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IFOP - Les Français et la scolarisation des enfants de moins de 3 ans - 0 views

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    A l'occasion de la rentrée des classes, Femme actuelle a souhaité faire le point sur l'état de l'opinion à l'égard de la scolarisation des enfants dès deux ans en école maternelle, l'une des promesses de campagne de François Hollande lors de la campagne de l'élection présidentielle de 2012. Alors que le ministère de l'Education nationale s'est fixé comme objectif de parvenir à un taux de scolarisation de 30% des enfants de moins de trois ans dans les zones défavorisées d'ici 2017, certaines voix laissent entendre une insuffisance des moyens mis en œuvre, voire le caractère néfaste d'une scolarisation trop précoce. Mais qu'en pensent les Français ? Sont-ils pour ou contre l'entrée des enfants de deux ans en maternelle ? Estiment-ils qu'elle permet de mieux se familiariser avec la vie en société et le langage ? Est-elle un levier pour faire reculer l'échec scolaire ? Pour répondre à ces interrogations, l'Ifop a donc réalisé une enquête auprès d'un échantillon de 2 000 Français dont il ressort les enseignements suivants : - La majorité des Français (63%) se déclare favorable au principe de scolarisation des enfants de moins de 3 ans, dont 23% se disent même « tout à fait favorables ». - Les premiers concernés, c'est-à-dire les parents d'enfants de moins de 3 ans, sont encore plus favorables à cette mesure : 74% la soutiennent, dont 32% s'y déclarant « tout à faire favorables ». Dans le détail, on observe que les jeunes (78%), les plus diplômés (69%) et les catégories pauvres (67%) sont les segments de population les plus favorables à cette scolarisation. - Pour les deux tiers des Français (65%), mettre un enfant de deux ans à la maternelle est « une bonne chose pour améliorer la socialisation et l'acquisition du langage des plus petits ». Aussi, seule une minorité (46%) estime que cela revient à « le scolariser à une âge trop précoce », soit des résultats qui conf
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Défenseur des droits - Droit fondamental à l'éducation : une école pour tous,... - 0 views

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    Rapport 2016 - Synthèse Si tous les enfants bénéficient théoriquement du droit à l'éducation, force est de constater que "l'accès à l'école aujourd'hui en France n'est pas un droit effectif pour de nombreux enfants", notamment les plus vulnérables, souligne le défenseur des droits qui consacre son rapport annuel à cette thématique et interpelle à ce titre très directement les collectivités locales. Enfants de familles vivant dans des squats ou des campements, enfants mal logés, itinérants (issus des familles des gens du voyage), allophones (ayant une langue maternelle autre que le français), mineurs migrants non accompagnés, enfants handicapés, hospitalisés, à haut potentiel intellectuel ou encore "en conflit avec la loi"... Autant de cas de figure où les jeunes sont trop souvent "empêchés d'aller à l'école", selon Jacques Toubon, le défenseur des droits. Pour l'ex-ministre, il y a "un hiatus entre le droit proclamé à l'éducation et l'effectivité de ce droit". Dans le rapport annuel publié ce vendredi 18 novembre, il énumère, avec Geneviève Avenard, défenseure des enfants, 30 recommandations pour améliorer la situation. "Notre combat peut apparaître sans fin" mais "notre organisme a été créé pour intervenir chaque fois que la société se laisse aller", a déclaré le défenseur des droits lors d'une conférence de presse. "La scolarisation doit être un critère au centre des préoccupations des pouvoirs publics", a abondé Geneviève Avenard. Tous deux soulignent que ce rapport n'a pas pour but d'évaluer le système scolaire français, mais de pointer les barrières auxquelles se heurtent des milliers d'enfants chaque année. Le rapport met également l'accent sur les inégalités territoriales : entre les zones les plus défavorisées socialement et les autres, entre campagnes et zones urbaines, entre des départements d'outre-mer et la métropole… Parmi les recommandations figure le rappel aux maires de "l'obligati
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Défenseur des droits - Droit fondamental à l'éducation : une école pour tous,... - 0 views

