Skip to main content

Home/ Famille/ Group items tagged Enfant

Rss Feed Group items tagged

Veille & Documentation

Unicef - La situation des enfants dans le monde 2017 : Les enfants dans un mo... - 0 views

  •  
    Malgré la présence en ligne massive des enfants - un internaute sur trois dans le monde est un enfant - trop peu de mesures sont prises pour les protéger des dangers du monde numérique et pour augmenter leur accès à un contenu en ligne sûr, selon un rapport du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) publié lundi. Le rapport intitulé 'La situation des enfants dans le monde en 2017 : les enfants dans un monde numérique' présente le premier regard de l'UNICEF sur les différentes façons dont la technologie numérique affecte la vie des enfants, en identifiant les dangers et les opportunités. Il affirme que les gouvernements et le secteur privé n'ont pas suivi le rythme du changement, exposant les enfants à de nouveaux risques et laissant de côté des millions d'enfants défavorisés. « Pour le meilleur et pour le pire, la technologie numérique est maintenant un fait irréversible de nos vies », a déclaré le Directeur exécutif de l'UNICEF, Anthony Lake. « Dans un monde numérique, notre double défi est de savoir comment atténuer les inconvénients tout en maximisant les avantages d'Internet pour chaque enfant ». Le rapport explore les avantages que la technologie numérique peut offrir aux enfants les plus défavorisés, y compris ceux qui grandissent dans la pauvreté ou qui sont affectés par des crises humanitaires. Cela inclut augmenter leur accès à l'information, renforcer leurs compétences numériques pour le monde du travail, et leur donner une plate-forme pour se connecter et s'exprimer. Mais environ un tiers des jeunes dans le monde - 346 millions - ne sont pas en ligne, ce qui exacerbe les inégalités et réduit la capacité des enfants à participer à une économie de plus en plus numérique. Le rapport examine également comment Internet accroît la vulnérabilité des enfants aux risques, y compris l'utilisation abusive de leurs renseignements personnels, l'accès à du contenu préjudiciable et la cyberintimidat
Veille & Documentation

DREES - L'enquête Modes de garde et d'accueil des jeunes enfants - Famille, e... - 0 views

  •  
    "L'enquête « Modes de garde et d'accueil des jeunes enfants » a pour objectif de dresser, tous les 6-7 ans environ, un panorama complet des solutions de garde adoptées par les parents pour leurs jeunes enfants, au regard de leurs contraintes professionnelles. Elle vise, notamment, à reconstituer de façon très précise, sur une semaine type, le calendrier d'accueil des enfants, incluant les périodes passées avec leurs parents, et à identifier l'ensemble des intervenants qui se succèdent pour assurer leur garde pendant la période considérée. Trois vagues d'enquête ont, à l'heure actuelle, été collectées : en 2002 (ménages avec au moins un enfant de moins de 7 ans, né en 1995 ou après), en 2007 (ménages avec au moins un enfant de moins de 7 ans et demi né le 1er mai 2000 ou après) et en 2013 (ménages ayant au moins un enfant âgé de moins de 6 ans né à partir du 1er septembre 2013). En 2002, la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) réalise l'enquête « Modes de garde et d'accueil des jeunes enfants » en partenariat avec le Conseil de l'Emploi, des Revenus et de la Cohésion sociale (CERC), la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF) et l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Il s'agissait d'appréhender les différents modes d'accueil auxquels les parents ont recours, de les caractériser (formels ou informels, réguliers ou occasionnels) ; de voir comment ils se combinent selon les différentes contraintes auxquelles sont soumis les parents (horaires de travail décalés, travail de nuit, etc.) et les caractéristiques des parents et des enfants (profession exercée, âge de l'enfant, place dans la fratrie, etc.) ; de comprendre comment ces modes de garde relaient la prise en charge parentale ; de mesurer leurs coûts de chaque solution d'accueil adoptée par les parents et, enfin, d'interroger le degré de sat
Veille & Documentation

