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Home/ Etudiants & Jeunes professionnels/ Group items tagged Conditions de vie

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France Stratégie - Rapport - L'insertion professionnelle des jeunes - 0 views

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    C'était une des onze mesures pour la jeunesse promises par le gouvernement au printemps 2016. La concertation en faveur de l'insertion professionnelle des jeunes, lancée en septembre dernier, s'est conclue mardi 24 janvier 2017 par la remise d'un rapport de diagnostic à la ministre du Travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social. Auteur(s) Marine Boisson-Cohen, Hélène Garner, Philippe Zamora Il s'agissait, selon les termes de la ministre, « d'un exercice exigeant » de dialogue avec la jeunesse. Piloté par France Stratégie et la DARES jusqu'à sa conclusion en décembre, la concertation en faveur de l'insertion professionnelle des jeunes a réuni les représentants des huit organisations patronales et syndicales ainsi que de quatre organisations de jeunesse (UNEF, FAGE, JOC, MRJC) lors de six séances de travail thématiques. Il ressort de l'exercice un diagnostic largement partagé autour de trois grands constats. Une jeunesse hétérogène C'est un fait, la situation des jeunes sur le marché du travail s'est dégradée. Multiplié par 3,5 en 40 ans, le taux de chômage des jeunes atteint aujourd'hui 24 %. Un trait commun à toute l'Europe mais particulièrement marqué en France où le taux d'activité des jeunes est inférieur de 4,5 points à la moyenne européenne. Attention à ne pas faire d'amalgame (statistique) pour autant ! Si leur taux d'activité est faible c'est d'abord parce que 50 % des 18-24 ans sont encore en étude. Le « vrai » point noir pour la France, ce sont les 13,8 % des 20-24 ans au chômage - un sur-chômage qui persiste encore dix ans après leur entrée sur le marché du travail - et les 15 % des 15-29 qui ne sont ni en emploi, ni en études, ni en formation (les NEETs). Cette précision souligne l'importance qu'il y a à parler des jeunesses au pluriel. Et c'est là le premier constat partagé par les parties prenantes. S'ils ont bien des diffic
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INJEP / Crédoc - Baromètre DJEPVA sur la jeunesse 2017 - 1 views

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    a seconde vague du baromètre DJEPVA sur la jeunesse s'inscrit dans la volonté de proposer aux pouvoirs publics, aux corps associatifs, et plus généralement à tous les acteurs mobilisés par la jeunesse, des indicateurs récurrents sur les conditions de vie, les modes de vie, aspirations et attentes des jeunes. Descriptif À la demande de la direction de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative (DJEPVA) et avec l'appui de l'Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire (INJEP) le Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (CRÉDOC) a réalisé la seconde édition du baromètre DJEPVA sur la jeunesse, une enquête nationale auprès de 4 500 jeunes âgés de 18 à 30 ans . En 2017, le dispositif d'enquête a été étendu aux territoires ultramarins (La Réunion, la Guadeloupe, la Guyane et la Martinique). Ce dispositif est adossé à l'enquête permanente du CRÉDOC sur les Conditions de vie et aspirations des Français, qui existe depuis 1978 et permet de resituer les analyses portant sur les jeunes sur des données de contexte général, et de comparer certains des résultats à ceux observés dans d'autres tranches d'âge. Parmi les thèmes abordés dans cette étude, plusieurs avaient déjà fait l'objet de mesure en 2016, permettant des comparaisons dans le temps : * Les aspirations : l'état d'esprit actuel, la satisfaction vis-à-vis de la vie actuelle et les perspectives futures. * La participation citoyenne (nouvelle thématique introduite en 2017) : la forme de participation à la vie publique jugée la plus efficace pour que les choses bougent, participation à une manifestation ou à une grève, signature d'une pétition, l'intention de vote au premier tour des prochaines élections présidentielles, les raisons du vote et de l'abstention à ce premier tour, l'opinion quant à différentes pistes de renouvellement du système politique franÃ
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Injep - Compte-rendu : Etudes, galères et réussites. Conditions de vie et par... - 0 views

