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INJEP / Crédoc - Baromètre DJEPVA sur la jeunesse 2017 - 1 views

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    a seconde vague du baromètre DJEPVA sur la jeunesse s'inscrit dans la volonté de proposer aux pouvoirs publics, aux corps associatifs, et plus généralement à tous les acteurs mobilisés par la jeunesse, des indicateurs récurrents sur les conditions de vie, les modes de vie, aspirations et attentes des jeunes. Descriptif À la demande de la direction de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative (DJEPVA) et avec l'appui de l'Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire (INJEP) le Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (CRÉDOC) a réalisé la seconde édition du baromètre DJEPVA sur la jeunesse, une enquête nationale auprès de 4 500 jeunes âgés de 18 à 30 ans . En 2017, le dispositif d'enquête a été étendu aux territoires ultramarins (La Réunion, la Guadeloupe, la Guyane et la Martinique). Ce dispositif est adossé à l'enquête permanente du CRÉDOC sur les Conditions de vie et aspirations des Français, qui existe depuis 1978 et permet de resituer les analyses portant sur les jeunes sur des données de contexte général, et de comparer certains des résultats à ceux observés dans d'autres tranches d'âge. Parmi les thèmes abordés dans cette étude, plusieurs avaient déjà fait l'objet de mesure en 2016, permettant des comparaisons dans le temps : * Les aspirations : l'état d'esprit actuel, la satisfaction vis-à-vis de la vie actuelle et les perspectives futures. * La participation citoyenne (nouvelle thématique introduite en 2017) : la forme de participation à la vie publique jugée la plus efficace pour que les choses bougent, participation à une manifestation ou à une grève, signature d'une pétition, l'intention de vote au premier tour des prochaines élections présidentielles, les raisons du vote et de l'abstention à ce premier tour, l'opinion quant à différentes pistes de renouvellement du système politique franÃ
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Credoc - Les jeunes (16-25 ans) et les loisirs sportifs - Focus sur les prati... - 0 views

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    "En 2017, près de 8 Français sur 10 vivent dans des zones urbaines [Statista, Projection 2017 basée sur le recensement INSEE 2012). Fait marquant, en France, le territoire urbain a triplé en seulement cinquante ans (INSEE première 707). L'extension des espaces urbains a rendu de plus en plus difficile l'accès à des espaces naturels préservés. Dans ce contexte, les Français semblent exprimer un puissant désir de nature, ce qu'attestent l'explosion du marché de jardinage (Dubost, 1997), le désir de reproduire en ville des modes de vie ruraux, l'envie de consommer des produits alimentaires naturels (en 2018, un ménage sur cinq achète au moins une fois par semaine du bio, CREDOC-CCAF) ou encore les mobilisations citoyennes très récentes pour la protection de la planète et de la biodiversité. Parallèlement nous assistons à un élargissement et une diversification des pratiques sportives (UCPA Credoc) et, en particulier, depuis des années 1990 à un accroissement des loisirs sportifs de pleine nature (Vigarello 1992). Christian Pociello (1999) parle même « d'écologisation des pratiques sportives » dans le sens où l'engouement pour des sports de pleine nature aurait changé le comportement des individus vis-à-vis de l'environnement et aurait modifié durablement leur perception de la nature et leur sensibilité aux enjeux écologiques. C'est dans ce contexte que l'UCPA a souhaité axer le « baromètre CREDOC-UCPA des pratiques sportives des 1625 ans » sur une analyse des « sports de nature » et des « sports de bien-être ». En complémentent du suivi des indicateurs visant à identifier et mesurer les loisirs sportifs des jeunes, le focus de la vague de 2018 cherche à… ➢ … analyser les représentations vis-à-vis des sports de nature et de bien-être ➢ … mesurer l'étendu de la pratique des sports de nature et de bien-être chez les 16-25 ans ➢ … appréhender les motivations et les freins à pratiq
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Observatoire de la vie étudiante - Synthèse globale - La vie étudiante au tem... - 0 views

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    L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à mo
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Observatoire de la vie étudiante - Situation financière - La vie d'étudiant c... - 0 views

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    L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à modifier, pour certain·e·s, leurs projets d'
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Observatoire de la vie étudiante - Logement - La vie d'étudiant confiné - 0 views

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    L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à modifier, pour certain·e·s, leurs projets d'
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Observatoire de la vie étudiante - Santé - La vie d'étudiant confiné - 0 views

