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Consultation citoyenne : Droits des malades et fin de vie - Assemblée nationale - 0 views

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    "Exposé des motifs Nos concitoyens souhaitent dans leur immense majorité être entendus, c'est-à-dire disposer de leur vie jusqu'à son ultime moment tout en bénéficiant d'une mort apaisée. Par ailleurs, de fortes inégalités entre établissements de santé, au sein même de ceux-ci, entre structures médicalisées ou non, adjointes à la méconnaissance des dispositions légales, créent encore trop souvent, aujourd'hui, les conditions d'une mort peu digne d'une société avancée. Nourrie par des débats éthiques, des expériences et des convictions philosophiques ou religieuses personnelles, relancée par des événements très médiatisés, la question de la fin de vie occupe une large place dans notre société. Nous devons y répondre avec sagesse et clarté. Depuis plusieurs années, de nombreux pas ont été franchis : reconnaissance de droits accrus aux malades dans le sillage de la loi du 4 mars 2002, développement des soins palliatifs, condamnation de l'obstination déraisonnable, mise en place par la loi d'une procédure collégiale d'arrêt des traitements, même lorsque la souffrance du patient en fin de vie ne peut être évaluée, ont modifié très sensiblement les données médicales de la fin de vie de nos concitoyens. La loi du 22 avril 2005, dite Loi Leonetti, a continué de produire de l'autonomie pour les malades par la condamnation de l'obstination déraisonnable, la mise en place par la loi d'une procédure collégiale d'arrêt des traitements même lorsque la souffrance du patient en fin de vie ne peut être évaluée et la création de directives anticipées. Pendant la campagne pour l'élection présidentielle de 2012, François Hollande a souhaité aller plus loin en proposant que « toute personne majeure en phase avancée ou terminale d'une maladie incurable, provoquant une souffrance physique ou psychique insupportable, et qui ne peut être apaisée, puisse demander, dans des conditions prÃ
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Haute autorité de santé - Comment mieux accompagner les patients en fin de vi... - 0 views

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    La HAS publie aujourd'hui un guide à destination des professionnels de santé afin de les aider à mettre en œuvre une sédation profonde et continue maintenue jusqu'au décès, pratique sédative prévue par la loi Claeys-Leonetti, que les patients peuvent demander dans des circonstances précises. Ce travail complète une série de travaux de la HAS sur l'accompagnement de la fin de vie : rédaction des directives anticipées, mise en place d'une démarche palliative ou encore maintien à domicile des patients qui nécessitent des soins palliatifs. L'ensemble de ces travaux vise à entendre la demande des patients de finir leur vie chez eux, sans souffrir ainsi qu'à outiller les professionnels de santé, à l'hôpital comme en ville, pour appréhender cette situation. Les situations de fin de vie concernent notamment les personnes qui ont une maladie grave, évolutive, en phase avancée, potentiellement mortelle ou lorsque le pronostic vital est engagé à court ou moyen terme, après un accident par exemple. L'accompagnement de la fin de vie est un sujet dont il faut discuter, avec son médecin et ses proches, afin de faciliter sa propre prise en charge le moment venu. En effet, en France, trois personnes sur quatre désirent finir leur vie chez eux et 11 % des Français de plus de 50 ans ont désormais rédigé leurs directives anticipées. Ce dernier chiffre reste faible et les Français demeurent mal informés ou peu à l'aise pour envisager concrètement leur fin de vie. Par ailleurs, seule la moitié des malades qui relèvent de soins palliatifs en bénéficie effectivement, qu'ils soient à l'hôpital mais surtout dans leur lieu de vie. Plusieurs facteurs l'expliquent : inégalité des ressources sur le territoire, manque de formation des professionnels en soins palliatifs, méconnaissance de la loi et des dispositifs existants. Pour améliorer la situation, le ministère chargé de la Santé a lancé en 2016 un plan soins pall
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Enjeux sanitaires et éthiques des affaires « Bonnemaison » et « Lambert » : Q... - 0 views

