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Haute autorité de santé - Comment mieux accompagner les patients en fin de vi... - 0 views

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    La HAS publie aujourd'hui un guide à destination des professionnels de santé afin de les aider à mettre en œuvre une sédation profonde et continue maintenue jusqu'au décès, pratique sédative prévue par la loi Claeys-Leonetti, que les patients peuvent demander dans des circonstances précises. Ce travail complète une série de travaux de la HAS sur l'accompagnement de la fin de vie : rédaction des directives anticipées, mise en place d'une démarche palliative ou encore maintien à domicile des patients qui nécessitent des soins palliatifs. L'ensemble de ces travaux vise à entendre la demande des patients de finir leur vie chez eux, sans souffrir ainsi qu'à outiller les professionnels de santé, à l'hôpital comme en ville, pour appréhender cette situation. Les situations de fin de vie concernent notamment les personnes qui ont une maladie grave, évolutive, en phase avancée, potentiellement mortelle ou lorsque le pronostic vital est engagé à court ou moyen terme, après un accident par exemple. L'accompagnement de la fin de vie est un sujet dont il faut discuter, avec son médecin et ses proches, afin de faciliter sa propre prise en charge le moment venu. En effet, en France, trois personnes sur quatre désirent finir leur vie chez eux et 11 % des Français de plus de 50 ans ont désormais rédigé leurs directives anticipées. Ce dernier chiffre reste faible et les Français demeurent mal informés ou peu à l'aise pour envisager concrètement leur fin de vie. Par ailleurs, seule la moitié des malades qui relèvent de soins palliatifs en bénéficie effectivement, qu'ils soient à l'hôpital mais surtout dans leur lieu de vie. Plusieurs facteurs l'expliquent : inégalité des ressources sur le territoire, manque de formation des professionnels en soins palliatifs, méconnaissance de la loi et des dispositifs existants. Pour améliorer la situation, le ministère chargé de la Santé a lancé en 2016 un plan soins pall
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Consultation citoyenne : Droits des malades et fin de vie - Assemblée nationale - 0 views

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    "Exposé des motifs Nos concitoyens souhaitent dans leur immense majorité être entendus, c'est-à-dire disposer de leur vie jusqu'à son ultime moment tout en bénéficiant d'une mort apaisée. Par ailleurs, de fortes inégalités entre établissements de santé, au sein même de ceux-ci, entre structures médicalisées ou non, adjointes à la méconnaissance des dispositions légales, créent encore trop souvent, aujourd'hui, les conditions d'une mort peu digne d'une société avancée. Nourrie par des débats éthiques, des expériences et des convictions philosophiques ou religieuses personnelles, relancée par des événements très médiatisés, la question de la fin de vie occupe une large place dans notre société. Nous devons y répondre avec sagesse et clarté. Depuis plusieurs années, de nombreux pas ont été franchis : reconnaissance de droits accrus aux malades dans le sillage de la loi du 4 mars 2002, développement des soins palliatifs, condamnation de l'obstination déraisonnable, mise en place par la loi d'une procédure collégiale d'arrêt des traitements, même lorsque la souffrance du patient en fin de vie ne peut être évaluée, ont modifié très sensiblement les données médicales de la fin de vie de nos concitoyens. La loi du 22 avril 2005, dite Loi Leonetti, a continué de produire de l'autonomie pour les malades par la condamnation de l'obstination déraisonnable, la mise en place par la loi d'une procédure collégiale d'arrêt des traitements même lorsque la souffrance du patient en fin de vie ne peut être évaluée et la création de directives anticipées. Pendant la campagne pour l'élection présidentielle de 2012, François Hollande a souhaité aller plus loin en proposant que « toute personne majeure en phase avancée ou terminale d'une maladie incurable, provoquant une souffrance physique ou psychique insupportable, et qui ne peut être apaisée, puisse demander, dans des conditions prÃ
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CNSPFV - La campagne nationale d'information sur la fin de vie est lancée - 0 views