Audience générale du 20 mai 2015 - 0 views

  •  
    "Aujourd'hui, chers frères et sœurs, je désire vous souhaiter la bienvenue car j'ai vu parmi vous de nombreuses familles, bonjour à toutes les familles ! Continuons à réfléchir sur la famille. Aujourd'hui, nous nous arrêterons sur une caractéristique essentielle de la famille, c'est-à-dire sur sa vocation naturelle à éduquer les enfants pour qu'ils grandissent en étant responsables à l'égard d'eux-mêmes et des autres. Ce que nous avons entendu de l'apôtre Paul au début est très beau : « Vous les enfants, en toutes choses écoutez vos parents ; dans le Seigneur, c'est cela qui est beau. Et vous les parents n'exaspérez pas vos enfants ; vous risquez de les décourager » (Col 3, 20-21). C'est une règle sage : l'enfant doit être éduqué à écouter ses parents et à obéir à ses parents, qui ne doivent pas commander de manière brutale, pour ne pas décourager leurs enfants. Les enfants, en effet, doivent grandir sans se décourager, un pas après l'autre. Si vous, parents, dites aux enfants : « Montons cet escalier » et que vous leur prenez la main et, pas à pas, les faites monter, les choses se passeront bien. Mais si vous dites : « Monte là-haut ! » - « Mais je ne peux pas » - « Vas-y ! », cela s'appelle exaspérer les enfants, demander aux enfants des choses qu'ils ne sont pas capables de faire. C'est pourquoi la relation entre parents et enfants doit être d'une sagesse, d'un équilibre très grand. Enfants, obéissez à vos parents, cela plaît à Dieu. Et vous parents, n'exaspérez pas les enfants, en leur demandant des choses qu'ils ne peuvent pas faire. C'est ce qu'il faut faire pour que les enfants grandissent en étant responsables à l'égard d'eux-mêmes et des autres."
Veille & Documentation

CNAF - L'accueil du jeune enfant en 2015 - Synthèse - 0 views

  •  
    La Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) publie l'édition 2016 du rapport de son Observatoire national de la petite enfance. Portant - sauf exceptions - sur les données 2015, cette somme d'une centaine de pages propose de nombreuses statistiques, cartes et analyses sur tous les aspects de l'accueil des enfants de 0 à 6 ans. Elle constitue désormais la référence en la matière. Plus de 56 places d'accueil pour 100 enfants de moins de trois ans En matière de modes de garde, la principale information de cette édition 2016 est que "la baisse de recours aux modes d'accueil individuels se confirme, alors que la crèche reste plébiscitée, y compris par les familles monoparentales". Globalement, la capacité d'accueil des différents modes d'accueil (individuels et collectifs) continue de progresser. Elle atteint désormais une capacité théorique de 56,1 places pour 100 enfants de moins de trois ans. Ce taux n'était encore que de 50,5% en 2010, soit une hausse de 11% en cinq ans. Jusqu'à présent le principal facteur explicatif de cette évolution tenait à la progression du nombre d'assistantes maternelles. Le nombre de places offertes s'est en effet accru de 79.800 unités depuis 2010, contre une hausse de 53.500 places dans les modes d'accueil collectifs. Cette tendance est toutefois en train de s'inverser. Ainsi, 598.200 enfants de moins de trois ans étaient gardés par une assistante maternelle en 2015, contre 605.900 en 2014. Le nombre de ces dernières a reculé de 9.500 en 2015, tandis que se poursuivait la baisse du nombre d'heures déclarées par les employeurs d'assistantes maternelles : -1,7% en 2015, après -1,6% en 2014 et -0,2% en 2013. De même, 455.300 familles - assurant elle-même la garde de leur enfant - ont bénéficié d'un complément d'activité en 2015, contre 492.500 en 2014. A l'inverse, 960.400 enfants étaient inscrits, en 2014, auprès des établissements d'accueil du jeune enfant (Eaje) bénéficiant de la prestat
Veille & Documentation

CNAF - L'accueil du jeune enfant en 2015 - Rapport complet - 0 views

  •  
    La Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) publie l'édition 2016 du rapport de son Observatoire national de la petite enfance. Portant - sauf exceptions - sur les données 2015, cette somme d'une centaine de pages propose de nombreuses statistiques, cartes et analyses sur tous les aspects de l'accueil des enfants de 0 à 6 ans. Elle constitue désormais la référence en la matière. Plus de 56 places d'accueil pour 100 enfants de moins de trois ans En matière de modes de garde, la principale information de cette édition 2016 est que "la baisse de recours aux modes d'accueil individuels se confirme, alors que la crèche reste plébiscitée, y compris par les familles monoparentales". Globalement, la capacité d'accueil des différents modes d'accueil (individuels et collectifs) continue de progresser. Elle atteint désormais une capacité théorique de 56,1 places pour 100 enfants de moins de trois ans. Ce taux n'était encore que de 50,5% en 2010, soit une hausse de 11% en cinq ans. Jusqu'à présent le principal facteur explicatif de cette évolution tenait à la progression du nombre d'assistantes maternelles. Le nombre de places offertes s'est en effet accru de 79.800 unités depuis 2010, contre une hausse de 53.500 places dans les modes d'accueil collectifs. Cette tendance est toutefois en train de s'inverser. Ainsi, 598.200 enfants de moins de trois ans étaient gardés par une assistante maternelle en 2015, contre 605.900 en 2014. Le nombre de ces dernières a reculé de 9.500 en 2015, tandis que se poursuivait la baisse du nombre d'heures déclarées par les employeurs d'assistantes maternelles : -1,7% en 2015, après -1,6% en 2014 et -0,2% en 2013. De même, 455.300 familles - assurant elle-même la garde de leur enfant - ont bénéficié d'un complément d'activité en 2015, contre 492.500 en 2014. A l'inverse, 960.400 enfants étaient inscrits, en 2014, auprès des établissements d'accueil du jeune enfant (Eaje) bénéficiant de la prest
Veille & Documentation