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    "Avec plus de 50 % d'une classe d'âge inscrite dans l'enseignement supérieur, l'université accueille désormais une grande diversité sociale d'étudiants dont les parcours sont également très variés. Dans ce contexte, que sait-on aujourd'hui des conditions de vie et de réussite des étudiants ? Qu'apprend-on de l'influence des rythmes universitaires, des ressources financières, de l'effet d'un site délocalisé, ou encore, des conséquences d'une activité salariée étudiante ? Le 26 avril 2017, l'INJEP invitait à débattre de ces questions au cours d'une conférence-débat, « Etudes, galères et réussites. Conditions de vie et parcours à l'université », titre éponyme d'un ouvrage publié par l'INJEP à La Documentation française. Le livre croise des données locales de différentes universités (Dijon, Montpellier, Rennes, Strasbourg, Toulouse, Tours...). Cette conférence-débat qui se tenait à la Maison des initiatives étudiantes de Paris, réunissait à la table d'animation Philippe Cordazzo, professeur des universités à la faculté de Strasbourg, Bénédicte Froment, directrice de la vie étudiante, responsable de l'Observatoire et du Bureau de la vie étudiante à l'université de Tours, Jean-François Giret, professeur de sciences de l'éducation à l'université de Franche-Comté, président du collège scientifique de l'Observatoire national de la vie étudiante, Séverine Landrier, responsable de l'animation scientifique de l'Observatoire régional emploi-formation de la région PACA à Marseille et Florian Prussak, adjoint au sous-directeur de la vie étudiante du CNOUS, en charge de la politique de site et de la vie de campus."
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Observatoire de la vie étudiante - Synthèse globale - La vie étudiante au tem... - 0 views

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    L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à mo
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Observatoire de la vie étudiante - Situation financière - La vie d'étudiant c... - 0 views

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    L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à modifier, pour certain·e·s, leurs projets d'
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Observatoire de la vie étudiante - Logement - La vie d'étudiant confiné - 0 views

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    L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à modifier, pour certain·e·s, leurs projets d'
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Observatoire de la vie étudiante - Santé - La vie d'étudiant confiné - 0 views

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    L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à modifier, pour certain·e·s, leurs projets d'
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Observatoire de la vie étudiante - Continuité pédagogique - La vie d'étudiant... - 0 views

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    L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à mo
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Sénat - Mission d'information - Synthèse - Conditions de la vie étudiante en ... - 0 views

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    Alertée par l'ampleur d'un malaise étudiant apparu en pleine lumière du fait de la crise sanitaire, la mission d'information du Sénat sur les conditions de la vie étudiante s'est constituée en février 2021. Entre le 11 mars 2021 et le 6 juillet 2021, elle a entendu de nombreux acteurs de l'enseignement supérieur, représentants d'associations étudiantes et experts de la vie étudiante. Ces auditions ont confirmé l'importance de tout ce qui, dans l'environnement de l'étudiant (logement, santé, alimentation, vie sociale...), contribue à la réussite des études parallèlement au cursus académique. À partir des témoignages et expertises recueillis au cours de ses travaux, la mission d'information présente un bilan de la condition étudiante après deux années universitaires marquées par la pandémie et met en évidence des difficultés qui, déjà présentes avant la crise, ont été amplifiées par celle-ci. Son analyse du parcours des étudiants - de leur entrée dans l'enseignement supérieur à la préparation de leur insertion professionnelle - souligne, à chaque étape, la nécessité d'un accompagnement personnalisé. Son rapport, adopté à l'unanimité le 7 juillet 2021, insiste sur la nécessité d'inscrire l'enseignement supérieur au coeur des politiques d'aménagement du territoire et montre l'importance d'une offre diversifiée d'établissements d'enseignement supérieur. Dans cet esprit, il relève l'intérêt que présentent les petites structures universitaires de proximité, non seulement en termes de qualité de vie mais aussi pour encourager l'accès à l'enseignement supérieur des jeunes éloignés des grandes métropoles et constituer pour les étudiants un tremplin vers la réussite. Les conclusions de ce rapport plaident en faveur d'un ancrage renforcé de l'enseignement supérieur dans les territoires et appellent à tirer les conséquences de la crise sanitaire pour améliorer la condition étudiante, à mieux accompa
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Sénat - Rapport d'information - Conditions de la vie étudiante en France - 0 views

