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Home/ Etudiants & Jeunes professionnels/ Group items tagged Le monde

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A qui profitent les aides à l'insertion de l'université ? / Céreq Bref / publ... - 0 views

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    Depuis 2007 et la loi d'autonomie des universités, dite « loi LRU », l'insertion professionnelle fait partie des missions de l'université. Les dispositifs d'accompagnement des étudiants ont été davantage intégrés aux cursus universitaires. Les services dédiés déjà existants comme les Services Universitaires d'information et d'orientation ont été renforcés. Les bureaux d'aide à l'insertion professionnelle (BAIP), présents sur chaque campus et créés par la même loi, ont rendu plus lisible et ont concrétisé cette politique d'insertion. Mais à qui bénéficient ces aides à l'insertion ? Le Céreq par le biais d'un questionnement spécifique de l'enquête Génération 2010 permet de dresser un premier bilan sur la diffusion des aides à l'université en essayant d'apprécier les bénéfices retirés par les diplômés sur le marché du travail. Cette nouvelle étude montre que plus des deux tiers des diplômés de licence et master sortis de formation en 2010 ont bénéficié d'une ou plusieurs aides à l'insertion proposées par les universités. Plus de 80% d'entre eux les ont trouvées utiles. A l'issue d'une licence générale ou d'un master, les étudiants ayant bénéficié de ces dispositifs présentent une meilleure insertion. Trois ans après la promulgation de la loi, les aides à l'insertion sont déjà largement diffusées : les aides pour trouver un stage et connaître les débouchés professionnels sont les plus fréquentes avec respectivement 39% et 38% des diplômés de licence et master bénéficiaires alors que seuls 19% ont été accompagnés pour identifier leurs compétences. Les différences s'établissent ensuite entre diplômes et domaines de spécialités. Les étudiants de licence professionnelle sont les plus concernés. Les écarts sont sensibles avec les chiffres de la licence générale, diplôme au sein duquel les aides sont le moins répandues. L'écart atteint trente p
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L'Hétairie - La Polémique autour d'APB ou comment occulter l'indispensable dé... - 0 views

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    Alors que Parcoursup, la nouvelle plateforme d'inscription dans l'enseignement supérieur, est mise en ligne ce lundi, Jérôme Ferrand-Ammar et Florian Turc analysent pour L'Hétairie les termes du débat sur l'orientation des étudiants, un débat simplifié à l'excès. Or, faire œuvre utile en matière de réforme de l'enseignement supérieur impose de poser au préalable les bons constats. Les auteurs expliquent en premier lieu que la dualité entre filières sélectives et filières non-sélectives au niveau Bac+1 a été consacrée dès la loi de 1984 qui autorisait une filière ne pouvant matériellement pas accepter tous les étudiants candidats à opérer un choix parmi ceux-ci, à condition que ce choix ne soit pas motivé par le dossier scolaire. Confronté à un accroissement important du nombre de nouveaux inscrits dans le supérieur, ce système dual craque depuis trop longtemps. J. Ferrand-Ammar et F. Turc rappellent ensuite que la procédure Admission Post-Bac (APB) a constitué un indéniable saut qualitatif dans l'inscription à l'Université : les algorithmes d'affectation utilisés visent alors à limiter l'injustice et l'arbitraire dans les procédures ainsi qu'à objectiver les choix. Mais le principal grief légitimement formulé à l'encontre d'APB porte aujourd'hui sur la procédure de tirage au sort appliquée en dernier recours - et de façon très marginale (tout au plus 1% des nouveaux inscrits) - pour départager les candidats dans les filières en tension. Ce choix politique a été opéré en 2009 ; il est donc à porter au crédit de Frédérique Vidal d'avoir souhaité mettre réellement fin à cette pratique. Seulement, on peut s'interroger sur le point de savoir si Parcoursup n'est pas un remède pire que le mal. En premier lieu, on peut craindre que cette nouvelle procédure cache une sélection déguisée : les Universités disposent de la possibilité de répondre « oui
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ViaVoice - Les jeunes et l'entreprise - 0 views