IFOP - Les Français et la scolarisation des enfants de moins de 3 ans - 0 views

  •  
    A l'occasion de la rentrée des classes, Femme actuelle a souhaité faire le point sur l'état de l'opinion à l'égard de la scolarisation des enfants dès deux ans en école maternelle, l'une des promesses de campagne de François Hollande lors de la campagne de l'élection présidentielle de 2012. Alors que le ministère de l'Education nationale s'est fixé comme objectif de parvenir à un taux de scolarisation de 30% des enfants de moins de trois ans dans les zones défavorisées d'ici 2017, certaines voix laissent entendre une insuffisance des moyens mis en œuvre, voire le caractère néfaste d'une scolarisation trop précoce. Mais qu'en pensent les Français ? Sont-ils pour ou contre l'entrée des enfants de deux ans en maternelle ? Estiment-ils qu'elle permet de mieux se familiariser avec la vie en société et le langage ? Est-elle un levier pour faire reculer l'échec scolaire ? Pour répondre à ces interrogations, l'Ifop a donc réalisé une enquête auprès d'un échantillon de 2 000 Français dont il ressort les enseignements suivants : - La majorité des Français (63%) se déclare favorable au principe de scolarisation des enfants de moins de 3 ans, dont 23% se disent même « tout à fait favorables ». - Les premiers concernés, c'est-à-dire les parents d'enfants de moins de 3 ans, sont encore plus favorables à cette mesure : 74% la soutiennent, dont 32% s'y déclarant « tout à faire favorables ». Dans le détail, on observe que les jeunes (78%), les plus diplômés (69%) et les catégories pauvres (67%) sont les segments de population les plus favorables à cette scolarisation. - Pour les deux tiers des Français (65%), mettre un enfant de deux ans à la maternelle est « une bonne chose pour améliorer la socialisation et l'acquisition du langage des plus petits ». Aussi, seule une minorité (46%) estime que cela revient à « le scolariser à une âge trop précoce », soit des résultats qui conf
Veille & Documentation

Défenseur des droits - Droit fondamental à l'éducation : une école pour tous,... - 0 views

  •  
    Rapport 2016 - Synthèse Si tous les enfants bénéficient théoriquement du droit à l'éducation, force est de constater que "l'accès à l'école aujourd'hui en France n'est pas un droit effectif pour de nombreux enfants", notamment les plus vulnérables, souligne le défenseur des droits qui consacre son rapport annuel à cette thématique et interpelle à ce titre très directement les collectivités locales. Enfants de familles vivant dans des squats ou des campements, enfants mal logés, itinérants (issus des familles des gens du voyage), allophones (ayant une langue maternelle autre que le français), mineurs migrants non accompagnés, enfants handicapés, hospitalisés, à haut potentiel intellectuel ou encore "en conflit avec la loi"... Autant de cas de figure où les jeunes sont trop souvent "empêchés d'aller à l'école", selon Jacques Toubon, le défenseur des droits. Pour l'ex-ministre, il y a "un hiatus entre le droit proclamé à l'éducation et l'effectivité de ce droit". Dans le rapport annuel publié ce vendredi 18 novembre, il énumère, avec Geneviève Avenard, défenseure des enfants, 30 recommandations pour améliorer la situation. "Notre combat peut apparaître sans fin" mais "notre organisme a été créé pour intervenir chaque fois que la société se laisse aller", a déclaré le défenseur des droits lors d'une conférence de presse. "La scolarisation doit être un critère au centre des préoccupations des pouvoirs publics", a abondé Geneviève Avenard. Tous deux soulignent que ce rapport n'a pas pour but d'évaluer le système scolaire français, mais de pointer les barrières auxquelles se heurtent des milliers d'enfants chaque année. Le rapport met également l'accent sur les inégalités territoriales : entre les zones les plus défavorisées socialement et les autres, entre campagnes et zones urbaines, entre des départements d'outre-mer et la métropole… Parmi les recommandations figure le rappel aux maires de "l'obligati
Veille & Documentation

Défenseur des droits - Droit fondamental à l'éducation : une école pour tous,... - 0 views