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    L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à modifier, pour certain·e·s, leurs projets d'
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Observatoire de la vie étudiante - Continuité pédagogique - La vie d'étudiant... - 0 views

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    L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à mo
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Paul Adrien d'Hardemare - ARRÊTER LE PORNO ? FAQ (feat. TANGUY LAFFORGUE & OL... - 0 views

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    Vidéo / Podcast de frère Paul Adrien avec Olivier Florant (sexologue) et Tanguy Lafforgue (thérapeute comportemental). De plus en plus d'hommes et de femmes, mais aussi d'adolescents, souffrent de comportements compulsifs liés à la sexualité: pornographie, masturbation, tchat, applis de rencontre... et la liste est plus longue qu'on ne l'imagine. Comment s'en sortir ? 80 % des garçons ont été exposés à la pornographie avant l'âge de quatorze ans, 50 % avant celui de douze : l'addiction au sexe virtuel est un enjeu majeur de santé publique. Comment l'obscénité, qui a remplacé l'érotisme, a-t-elle infesté nos vies et nos modes de vie ? Pourquoi des individus sombrent-ils dans sa dépendance ? Comment en sortir, se soigner et retrouver le véritable amour ? C'est à ces questions que répond ici un des premiers sexologues à s'être intéressé à cette pathologie. En neuf grandes séquences, Olivier Florant rappelle comment l'homme moderne est devenu un homme cochon : avènement d'Internet, diffusion massive d'images licencieuses, misère d'une société ultra-consumériste. Il aborde tous les sujets, sans tabou, avec franchise, pour nous délivrer de ce fléau. Il révèle le secret de sa thérapie : contrôler les mécanismes grâce auxquels notre cerveau prend les décisions, surmonter ses peurs et réapprendre à aimer l'autre. Et ce afin de retrouver notre pleine liberté ! Contre le règne de YouPorn, un ouvrage nécessaire, à lire et à partager. Sexologue, fondateur du Cabinet Saint-Paul, Olivier Florant est l'auteur, avec son épouse Marie-Noël, de nombreux livres ayant rencontré un grand succès, notamment Ne gâchez pas votre plaisir, il est sacré. Il est aussi l'auteur, aux Éditions du Cerf, de Aimer après la foudre et l'orage. Tanguy Lafforgue est diplômé de l'École spéciale militaire de Saint-Cyr, puis responsable de communication dans des structures chrétiennes pendant 10 ans. Depuis plusieurs an
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INJEP - Les difficultés de transport : un frein à l'emploi pour un quart des ... - 0 views

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    En 2016, les difficultés de transport ont conduit 26% des jeunes âgés de 18 à 30 ans à refuser une offre d'emploi et 21% d'entre eux à renoncer à suivre une formation ou des études, selon une étude issue du dernier baromètre sur la jeunesse de la direction de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative (DJEPVA) diffusée ce 23 novembre*. Toujours à cause de problèmes de déplacements, plus de la moitié (57%) des jeunes ont dû restreindre leur vie sociale : 40% ont renoncé à rendre visite à un proche (amis, famille), 34% à pratiquer une forme de loisir (activité sportive, visite culturelle, cinéma, etc.) et 31% à partir en vacances. Les jeunes prennent davantage les transports en commun que les autres classes d'âge : il s'agit pour près d'un tiers d'entre eux (29%) du principal mode de déplacement quotidien (contre 14% en moyenne dans la population). Ils ne se distinguent pas du reste de la population en matière de transports "doux" (vélo et marche à pied) : 17% d'entre eux les utilisent contre 18% en moyenne dans la population générale. Par contre, seuls 48% d'entre eux utilisent en priorité la voiture pour se déplacer au quotidien, contre 65% dans l'ensemble de la population. Plus de la moitié des jeunes déclarent aussi avoir eu recours à du covoiturage pour une courte distance (56%). Pour améliorer leurs trajets quotidiens, ils voudraient avant tout des transports moins chers (28%), diminuer l'impact sur l'environnement (16%), passer moins de temps dans les transports (15%), disposer de transports en commun plus fréquents (14%), avoir l'assurance d'être à l'heure (14%) et enfin, plus de confort (13%). Hormis les freins matériels, les transports représentent également une épreuve et/ou une source d'angoisse pour près de trois jeunes sur dix (28%), notamment chez les 18-30 ans se déplaçant à vélo (36%) et à pied (35%) et chez les plus précaires.
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Observatoire de la vie étudiante - Etre étudiant en 2020 : entre incertitude ... - 0 views