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    En termes de parcours de vie, ce moment-là est décisif. Entre le temps des études et la projection dans son propre avenir, souvent entre la fin des formations et la recherche d'un premier emploi, c'est au sens propre un moment de conversion à accomplir ; décisif pour chacun, et bien évidemment essentiel pour les entreprises qui vont accueillir ces nouvelles générations. Comment ce moment là est-il vécu par les premiers intéressés, par les 16-20 ans, quel que soit leur statut d'activité ? Une jeunesse soucieuse, un sentiment de distance Les 16-20 ans sont soucieux en premier lieu parce qu'ils considèrent « le monde de l'entreprise » avec circonspection, l'identifiant prioritairement au « stress » (36 %) et à la « compétition » (35 %). 64% d'entre eux s'estiment souvent assez éloignés du monde de l'entreprise 72% pensent qu'il est difficile de créer sa propre entreprise en France. 90% des 16-20 ans souhaitent que l'école ou l'université préparent davantage les étudiants au monde de l'entreprise. Une pluralité d'atouts et d'opportunités vers le monde de l'entreprise Pour leur avenir, et de manière forte, les jeunes interrogés citent leur volonté d'être « salariés dans une entreprise » (41 %) mais également, sur un score pratiquement comparable (35 %) la volonté de « créer leur propre entreprise » ; les premiers privilégiant la « sécurité » (56 %), les seconds « l'indépendance » (46 %). L'étude révèle la diversité des tremplins d'accès au monde de l'entreprise. Le diplôme n'est plus reconnu comme le sésame unique et universel, puisqu'il est cité en troisième position. Bien plus largement, le portefeuille des atouts compte les « stages en entreprise » (89 %), le « réseau » (79 %), les « parents » et la « famille » (74 %), « l'enseignement supérieur » (72 %). Face à l'entreprise de demain, et en regard des mutations actuelles considérables qui s'a
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Telos - Que peut faire Macron pour les jeunes - 0 views

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    "Plusieurs déclarations gouvernementales touchant plus ou moins aux questions de la jeunesse ont alimenté ces dernières semaines l'actualité politique, qu'il s'agisse des aides au logement (dont bénéficient massivement les étudiants), des emplois aidés ou de la sélection à l'université. Une première remarque : lancées à l'emporte-pièce, et sans qu'apparaisse pour le moment une cohérence ou un plan d'ensemble, ces annonces sont politiquement dangereuses. Les jeunes en France, on le sait depuis longtemps (tout le monde garde le souvenir du crash du CPE de Dominique de Villepin), sont une matière hautement inflammable. Attachés aux symboles de l'égalité (même lorsque ces derniers masquent l'inégalité réelle), les jeunes peuvent rapidement succomber à des réflexes protestataires dès lors qu'ils sont attisés par des organisations qui savent par quel bout les prendre. Pourtant l'inaction serait pire que tout car les jeunes ont été bien mal servis par le gouvernement précédent qui avait choisi la facilité de politiques dont tout le monde sait depuis longtemps qu'elles sont inefficaces (les emplois aidés dans le secteur non marchand), mais qui pouvaient donner le sentiment à l'opinion qu'on dépensait beaucoup d'argent pour les jeunes et que donc on s'occupait d'eux. On a déjà dit dans ces colonnes que ces politiques, qui en réalité éloignent les jeunes du marché du travail réel, ne leur rendent pas vraiment service. D'ailleurs les réactions aux annonces de baisse des emplois aidés en sont presque la preuve. Qui proteste en effet ? Les jeunes ? Que nenni, ce sont les associations ou les collectivités locales qui se plaignent de perdre une main d'œuvre bon marché. Mais les emplois aidés ont-ils été conçus pour les associations, les collectivités locales ou pour les jeunes ?"
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Opinion Way / France Volontaires - Les Français et les engagements volontaire... - 0 views