  •  
    Rapport 2016 - Document Complet Si tous les enfants bénéficient théoriquement du droit à l'éducation, force est de constater que "l'accès à l'école aujourd'hui en France n'est pas un droit effectif pour de nombreux enfants", notamment les plus vulnérables, souligne le défenseur des droits qui consacre son rapport annuel à cette thématique et interpelle à ce titre très directement les collectivités locales. Enfants de familles vivant dans des squats ou des campements, enfants mal logés, itinérants (issus des familles des gens du voyage), allophones (ayant une langue maternelle autre que le français), mineurs migrants non accompagnés, enfants handicapés, hospitalisés, à haut potentiel intellectuel ou encore "en conflit avec la loi"... Autant de cas de figure où les jeunes sont trop souvent "empêchés d'aller à l'école", selon Jacques Toubon, le défenseur des droits. Pour l'ex-ministre, il y a "un hiatus entre le droit proclamé à l'éducation et l'effectivité de ce droit". Dans le rapport annuel publié ce vendredi 18 novembre, il énumère, avec Geneviève Avenard, défenseure des enfants, 30 recommandations pour améliorer la situation. "Notre combat peut apparaître sans fin" mais "notre organisme a été créé pour intervenir chaque fois que la société se laisse aller", a déclaré le défenseur des droits lors d'une conférence de presse. "La scolarisation doit être un critère au centre des préoccupations des pouvoirs publics", a abondé Geneviève Avenard. Tous deux soulignent que ce rapport n'a pas pour but d'évaluer le système scolaire français, mais de pointer les barrières auxquelles se heurtent des milliers d'enfants chaque année. Le rapport met également l'accent sur les inégalités territoriales : entre les zones les plus défavorisées socialement et les autres, entre campagnes et zones urbaines, entre des départements d'outre-mer et la métropole… Parmi les recommandations figure le rappel aux maires de "l'
Veille & Documentation

Défenseur des droits - Dossier de presse - De la naissance à 6 ans : au comm... - 0 views

  •  
    De la naissance à 6 ans : au commencement des droits. Le Défenseur des droits vous présente son rapport enfant 2018. En voici les principaux enseignements : Nous avons voulu cette année nous intéresser aux tous jeunes enfants, de leur venue au monde à leurs six ans, afin d'explorer si et comment leurs droits étaient appréhendés et effectivement mis en œuvre. Quelle est la place réellement faite aux bébés et aux très jeunes enfants au sein de la société, des politiques publiques et des institutions ? Deux constats principaux : - Le petit enfant a des droits, dont il jouit dès la naissance sans attendre d'accéder au langage ou à la connaissance. - L'effectivité de ces droits est déterminante pour le développement de l'enfant. Il est déterminant que l'État et les acteurs institutionnels et professionnels se mobilisent pour la petite enfance, car elle est le temps des fondations du développement du petit humain. Bien que des évolutions positives sont à constater, les droits, les besoins fondamentaux et l'intérêt supérieur des tout petits enfants sont encore trop insuffisamment garantis dans notre société aujourd'hui. Les politiques publiques actuelles doivent s'adapter aux besoins individuels de chaque petit enfant. Le Défenseur des droits recommande de : - Réaliser des études impact avant l'élaboration de tout PJL - Protéger le petit enfant de toute forme de violence - Mettre fin à l'enfermement des enfants en centre de rétention administrative - Garantir les liens familiaux de l'enfant placé. L'évolution de la société et son impact sur les droits, les besoins fondamentaux et l'intérêt supérieur des tout petits enfants nécessite aujourd'hui de construire de nouvelles politiques dédiées et adaptées Le Défenseur des droits recommande de : - - Promouvoir l'égalité des sexes. - - Investir la question de l'exposition aux écrans. -Faire de l'accès à la culture un droit fondamental
Veille & Documentation

Défenseur des droits - Rapport complet - De la naissance à 6 ans : au commen... - 0 views

  •  
    De la naissance à 6 ans : au commencement des droits. Le Défenseur des droits vous présente son rapport enfant 2018. En voici les principaux enseignements : Nous avons voulu cette année nous intéresser aux tous jeunes enfants, de leur venue au monde à leurs six ans, afin d'explorer si et comment leurs droits étaient appréhendés et effectivement mis en œuvre. Quelle est la place réellement faite aux bébés et aux très jeunes enfants au sein de la société, des politiques publiques et des institutions ? Deux constats principaux : - Le petit enfant a des droits, dont il jouit dès la naissance sans attendre d'accéder au langage ou à la connaissance. - L'effectivité de ces droits est déterminante pour le développement de l'enfant. Il est déterminant que l'État et les acteurs institutionnels et professionnels se mobilisent pour la petite enfance, car elle est le temps des fondations du développement du petit humain. Bien que des évolutions positives sont à constater, les droits, les besoins fondamentaux et l'intérêt supérieur des tout petits enfants sont encore trop insuffisamment garantis dans notre société aujourd'hui. Les politiques publiques actuelles doivent s'adapter aux besoins individuels de chaque petit enfant. Le Défenseur des droits recommande de : - Réaliser des études impact avant l'élaboration de tout PJL - Protéger le petit enfant de toute forme de violence - Mettre fin à l'enfermement des enfants en centre de rétention administrative - Garantir les liens familiaux de l'enfant placé. L'évolution de la société et son impact sur les droits, les besoins fondamentaux et l'intérêt supérieur des tout petits enfants nécessite aujourd'hui de construire de nouvelles politiques dédiées et adaptées Le Défenseur des droits recommande de : - - Promouvoir l'égalité des sexes. - - Investir la question de l'exposition aux écrans. -Faire de l'accès à la culture un droit fondamental
Veille & Documentation