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    "Le 20 février 2017, Marisol Touraine, Ministre des Affaires sociales et de la Santé, lance avec le Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie (CNSPFV) une campagne nationale d'information sur la fin de vie, pour inviter les Français au dialogue avec leurs proches et les professionnels de santé, et pour les informer sur les droits des personnes malades et des personnes en fin de vie. Chacun peut exprimer ses volontés sur la fin de vie, qu'il soit en bonne santé ou malade, pour faire valoir ses droits. En plaçant le patient au cœur des décisions qui le concerne, la loi du 2 février 2016 répond à la demande d'une fin de vie digne, accompagnée et apaisée, par une meilleure prise en charge de la souffrance. Pour inviter les professionnels de santé à parler de la fin de vie avec leurs patients, Marisol Touraine a lancé en décembre 2016 le premier volet de cette campagne. 9 Français sur 10 ne connaissent pas cette loi, ni leurs droits. Du 20 février jusqu'au 20 mars 2017, la campagne d'information sera relayée sur plusieurs médias, autour d'une signature : « La fin de vie, et si on en parlait ? » : un spot TV de 25 secondes ; deux annonces presse et des bannières sur différents sites internet et sur les réseaux sociaux ; un site internet dédié : parlons-fin-de-vie.fr ; des événements organisés partout en France par le CNSPFV dès le mois de mars. "
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CNFVSP - Le nouveau MOOC « La fin de vie : s'informer pour en parler » - 0 views

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    "8 séquences thématiques Le contexte socio-politique français sur la fin de vie Historique ; les principales étapes législatives ; comparaison internationale ; les plans nationaux « soins palliatifs » ; le CNSPFV. Les mots pour « la » dire L'histoire des mots et des idées ; en pratique, quels mots pour « la » dire (la fin de vie et/ou la mort) ; comment en parler aux enfants ? ; le deuil. Les soins palliatifs La démarche palliative ; les acteurs de la prise en charge palliative ; les structures de soins palliatifs en France. Droits des malades et des proches aidants Les droits des malades en fin de vie (la place du patient, les directives anticipées, la personne de confiance, le refus de traitement, la sédation profonde et continue jusqu'au décès) ; les aidants (leur rôle, la place du proche­ aidant dans la décision médicale ; les aides financières et les congés). Obstination déraisonnable, limitation et arrêt de traitement, procédure collégiale Obstination déraisonnable (définition, situations cliniques) ; la procédure collégiale (définition, conditions et déroulement). Les thérapies médicamenteuses et non médicamenteuses en fin de vie Prise en charge médicamenteuse de la douleur ; les thérapies complémentaires permettant d'aider au confort du patient ; les sédations en pratique palliative ; la sédation profonde et continue jusqu'au décès. L'alimentation et l'hydratation en fin de vie Pourquoi questionner l'alimentation et l'hydratation en fin de vie ? ; quand parle-t-on d'alimentation et d'hydratation artificielles (AHA) ? ; comment se prend la décision d'arrêt ou de non mise en place d'une AHA ? La fin de vie : questions en cours en France et à l'international En France : le débat public depuis la loi Claeys-Leonetti, le cas Vincent Lambert, l'insuffisance d'acculturation et de moyens ; à l'international : le développement des soins palliatifs, Ã
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Annales française de médecine d'urgence - Fin de vie, limitation des thérapeu... - 0 views