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    Rapport 2016 - Document Complet Si tous les enfants bénéficient théoriquement du droit à l'éducation, force est de constater que "l'accès à l'école aujourd'hui en France n'est pas un droit effectif pour de nombreux enfants", notamment les plus vulnérables, souligne le défenseur des droits qui consacre son rapport annuel à cette thématique et interpelle à ce titre très directement les collectivités locales. Enfants de familles vivant dans des squats ou des campements, enfants mal logés, itinérants (issus des familles des gens du voyage), allophones (ayant une langue maternelle autre que le français), mineurs migrants non accompagnés, enfants handicapés, hospitalisés, à haut potentiel intellectuel ou encore "en conflit avec la loi"... Autant de cas de figure où les jeunes sont trop souvent "empêchés d'aller à l'école", selon Jacques Toubon, le défenseur des droits. Pour l'ex-ministre, il y a "un hiatus entre le droit proclamé à l'éducation et l'effectivité de ce droit". Dans le rapport annuel publié ce vendredi 18 novembre, il énumère, avec Geneviève Avenard, défenseure des enfants, 30 recommandations pour améliorer la situation. "Notre combat peut apparaître sans fin" mais "notre organisme a été créé pour intervenir chaque fois que la société se laisse aller", a déclaré le défenseur des droits lors d'une conférence de presse. "La scolarisation doit être un critère au centre des préoccupations des pouvoirs publics", a abondé Geneviève Avenard. Tous deux soulignent que ce rapport n'a pas pour but d'évaluer le système scolaire français, mais de pointer les barrières auxquelles se heurtent des milliers d'enfants chaque année. Le rapport met également l'accent sur les inégalités territoriales : entre les zones les plus défavorisées socialement et les autres, entre campagnes et zones urbaines, entre des départements d'outre-mer et la métropole… Parmi les recommandations figure le rappel aux maires de "l'
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Unicef - 14e rapport Innocenti : Construire l'avenir : les enfants et les obj... - 0 views

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    Innocenti, le centre de recherche de l'Unicef basé à Florence, publie son quatorzième bilan intitulé "Construire l'avenir : les enfants et les objectifs de développement durable dans les pays riches". En effet, pour le rapport - qui porte sur 41 pays développés de l'Union européenne et de l'OCDE -, le signe le plus révélateur des progrès accomplis par une nation pour atteindre les objectifs de développement durable "est sans doute la façon dont elle répond aux besoins de ses enfants". L'étude s'appuie donc sur l'analyse de 9 objectifs et de 25 indicateurs de développement durable en lien avec la thématique des enfants. (...) La 19e place de la France sur les 41 pays étudiés recouvre bien sûr des écarts importants selon les objectifs de développement durable considérés. Côté positif : le 7e rang de la France sur l'objectif "Faim zéro" (éliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire et améliorer la nutrition). De même, le classement apparaît correct avec le 14e rang sur l'objectif "Education de qualité" et le 15e rang sur l'objectif "Pas de pauvreté", voire avec le 17e rang sur l'objectif "Bonne santé et bien-être". Deux autres critères se situent juste dans la moyenne de l'échantillon : la France figure ainsi au 20e rang sur l'objectif "Travail décent et croissance économique" et au 21e rang sur "Paix, justice et institutions efficaces". En revanche, la situation sur les autres objectifs est nettement moins favorable et pèse sur le classement final. La France figure ainsi au 23e rang sur l'objectif "Villes et communautés durables" et au 25e sur "Consommation et production responsables". Mais le plus mauvais résultat concerne l'objectif "Inégalités réduites", sur lequel la France se classe au 34e rang, tout juste devant les Etats-Unis (35e). Sur ce critère, tous les autres grands pays développés se trouvent classés devant la France. Ce critère combine trois indicateurs portant respectivement sur l'inégalité (ind
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INED - L'avortement dans le monde : Etat des lieux des législations, mesures,... - 0 views

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    Suite au référendum irlandais de mai 2018 largement en faveur de l'avortement, seuls deux pays européens, Malte et Andorre, ne donnent toujours pas aux femmes le droit de décider de mettre un terme à une grossesse dans ses premières semaines. Hors des frontières de l'Europe, les situations sont très diverses, mais l'avortement reste illégal ou restreint à certaines conditions dans un grand nombre de pays, notamment ceux du Sud. Cette situation est non seulement contraire au droit de chacune à disposer librement de son corps, mais entre en contradiction avec d'autres droits reconnus internationalement comme le droit à l'égalité de traitement entre les hommes et les femmes, le droit à la santé pour tous ou le droit de décider du nombre et de l'espacement de ses naissances. Cette chronique « Question de Population » propose un vaste panorama international des enjeux autour de l'avortement, des difficultés de mesure et des solutions pour y faire face. Elle fait le point sur les législations en vigueur, les données les plus récentes sur la fréquence de l'avortement et les méthodes en usage, ainsi que les conséquences de l'avortement sur la santé et la vie des femmes. L'avortement est une pratique de régulation de la fécondité utilisée par les femmes en cas d'absence ou d'échec de la contraception. Les législations régulant sa pratique vont, selon les pays, de l'autorisation à la demande de la femme à un accès restrictif voire une interdiction totale. Lorsqu'il est acquis, ce droit est fréquemment remis en question. Les débats entourant la légalisation se centrent sur le droit des femmes, celui de l'embryon et les conséquences sanitaires des avortements non sécurisés. Mais légal ou interdit, les femmes du monde entier recourent à l'avortement, avec de grandes disparités dans l'intensité de sa pratique et de ses conséquences sanitaires et sociales. Les niveaux de sécurité de l'avorteme
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CAF - Observatoire National de la petite enfance - Chiffres clés de l'accueil... - 0 views