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    "Deux décisions de justice récentes mettent en lumière des enjeux éthiques majeurs pour notre pays. Le 24 juin 2014, le Conseil d'Etat a considéré que le fait de nourrir et hydrater Vincent Lambert, lourdement handicapé et qui n'est pas en fin de vie, pouvait être considéré comme une obstination déraisonnable, et qu'il n'était donc pas illégal que son médecin mette fin à l'alimentation et l'hydratation considérées comme « artificielles ». Le 25 juin 2014, le Dr Nicolas Bonnemaison a été acquitté par un jury d'assises, alors que l'avocat général avait demandé une peine de cinq ans de prison avec sursis. Ce médecin, accusé d'empoisonnement sur sept patients âgés en fin de vie, n'a pourtant pas respecté la loi Leonetti et a précipité vers la mort ces personnes, sans aucune concertation avec le personnel médical ou les familles. Quels signes ces décisions donnent-elles à notre société, qui se trouve ainsi confrontée à des défis sans précédent sur la place des personnes les plus vulnérables ? Progressivement, une partie de la société semble légitimer l'exclusion de personnes fragiles du fait de la maladie, du grand âge ou du handicap. Il parait essentiel de s'interroger sur cette forme de « confusion compassionnelle », qui provoque des attitudes ambiguës et des décisions dangereuses d'un point de vue éthique, sanitaire et sociétal : Arrêter de nourrir et d'hydrater, dans le but de provoquer la mort d'une personne qui n'est pas en fin de vie et qui n'a pas besoin d'autres traitements, pourrait-il devenir légitime au motif que cette situation constituerait un « maintien artificiel de la vie » ? Injecter un produit à dose mortelle à un patient pourrait-il ne plus être considéré comme une euthanasie, pour devenir une façon de soulager des souffrances exprimées ou supposées ? Ces décisions remettent gravement en cause le premier des droits de l'homme, le droit
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La Nef - Euthanasie : de quoi le médecin devient-il le professionnel ? - 0 views

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    "Alors que nous sommes en pleine pandémie et que les médecins se battent pour sauver des vies, un projet de loi sur l'euthanasie a été soumis à l'Assemblée Nationale jeudi 8 avril dernier, et aurait pu être adopté si le nombre d'amendements n'avait pas été aussi important. Euthanasie, ou plutôt, « assistance médicalisée à mourir ». Une expression plus politiquement correcte, semble-t-il, car le mot « euthanasie » n'apparaissait pas dans le projet de loi. Olivier Falorni, rapporteur du texte, insiste sur le caractère volontaire de l'omission du terme, en disant « qu'il doit s'agir d'un acte médical, même en cas de suicide assisté ». Cela en dit long sur la croyance qu'en changeant les mots, on change la nature de la chose. Autrement dit, ce qui, hors du cadre médical serait considéré comme un assassinat ou un meurtre devient, par la magie du cadre médical et de nos mains de soignants, une « fin de vie libre, digne et choisie ». Cela n'est pas autre chose que du nominalisme."
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Ifop - Le regard des Français sur la fin de vie - 0 views

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    "Quelques jours avant la publication, le 23 octobre 2014 d'un rapport rendant compte du débat public sur la fin de vie par le Comité consultatif national d'éthique pour les sciences de la vie et de la santé (CCNE), l'Ifop a interrogé les Français pour l'Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité sur les questions posées par la fin de vie. Les personnes interrogées se montrent ainsi favorables à une extension des possibilités permises par la loi Leonetti. 96% des Français jugent que la loi française devrait autoriser les médecins à mettre fin, sans souffrance, à la vie des personnes souffrant de maladies insupportables et incurables demandant une euthanasie. La proportion de personnes souhaitant « absolument » autoriser ce droit s'élève à 54%, en hausse de 10 points par rapport à la vague précédente. Dans le détail, les sympathisants des différentes formations politiques, de gauche comme de droite, se montrent à une large majorité favorables. Les Français ne portent pas de jugement négatif sur les cas des personnes qui partent en Suisse pour bénéficier d'un suicide assisté. S'agissant de ce phénomène, 94% des interviewés déclarent le comprendre car ces personnes ont le droit de choisir la façon de finir leur propre vie, tandis que 92% considèrent que cela montre que la loi Leonetti sur la fin de vie fonctionne de manière insatisfaisante. Dans la perspective de l'élection présidentielle de 2017, une prise de position en défaveur de la légalisation de l'euthanasie d'un candidat en lice pourrait être sanctionnée par une proportion non négligeable de personnes. 40% des Français déclarent en effet être prêts à renoncer à voter en faveur d'un candidat proche de leur sensibilité politique, mais opposé à la légalisation de l'euthanasie. "
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Le pape François sur la fin de vie : ni acharnement, ni euthanasie - La Vie - 1 views