Défenseur des droits - Synthèse - De la naissance à 6 ans : au commencement ... - 0 views

  •  
    De la naissance à 6 ans : au commencement des droits. Le Défenseur des droits vous présente son rapport enfant 2018. En voici les principaux enseignements : Nous avons voulu cette année nous intéresser aux tous jeunes enfants, de leur venue au monde à leurs six ans, afin d'explorer si et comment leurs droits étaient appréhendés et effectivement mis en œuvre. Quelle est la place réellement faite aux bébés et aux très jeunes enfants au sein de la société, des politiques publiques et des institutions ? Deux constats principaux : - Le petit enfant a des droits, dont il jouit dès la naissance sans attendre d'accéder au langage ou à la connaissance. - L'effectivité de ces droits est déterminante pour le développement de l'enfant. Il est déterminant que l'État et les acteurs institutionnels et professionnels se mobilisent pour la petite enfance, car elle est le temps des fondations du développement du petit humain. Bien que des évolutions positives sont à constater, les droits, les besoins fondamentaux et l'intérêt supérieur des tout petits enfants sont encore trop insuffisamment garantis dans notre société aujourd'hui. Les politiques publiques actuelles doivent s'adapter aux besoins individuels de chaque petit enfant. Le Défenseur des droits recommande de : - Réaliser des études impact avant l'élaboration de tout PJL - Protéger le petit enfant de toute forme de violence - Mettre fin à l'enfermement des enfants en centre de rétention administrative - Garantir les liens familiaux de l'enfant placé. L'évolution de la société et son impact sur les droits, les besoins fondamentaux et l'intérêt supérieur des tout petits enfants nécessite aujourd'hui de construire de nouvelles politiques dédiées et adaptées Le Défenseur des droits recommande de : - - Promouvoir l'égalité des sexes. - - Investir la question de l'exposition aux écrans. -Faire de l'accès à la culture un droit fondamental
Veille & Documentation

CAF - Observatoire National de la petite enfance - Chiffres clés de l'accueil... - 0 views

  •  
    La Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) publie le premier numéro de sa "Lettre de l'Observatoire national de la petite enfance". Cette première livraison compile et actualise pour partie les données présentées dans le rapport 2015 de l'Observatoire, publié en février dernier (voir notre article ci-contre du 4 février 2016). La lettre se concentre plus particulièrement sur deux sujets : l'offre d'accueil pour la petite enfance et l'adéquation du recours aux modes d'accueil par les parents. 56,1 places pour 100 enfants de moins de trois ans Sur le premier point, les derniers chiffres définitifs et validés concernent l'année 2014. La capacité d'accueil théorique était alors de 1,359 million de places. Ce chiffre équivaut à une capacité de 56,1 places pour 100 enfants de moins de trois ans (57,2 en métropole et 26,3 dans les DOM hors Mayotte). Les assistantes maternelles restent, de très loin, le premier mode d'accueil avec 59% de la capacité totale. Viennent ensuite les établissements d'accueil du jeune enfant (Eaje : accueil collectif, micro-crèches, crèches familiales et parentales), avec 31% du total, puis les écoles maternelles (scolarisation à deux ans), avec 7% du total. L'emploi d'une salariée à domicile reste assez marginal, avec 3% de la capacité totale. Même s'il s'agit encore de données provisoires, les premiers chiffres 2015 montrent que l'offre en Eaje a continué de progresser, avec environ 10.000 places supplémentaires (+0,6%), ce qui permet de faire passer le nombre de places en accueil collectif pour 100 enfants de moins de trois ans de 17,3 à 17,9. En revanche, la scolarisation précoce en école maternelle - qui est pourtant une priorité du gouvernement - a légèrement reculé l'an dernier, passant de 96.100 places à 93.600 places. Collectif ou à domicile ? La seconde partie de la lettre est consacrée à une approche du recours des parents aux modes d'accueil. Celui-ci est mesuré par différen
Veille & Documentation

IFOP - Les parents face à l'orientation scolaire des lycéens et des étudiants - 0 views