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    La Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) publie le premier numéro de sa "Lettre de l'Observatoire national de la petite enfance". Cette première livraison compile et actualise pour partie les données présentées dans le rapport 2015 de l'Observatoire, publié en février dernier (voir notre article ci-contre du 4 février 2016). La lettre se concentre plus particulièrement sur deux sujets : l'offre d'accueil pour la petite enfance et l'adéquation du recours aux modes d'accueil par les parents. 56,1 places pour 100 enfants de moins de trois ans Sur le premier point, les derniers chiffres définitifs et validés concernent l'année 2014. La capacité d'accueil théorique était alors de 1,359 million de places. Ce chiffre équivaut à une capacité de 56,1 places pour 100 enfants de moins de trois ans (57,2 en métropole et 26,3 dans les DOM hors Mayotte). Les assistantes maternelles restent, de très loin, le premier mode d'accueil avec 59% de la capacité totale. Viennent ensuite les établissements d'accueil du jeune enfant (Eaje : accueil collectif, micro-crèches, crèches familiales et parentales), avec 31% du total, puis les écoles maternelles (scolarisation à deux ans), avec 7% du total. L'emploi d'une salariée à domicile reste assez marginal, avec 3% de la capacité totale. Même s'il s'agit encore de données provisoires, les premiers chiffres 2015 montrent que l'offre en Eaje a continué de progresser, avec environ 10.000 places supplémentaires (+0,6%), ce qui permet de faire passer le nombre de places en accueil collectif pour 100 enfants de moins de trois ans de 17,3 à 17,9. En revanche, la scolarisation précoce en école maternelle - qui est pourtant une priorité du gouvernement - a légèrement reculé l'an dernier, passant de 96.100 places à 93.600 places. Collectif ou à domicile ? La seconde partie de la lettre est consacrée à une approche du recours des parents aux modes d'accueil. Celui-ci est mesuré par différen
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"Le chemin de la synodalité est celui que Dieu attend de l'Église au troisièm... - 0 views

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    "C'est dans la Salle Paul VI que le pape François a prononcé son discours pour la clôture des commémoration du 50e anniversaire de l'institution du synode des évêques, devant tous les participants du Synode pour la famille. Dans son intervention, le pape a retracé l'histoire de ces 50 années, évoquant ses prédécesseurs qui ont fait évoluer cette assemblée synodale, ainsi que lui-même, convaincu que « le monde dans lequel nous vivons, et que nous sommes appelés à aimer et à servir même dans ses contradictions, exige de l'Église le développement de synergies dans tous les domaines de sa mission ». Dans une deuxième partie, il a esquissé en quoi consiste la démarche synodale : « Cheminer ensemble - laïcs, pasteurs, évêque de Rome - », où le sensus fidei du Peuple de Dieu peut aider à « discerner les nouveaux chemins que le Seigneur ouvre à l'Église ». C'est la raison pour laquelle le pape a voulu « que le Peuple de Dieu soit consulté pour la préparation du double rendez-vous synodal sur la famille » pour écouter « leurs joies et leurs espérances, leurs douleurs et leurs angoisses ». Puis il poursuit son propos : « Une Église synodale est une Église à l'écoute, consciente qu'écouter "est plus qu'entendre". (...) Le synode des évêques est le point de convergence de cette dynamique d'écoute menée à tous les niveaux de la vie de l'Église », du Peuple de Dieu à l'évêque de Rome, en étant à l'écoute de l'Esprit Saint. Puis il affirme : « Jésus a créé l'Église en mettant à son sommet le Collège apostolique, dans lequel l'apôtre Pierre est la « pierre » (cf Mt 16,18), celui qui doit "confirmer" ses frères dans la foi (cf Lc 22,32). Mais dans cette Église, comme dans une pyramide inversée, le sommet se trouve sous la base. C'est pourquoi ceux qui exercent l'autorité s'appellent "ministres" : selon le sens originel du mot, ce sont les plus pet
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Les évêques après le Synode - Vie de l'Église - Agir | Famille Chrétienne Fam... - 0 views