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    "Alertée par l'ampleur d'un malaise étudiant apparu en pleine lumière du fait de la crise sanitaire, la mission d'information du Sénat sur les conditions de la vie étudiante s'est constituée en février 2021. Entre le 11 mars 2021 et le 6 juillet 2021, elle a entendu de nombreux acteurs de l'enseignement supérieur, représentants d'associations étudiantes et experts de la vie étudiante. Ces auditions ont confirmé l'importance de tout ce qui, dans l'environnement de l'étudiant (logement, santé, alimentation, vie sociale...), contribue à la réussite des études parallèlement au cursus académique. À partir des témoignages et expertises recueillis au cours de ses travaux, la mission d'information présente un bilan de la condition étudiante après deux années universitaires marquées par la pandémie et met en évidence des difficultés qui, déjà présentes avant la crise, ont été amplifiées par celle-ci. Son analyse du parcours des étudiants - de leur entrée dans l'enseignement supérieur à la préparation de leur insertion professionnelle - souligne, à chaque étape, la nécessité d'un accompagnement personnalisé. Son rapport, adopté à l'unanimité le 7 juillet 2021, insiste sur la nécessité d'inscrire l'enseignement supérieur au coeur des politiques d'aménagement du territoire et montre l'importance d'une offre diversifiée d'établissements d'enseignement supérieur. Dans cet esprit, il relève l'intérêt que présentent les petites structures universitaires de proximité, non seulement en termes de qualité de vie mais aussi pour encourager l'accès à l'enseignement supérieur des jeunes éloignés des grandes métropoles et constituer pour les étudiants un tremplin vers la réussite. Les conclusions de ce rapport plaident en faveur d'un ancrage renforcé de l'enseignement supérieur dans les territoires et appellent à tirer les conséquences de la crise sanitaire pour améliorer la condition étudiante, à mieux accomp
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INJEP - La mobilité internationale des jeunes dans un cadre non formel : revu... - 0 views

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    Contexte de l'étude Cette revue de littérature est le fruit d'une commande institutionnelle émanant de l'INJEP pour le compte de la direction de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative (DJEPVA). Issue d'une recommandation adoptée dans le cadre du Comité permanent de la mobilité européenne et internationale des jeunes, elle a pour objectif de faire le point sur les travaux de recherche, d'étude et d'évaluation disponibles sur les mobilités internationales apprenantes dans le cadre non formel des jeunes de 13 à 30 ans.Résumé Instrument de l'action publique dédiée à la jeunesse, la mobilité internationale réalisée dans un cadre non formel génère des attentes politiques en partie divergentes avec celles - nombreuses, diversifiées et différenciées - des jeunes bénéficiaires. Le développement de l'employabilité, à titre d'exemple, n'arrive généralement pas en tête des motivations des jeunes. Les expériences de mobilité internationales restent également sélectives, marquées des déterminismes sociaux et influencées par un ensemble de freins et d'obstacles - individuels, institutionnels, organisationnels et sociétaux - et ce, malgré l'existence de dispositifs et programmes censés la faciliter. Régulièrement évalués, ces derniers permettent néanmoins aux jeunes bénéficiaires - sous certaines conditions - de faire des apprentissages multiples et multidimensionnels qui peuvent infléchir leur parcours de vie et leurs trajectoires sociales et professionnelles. La reconnaissance individuelle de ces acquis reste toutefois plus ou moins accompagnée et formalisée, et inachevée dans ses volets social et institutionnel. Enfin, l'impact de la mobilité internationale non formelle sur les professionnels, les organisations et les territoires semble moins prononcé, même si des investigations complémentaires restent nécessaires sur ces champs de recherche.
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The Conversation - Précarité étudiante : de la difficulté d'une évaluation - 0 views