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    A l'occasion de la Journée Internationale des Volontaires, le 5 décembre, France Volontaires dévoile les résultats de l'enquête d'opinion réalisée par l'institut OpinionWay, en partenariat avec Courrier International, sur le thème : « Les Français et les engagements volontaires et solidaires à l'international ». Ce sondage révèle les désirs d'engagements des Français, les motivations et les freins, ainsi que la manière dont ils répondent aux enjeux sociétaux ici et là-bas. Parmi les principaux enseignements de cette étude : Les Français perçoivent les bénéfices de l'engagement volontaire à l'international, qui permet de créer une société plus solidaire et plus ouverte à autrui. Près d'une personne sur trois s'est d'ailleurs déj̀ engagée personnellement dans une mission de solidaríté, en France ou à l'international. S'ils en avaient l'opportunité, un tiers des Français seraient prêts à s'engager volontairement pour effectuer des missions à l'international, et en particulier les jeunes. Si tous ne sont pas prêts à partir, la majorité des personnes interrogées voient les bénéfices d'accueillir également en France des volontaires d'autres pays et considèrent ce principe de réciprocité dans le volontariat international comme un bon moyen de favoriser la cohésion sociale et l'ouverture de la société. Les personnes prêtes à partir en mission aspirent avant tout à se rendre utiles, et perçoivent les bénéfices sur le plan personnel que ces missions peuvent apporter : une ouverture sur le monde, des compétences professionnelles, un projet de vie... Les individus prêts à s'engager aimeraient avant tout participer à des missions concernant l'accès à l'éducation, les droits de l'homme ou la lutte contre la pauvreté et les inégalités. Le suivi des parcours d'engagement des individus est un élément important : les per
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Le mariage, un signe efficace de l'amour de Dieu selon le pape François | La-... - 1 views

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    "Au cours de l'audience du 29 avril 2015, le pape François, poursuivant sa réflexion sur le dessein originel de Dieu pour le couple homme-femme, a voulu axer sa catéchèse sur le mariage et sur Jésus. Pour lui, la présence même de Jésus aux noces de Cana est le signe que « le chef-d'œuvre de la société, c'est la famille ». Or, a-t-il constaté, très peu de personnes se marient aujourd'hui. « Pourquoi les jeunes ne se marient-ils pas ? Pourquoi préfèrent-ils souvent une vie en concubinage, et si souvent 'à responsabilité limitée'  ? » s'est-il interrogé. Tentant de répondre à ces questions, le pape a souligné que parmi les raisons évoquées se trouve l'émancipation de la femme - un argument qui, selon lui, n'est pas valable mais relève « une forme de machisme qui vise toujours à dominer la femme ». « Nous devons défendre les femmes » a-t-il ajouté. Il a invité à chercher une réponse plutôt dans la peur de l'échec. Pourtant, a-t-il insisté, « le mariage consacré par Dieu protège ce lien entre l'homme et la femme, que Dieu a béni depuis la création du monde ». L'égalité fondamentale entre les époux, par exemple, trouve sa source dans le dessein de Dieu pour l'homme et la femme. Il a donc vigoureusement appelé les chrétiens à « soutenir avec force le droit à une égale rémunération pour un travail équivalent » dénonçant ainsi le scandale de l'inégalité des salaires entre hommes et femmes. "
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Observatoire des inégalités - Jeunesse : en finir avec l'hypocrisie française - 0 views