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    "Les suites à donner au Synode sur la famille étaient au cœur des travaux des évêques réunis à Lourdes du 4 au 9 novembre. Le Synode sur la famille a trouvé, à Lourdes, son prolongement naturel. Trois semaines après sa clôture à Rome, les évêques, réunis du 4 au 9 novembre pour leur assemblée plénière, ont débattu des suites à lui donner au sein des diocèses, sans pour autant s'accorder sur une stratégie commune. En début de semaine, le discours pour le moins offensif de leur président, Mgr Georges Pontier, n'était pas passé inaperçu. « Même si on doit se réjouir d'évolutions positives, ces dernières décennies manifestent une fragilisation réelle de la vie familiale », dénonçait-il, énumérant tour à tour le gender, le bouleversement du mariage, ou encore l'instrumentalisation de l'être humain avec la PMA et la GPA. Marqué par sa participation au Synode, l'archevêque de Marseille a redit l'importance de la relation au sein du cercle familial et dans son ouverture au monde : « La famille est vraiment porteuse de vie, parce qu'en elle se jouent les solidarités élémentaires et nécessaires à toute vie humaine ». Cette dimension relationnelle a resurgi à plusieurs reprises au cours des travaux menés par les évêques. Dans le brûlant sujet de l'éducation affective et sexuelle, où la relation à soi et à l'autre constitue la clé de voûte d'une sexualité respectueuse à tout point de vue. Relation encore lorsqu'il a été question des rapports entre les hommes et les femmes au sein de l'Église, appelés à vivre leur complémentarité. Relation toujours dans la question complexe des technosciences, où les fulgurants progrès techniques et scientifiques imposent une vigilance accrue pour éviter de faire de l'homme un objet et non plus un sujet. Autre point d'attention des évêques, la situation géopolitique, et notamment au Moyen-Orient, a relancé la question du dialogue
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Terra Nova - Perte d'autonomie : comment mieux accompagner les aidantes et le aidants f... - 0 views

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    Conjoints, parents, enfants, amis, voisins… sont nombreux à aider une ou un proche entravé.e dans le déroulement de sa vie quotidienne en raison d'un handicap ou d'une perte d'autonomie liée à l'âge. Depuis le début des années 2000 et dans l'optique du maintien à domicile, les subsides publics - Allocation personnalisée d'autonomie (APA) pour les personnes âgées, Prestation de compensation du handicap (PCH) pour les personnes en situation de handicap - ont pour objet premier de permettre l'accès aux services professionnels dédiés à la perte d'autonomie. Cependant, ces deux allocations permettent aussi, dans des conditions précisées par la loi, de rémunérer des proches, qu'il s'agisse de parents, d'amis ou de voisins. Le paiement se fait alors à l'heure de travail d'aide consentie. La monétarisation de l'aide quotidienne entre proches se présente le plus souvent lorsque l'engagement des individus dans l'aide est important et inscrit dans la durée. La monétarisation de l'aide des proches ne va pourtant pas de soi. Elle se déploie au sein de relations intimes, familiales ou de grande proximité, dans un contexte institutionnel dont les inspirations politiques ou normatives sont diverses et potentiellement antagonistes. Qui est en charge de l'aide ? Comment la question des revenus et de la protection sociale des proches aidants se gère-t-elle, à la fois en situation, mais aussi en relation avec les dispositifs de l'action publique ? Et, de ce point de vue, comment les normes instituées et les normes familiales ou locales cohabitent-elles ? Que dire encore de l'intégration concrète des aidants dans des systèmes d'aide organisés ? La présente enquête d'une équipe de recherche pour Terra Nova permet d'éclairer une série de difficultés récurrentes et permet une exploration inédite et détaillée de questions-clés : le moment de la décision, entre motivations personnelles et pression
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Questions pour le synode | Riposte-catholique - 0 views