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    À lire dans la revue Annales françaises de médecine d'urgence, un article de C. Joly, O. Coté et L.-M. Joly intitulé "Fin de vie, limitation des thérapeutiques, éthique et législation: un retour sur 50 ans d'évolution en France", dont voici le résumé: "Les urgentistes sont fréquemment confrontés à des décisions de limitation ou arrêt des thérapeutiques (LAT) en fin de vie. Il revient à l'urgentiste à la fois de décider la LAT et d'organiser les conditions de la fin de vie. Appliqué à des situations toujours singulières, parfois dramatiques, et dans lesquelles manquent souvent des informations à la phase initiale, l'exercice peut se révéler difficile. Sur le plan social et médiatique, la question de la fin de vie est récurrente. En seulement 20 ans, trois lois sont venues encadrer les décisions de LAT. Si la majorité de ces affaires ne concernaient pas directement les urgences, elles finissent par les impacter, car le problème de la fin de vie est universel. De plus, les urgentistes sont obligés d'appliquer les lois concernant la fin de vie, quand bien même celles-ci ne reconnaissent aucune spécificité à la mise en œuvre des LAT en urgence. Que ce soit dans l'espace médiatique, professionnel ou privé, la parole d'un médecin urgentiste sur ce sujet sensible doit reposer sur une bonne connaissance des faits. Il en va de la crédibilité de la discipline en particulier et de la médecine en général. Il nous paraît donc intéressant de présenter une rétrospective de l'évolution législative ou réglementaire au sujet de la fin de vie en France depuis les années 1970, en montrant comment cette évolution a été intriquée avec les grandes affaires médiatisées survenues à la même époque."
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N° 2435 - Proposition de loi de Mme Véronique Massonneau visant à assurer aux... - 0 views

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    "PROPOSITION DE LOI visant à assurer aux patients le respect de leur choix de fin de vie, (...) EXPOSÉ DES MOTIFS Mesdames, Messieurs, La loi du 22 avril 2005, relative aux droits des malades et à la fin de vie, a marqué, en France, une étape importante dans l'accompagnement des patients en fin de vie. En permettant le développement des soins palliatifs et la réduction considérable de l'acharnement thérapeutique, la France se dotait d'une première législation œuvrant pour le droit de mourir dans la dignité. Toutefois, cette loi demeure bien insuffisante. L'arrêt des soins qu'elle autorise se caractérise par l'arrêt de l'hydratation et de l'alimentation artificielle. Aussi, les conditions de décès dans lesquelles sont plongés les patients ne sont pas toujours aussi apaisées qu'ils l'auraient désiré. Aujourd'hui, l'on meurt toujours mal en France, comme le démontre l'étude MAHO (Mort à l'Hôpital), publiée en 2008, selon laquelle les soignants considèrent que seulement 35 % des décès s'y déroulent dans des conditions acceptables. La solution serait de ne pas se contenter du « laisser mourir » autorisé par la loi de 2005, mais autoriser le « faire mourir », encore prohibé. Plus de 90 % des Français sont d'ailleurs favorables à une légalisation de l'aide active à mourir. En outre, la pratique de l'euthanasie a déjà cours en France, mais d'une manière clandestine, pour répondre aux attentes légitimes de malades, de patients en fin de vie et en situation de souffrance. Il convient donc d'encadrer cette pratique afin d'éviter tout risque, tant pour le patient que pour le corps médical. La présente proposition de loi vise à assurer aux patients en fin de vie le droit de mourir dans la dignité. Cela se concrétise par l'ouverture du droit aux pratiques d'aide active à mourir, à savoir l'euthanasie et le suicide médicalement assisté, mais également par le renforcement
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IFOP - Le regard des Français sur la fin de vie - 0 views