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    "Dans un message envoyé à l'occasion d'une rencontre européenne de l'association mondiale de médecine, le pape François a réaffirmé de manière claire la position du Magistère sur l'accompagnement des malades en fin de vie : ni acharnement thérapeutique, ni euthanasie. Mais face à l'évolution des techniques médicales permettant de prolonger la vie, il a également à appelé à une ré-évaluation précise des situations pour éviter des « traitements trop zélés »."
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Euthanasie : les médecins des soins palliatifs réclament d'abord l'applicatio... - 0 views

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    Presse La Vie Euthanasie : les médecins des soins palliatifs réclament d'abord l'application de la loi sur la fin de vie - ACY- vu el 10/10/2012
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Rennes - Parole de l'Évêque - 10 février : priez pour le respect de la vie - 0 views

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    "Encouragés ainsi à prier, nous pouvons tous nous réunir dans la prière afin de demander que la vie humaine soit davantage respectée. Des aveuglements sur la beauté de la vie, des manques de moyens et d'accompagnements, des erreurs sur la liberté réduite à une autonomie absolue, engendrent de graves manques de respect depuis le commencement de la vie jusqu'à sa fin naturelle. Quand l'Assemblée nationale a voté pour que l'avortement soit inscrit dans la Constitution française, les évêques de France ont attiré l'attention sur la beauté de la vie qui croît dans le sein de la mère : « Toute vie est un don pour ce monde. » Dans une société où est magnifiée la performance et dans laquelle l'individualisme affecte nos mentalités, la prise en considération fraternelle de la personne fragilisée, ou en fin de vie, n'est pas mise à sa juste valeur. L'euthanasie apparaît normale aux yeux de certains ! Les évêques ont signé une lettre « Ô mort, où est ta victoire ? » Elle peut aider chacun à méditer sur la mort et sur l'accompagnement fraternel envers nos frères et sœurs en fin de vie."
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Institut européen de bioéthique - Euthanasie et "vie accomplie" aux Pays Bas - 0 views

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    Faut-il incorporer la notion de « vie accomplie » parmi le nombre de pathologies pouvant justifier un acte d'euthanasie ? Aux Pays-Bas, cela fait plusieurs années déjà que cette question occupe l'opinion publique. Elle suscite la réflexion éthique et renouvelle le débat politique sur la fin de vie. Le présent dossier retrace une partie de cette réflexion. Il reprendra tout d'abord la réponse politique donnée par le gouvernement néerlandais à la question des euthanasies pour « vie accomplie ». Il présentera ensuite deux définitions du concept, élaborées par différentes instances néerlandaises, qui se sont chacune penchée sur le phénomène de « vie accomplie » avec leur regard propre. Il abordera enfin la thèse de doctorat de la chercheuse néerlandaise Els van Wijngaarden. Cette thèse représente la première enquête sur le terrain et recherche scientifique de cette ampleur sur le sujet.
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FAIT-RELIGIEUX | fr | Rassemblement pro-euthanasie à Paris | ADMD | euthanasi... - 0 views