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    "« La jeunesse n'est qu'un mot », écrivait le sociologue Pierre Bourdieu en 1978. La grande majorité des commentateurs considère que parler « des jeunes » va de soi, alors qu'il n'en est rien. Les jeunes ne forment pas un groupe unifié avec des pratiques et des valeurs communes. L'élévation des niveaux de vie et du niveau d'éducation ont brouillé les pistes. « Si le cadre est commun à tous, les jeunes sont loin d'être tous logés à la même enseigne », écrivent les sociologues Christian Baudelot et Roger Establet. Entre l'intérimaire du bâtiment et l'élève d'une grande école élitiste dont les parents financent les études, les modes de vie et les préoccupations des jeunes n'ont rien à voir. Les pratiques culturelles sont trompeuses pour le monde des adultes qui y voit de l'uniformité alors que, des vêtements aux goûts musicaux, en passant par le langage ou les loisirs, les milieux sociaux se distinguent clairement aussi chez les jeunes. Tout en refusant le misérabilisme ambiant, il faut se rendre compte de ce qu'est la vie quotidienne de centaines de milliers de jeunes en « galère »."
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OIT - Synthèse - Tendances mondiales de l'emploi des jeunes 2017 - 0 views

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    L'édition 2017 de la série Tendances mondiales de l'emploi des jeunes présente les indicateurs clés de l'emploi des jeunes, ainsi que les dernières tendances et les politiques du marché du travail mondial. Le rapport met l'accent sur les instabilités et les problèmes structurels qui affectent les jeunes partout dans le monde. Les auteurs examinent les caractéristiques qu'aura le marché du travail dans l'avenir essentiellement pour les jeunes; ils se penchent sur le lien entre les nouvelles technologies numériques, l'automatisation du travail et les perspectives d'emploi pour les jeunes. Les perceptions des jeunes femmes et hommes sur leur avenir professionnel est également étudié, suite à une enquête de l'OIT menée pour mieux comprendre leurs désirs et ambitions concernant leur avenir. Document complet uniquement en anglais
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Famille chrétienne - L'Église à leur chevet - Famille Chrétienne - 0 views

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    "Comment les étudiants traversent-ils la période que nous vivons ? Comment l'Église de France peut-elle les aider et les accompagner ? C'est en s'interrogeant ainsi, en en discutant également avec les étudiants bénévoles du réseau Ecclésia Campus que la CEF a souhaité se pencher plus précisément sur le « malaise » étudiant.Il faut dire qu'en plein cœur de l'hiver, les revues de presse étaient alarmistes : « Étudiants à Grenoble : «Nous sommes comme dans un gouffre» » (Libération, le 14 janvier), « «Parfois, je ne mange pas pendant 36 heures parce que je n'ai pas le temps» : avec des étudiants sur le fil de la précarité à Montpellier » (Le Monde, le 10 février), « Étudiants déprimés : le triste constat » (Le Figaro, le 12 décembre), etc. Une situation qui a poussé la CEF à en savoir plus, par l'intermédiaire d'un questionnaire auquel ont répondu près de 2 600 personnes. « Ce qui en ressort, c'est que beaucoup ont été éprouvés dans leur foi durant cette période », analyse le Père Régis Peillon, aumônier national de la pastorale étudiante et de Chrétiens en grande école. « Mais ils ont d'abord souffert du manque de rencontres, de week-ends et autres événements qui permettent d'appro‑ fondir la foi. »"
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France Stratégie - La Géographie de l'ascension sociale - 0 views

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    Les chances des enfants de classes populaires d'accéder à des postes qualifiés varient aujourd'hui du simple au double selon le département de naissance. La note analyse ces écarts entre les territoires et esquisse les politiques publiques à mettre en œuvre pour les réduire. Note d'analyse 36 - La géographie de l'ascension sociale (PDF - 2.35 Mo ) Document de travail - La géographie de l'ascenseur social français (PDF - 2.9 Mo ) Auteur(s) Clément Dherbecourt Les chances d'ascension sociale des individus d'origine populaire (soit les enfants d'ouvriers et d'employés) varient du simple au double selon leur département de naissance. L'ascenseur social fonctionne bien dans certaines régions - Île-de-France, Bretagne, Midi-Pyrénées - et mal dans d'autres - Poitou-Charentes, Picardie, Nord-Pas-de-Calais. Pour les individus d'origine populaire, la mobilité ascendante apparaît faiblement liée au dynamisme économique des territoires. Elle est en revanche fortement liée à l'éducation - en particulier à l'obtention d'un diplôme du supérieur. La massification de l'enseignement secondaire puis supérieur a certes favorisé globalement la mobilité sociale ascendante qui a augmenté au cours des dernières décennies, mais sans faire disparaître les « trous noirs » de l'éducation et de la promotion sociale. L'analyse économétrique tend à montrer qu'il ne s'agit pas d'un problème de rendement de l'éducation mais plutôt d'accès à l'éducation. Or les inégalités territoriales d'accès au supérieur sont restées inchangées jusqu'à aujourd'hui. Augmenter les chances de mobilité ascendante dans les territoires défavorisés suppose donc une démocratisation réelle de l'accès à l'enseignement supérieur là où celui-ci est le plus difficile. Au-delà des politiques visant une meilleure égalité des chances face à l'éducation en amont de l'université, cela peut passer
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Campus France - Chiffres clés 2020 - 1 views