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    "Alors qu'une proposition de loi vient d'être présentée pour instituer un « droit à une fin de vie libre et choisie » par le député Olivier Falorni, l'Ifop a interrogé les Français sur leur regard en ce qui concerne la fin de vie pour l'Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité (ADMD).   93% des Français considèrent que la loi française devrait autoriser les médecins à mettre fin, sans souffrance, à la vie de des personnes atteintes de maladies insupportables et incurables si elles le demandent. C'est un chiffre stable par rapport à notre dernière enquête datant de 2017. Les partisans de tous les partis politiques y sont favorables à au moins 90%.   Cette étude montre aussi que les Français sont majoritairement pour l'autorisation du suicide assisté pour des personnes souffrant de maladies insupportables et incurables. 89% approuvent cette idée, et seulement 4% pas du tout. C'est aussi un chiffre stable par rapport à 2017 (90%). Plus de deux tiers des interrogés (69%) jugent que la loi Claeys-Leonetti, relative aux droits des malades et à la fin de vie, doit être fortement modifiée ou abrogée car elle n'est pas efficace.   Ces questions sont prioritaires pour les Français. 87% estiment qu'il est urgent que l'Assemblée nationale débatte de ces questions. 83% déclarent que cette institution a vocation à parler de ces questions à travers un texte de loi. Preuve de l'importance du sujet, 1 Français sur 2 annonce être prêt à renoncer à voter en faveur d'un candidat proche de sa sensibilité politique mais qui, sur les questions liées à la fin de vie, se déclarerait opposé à la légalisation de l'euthanasie. C'est 18 points de plus qu'en 2017 (32%). Pour un candidat aux législatives, ce chiffre grimpe même à 58% aujourd'hui."
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Enjeux sanitaires et éthiques des affaires « Bonnemaison » et « Lambert » : Q... - 0 views

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    "Deux décisions de justice récentes mettent en lumière des enjeux éthiques majeurs pour notre pays. Le 24 juin 2014, le Conseil d'Etat a considéré que le fait de nourrir et hydrater Vincent Lambert, lourdement handicapé et qui n'est pas en fin de vie, pouvait être considéré comme une obstination déraisonnable, et qu'il n'était donc pas illégal que son médecin mette fin à l'alimentation et l'hydratation considérées comme « artificielles ». Le 25 juin 2014, le Dr Nicolas Bonnemaison a été acquitté par un jury d'assises, alors que l'avocat général avait demandé une peine de cinq ans de prison avec sursis. Ce médecin, accusé d'empoisonnement sur sept patients âgés en fin de vie, n'a pourtant pas respecté la loi Leonetti et a précipité vers la mort ces personnes, sans aucune concertation avec le personnel médical ou les familles. Quels signes ces décisions donnent-elles à notre société, qui se trouve ainsi confrontée à des défis sans précédent sur la place des personnes les plus vulnérables ? Progressivement, une partie de la société semble légitimer l'exclusion de personnes fragiles du fait de la maladie, du grand âge ou du handicap. Il parait essentiel de s'interroger sur cette forme de « confusion compassionnelle », qui provoque des attitudes ambiguës et des décisions dangereuses d'un point de vue éthique, sanitaire et sociétal : Arrêter de nourrir et d'hydrater, dans le but de provoquer la mort d'une personne qui n'est pas en fin de vie et qui n'a pas besoin d'autres traitements, pourrait-il devenir légitime au motif que cette situation constituerait un « maintien artificiel de la vie » ? Injecter un produit à dose mortelle à un patient pourrait-il ne plus être considéré comme une euthanasie, pour devenir une façon de soulager des souffrances exprimées ou supposées ? Ces décisions remettent gravement en cause le premier des droits de l'homme, le droit
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Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie - Guide pour les proches aidan... - 0 views

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    Le Centre National des Soins Palliatifs et de la Fin de Vie vous présente son nouvel outil pratique à destination des proches aidants d'une personne en fin de vie. Cet outil se présente sous la forme d'un guide dont l'objectif est de vous donner des repères sur ce qu'est la fin de vie, sur comment trouver sa place dans cette période particulière, etc. Au fils de ce guide, vous trouverez les associations et structures qui peuvent vous apporter une aide concrète. Ce guide vous indique également les congés et aides disponibles ainsi que vos droits en tant que proche aidant. Il a été conçu par un groupe de travail réunissant des spécialistes de l'écoute des proches et des aidants, ainsi que de l'accompagnement de fin de vie.
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Revue Droit et Cultures - La fin de vie. Préoccupations légales et éthiques - 0 views