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    Pour sa neuvième édition, l'enquête nationale sur les conditions de vie des étudiants s'est déroulée dans un contexte sanitaire inédit en lien avec la pandémie de COVID-19 et le confinement. Si les réponses des étudiants renseignent sur les grandes tendances de leurs conditions de vie et sur certaines thématiques nouvellement introduites dans l'enquête (telles que les violences sexistes et sexuelles dans l'enseignement supérieur, le racisme et les discriminations, l'utilisation du numérique dans l'accès à l'emploi, le rapport à l'écologie ou encore l'usage des bibliothèques), l'enquête complémentaire réalisée en juillet 2020 donne aussi des informations sur ce que les épisodes de confinement peuvent changer aux modes de vie et d'étude.
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Observatoire des inégalités - Jeunesse : en finir avec l'hypocrisie française - 0 views

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    "« La jeunesse n'est qu'un mot », écrivait le sociologue Pierre Bourdieu en 1978. La grande majorité des commentateurs considère que parler « des jeunes » va de soi, alors qu'il n'en est rien. Les jeunes ne forment pas un groupe unifié avec des pratiques et des valeurs communes. L'élévation des niveaux de vie et du niveau d'éducation ont brouillé les pistes. « Si le cadre est commun à tous, les jeunes sont loin d'être tous logés à la même enseigne », écrivent les sociologues Christian Baudelot et Roger Establet. Entre l'intérimaire du bâtiment et l'élève d'une grande école élitiste dont les parents financent les études, les modes de vie et les préoccupations des jeunes n'ont rien à voir. Les pratiques culturelles sont trompeuses pour le monde des adultes qui y voit de l'uniformité alors que, des vêtements aux goûts musicaux, en passant par le langage ou les loisirs, les milieux sociaux se distinguent clairement aussi chez les jeunes. Tout en refusant le misérabilisme ambiant, il faut se rendre compte de ce qu'est la vie quotidienne de centaines de milliers de jeunes en « galère »."
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OPECST - Les équilibres psychosociaux à l'épreuve de la Covid-19 - 0 views

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    La lutte contre la pandémie de Covid-19 a bouleversé la vie sociale : proscription des contacts corporels, raréfaction des face-à-face, confinement, dématérialisation des échanges humains. S'il faut espérer que certains de ces changements vont disparaître avec elle, d'autres laisseront sans doute une empreinte plus profonde et plus durable. Trois domaines particuliers retiennent ici l'attention : le travail des soignants, la vie de la jeunesse (ainsi que, à la charnière des deux, la situation des étudiants en médecine), le monde de l'emploi tertiaire. Sans surprise, c'est là où des évolutions étaient déjà en cours que l'effet des mutations dues à la lutte sanitaire pourrait être pérenne. Malgré son caractère contraint, l'expérimentation à vaste échelle du télétravail a pu notamment modifier les rythmes de la vie sociale et réduire son décalage chronique avec l'horloge biologique individuelle. Mais l'augmentation de la sédentarité induite par le confinement reste un sujet de préoccupation.
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The Conversation - Précarité étudiante : de la difficulté d'une évaluation - 0 views

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    "La récente tragédie d'un étudiant s'immolant par le feu pour dénoncer la précarité de sa situation a conduit les médias à s'interroger sur la condition étudiante. Ce drame est-il le signe que les conditions de vie des étudiants, sous l'effet de la massification de l'accès aux études supérieures, se seraient dégradées au point de pouvoir conduire certains d'entre eux à de telles extrémités ? Nous avons aujourd'hui une bonne connaissance statistique des conditions de vie des étudiants grâce aux enquêtes réalisées sur un large échantillon par l'Observatoire de la vie étudiante (OVE), dont la dernière remonte à 2016 (et la précédente à 2013). Ces enquêtes montrent que la question est complexe et n'autorise pas de réponse simple."
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Harris interactive - Synthèse - Les Français et la colocation - 0 views