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    La mobilité étudiante dans le monde continue de progresser et se situe à un niveau historiquement haut : en 2017, 5,3 millions d'étudiants suivent une formation diplômante après avoir traversé une frontière (+71 % en dix ans). Étudier hors de son pays d'origine, par choix ou par nécessité, est de plus en plus courant, même si cela ne concerne qu'une minorité d'étudiants (2,4 % en 2017). Dans le monde très interconnecté d'aujourd'hui, la mobilité étudiante est pourtant sensible aux évolutions politiques et économiques mondiales. De nombreux facteurs d'incertitude traversent plusieurs grands pays d'accueil : crises écologiques et sanitaires, faible lisibilité de la situation post-Brexit au Royaume-Uni ou des politiques migratoires aux États-Unis, afflux de réfugiés des pays en guerre, etc. La hiérarchie des pays de départ évolue, tout comme celle des pays d'accueil. Le nombre d'étudiants accueillis aux États-Unis et au Royaume-Uni, les deux pays historiquement en tête de l'accueil, connaît une croissance ralentie (+1 % sur un an). L'Australie (3e , +14 %) et le Canada (7e , +11 %) semblent bénéficier, quant à eux, de reports très importants de mobilité, capitalisant, jusqu'aux incendies australiens fin 2019, sur une image positive à l'étranger. Dans ce contexte, l'Union européenne (UE), déjà première zone d'accueil dans le monde (même sans le Royaume-Uni), peut faire valoir des atouts nombreux : une tradition universitaire ancienne, un environnement sécurisé et apaisé, une recherche d'excellence, des programmes de mobilité forts et des débouchés professionnels nombreux. Pour consolider sa position, l'UE s'appuie sur le succès du programme Erasmus+ ; elle bénéficie également de stratégies nationales favorables à l'internationalisation de l'enseignement supérieur, notamment en France et en Allemagne. Au cœur de l'Europe, la France reste l'un des très grands pays d'
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Des jeunes diplômés en quête de sens bousculent le monde du travail - 2 views

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    "Pas moins de 92 % des diplômés en 2016 estiment important de travailler dans une entreprise socioresponsable, selon une étude du cabinet Accenture. Difficile à saisir pour les employeurs, essentielle pour les 16-25 ans, cette quête de sens agite le monde du travail. Le Monde a consacré une table ronde à ce thème lors de la première édition d'O21/s'Orienter au XXIe siècle, organisé à Lille les 6 et 7 janvier, sous le titre « Certains métiers ont-ils plus de sens ? » Extraits choisis."
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Institut Montaigne / Elabe - Les Français et l'apprentissage - 0 views