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    Numéro intégralement disponible en ligne avec notamment les articles suivants : - Bilan et perspectives après deux décennies d'une politique d'accompagnement de la fin de vie en France - Pharmaceuticalisation et fin de vie. la sédation profonde comme nouvelle norme du "bien mourir" - Transformations des conditions du mourir et nouvelles formes de socialisation à la mort - Mourir à l'hôpital : aspects rituels et transculturels - La loi Leonetti : du droit à l'éthique - La fin de vie anticipée - Le bien mourir et la mort médicalisée - La prétendu "aide médicale à mourir" et la dignité humaine - La fin de vie comme question politique - Retour sur une analyse critique de la richesse et des limites du débat public sur la fin de vie en France depuis 17 ans (par Didier Sicard, ancien président du CCNE)
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Académie suisse des sciences médicales - Directives: Attitude face à la fin d... - 0 views

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    Compte tenu des évolutions médicales et sociétales, l'Académie suisse des sciences médicales a décidé de réviser ses directives « Fin de vie ». Les nouvelles directives « Attitude face à la fin de vie et à la mort » entrent en vigueur. La prise en charge des patients en phase terminale, le dialogue avec les patientes et les patients atteints d'une maladie mortelle et l'attitude à adopter avec les patients qui souhaitent mettre fin à leur vie sont au cœur des nouvelles directives « Attitude face à la fin de vie et à la mort ». Comme principale évolution par rapport aux anciennes directives, celles-ci abordent la question des demandes de suicides assistés émanant de patientes et de patients dont la mort n'est pas imminente.
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Ministère de la santé - La fin de vie - 0 views

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    Dossier mis en ligne le 18 octobre 2021 "La « fin de vie » désigne les derniers moments de vie d'une personne arrivant en phase avancée ou terminale d'une affection/ maladie grave et incurable. Pour le corps médical, à ce stade, l'objectif n'est pas de guérir mais plutôt de préserver jusqu'à la fin la qualité de vie des personnes et de leur entourage face aux symptômes et aux conséquences d'une maladie évolutive, avancée et à l'issue irrémédiable. Malgré le choc de l'annonce du diagnostic - il est essentiel de se poser ensemble, avec la personne malade, les questions clés avant d'entamer la prise en charge palliative. Que souhaite mon proche ? A-t-il/elle fait clairement état de ses volontés sur sa fin de vie ? Si oui, cela a-t-il été exprimé par écrit ? Dans le cas contraire, que faut-il faire ? Quel est le rôle de la personne de confiance ? A quoi servent les directives anticipées ? Comment éviter l'acharnement thérapeutique ? Comment apaiser les souffrances ? Le présent dossier est destiné à faire connaître vos droits, à vous apporter et à relayer une information fiable sur la fin de vie. Il vise tout particulièrement à sensibiliser tout un chacun à ce sujet, malades ou en bonne santé. Depuis 2005, jusqu' à la récente loi du 2 février 2016, de nouveaux droits ont été créés pour permettre à toute personne majeure d'exprimer ses volontés quant à sa fin de vie dans l'éventualité où elle ne serait pas en mesure de le faire le moment venu avec la rédaction des directives anticipées et le choix d'une personne de confiance"
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BVA - Les Français et la fin de vie - 0 views

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    "En préalable à la Convention citoyenne sur la fin de vie dont les travaux débuteront ce vendredi 9 décembre, BVA Group et le Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie ont réalisé une enquête pour appréhender les attentes des Français vis-à-vis de la fin de vie et l'état de leurs connaissances sur les dispositifs prévus par la loi. - Une certaine distance à la thématique - Des attentes tournées vers le soulagement de la souffrance et un univers familier - Une connaissance encore partielle des modalités de la fin de vie en France, et une opinion partagée vis-à-vis des lois actuelles"
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Fin de vie : pas d'euthanasie mais Hollande annonce une avancée en 2015 - Soc... - 0 views