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    "Publiés début décembre par le secrétariat général du Synode des évêques, les « Lineamenta » comprennent le rapport final du Synode d'octobre dernier (Relatio Synodi) et 46 questions. Les conférences épiscopales ont jusqu'au 15 avril pour transmettre leurs réponses au Vatican. En France, les diocèses ont adopté des formules variées. Dans le diocèse de Bordeaux, un formulaire web a été mis au point. Les internautes doivent remettre leur contribution avant le 15 mars. À Agen, seuls les « membres des équipes de préparation au mariage » sont invités à se retrouver autour de l'évêque « pour aborder les questions spécifiques au mariage ». Pour les autres, un questionnaire est proposé par Internet. À Angers, Mgr Delmas a convoqué une assemblée représentative du diocèse le samedi 14 mars, mais les 46 questions n'ont pas été soumises à consultation  : seules l'ont été celles demandant une « consultation large », les autres étant « confiées au service famille et au conseil épiscopal »… Le diocèse de Toulouse a fixé la date du 28 février pour ceux qui veulent faire remonter leurs réflexions A Chartres, Mgr Michel Pansard a constitué des équipes qui se réunissent au moins 3 fois. Le diocèse de Limoges a également organisé des travaux de groupe Le diocèse de Chambéry a fait organiser plusieurs réunions dans les paroisses entre fin février et début mars. A Grenoble, un dossier a été préparé pour animer « une réflexion en groupe ». À Versailles, les paroissiens étaient priés de faire « remonter une réflexion concise à l'évêque à partir d'une question précise ». À Bayonne, Mgr Marc Aillet a demandé aux fidèles d'apporter « quelques contributions d'ordre pastoral à la réflexion commune ». Le diocèse de Nancy incite « chaque instance pastorale, chaque groupe, chaque personne qui voudra apporter sa contribution » à « ne rete
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46 questions pour le synode sur la famille | Radio Notre Dame - 0 views

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    "Le Vatican a dévoilé mardi 9 décembre le document pour préparer le second Synode sur la famille, prévu en octobre 2015. Les évêques doivent désormais se saisir de la réflexion, et apporter des réponses concrètes. Les Lineamenta, le document préparatoire du second Synode sur le famille, comprend entre autre le rapport final du premier Synode. Mais pour accompagner ce document d'une vingtaine de pages, 46 questions ont été ajoutées pour la préparation du second Synode. Ces questions reprennent les thèmes à approfondir de la Relatio Synodi du dernier synode. A quoi va servir ce nouveau document ? Ce nouveau document doit permettre aux évêques de "ne pas repartir de zéro" dans cette nouvelle phase préparation. Le rapport final du dernier Synode doit être le point de départ de la réflexion du Synode du mois d'octobre 2015. Il est également demandé aux évêques de répondre avec "réalisme". Tel est le souhait du Pape François : des consultations réelles sur la famille d'aujourd'hui. Si les conférences épiscopales ont le choix des modalités de réflexion et de travail, le Vatican demande tout de même aux évêques de réunir autour d'eux les institutions académiques, les organisations et rassemblements laïcs, les différentes composantes des églises particulières... Le but est de promouvoir une ample consultation. Le Vatican demande également aux évêques que les réponses ne so"
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Activité du Conseil ordinaire du Synode des évêques - 0 views

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    "Cité du Vatican, 20 novembre 2014 (VIS). Le Conseil ordinaire du Synode des évêques s'est réuni les 18 et 19 novembre pour évaluer les résultats de la récente assemblée extraordinaire et préparer l'assemblée ordinaire d'octobre prochain. Afin de souligner que le Synode exprime la collégialité de l'Eglise, mais aussi l'importance du thème de la famille, le Pape a présidé la réunion d'ouverture. Outre le Cardinal Lorenzo Baldisseri et Mgr.Fabio Fabene, Secrétaire général et Sous Secrétaire du dicastère, y ont pris part les Cardinaux Schönborn, Napier, Turkson, Pell, Wuerl et Tagle, ainsi que Mgr.Bruno Forte et Mgr.Salvatore Fisichella, et à titre d'invité Mgr.Vincenzo Paglia, Président du Conseil pontifical pour la famille. Le Cardinal Baldisseri a d'emblée souligné le climat de liberté, de sincérité et de communion fraternelle ayant caractérisé les travaux de la récente assemblée, ce qui a favorisé la réflexion générale. Puis il a dit que les nuances qui caractérisent le document final reflètent bien les résultats du débat synodal. Le présent conseil a ensuite envisagé le travail à effectuer d'une assemblée à l'autre. C'est d'autant plus important que ce cas de figure ne s'est jamais présenté. Les conférences épiscopales, qui en quelque sorte prennent le relais, vont approfondir les questions posées et solliciter les diverses instances ecclésiales locales à réfléchir. Seront aussi suggérées des améliorations de la communication afin de faciliter la perception de la thématique. Les Lineamenta vont être aussi mis au point et adressés début décembre aux conférences épiscopales, de manière a avoir le temps nécessaire à l'élaboration de l'Instrumentum Laboris avant l'été 2015. "
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L'espérance des Cardinaux Scola et Napier : Le Suisse Rom@in - 0 views