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    78 % des Français estiment que le système scolaire actuel prépare mal les élèves au monde du travail. 81 % pensent que les formations en apprentissage permettent de trouver un premier emploi facilement et 84 % considèrent cette formation comme une mesure efficace pour lutter contre le chômage selon une enquête ELABE pour l'Institut Montaigne réalisée auprès de 1 051 personnes âgées de 15 ans et plus. Malgré l'engouement des Français et les engagements des gouvernements successifs en faveur de l'apprentissage, le nombre d'apprentis a baissé de 4 % depuis 2010, et le chômage de masse des jeunes, lui, subsiste dans des proportions alarmantes. Convaincus que l'apprentissage est l'une des pistes les plus fécondes pour favoriser l'accès à l'emploi des jeunes, nous proposons trois mesures concrètes pour faire de l'apprentissage la voie professionnelle initiale de droit commun : Confier aux régions, en lien avec les professionnels, le pilotage territorial de la formation professionnelle initiale ; Introduire des systèmes de préparation à l'apprentissage, que ce soit pour les élèves en formation scolaire ou les jeunes déscolarisés ; Adapter le système de certifications aux mutations de l'économie.
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Institut Montaigne - Apprentissage : les trois clés d'une véritable transform... - 0 views

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    78 % des Français estiment que le système scolaire actuel prépare mal les élèves au monde du travail. 81 % pensent que les formations en apprentissage permettent de trouver un premier emploi facilement et 84 % considèrent cette formation comme une mesure efficace pour lutter contre le chômage selon une enquête ELABE pour l'Institut Montaigne réalisée auprès de 1 051 personnes âgées de 15 ans et plus. Malgré l'engouement des Français et les engagements des gouvernements successifs en faveur de l'apprentissage, le nombre d'apprentis a baissé de 4 % depuis 2010, et le chômage de masse des jeunes, lui, subsiste dans des proportions alarmantes. Convaincus que l'apprentissage est l'une des pistes les plus fécondes pour favoriser l'accès à l'emploi des jeunes, nous proposons trois mesures concrètes pour faire de l'apprentissage la voie professionnelle initiale de droit commun : Confier aux régions, en lien avec les professionnels, le pilotage territorial de la formation professionnelle initiale ; Introduire des systèmes de préparation à l'apprentissage, que ce soit pour les élèves en formation scolaire ou les jeunes déscolarisés ; Adapter le système de certifications aux mutations de l'économie.
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L'université, lieu d'apprentissage de la solidarité | ZENIT - Le monde vu de ... - 0 views

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    "En ce temps de crise, le pape François met en garde contre les dangers de la déception, de la désillusion, qui paralysent « l'intelligence et l'action »,font fuir la réalité. Il désigne pour cela l'université comme un antidote : « un lieu d'élaboration et de transmission du savoir, de formation à la « sagesse » dans le sens le plus profond du terme, d'éducation intégrale de la personne ». Parce qu'elle est un lieu de « discernement » où l'on nourrit « l'espérance », où s'élaborela culture de la proximité, du dialogue, un lieu de formation à la solidarité, explique le pape. Le pape François avait en effet rendez-vous avec le monde de la culture, dimanche après-midi, 22 septembre, à Cagliari, dans l'auditorium de la faculté pontificale de théologie régionale, dirigée par les jésuites, en présence des professeurs et étudiants des universités publiques de Sardaigne. Voici notre traduction intégrale du texte du pape, à partir du texte écrit préparé, en italien, et publié par le Saint-Siège, complété par les incises improvisées sur le moment, d'abondance du coeur."
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Forum jeunes Pro : Keep ton cap dans le monde ! - Diocèse de Strasbourg - 0 views

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    "Keep ton cap dans le monde ! Pas si facile à l'heure où le monde professionnel te demande de faire des compromis voire des compromissions en désaccord avec tes convictions. Le temps d'un week-end avec de grands témoins et des personnes qui vivent dans des contextes compliqués, nous découvrirons comment être témoins de l'évangile dans ce monde."
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Le Monde - Le paradoxe des « transclasses », héros malgré eux - 0 views

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    "Les récits de « coming out social », qui racontent les difficultés rencontrées lors du passage d'un milieu à un autre via les études supérieures, se multiplient dans le monde de l'édition ou sur les réseaux sociaux. Au risque de masquer la réalité d'un système toujours peu inclusif pour les jeunes issus de milieux défavorisés."
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Institut de l'entreprise - Un chemin de réussite pour chaque jeune : à traver... - 0 views