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    "Le chef de l'Etat a annoncé vendredi qu'une loi sur la fin de vie serait prochainement votée sur la base du rapport Claeys-Leonetti, qui prévoit une "sédation profonde et continue" pour les patients en phase terminale mais sans aller jusqu'à l'euthanasie. François Hollande a annoncé vendredi qu'un "débat sur la base d'une déclaration du gouvernement" serait "organisé dès le mois de janvier" à l'Assemblée nationale sur la fin de vie, avant "la présentation d'une proposition" de loi et le vote d'un texte. Le chef de l'Etat a par ailleurs annoncé qu'un "enseignement spécifique" serait proposé aux professions médicales dès la rentrée 2015, s'intégrant dans un "plan triennal" pour le développement des soins palliatifs. Le chef de l'Etat s'est fait remettre un rapport sur ce thème par les députés Jean Leonetti (UMP) et Alain Claeys (PS). Mandatés en juin par le Premier ministre sur ce sujet délicat qui divise la société, les deux députés, auteur de l'actuelle loi sur la fin de vie, devraient proposer des mesures pour mieux tenir compte des souhaits des patients et leur assurer une "fin de vie apaisée". Mais sans aller jusqu'au suicide assisté ou à l'euthanasie, autorisés dans plusieurs pays européens. "On meurt mal aujourd'hui en France", a estimé dans l'Obs Jean Leonetti, qui veut permettre "aux gens de partir doucement et sans souffrance". Selon les deux parlementaires, le rapport qui sera remis au Président de la République sera accompagné d'une proposition de loi commune qui pourrait être présentée au Parlement l'an prochain. "
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Communiqué de presse du 23 octobre 2014 | SFAP - 0 views

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    "Fin de vie : le CCNE qualifie de « scandale » le non accès pour tous aux soins palliatifs Dans son rapport sur le débat public concernant la fin de vie publié aujourd'hui, le Comité Consultatif National d'Ethique (CCNE) souligne « le scandale que constitue, depuis 15 ans, le non accès aux droits reconnus par la loi, la situation d'abandon d'une immense majorité des personnes en fin de vie, et la fin de vie insupportable d'une très grande majorité de nos concitoyens ». Pour la Société Française des Soins Palliatifs (SFAP), la réponse à ce constat sévère mais juste est la mise en place d'une politique efficace d'accompagnement de la fin de vie. Elle doit reposer sur 5 objectifs majeurs"
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CNSFVP - Un an de politique active en faveur des directives anticipées - Les ... - 0 views

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    2 ans après la loi créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie, 1 an après la 1ère campagne nationale d'information sur les droits des Français relatifs à la fin de vie, le Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie dresse aujourd'hui un premier bilan des politiques publiques relatives à la fin de vie. En 2017, le Centre a concentré une partie de ses travaux autour des directives anticipées, outil que la loi du 2 février 2016 a fait évoluer, afin d'améliorer l'information du grand public et des professionnels, approfondir les connaissances sur ce dispositif et assurer le suivi de la politique publique menée en un an. - La campagne grand public lancée début 2017 a été reconnue par les Français, jugée claire et adaptée, incitant à la prise de parole sur la fin de vie (83%). 41% des Français qui se souvenaient de la campagne en ont parlé avec leur entourage. - Le Centre est allé à la rencontre des citoyens, en organisant des soirées dans 13 villes. 2000 personnes ont échangé autour du thème : « Les directives anticipées, à quoi ça sert ? ».Il ressort de ces débats que ce qui intéresse le plus, c'est le dialogue et l'échange avec ses proches. C'est une incitation à clarifier ses idées pour être davantage préparé, un moyen d'en parler et de préparer ses proches, etc. - Des praticiens et experts ont évalué l'impact sur le terrain de la promotion des directives anticipées par les pouvoirs publics.Plus que l'écriture de directives, ce qui est important ce sont les conversations anticipées autour des valeurs des malades. Par ailleurs, si le fait d'écrire est une véritable avancée du droit du malade, il ne faudrait pas que ce droit se retourne contre lui et devienne une obligation.
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CNSFVP - Les soirées en région - Les directives anticipées à quoi ça sert ? - 0 views