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    "Afin d'accompagner le lancement de son service en France, Badi, la startup spécialisée dans la recherche de colocation et de colocataires a souhaité interroger les Français sur leur perception de ce mode de vie en communauté. Auberge espagnole ou logement organisé, réservées aux étudiants ou destinées également aux actifs, bruyantes ou conviviales, comment les Français imaginent-ils les colocations aujourd'hui ? Pourraient-ils, et sous quelles conditions, envisager ce mode de vie ? Et pour ceux qui, aujourd'hui ou à un moment de leur vie, ont choisi de vivre en collectif, quel retour d'expérience ? Qu'attendre du colocataire idéal et surtout, que redouter du pire ?"
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Harris interactive - Résultats - Les Français et la colocation - 0 views

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    Afin d'accompagner le lancement de son service en France, Badi, la startup spécialisée dans la recherche de colocation et de colocataires a souhaité interroger les Français sur leur perception de ce mode de vie en communauté. Auberge espagnole ou logement organisé, réservées aux étudiants ou destinées également aux actifs, bruyantes ou conviviales, comment les Français imaginent-ils les colocations aujourd'hui ? Pourraient-ils, et sous quelles conditions, envisager ce mode de vie ? Et pour ceux qui, aujourd'hui ou à un moment de leur vie, ont choisi de vivre en collectif, quel retour d'expérience ? Qu'attendre du colocataire idéal et surtout, que redouter du pire ?
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Observatoire nationale de la vie étudiante - Les mobilités résidentielles étu... - 0 views

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    En moyenne, un étudiant sur quatre connaît une mobilité résidentielle interrégionale au cours de ses études supérieures. Cet ordre de grandeur cache toutefois de fortes disparités, en fonction des caractéristiques sociodémographiques des étudiants, de leur localisation géographique, ou encore des diplômes préparés. A partir de l'analyse des enquêtes Génération du Céreq (Centre d'étude et de recherche sur l'emploi et les qualifications), cet OVE infos met en évidence les disparités régionales des mobilités résidentielles étudiantes. Le faible taux de mobilité constaté, ainsi que les effets de proximité et l'importance des mobilités de retour au moment de l'emploi, questionnent les leviers dont disposent les territoires pour mener une politique d'attractivité des étudiants et jeunes diplômés
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La colocation, une nécessité avant d'être un mode de vie - Le Figaro Étudiant - 1 views

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    "Selon un sondage réalisé auprès de ses membres par un site de colocation en ligne, les étudiants choisissent de partager leur logement majoritairement pour des raisons financières, mais ce mode de vie plaît... "
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Chambéry - La vie étudiante est-elle compatible avec une vie catholique ? - 0 views

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    "La vie étudiante est-elle compatible avec une vie catholique ? Comment vivre en chrétien dans un monde qui ne l'est plus ? Quel choix faire sans pour autant être en décalage avec ses camarades ou collègues ? Comment aborder la question de sa foi ? Assumer, s'écraser ou imposer sa foi ? Doit-on en parler ? Dois-je m'engager exclusivement dans des organisations catholiques ?…"
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Drees - Alimentation, logement, transports : quelles dépenses pèsent le plus ... - 0 views

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    Les jeunes ménages de 18-34 ans consomment moins que leurs aînés. Parmi ces ménages jeunes, ce sont ceux dont la personne de référence est étudiante, avec une consommation moyenne annuelle de 15 050 euros, qui dépensent le moins, et ce même si on se rapporte au nombre d'unités de consommation dans le ménage. L'alimentation - achats alimentaires et d'alcool pour le domicile ainsi que dépenses de restauration et de cantines - représente un cinquième de la consommation des ménages jeunes. Le pain, le riz, les pâtes et autres céréales occupent la première place dans leur budget alimentaire mais, en quantité, les fruits et les légumes les dépassent. Les étudiants dépensent autant pour les repas pris chez eux qu'en dehors du domicile. Contrairement aux idées reçues, les jeunes ménages ne dépensent pas plus pour l'alcool que leurs aînés. Un cinquième de la consommation des ménages de 18-34 ans est consacré au financement du logement. Les loyers occupent une place centrale dans ces dépenses pour les ménages étudiants et ceux des 18-24 ans. Les étudiants paient des loyers plus élevés, qui ne sont qu'en partie compensés par les prestations logement perçues. Enfin, la part des dépenses consacrées au transport est plus importante après la fin des études.
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Opinion Way - Santé des étudiants - 0 views

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    Etude menée autour des thèmes : - Conditions de vie - Santé globale des lycéens - Vie affective et sexualité - Nutrition - Stress, mal-être, sommeil - Produits psychoactifs - Santé numérique - Prévention santé
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