  •  
    A l'occasion de la première édition du Salon de l'Etudiant Spécial Parents organisé ce samedi 8 octobre porte de la Villette à Paris, l'Etudiant a commandé à l'Ifop une enquête auprès des parents de lycéens et d'étudiants qui met en lumière leurs craintes quant à l'orientation scolaire et l'avenir professionnel de leurs progénitures. Les principaux enseignements de l'enquête : Un portail APB considéré comme " flou" par une majorité de parents "Plutôt flou". C'est ainsi qu'une majorité (61 %) de parents de lycéens et d'étudiants connaissant APB décrivent le système d'affectation dans le supérieur. Or, durant l'année du bac, tous les élèves de terminale ont l'obligation de classer sur ce portail, par ordre de préférence, les formations dans lesquelles ils souhaitent poursuivre leurs études. Des chiffres qui témoignent des limites de cette procédure mais également de l'appréhension qu'elle suscite : plus d'un utilisateur sur deux exprime un sentiment de malaise avec cet outil (54%). Et qui s'explique en partie par les polémiques récurrentes dont elle est l'objet. Depuis plusieurs années, en effet, l'association Droit des lycéens dénonce l'opacité d'APB et se bat pour que le ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche publie l'algorithme utilisé. Une demande pour l'instant restée sans suite… Autre enseignement : la forte corrélation entre la notoriété du portail et la catégorie socioprofessionnelle. En effet, 66 % des parents ouvriers en ont déjà entendu parler contre 100 % des cadres supérieurs. En moyenne, 85 % des parents interrogés connaissent APB. Un degré d'information sur ces questions qui varient beaucoup en fonction du niveau social des parents … Deux parents sur trois (64%) se sentent bien informés pour aider leur enfant. De manière plus générale, on constate également une forte relation entre le sentiment d'être bien informé pour aider son enfan
Veille & Documentation

BVA - Sondages : Les Français et l'éducation des enfants - 0 views

  •  
    "LES FRANÇAIS ET L'EDUCATION DES ENFANTS Les 4 principaux enseignement de ce sondage : 1) Les Français très sévères sur l'éducation des enfants d'aujourd'hui 74% des Français jugent les enfants d'aujourd'hui en général moins bien élevés qu'à l'époque où ils étaient eux-mêmes enfants. 85% des Français jugent la plupart des parents « pas assez sévères » avec leurs enfants. En moyenne, les Français considèrent que les enfants devraient aller se coucher à 20h20 lorsqu'ils ont 6-7 ans ; à 20h50 lorsqu'ils ont 10-11 ans et à 21h40 lorsqu'ils ont 14-15 ans. Ils pensent aussi qu'ils devraient être autorisés à regarder la télé à 6 ans, à aller sur Internet à 12 ans, à avoir un téléphone portable à 13 ans, à avoir un compte Facebook à 15 ans et à partir en vacances avec des ami(e)s à 16 ans. 2) L'école continue de très fortement diviser les Français 51% des Français pensent que l'enseignement à l'école est de mauvaise qualité, 48% pensent qu'il est de bonne qualité. S'ils avaient un enfant et s'ils avaient le choix, 55% des Français préféreraient l'inscrire dans une école publique, contre 44% qui préféreraient l'inscrire dans une école privée. Mais si les sympathisants de la gauche seraient une écrasante majorité à préférer une école publique (82%), les sympathisants de la droite, au contraire, seraient une très large majorité à préférer une école privée (64%). 3) Les Français très sévères sur la réforme des rythmes scolaires et très hostiles à l'abandon des notes 6 mois après sa généralisation dans tout le pays, 68% des Français considèrent que la réforme des rythmes scolaires dans les écoles a été « une mauvaise chose ». 73% des Français seraient opposés à ce que l'évaluation des élèves ne se fasse plus par des notes. 4) L'Histoire-géographie, matière préférée des Français A l'école, lorsqu'ils étaient enfants,
Veille & Documentation

Insee - En 2019, 800 000 beaux-parents habitent avec les enfants de leur conj... - 0 views

  •  
    "En France, en 2019, 800 000 beaux-parents vivent avec des enfants que leur conjoint a eus avant l'union. La famille est alors recomposée. Dans ces familles, la majorité des enfants issus d'une précédente union vivent avec leur mère. 73 % des beaux-parents sont des hommes. L'écart d'âge entre les conjoints est plus élevé dans les familles recomposées : il est de cinq années ou plus pour 46 % de ces familles, contre 30 % pour les familles « traditionnelles », où tous les enfants sont ceux du couple. Les beaux-parents sont moins fréquemment mariés, plus souvent en union libre, et ils vivent dans des familles généralement plus nombreuses. Quatre beaux-parents sur dix vivent exclusivement avec les enfants de leur conjoint, sans autre enfant présent à domicile. Ces beaux-parents ont des âges très variés. Ainsi, 22 % des belles-mères concernées ont moins de 30 ans contre seulement 11 % des mères de famille « traditionnelle » ; 29 % des beaux-pères concernés ont 50 ans ou plus contre 18 % des pères de famille « traditionnelle ». Six beaux-parents sur dix vivent à la fois avec des beaux-enfants et leurs propres enfants (nés avant l'union ou communs au couple actuel). Les beaux-parents vivant avec leurs enfants issus du couple actuel sont plus jeunes et plus fréquemment mariés."
Veille & Documentation