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    "La récente tragédie d'un étudiant s'immolant par le feu pour dénoncer la précarité de sa situation a conduit les médias à s'interroger sur la condition étudiante. Ce drame est-il le signe que les conditions de vie des étudiants, sous l'effet de la massification de l'accès aux études supérieures, se seraient dégradées au point de pouvoir conduire certains d'entre eux à de telles extrémités ? Nous avons aujourd'hui une bonne connaissance statistique des conditions de vie des étudiants grâce aux enquêtes réalisées sur un large échantillon par l'Observatoire de la vie étudiante (OVE), dont la dernière remonte à 2016 (et la précédente à 2013). Ces enquêtes montrent que la question est complexe et n'autorise pas de réponse simple."
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CREDOC - Etre salarié : un idéal, sauf pour les jeunes qui aspirent à plus de... - 0 views

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    Après avoir été longtemps en diminution, le nombre d'indépendants semble repartir à la hausse depuis le début des années 2000.Parallèlement se multiplient des situations en « zone grise » entre le statut de salarié et celui d'indépendant. L'enquête Conditions de vie et aspirations du CRÉDOC de 2016 montre que, dans leur très grande majorité, nos concitoyens jugent la situation de salarié préférable, dans l'absolu, à celle d'indépendant.Comme dans de nombreux pays développés, cette préférence a fortement augmenté depuis les années 2000.Pour les plus âgés, le statut d'indépendant est notamment synonyme de lourde charge de travail venant empiéter sur la vie personnelle. L'opinion des jeunes est très différente : 45% des 18-24 ans estiment que travailler à son compte est une situation plus enviable. Loin d'être considérée comme un pis-aller face à un marché du travail saturé et peu sécurisant, l'indépendance est associée par cette classe d'âge à une plus grande liberté et une opportunité pour bien concilier vie privée-vie professionnelle. Très peu mettent en avant les impacts en termes de fragilisation de la protection sociale, ou le manque de sécurité. Et dans les faits, 20 % des jeunes se sont saisis des nouvelles opportunités d'emplois occasionnels proposés par l'économie dite « collaborative ».
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Observatoire de la vie étudiante - Etre étudiant en 2020 : entre incertitude ... - 0 views

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    Pour sa neuvième édition, l'enquête nationale sur les conditions de vie des étudiants s'est déroulée dans un contexte sanitaire inédit en lien avec la pandémie de COVID-19 et le confinement. Si les réponses des étudiants renseignent sur les grandes tendances de leurs conditions de vie et sur certaines thématiques nouvellement introduites dans l'enquête (telles que les violences sexistes et sexuelles dans l'enseignement supérieur, le racisme et les discriminations, l'utilisation du numérique dans l'accès à l'emploi, le rapport à l'écologie ou encore l'usage des bibliothèques), l'enquête complémentaire réalisée en juillet 2020 donne aussi des informations sur ce que les épisodes de confinement peuvent changer aux modes de vie et d'étude.
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Cereq - Vulnérabilités étudiantes : les chemins inattendus de la réussite - 1 views