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    "La principale organisation favorable à l'euthanasie en France, l'Association pour le droit à mourir dans la dignité (ADMD) a organisé le 2 novembre une série de rassemblements pour réclamer « une loi de liberté qui permette à chacun de décider des conditions de sa propre fin de vie », a annoncé son président Jean-Luc Romero. Ce dernier a déclaré craindre « une loi Leonetti de gauche » qui ne ferait qu'améliorer marginalement la loi existante dite Leonetti qui encadre la fin de vie. « Nous voulons complètement changer de logique, on veut que ce soit le patient qui soit au centre et qui décide et pas ceux qui sont autour de lui », a déclaré l'élu apparenté socialiste du conseil régional d'Ile-de-France. L'association anti-euthanasie Alliance Vita a dénoncé « la récupération du jour des défunts par les promoteurs de l'euthanasie » alors que le 2 novembre a été baptisé par l'ADMD « journée mondiale pour le droit à mourir dans la dignité »."
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Euthanasie : la société doit savoir ce qu'elle veut | Causeur - 0 views

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    Dans son article "Euthanasie : un Homme, combien d'éléphants ?" publié dans nos colonnes vendredi , Théophane Le Méné avance une hypothèse dérangeante : et si derrière le projet affiché de permettre à certains malades de "mourir dans la dignité", se cachait la volonté d'« arrêter les frais » lorsque certaines vies coûteuses sont jugées pire que la mort ? Formulée ainsi, la question du « coût de la vie » ou plus exactement du coût du maintien en vie, choque. À la réflexion, elle mérite pourtant d'être posée, avancée et débattue. Aussi difficile à admettre que cela puisse paraître, la vie a un prix et puisque nous vivons dans un monde où les ressources sont limitées le terme « prix » n'évoque pas un vulgaire chiffre qu'on peut traiter par le mépris mais pose la question de l'alternative : à quoi renonce-t-on quand on fait un choix quelconque ?
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Annales française de médecine d'urgence - Fin de vie, limitation des thérapeu... - 0 views

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    À lire dans la revue Annales françaises de médecine d'urgence, un article de C. Joly, O. Coté et L.-M. Joly intitulé "Fin de vie, limitation des thérapeutiques, éthique et législation: un retour sur 50 ans d'évolution en France", dont voici le résumé: "Les urgentistes sont fréquemment confrontés à des décisions de limitation ou arrêt des thérapeutiques (LAT) en fin de vie. Il revient à l'urgentiste à la fois de décider la LAT et d'organiser les conditions de la fin de vie. Appliqué à des situations toujours singulières, parfois dramatiques, et dans lesquelles manquent souvent des informations à la phase initiale, l'exercice peut se révéler difficile. Sur le plan social et médiatique, la question de la fin de vie est récurrente. En seulement 20 ans, trois lois sont venues encadrer les décisions de LAT. Si la majorité de ces affaires ne concernaient pas directement les urgences, elles finissent par les impacter, car le problème de la fin de vie est universel. De plus, les urgentistes sont obligés d'appliquer les lois concernant la fin de vie, quand bien même celles-ci ne reconnaissent aucune spécificité à la mise en œuvre des LAT en urgence. Que ce soit dans l'espace médiatique, professionnel ou privé, la parole d'un médecin urgentiste sur ce sujet sensible doit reposer sur une bonne connaissance des faits. Il en va de la crédibilité de la discipline en particulier et de la médecine en général. Il nous paraît donc intéressant de présenter une rétrospective de l'évolution législative ou réglementaire au sujet de la fin de vie en France depuis les années 1970, en montrant comment cette évolution a été intriquée avec les grandes affaires médiatisées survenues à la même époque."
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Euthanasie : le drame de Chambéry relance le débat sur la fin de vie - 0 views

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    "IN DE VIE - L'aide soignante elle-même n'emploie pas le mot "euthanasie". Pourtant le geste de cette jeune femme de 30 ans qui a empoisonné neuf pensionnaires d'une maison de retraite près de Chambéry, dont six mortellement, relance immanquablement le débat sur la fin de vie."
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SFAP - Communiqué de presse - Euthanasie, le modèle français d'accompagnement... - 0 views