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    2 ans après la loi créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie, 1 an après la 1ère campagne nationale d'information sur les droits des Français relatifs à la fin de vie, le Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie dresse aujourd'hui un premier bilan des politiques publiques relatives à la fin de vie. En 2017, le Centre a concentré une partie de ses travaux autour des directives anticipées, outil que la loi du 2 février 2016 a fait évoluer, afin d'améliorer l'information du grand public et des professionnels, approfondir les connaissances sur ce dispositif et assurer le suivi de la politique publique menée en un an. - La campagne grand public lancée début 2017 a été reconnue par les Français, jugée claire et adaptée, incitant à la prise de parole sur la fin de vie (83%). 41% des Français qui se souvenaient de la campagne en ont parlé avec leur entourage. - Le Centre est allé à la rencontre des citoyens, en organisant des soirées dans 13 villes. 2000 personnes ont échangé autour du thème : « Les directives anticipées, à quoi ça sert ? ».Il ressort de ces débats que ce qui intéresse le plus, c'est le dialogue et l'échange avec ses proches. C'est une incitation à clarifier ses idées pour être davantage préparé, un moyen d'en parler et de préparer ses proches, etc. - Des praticiens et experts ont évalué l'impact sur le terrain de la promotion des directives anticipées par les pouvoirs publics.Plus que l'écriture de directives, ce qui est important ce sont les conversations anticipées autour des valeurs des malades. Par ailleurs, si le fait d'écrire est une véritable avancée du droit du malade, il ne faudrait pas que ce droit se retourne contre lui et devienne une obligation.
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Parlons Fin de Vie - Des infographies pour accompagner et dialoguer autour de la fin de... - 0 views

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    "Que l'on soit un proche accompagnant une personne en fin de vie ou un professionnel de santé, de nombreuses questions peuvent émerger : quels sont les droits d'une personne en fin de vie ? Quels sont les dispositifs qui existent pour l'accompagner ? Qu'est-ce que la sédation profonde et continue jusqu'au décès ? Comment dialoguer avec une personne en fin de vie ? En tant qu'organisme national chargé d'informer sur les dispositifs et droits existants, le Centre a élaboré deux livrets comprenant des infographies par thème, pour permettre à chacun de trouver facilement les informations et contacts. Le 1er est destiné aux professionnels de santé et le second s'adresse à toutes les personnes qui souhaitent s'informer et connaître les principales notions et les dispositifs dédiés."
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La Croix - Fin de vie, fin du monde : une même vision ? - 0 views

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    "L'été a été marqué par des discours apocalyptiques de fin du monde. Avec dans le même temps, une offensive inégalée des partisans de l'euthanasie : fin de vie, fin du monde, comme le signe d'une même désespérance, alimentée par une vision anthropocentriste à l'extrême ?"
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Dijon - Fin de vie. Mgr Hérouard : "Comment demander au personnel médical de ... - 0 views

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    "Les questions éthiques reviennent sur le devant de la scène politique et médiatique avec l'annonce par le Président de la République d'un débat citoyen sur la fin de vie, lequel pourrait déboucher sur un nouveau projet de loi. La fin de vie est une question intime, qui touche chaque citoyen, croyant ou non et qui a des conséquences sur l'équilibre même de notre société. Chacun de nous a l'expérience de la fin de vie de proches qui est souvent une expérience douloureuse, non seulement par la séparation qui marque la mort mais par les conditions plus ou moins difficiles dans laquelle elle est survenue. La question première est celle de la souffrance, physique et morale, et de la manière de l'atténuer lorsqu'elle survient. La médecine a pu faire des progrès considérables dans le traitement et le soulagement de la douleur mais trop de gens n'y ont pas accès et les services de soins palliatifs ont pris du retard dans leur développement. J'ai pu voir d'expérience, lorsqu'ils sont bien mis en œuvre, ce qu'ils peuvent procurer comme apaisement pour la personne en fin de vie et surtout comme qualité relationnelle avec les proches : capacité à se dire au-revoir, confidences précieuses pour ceux qui restent, réconciliation possible dans des tensions familiales."
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