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    "Synode pour la famille: le Cardinal Scola, témoin de paix et d'espérance Unknown-1.jpeg(Radio Vatican) Entretien - Les père synodaux ont entamé la dernière ligne droite de ce Synode sur la famille. Ils abordent depuis mardi 20 octobre la dernière partie de l'Instrumentum Laboris consacrée à la mission de la famille aujourd'hui. C'est là que se concentrent tous les sujets qui créent le plus de désaccords entre les participants de l'assemblée. Jusqu'à maintenant, les débats ont été positifs et constructifs comme l'a confié à Olivier Bonnel, le cardinal Angelo Scola, archevêque de Milan,et l'un des représentants de l'Eglise italienne à ce synode. Le cardinal Angelo Scola revient sur le cheminement de l'Eglise à travers le synode, espace où la réflexion est toujours dynamique malgré les points de vue parfois différents. lien interview Radio Vatican Cardinal Napier: les laïcs, les familles indiquent la direction à prendre Unknown.jpegConcernant les pères africains de ce Synode, le cardinal Napier a estimé que les évêques africains ont apporté un vent d'optimisme au Synode. Il a reconnu, plus largement, que les laïcs, et donc les familles, indiquaient la direction à prendre. Il est donc important selon lui, de se concentrer sur la vocation et la mission de la famille dans l'Église d'aujourd'hui et d'accompagner les conjoints autant avant qu'après le mariage, parce que l'Église se reforme dans la famille."
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CNAF - Dossier 190 - Aux confins de la parenté : le don d'engendrement vu par... - 0 views

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    Le travail d'Anaïs Martin interrogel e modèle de parenté et les évolutions contemporaines qui le traversent. choisi de le faire sous l'angle de l'assistance médicale à la procréation avec donneur, considérée comme une manière de créer de la filiation et comme un «don d'engendrement». Elle étudie le point de vue non des personnes inséminées, mais des enfants nés de ce «don d'engendrement», à partir d'une quinzaine d'entretiens. L'analyse se déplie selon trois axes: leurs représentations de leur parenté avec le parent infertile (toujours le père en l'occurrence); l'image qu'ils se font du donneur et la place qu'ils lui accordent; les représentations qu'ils se font de l'interdit de l'inceste lorsque les liens génétiques sont inconnus. Cette recherche sur fond de lois bioéthiques se rapproche de celles portant sur l'accouchement. Faut-il lever ou non l'anonymat des donneurs de gamètes? Les personnes souhaitant maintenir le secret de l'identité des donneurs reprochent aux opposant-e-s à la législation actuelle de vouloir «biologiser» la filiation, la parenté génétique passant devant la parenté sociale. Les partisan-e-s d'un changement de loi mettent en avant le droit à accéder aux informations concernant leur venue au monde et craignent d'avoir accidentellement des relations incestueuses avec des personnes nées du même donneur. Ces deux logiques, l'une d'anonymat, l'autre d'accès aux origines, sont portées par deux associations de personnes conçues par don de gamètes -associations dont font partie les personnes rencontrées (âgées de 25 à 37ans) lors d'entretiens de deux heures et demi en moyenne par Anaïs Martin dans le cadre de cette recherche. Qu'ils recherchent leurs origines ou non, ceux qui sont nés d'un don ne remettent jamais en question le statut de leur père social. Ils réaffirment même leur attachement à lui, et à sa parenté, qui se donnent notamme
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Synode. Une voix à contre-courant qui vient d'Argentine - 0 views

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    "Toutefois ces interventions du pape ont été très peu reprises par les médias. Ceux-ci ont agi comme si elles n'avaient pas existé et ils les ont passées sous silence. Tandis que, dans le même temps, les évêques et le clergé d'Allemagne - mais pas seulement eux - continuent à aller imperturbablement de l'avant, comme si le feu vert pour l'accès des divorcés remariés à la communion était déjà un point acquis. Dans le texte ci-dessous un juriste catholique argentin analyse cet état de fait avec précision, en partant de l'événement qui en est le point de départ, c'est-à-dire le rapport présenté par le cardinal Kasper au consistoire du mois de février 2014. Ce rapport, bien qu'il n'ait pas été formellement approuvé par le synode qui s'est tenu au mois d'octobre dernier, a tout de même eu comme résultat qu'il est devenu, en de nombreux endroits, la manière concrète d'agir. L'auteur du texte, José E. Durand Mendioroz, 59 ans, vit dans le diocèse de Salta, au nord-est de l'Argentine. Avocat de profession, il enseigne la philosophie du droit à l'Universidad Católica de ce diocèse (photo : la basilique San Francisco, à Salta). Il est père de 14 enfants. Depuis trois ans, lui et son épouse Inès animent à Salta, avec la bénédiction de l'archevêque local, Mgr Mario Antonio Cargnello, un centre pro-vie qui vient en aide aux femmes tentées d'avorter. Il est membre, pour le secteur nord-est, du département des laïcs au sein de la conférence des évêques d'Argentine. Son archevêque a lu et apprécié cette analyse, qu'il a considérée "comme une preuve de la liberté des enfants de Dieu dans le débat qui a lieu actuellement à propos de ces questions". L'extrait que l'on peut lire ci-dessous ne constitue qu'une petite partie de cette analyse. Le texte intégral en sera publié dans quelques jours, en espagnol et en anglais, dans "Catholic World Report", le magazine en ligne dont
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Les catholiques français et les évolutions de la société - 0 views