DREES - Aide sociale à l'enfance - 55 000 enfants et adolescents hébergés en ... - 0 views

  •  
    Fin 2012, 55 000 enfants et adolescents sont hébergés dans un établissement de l'aide sociale à l'enfance (ASE). En moyenne, les jeunes accueillis ont 13 ans et effectuent dans l'établissement un séjour de 13 mois, mais l'âge des enfants et la durée de l'hébergement varient sensiblement suivant la mission des établissements. Deux tiers des placements font suite à une mesure judiciaire confiant l'enfant à l'ASE. Les mesures administratives représentent un quart des placements. Avant leur prise en charge dans un établissement de l'ASE, la moitié des enfants ou adolescents vivaient avec leurs parents ou chez un proche. À leur sortie, quatre enfants sur dix y retournent, deux sur dix sont orientés vers un autre établissement de l'ASE, un sur dix habite chez un assistant familial et 8 %, parmi les plus âgés, obtiennent un logement personnel ou accompagné. Deux tiers des enfants bénéficient encore d'un suivi à leur sortie de l'établissement. Entre 6 et 16 ans, de 90 % à 95 % des enfants accueillis sont scolarisés, contre 98 % dans la population générale. Fin 2012, 54 % des enfants de 11 ans, en âge d'être au collège, sont encore dans une classe du premier degré.
Veille & Documentation

France Stratégie / HCFEA - Tome II : Orientations - L'accueil des enfants de ... - 0 views

  •  
    Le développement des modes d'accueil de la petite enfance est une des priorités de la politique familiale. Permettant aux parents une meilleure articulation entre vie familiale et vie professionnelle, ils sont souvent mis en exergue pour expliquer la réussite du modèle français en termes de natalité et de taux d'emploi des femmes. La France se caractérise en effet, par rapport à la plupart de ses voisins européens, par une offre développée et diversifiée de solutions d'accueil, qu'il s'agisse de places en crèches (établissements d'accueil de jeunes enfants - EAJE), de possibilités de faire garder son enfant par une assistante maternelle[1] au domicile de celle-ci, ou au domicile des parents, par la préscolarisation dès l'âge de deux ans dans des écoles maternelles, ou par le recours des parents à un congé parental d'éducation (CPE) à temps plein ou partiel, accompagné ou non d'une indemnisation au travers de la prestation partagée d'éducation de l'enfant (PreParE). Le recours effectif des familles aux différents modes d'accueil résulte de choix sous contraintes multiples et complexes : l'offre de modes d'accueil disponible localement et les manques éventuels de celle-ci, l'accessibilité financière à ces modes d'accueil, la complexité des situations familiales et professionnelles (contraintes horaires, possibilité d'aide familiale…). Mais il vise avant tout à trouver une solution qui réponde au mieux aux besoins spécifiques des très jeunes enfants sur tous les plans : physique, affectif, cognitif, émotionnel et social, en offrant la meilleure qualité de service possible sur ces différents plans. Malgré une politique volontariste, et des attentes encore importantes exprimées par les familles, le développement de l'offre semble se tarir ces dernières années. Les résultats observés durant la période 2013-2017, couverte par la dernière convention d'objectifs et de gestion (COG)
Veille & Documentation

France Stratégie / HCFEA - Synthèse - L'accueil des enfants de moins de trois... - 0 views