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    Former au XXIe siècle analyse six méthodes d'insertion des jeunes dans l'emploi en France aujourd'hui, six méthodes qui marchent. Par des voies et face à des publics différents, toutes affichent un taux d'insertion dans l'emploi élevé. Quels sont les secrets de cette réussite ? Quelles leçons peut-on en tirer ? Telles sont les questions qui nous ont conduits sur le terrain, à la rencontre de ceux qui agissent. L'enjeu est double. Il faut parvenir à insérer, rapidement et dans la durée, des jeunes qui sont parfois en grande précarité, parfois très diplômés mais éloignés de l'emploi, souvent démotivés après de nombreux échecs et ce, sur un marché du travail qui se transforme à grande vitesse. Cela implique d'adapter les méthodes de formation tant aux besoins et attentes de publics très variés qu'à des métiers en pleine mutation, face aux nouvelles technologies et à la multidisciplinarité. Ces méthodes d'insertion partagent trois caractéristiques. Redonner confiance en soi par la responsabilisation et la valorisation des acquis de chacun. Élargir les compétences de chaque jeune et les traduire en métiers. Démultiplier les contacts directs avec les entreprises par les rencontres, les échanges, l'immersion ou encore les stages. L'âge et les diplômes ne comptent pas, seules la motivation et la réussite importent. Pragmatisme, réactivité, sur-mesure, implication de tous les acteurs et notamment des entreprises sont autant de clés de leur succès. Autant de pistes qui invitent à l'action.
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Les volontaires du Service Civique et leur rapport au vote, à l'engagement et... - 0 views

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    "Au vu des résultats de cette enquête, on constate que les volontaires du Service Civique sont des jeunes plus engagés et plus politisés que l'ensemble des jeunes Français. Ils s'intéressent davantage au monde qui les entoure, qu'il s'agisse de politique (56% vs. 49%) ou d'actualité (89% vs. 82%). Ils expriment également un besoin plus fort d'aider les autres (89% vs. 83%) et sont plus confiants dans leur capacité à agir, notamment là où ils habitent (80% vs. 62%). Ils jugent également plus importantes des valeurs comme le don, l'entraide et le bénévolat, ce qui se traduit par une plus grande envie de rendre service à leurs proches et voisins (96% vs. 89%) et de participer à des associations (84% vs. 64%). Les jeunes volontaires font donc preuve d'un altruisme qui ne se limite pas à la sphère de proximité stricto sensu, même s'ils privilégient l'engagement local. Par ailleurs, les jeunes volontaires ont davantage le sentiment d'être accompagnés par les pouvoirs publics que les autres jeunes (42% vs. 35%) et de bénéficier d'opportunités offertes par l'Europe (72% vs. 56%), peut-être parce qu'ils connaissent mieux les programmes et initiatives dont ils peuvent bénéficier."
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Apprentis, un nouvel outil pour vous ! - Jeunesse Ouvrière Chrétienne - 0 views

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    "Depuis septembre 2015, la JOC a réuni un collectif d'apprentis et anciens apprentis, afin de traduire en actes les revendications qu'elle développe. Le collectif a fait le choix de travailler sur l'information aux droits des apprentis. En effet, l'enquête de 2014 « Droits Devants », conduite par la JOC, démontre qu'un jeune sur deux déclare ne pas connaître le droit du travail, et parmi eux les apprentis, ayant pourtant déjà un pied dans le monde de l'entreprise ! Fort de ce constat, le collectif a travaillé à l'organisation d'une journée de formation aux droits pour tous les apprentis et à l'édition d'un outil pratique pour donner aux jeunes quelques bases sur leurs droits. Depuis le travail du collectif, la Loi Travail est arrivée et a bousculé le contenu du document. Aujourd'hui, nous avons le plaisir de vous présenter Les 12 clés !"
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