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    Réalisé par BVA pour le Parisien Aujourd'hui en France Les principaux enseignements de ce sondage : IVG, PMA pour les couples hétérosexuels et mariage pour tous : des mesures validées par les Français et les catholiques, qui heurtent plus sensiblement les catholiques pratiquants réguliers L'homoparentalité cristallise les crispations des catholiques, et plus spécifiquement des catholiques pratiquants Si le droit à l'adoption pour les couples homosexuels est désormais approuvé par une courte majorité de Français (50%), il soulève plus de réticences au sein de la population catholique : seuls 42% des catholiques Français se sont déclarés favorables à l'adoption par les couples de même sexe et ce taux chute à 21% auprès des pratiquants réguliers. Non autorisé en France, le droit pour les couples homosexuels d'avoir recours à la procréation médicalement assistée (PMA) est plus fortement débattu dans l'opinion. Seulement 39% des Français déclarent l'approuver et le soutien à cette mesure est encore plus minoritaire auprès des catholiques dans leur ensemble (30%) et notamment des catholiques pratiquants réguliers (11%). Le souhait d'une Eglise réformiste, en adéquation avec les évolutions de la société Des engagements sur la contraception souhaités par 9 catholiques sur 10 Le statut des prêtres : des évolutions majoritairement attendues. 89% des Français (+4 pts) et 87% des catholiques se déclarent en faveur d'une implication de l'Eglise pour autoriser le mariage des prêtres alors que 85% des Français (+5pts) et 84% des catholiques se disent favorables à ce que l'Eglise donne aux femmes la possibilité d'être prêtre. Le remariage de personnes divorcées constitue également un point sur lequel une ouverture de l'Eglise serait souhaitée. 83% des Français et 83% des catholiques s'y déclarent favorables, tout comme 63% des catholiques pratiquants réguliers.
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http://toulouse.catholique.fr/Aimer-soutenir-nos-familles-7018 - 0 views

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    "Aimer, soutenir nos familles A Rome, le Synode suit son cours, non sans tensions. Sont présentes des reliques de sainte Thérése EF et de ses parents, Zélie et Louis Martin. Aussi celles d'époux romains. La sainteté est à la portée des familles ; elle en est même la source et le foyer, ce qui ne veut pas dire dans la facilité. Zélie est décédée trop tôt et Louis a fini avec une sorte d'Alzheimer. Je lisais dans mon journal hier qu'il n'est pas facile de trouver et de garder en famillle des moments de convivialité ou d'échanges véritables. Chacun est rivé à son écran. Comment favoriser la communion dans la vérité de l'écoute mutuelle ? La famille est aussi le lieu du pardon vrai dans la patience. Communiquer la vérité, annoncer la foi, proposer des raisons de vivre et de grandir ensemble, telle est la mission de la famille. Apprendre à connaître Dieu et à l'invoquer, c'est le rôle des parents, qui sont les premiers catéchistes. Cela se fait de façon très simple, par des habitudes à trouver. Il faut commencer très tôt dans le respect, la confiance et la simplicité. Il faut, en famille, apprendre à donner un espace à Dieu à la maison (croix, icônes, bougies, oratoire), un espace dans les coeurs. Katèchéô en grec, d'où vient le mot de "catéchese" signifie "faire retentir aux oreilles", "enseigner". Il convient de donner à la Parole un espace en soi, avant de disposer les autres à s'ouvrir à elle. Initier aux actes de service, d'oubli de soi comme source de la vraie joie. Nous devons tous grandir comme "disciples missionnaires" : c'est l'insistance du pape François : il faut d'abord recevoir pour être en mesure de donner. L'Eglise catechisée et cathéchisante, catéchisée pour être catéchisante, catéchiste. Tout n'est pas simple à Rome, où les points de vue se succèdent ou s'affrontent, comme dans les familles, ce qui est normal. Gardons tous à l'esprit et au coeur les r
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La famille au cœur des préoccupations de l'Église - Nouvelles de France Porta... - 0 views