  •  
    Le développement des modes d'accueil de la petite enfance est une des priorités de la politique familiale. Permettant aux parents une meilleure articulation entre vie familiale et vie professionnelle, ils sont souvent mis en exergue pour expliquer la réussite du modèle français en termes de natalité et de taux d'emploi des femmes. La France se caractérise en effet, par rapport à la plupart de ses voisins européens, par une offre développée et diversifiée de solutions d'accueil, qu'il s'agisse de places en crèches (établissements d'accueil de jeunes enfants - EAJE), de possibilités de faire garder son enfant par une assistante maternelle[1] au domicile de celle-ci, ou au domicile des parents, par la préscolarisation dès l'âge de deux ans dans des écoles maternelles, ou par le recours des parents à un congé parental d'éducation (CPE) à temps plein ou partiel, accompagné ou non d'une indemnisation au travers de la prestation partagée d'éducation de l'enfant (PreParE). Le recours effectif des familles aux différents modes d'accueil résulte de choix sous contraintes multiples et complexes : l'offre de modes d'accueil disponible localement et les manques éventuels de celle-ci, l'accessibilité financière à ces modes d'accueil, la complexité des situations familiales et professionnelles (contraintes horaires, possibilité d'aide familiale…). Mais il vise avant tout à trouver une solution qui réponde au mieux aux besoins spécifiques des très jeunes enfants sur tous les plans : physique, affectif, cognitif, émotionnel et social, en offrant la meilleure qualité de service possible sur ces différents plans. Malgré une politique volontariste, et des attentes encore importantes exprimées par les familles, le développement de l'offre semble se tarir ces dernières années. Les résultats observés durant la période 2013-2017, couverte par la dernière convention d'objectifs et de gestion (COG)
Veille & Documentation

France Stratégie / HCFEA - Tome I : Etat des lieux - L'accueil des enfants de... - 0 views

  •  
    Le développement des modes d'accueil de la petite enfance est une des priorités de la politique familiale. Permettant aux parents une meilleure articulation entre vie familiale et vie professionnelle, ils sont souvent mis en exergue pour expliquer la réussite du modèle français en termes de natalité et de taux d'emploi des femmes. La France se caractérise en effet, par rapport à la plupart de ses voisins européens, par une offre développée et diversifiée de solutions d'accueil, qu'il s'agisse de places en crèches (établissements d'accueil de jeunes enfants - EAJE), de possibilités de faire garder son enfant par une assistante maternelle[1] au domicile de celle-ci, ou au domicile des parents, par la préscolarisation dès l'âge de deux ans dans des écoles maternelles, ou par le recours des parents à un congé parental d'éducation (CPE) à temps plein ou partiel, accompagné ou non d'une indemnisation au travers de la prestation partagée d'éducation de l'enfant (PreParE). Le recours effectif des familles aux différents modes d'accueil résulte de choix sous contraintes multiples et complexes : l'offre de modes d'accueil disponible localement et les manques éventuels de celle-ci, l'accessibilité financière à ces modes d'accueil, la complexité des situations familiales et professionnelles (contraintes horaires, possibilité d'aide familiale…). Mais il vise avant tout à trouver une solution qui réponde au mieux aux besoins spécifiques des très jeunes enfants sur tous les plans : physique, affectif, cognitif, émotionnel et social, en offrant la meilleure qualité de service possible sur ces différents plans. Malgré une politique volontariste, et des attentes encore importantes exprimées par les familles, le développement de l'offre semble se tarir ces dernières années. Les résultats observés durant la période 2013-2017, couverte par la dernière convention d'objectifs et de gestion (COG)
Veille & Documentation

HCFEA - Note de synthèse - Lutter contre la pauvreté des familles et des enfants - 0 views

  •  
    l s'agit d'une part d'identifier les caractéristiques des familles pauvres ou en risque d'exclusion sociale, et les difficultés auxquelles elles sont confrontées ainsi que leurs enfants, et d'autre part d'interroger les politiques publiques conduites pour lutter contre la pauvreté et le risque d'exclusion sociale et contre leurs conséquences. Le Président de la République a décidé, le 17 octobre 2017, d'engager l'élaboration d'une stratégie nationale de lutte contre la pauvreté. Cette stratégie est actuellement portée Olivier NOBLECOURT, nommé Délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes. L'objectif des travaux du Conseil de la famille est d'apporter une contribution à cette stratégie et aux débats sur la lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale et de soumettre des pistes pour améliorer la situation des familles pauvres ou en risque d'exclusion sociale. Deux raisons principales motivent le choix de ce thème de travail : d'abord l'importance du taux de pauvreté des enfants : si, en 2014, 14 % de la population métropolitaine, soit 8,6 millions de personnes, vit en dessous du seuil de pauvreté, la pauvreté des enfants est sensiblement supérieure à celle de l'ensemble de la population puisqu'elle atteint 19,8 % ; deux types de familles sont particulièrement concernés, les familles monoparentales et les familles nombreuses ; ensuite l'importance des phénomènes de reproduction sociale en la matière : l'enfant d'une famille pauvre a beaucoup plus de risques de se retrouver lui aussi dans une position disqualifiée socialement lorsqu'il atteint l'âge adulte, parce qu'il ne dispose pas des ressources économiques, sociales, ou relationnelles nécessaires ; lutter contre les conséquences de la pauvreté pour les enfants, en termes de risque accru d'exclusion sociale, est donc particulièrement important. Pour le H
1 - 20 of 1856 Next › Last »
Showing 20 items per page