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    Le groupe de travail sur l'enseignement supérieur (GTES ) est un réseau d'échanges et de production sur les parcours de formation et d'insertion des étudiant·e·s de l'enseignement supérieur. Il réunit des chargé·e·s d'études du Céreq, des chercheur·e·s et enseignant·e·s chercheur·e·s, des représentant·e·s de l'Observatoire national de la vie étudiante (OVE), des observatoires universitaires et régionaux, des membres de services du MESRI (DGESIP et SIES ), de l'agence ERASMUS + France et de l'Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire (INJEP ). Lors des dernières journées à Marseille les 6 et 7 juin 2019, quatre projets d'ouvrages y ont été présentés dont celui-ci qui porte sur les déterminants de la réussite au prisme des vulnérabilités étudiantes. Les jeunes inscrits dans l'enseignement supérieur prennent des risques à travers leurs orientations, leurs conditions d'études, leurs arbitrages et choix de vie, avec en filigrane les inégalités sociales et économiques qui se révèlent d'autant plus fortement qu'elles influent sur leur parcours. En croisant des données quantitatives et qualitatives issues d'enquêtes locales ou nationales, les auteur·e·s mettent l'accent sur le caractère multidimensionnel, contextuel, individuel et subjectif des situations de vulnérabilités que les étudiant·e·s rencontrent, et illustrent aussi le caractère réversible qui emporte certain·e·s sur les chemins inattendus du succès.
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Cereq - 20 ans d'insertion professionnelle des jeunes : entre permanences et ... - 0 views

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    "Depuis 20 ans, les enquêtes Génération visent à éclairer la connaissance sur l'insertion professionnelle des jeunes et aident au pilotage des politiques publiques qui l'accompagnent. Selon les éditions, entre 20 000 et 55 000 jeunes sortis la même année du système scolaire ont été interrogés sur leurs premières années de vie active. Grâce à ce dispositif, le Céreq peut aujourd'hui rendre compte des permanences et des principaux changements en matière d'accès des jeunes au marché du travail, au terme de deux décennies marquées par l'installation du chômage massif et par un accès toujours plus important à l'enseignement supérieur. Ce travail de synthèse et d'analyse sur longue période est l'occasion d'une prise de recul utile au moment où le champ de la relation formation-emploi connaît, ou s'apprête à connaître, une série de réformes. Parmi les grandes évolutions des conditions d'insertion des jeunes en deux décennies peuvent être évoquées la précarisation croissante de certains parcours professionnels et la relégation aux marges du marché du travail que subissent les non-diplômés, par ailleurs moins nombreux, ou encore le rapprochement des débuts de carrières professionnelles entre hommes et femmes. L'apprentissage a pris son essor, notamment dans le supérieur, et offre une protection contre le chômage. Du côté des permanences, force est de constater qu'il ne fait toujours pas bon être issus de quartiers prioritaires des politiques de la ville ou de l'immigration. Sociologues, économistes, statisticiens, démographes, chargé.e.s d'études du Céreq ou chercheur.e.s associés, 38 auteur.e.s ont mobilisé leur expertise du sujet et se sont emparé.e.s de la richesse des informations apportées par le dispositif des enquêtes Génération, dans un souci de transmettre avec pédagogie leurs résultats à un large public." Téléchargement du dossier et du livre
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Observatoire de la vie étudiante - Les discriminations perçues dans l'enseign... - 0 views

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    Pour la première fois, la dernière vague de l'enquête Conditions de vie des étudiants (CdV) lancée en 2016 par l'Observatoire national de la vie étudiante (OVE) permet de mesurer, à grande échelle, la perception qu'ont les étudiants de l'(in)égalité de traitement dans l'enseignement supérieur et d'éventuelles discriminations à leur encontre grâce à deux questions, inspirées de l'enquête «Trajectoires et origines» menée en 2008- 2009 par l'Institut national d'études démographiques. La première porte sur la différence de traitement perçue : «Personnellement, au cours de votre parcours dans l'enseignement supérieur, pensez-vous avoir été traité-e différemment des autres étudiants... [dans la notation / dans la manière dont les autres étudiants ou enseignants ou personnel administratif se sont adressés à vous ou comportés avec vous / lors de décisions d'orientation depuis votre entrée dans l'enseignement supérieur / lors de décisions d'orientation avant votre entrée dans l'enseignement supérieur 6 ] ?». La deuxième porte sur les motifs identifiés de ces différences de traitement. L'analyse combinée de ces deux questions permet d'identifier les discriminations perçues.
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INJEP - Evaluation du service civique - Résultats de l'enquête sur les parcou... - 0 views