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    "L'Église veut se concentrer sur les nouveaux défis de la famille, et le pape François s'en donne les moyens. Le Souverain Pontife, pour qui la famille est le moteur du monde et de l'histoire, a convoqué un synode extraordinaire qui se rassemblera en octobre 2014 au Vatican pour plancher sur les défis pastoraux de la famille dans le contexte de l'évangélisation. Si l'Assemblée ainsi convoquée est « extraordinaire », c'est parce que l'objet de cette rencontre est un sujet qui touche l'Église universelle et qu'il nécessite un examen rapide. « Il est évident que la crise sociale et spirituelle que subit le monde pèse sur la vie familiale au point de provoquer une urgence pastorale », fait valoir Mgr Lorenzo Baldisseri, secrétaire général du synode. Le Vatican a donc fait parvenir aux conférences épiscopales du monde entier un questionnaire préparatoire, grâce auquel l'épiscopat exprimera ses opinions en matière familiale. Un document composé de 39 questions évoquant notamment la préparation au mariage, la situation des catholiques divorcés-remariés, les unions homosexuelles, les nullités matrimoniales, l'ouverture à la vie… Parmi les nombreuses situations nouvelles qui réclament l'engagement pastoral de l'Église, le Vatican rappelle notamment celles-ci : les mariages mixtes ou interreligieux; les familles monoparentales; la polygamie; les mariages arrangées; l'expansion du phénomène des mères porteuses. Face à tous ces défis, l'Église estime donc que l'attention de l'épiscopat mondial est urgente et nécessaire."
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Synode sur la famille : la voie de l'ordo paenitentium - 0 views

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    Article de Thomas Michelet, op, sur les divorcés remariés « Ils ne sont plus deux, mais une seule chair. Donc, ce que Dieu a uni, que l'homme ne le sépare pas ! » (Mt 19, 6). La famille fondée sur le mariage, alliance matrimoniale féconde, unique, stable et définitive, est une réalité précieuse aux yeux de Dieu, mais aussi une affaire ô combien délicate. Après avoir été fragilisée par l'individualisme, le libéralisme et la mutation profonde des structures socio-économiques, parfois contestée en tant qu'usage bourgeois, elle demeure pour la plupart de nos contemporains une valeur universelle des plus désirables, mais aussi un idéal difficile à atteindre et à maintenir dans toutes ses exigences : « Si telle est la situation de l'homme par rapport à sa femme, mieux vaut ne pas se marier » (Mt 19, 10). Pour un sujet d'une telle importance, dont on a vu qu'il suscitait l'intérêt de l'opinion publique et du monde médiatique plus qu'aucune autre question ecclésiale ces dernières années, et devant la gravité de la situation présente, le pape François a voulu établir pour le synode des évêques un itinéraire spécial en deux étapes : une première année pour faire l'état des lieux, initiée par une vaste consultation du peuple de Dieu recueillie dans l'Instrumentum laboris et conclue par l'Assemblée Générale Extraordinaire des 5-19 octobre 2014 ; une seconde année d'approfondissement sur la base de la relatio synodi présentée aux conférences épiscopales en tant que lineamenta pour l'Assemblée Générale Ordinaire d'octobre 2015 ; en faisant appel d'ici là aux contributions des théologiens, en particulier pour les points litigieux qui n'ont pas obtenu à mi-parcours le consensus des pères synodaux, comme la question de la communion sacramentelle des divorcés remariés, celle de leur communion spirituelle ou la loi de gradualité. S'il ne faudrait pas réduire l'évangile de la famil
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INSEE - Femmes et hommes, l'égalité en question - 0 views

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    "Femmes et Hommes - L'égalité en question fait le point sur les inégalités entre femmes et hommes aujourd'hui en France. Cette édition succède à celle de 2012 Femmes et hommes - Regards sur la parité. L'ouvrage propose d'abord une vue d'ensemble sur les parcours des femmes et des hommes aux différents âges de la vie (scolarité, vies familiale et professionnelle, retraite) et les inégalités qui en découlent. Quatre dossiers analysent de manière approfondie différents aspects des inégalités entre femmes et hommes. Le premier décrit les progrès récents enregistrés en France concernant l'accès des femmes aux catégories cadres et cadres encadrants en début de vie active. Le deuxième dresse un état des lieux des écarts de pension entre les femmes et les hommes à la retraite en Europe. Le troisième dossier s'intéresse à la délinquance des femmes et des hommes et aux différences de traitement par la justice en France. Le dernier dossier porte sur les stéréotypes quant aux rôles sociaux des femmes et des hommes. Une trentaine de fiches synthétiques, présentant les données essentielles et des comparaisons européennes, complètent ce panorama sur les femmes et les hommes. "
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