et 9 % en inactivité en dehors des études. S'ils sont en emploi, ils perçoivent des revenus du travail fin 2014 qui s'élèvent en moyenne à 1 230 euros par mois. Dès ce
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Drees - Etudes, emploi, ressources : les jeunes ruraux sont-il différents des... - 0 views

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    Fin 2014, 1,2 million de jeunes de 18 à 24 ans vivent dans les territoires ruraux, soit un quart des jeunes adultes à ces âges, selon l'Enquête nationale sur les ressources des jeunes de la DREES et de l'Insee. Les jeunes quittent plus souvent les zones rurales pour le milieu urbain : 26 % de ceux dont les parents vivent en zone rurale habitent dans une zone urbaine, contre 2 % dans la situation inverse. En zone rurale, moins de la moitié des 18-24 ans sont en cours d'études. Ils visent des études plus courtes, en majorité au niveau bac+3 - quand les urbains souhaitent plus souvent atteindre un bac+5 - et sont plus attirés par des études en apprentissage. À l'issue de leurs études, les jeunes accèdent aussi souvent à l'emploi dans les deux types de territoire, mais les zones rurales sont marquées par des inégalités de genre que l'on n'observe pas en milieu urbain. Les ressources des jeunes ruraux (revenus du travail, aides sociales, aides des parents) sont proches de celles des jeunes urbains à autres caractéristiques identiques. Ils perçoivent moins souvent des prestations sociales, mais de montants plus élevés. Ils bénéficient de moins d'aides financières des parents, mais plus souvent d'aides en nature. Enfin, le sentiment de privation est moins présent dans leur quotidien alors qu'ils sont plus d'un sur cinq à déclarer ne pas avoir de dépenses pour leurs loisirs.
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Drees - Etudes, travail, logement : comment les enfants de parents séparés en... - 0 views

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    Fin 2014, 1,4 million d'adultes de 18 à 24 ans ont leurs parents séparés. Dans près de neuf cas sur dix, ces jeunes ont vécu principalement chez un seul de leurs parents à la suite de la séparation (majoritairement leur mère). Résider chez un seul de ses parents distend les relations avec l'autre parent. Un jeune sur quatre déclare ainsi ne plus avoir de relation avec son père. La séparation des parents, et notamment la conflictualité qu'elle peut impliquer, a des conséquences sur le devenir des jeunes. Ils sont moins souvent en études et leur niveau de diplôme est souvent moins élevé que celui des jeunes dont les parents forment un couple. Toutefois, lorsque les relations entre les parents sont bonnes les écarts de niveau de diplôme sont moindres. Les jeunes dont les parents se sont séparés ont plus fréquemment quitté le domicile parental que les autres, en particulier si le parent avec qui ils ont vécu après la séparation a eu un enfant ou bel-enfant d'une nouvelle union. Ils déclarent plus souvent avoir pris un logement autonome pour devenir indépendant et moins souvent pour leurs études ou leur emploi. Toutefois, quand ils ont quitté le domicile parental, ils habitent moins loin d'au moins un de leurs parents.
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Drees - Alimentation, logement, transports : quelles dépenses pèsent le plus ... - 0 views

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    Les jeunes ménages de 18-34 ans consomment moins que leurs aînés. Parmi ces ménages jeunes, ce sont ceux dont la personne de référence est étudiante, avec une consommation moyenne annuelle de 15 050 euros, qui dépensent le moins, et ce même si on se rapporte au nombre d'unités de consommation dans le ménage. L'alimentation - achats alimentaires et d'alcool pour le domicile ainsi que dépenses de restauration et de cantines - représente un cinquième de la consommation des ménages jeunes. Le pain, le riz, les pâtes et autres céréales occupent la première place dans leur budget alimentaire mais, en quantité, les fruits et les légumes les dépassent. Les étudiants dépensent autant pour les repas pris chez eux qu'en dehors du domicile. Contrairement aux idées reçues, les jeunes ménages ne dépensent pas plus pour l'alcool que leurs aînés. Un cinquième de la consommation des ménages de 18-34 ans est consacré au financement du logement. Les loyers occupent une place centrale dans ces dépenses pour les ménages étudiants et ceux des 18-24 ans. Les étudiants paient des loyers plus élevés, qui ne sont qu'en partie compensés par les prestations logement perçues. Enfin, la part des dépenses consacrées au transport est plus importante après la fin des études.
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INSEE - Les ressources des 18-24 ans en 2014 - 0 views

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    "De fortes disparités liées à la situation résidentielle et aux parcours d'activité Laura Castell, Insee, Nathalie Missègue, Mickaël Portela, Raphaëlle Rivalin, Drees Les jeunes de 18 à 24 ans résidant en France disposent en moyenne sur l'année 2014 de 9 530 euros de ressources monétaires individuelles. D'après l'enquête nationale sur les ressources des jeunes, plus de la moitié de ce montant provient d'activités rémunérées, près d'un tiers de l'aide familiale et environ 15 % sont des prestations et aides sociales. Ceux qui ne vivent plus exclusivement chez leurs parents ont des ressources nettement plus élevées et moins dispersées que ceux qui y résident encore. Les jeunes adultes qui poursuivent des études durant toute l'année sans exercer d'activité rémunérée ont de faibles ressources individuelles : 4 390 euros en moyenne quand ils résident dans le logement familial et 8 890 euros quand ils l'ont quitté. Les 18-24 ans qui occupent un emploi la plus grande partie de l'année ont les ressources individuelles les plus élevées : 14 870 euros quand ils résident chez leurs parents et 16 470 euros pour les autres. Enfin, les 18-24 ans qui sont inactifs ou au chômage la majeure partie de l'année sont les moins favorisés : quand ils logent chez leurs parents, ils disposent en moyenne annuelle de 4 220 euros, contre 7 450 euros pour ceux qui résident dans leur propre logement. "
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