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    Si des initiatives pour l'évaluation du service civique ont été prises depuis le lancement du dispositif, ce rapport constitue la première évaluation à partir de données d'enquête statistique représentatives de l'ensemble des volontaires du service civique. L'enquête Service civique, menée en 2019 par l'INJEP et l'Agence du service civique, fournit de nombreux éléments chiffrés permettant d'étudier dans quelle mesure les objectifs du dispositif sont atteints : universalité, mixité sociale, développement d'une culture de l'engagement, complémentarité des missions avec les emplois et le bénévolat, insertion professionnelle des volontaires. À travers dix chapitres thématiques, le rapport analyse les parcours scolaires, professionnels, géographiques et d'engagement, en amont et en aval de la mission, et détaille les conditions de réalisation des missions elles-mêmes. Une première partie aborde les profils des volontaires, les raisons pour lesquelles ils se sont engagés en service civique, et la question de l'inclusion des personnes handicapées. La deuxième partie est consacrée aux activités réalisées, à l'encadrement des volontaires et à leurs conditions de vie pendant le service civique ; elle analyse également l'objectif de mixité sociale à travers les rencontres faites par les jeunes au cours de leur mission. La troisième partie est centrée sur la période postérieure au service civique : la situation des volontaires six mois après la fin de leur mission, leurs parcours géographiques et d'engagement. Le rapport donne à voir une expérience du service civique contrastée selon les volontaires : en fonction de leur niveau de diplôme et leur sexe, mais aussi selon les types d'organismes d'accueil et les activités, très variées, qui leur sont confiées.
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Cereq - Quand l'école est finie. Premiers pas dans la vie active de la Généra... - 0 views

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    Dans cette 6ème édition de Quand l'école est finie, le Céreq dresse le portrait statistique des trois premières années de vie active des 693 000 jeunes sortis de formation initiale en 2013, à tous les niveaux de formation, et interrogés en 2016. Qui sont les jeunes qui accèdent rapidement à l'emploi ? Quels sont les événements du parcours d'insertion ? Comment les origines sociales jouent-elles sur les conditions d'insertion ? Quelles mobilités professionnelles et évolutions salariales en début de carrière ? Les jeunes sont-ils satisfaits de leur situation professionnelle ? En 23 doubles-pages thématiques, alimentées de données détaillées, cet ouvrage offre l'occasion d'accéder à une vision complète et synthétique de la situation sur le marché du travail de toute une génération. D'avril à juillet 2016, le Céreq a interrogé un échantillon national de jeunes sortis du système éducatif en 2013 sur leurs premiers pas dans la vie active. Les 23 000 jeunes qui ont répondu sont représentatifs des 693 000 qui, cette année-là, ont quitté pour la première fois le système éducatif français, à tous les niveaux de formation. Etude à télécharger
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INJEP - Dégradation des conditions de vie et de logement des 18-24 ans - 0 views

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    Les jeunes adultes âgés de 18 à 24 ans ont largement été touchés par la crise sanitaire liée au Covid-19, de leur expérience de l'emploi à la question du travail domestique, en passant par leurs conditions de logement. Ce sont les jeunes des classes les moins favorisées, les femmes et les jeunes en emploi qui ont été les plus touchés par les effets de la crise : près de la moitié des 18-24 ans en emploi ont déclaré avoir été totalement ou en partie en chômage partiel à cette période. Du côté des étudiants, on observe à la fois un retour chez les parents et une diminution des ressources liées à l'activité rémunérée en complément des études. La crise sanitaire souligne l'hétérogénéité des conditions de vie de la jeunesse et exacerbe les inégalités entre les jeunes d'une même classe d'âge.
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