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    "Dans le cadre de la révision des lois de bioéthique, le Conseil d'Etat, le Comité National Consultatif d'Ethique, l'Inspection Générale des Affaires Sociales, se sont prononcés pour le maintien du cadre législatif actuel sur la fin de vie (Loi Claeys-Leonetti de 2016). Pourtant, - Pas moins de trois propositions de loi visant à légaliser l'euthanasie et le suicide assisté ont été déposées sur le bureau de l'Assemblée Nationale.  - Des personnalités publiques affirment faussement que 4.000 euthanasies clandestines seraient pratiquées annuellement en France.  - Un médecin belge multiplie en France des interventions confinant au dénigrement du système de santé français.   Il faut revenir à un peu de clarté et de vérité sur le sujet sensible et fondamental de l'accompagnement de la fin de vie.   Les soignants et les bénévoles attachés au service des patients ne peuvent pas être disqualifiés, et les patients, déjà fragilisés par leur santé, ne doivent pas être inquiétés : si l'accompagnement de la fin de vie doit toujours être amélioré, le cadre français fournit le compromis le plus recevable, tandis que les alertes se multiplient sur les graves dérives que connaissent les systèmes étrangers pourtant cités en exemple."
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Rapport Claeys-Leonetti : vers une euthanasie déguisée ? - Aleteia - 0 views

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    "Le collectif « Soulager mais pas tuer » réagit aux conclusions du rapport Claeys-Leonetti. « Soulager mais pas tuer » s'inquiète du contournement des mots ''euthanasie'' et ''suicide assisté'' sous l'expression « sédation profonde et continue jusqu'au décès », évoquée comme un nouveau droit et une obligation pour certains cas spécifiques (p.20 à 23 du Rapport). Ceci confirme la menace d'une euthanasie déguisée. « Il faut aider à vivre, pas à mourir. Le respect de la dignité de chacun passe par le respect de son droit à l'imperfection », rappelle Philippe Pozzo di Borgo, parrain du collectif."
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Euthanasie et sédation : sortir de la confusion - Politique - Société | Famil... - 0 views

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    "À force de baigner dedans à longueur de journée, les subtilités lexicales du débat sur la fin de vie n'ont plus de secret pour les spécialistes et les journalistes chargés de suivre ces questions. Euthanasie, suicide assisté, sédation terminale, sédation profonde, sédation en phase terminale, directives anticipées, personne de confiance… Sauf lorsque des jurys citoyens en modifient volontairement le sens, chacun de ces termes renvoie à une définition précise, à un acte déterminé, à une intention spécifique, voire à une éthique bien définie. Mais pour le grand public, pour ces patients en fin de vie et pour leurs proches, les contours de ces notions ne sont pas aussi nets. Elles fluctuent au gré de leurs connaissances personnelles, des discussions qu'ils ont pu avoir avec leur médecin et de ce qu'ils en ont retenu."
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Fin de vie : les pro et anti-euthanasie ont aiguisé leurs armes - 0 views

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    "La proposition de loi sur la fin de vie se veut consensuelle. Mais l'ambiance est tendue avant le débat de mardi dans l'hémicycle. À gauche, un amendement pro-euthanasie a reçu le soutien de 122 députés PS. À droite, des élus de l'Entente parlementaire pour la Famille ont déposé quelque 1000 amendements sur le texte."
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N° 2435 - Proposition de loi de Mme Véronique Massonneau visant à assurer aux... - 0 views

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    "PROPOSITION DE LOI visant à assurer aux patients le respect de leur choix de fin de vie, (...) EXPOSÉ DES MOTIFS Mesdames, Messieurs, La loi du 22 avril 2005, relative aux droits des malades et à la fin de vie, a marqué, en France, une étape importante dans l'accompagnement des patients en fin de vie. En permettant le développement des soins palliatifs et la réduction considérable de l'acharnement thérapeutique, la France se dotait d'une première législation œuvrant pour le droit de mourir dans la dignité. Toutefois, cette loi demeure bien insuffisante. L'arrêt des soins qu'elle autorise se caractérise par l'arrêt de l'hydratation et de l'alimentation artificielle. Aussi, les conditions de décès dans lesquelles sont plongés les patients ne sont pas toujours aussi apaisées qu'ils l'auraient désiré. Aujourd'hui, l'on meurt toujours mal en France, comme le démontre l'étude MAHO (Mort à l'Hôpital), publiée en 2008, selon laquelle les soignants considèrent que seulement 35 % des décès s'y déroulent dans des conditions acceptables. La solution serait de ne pas se contenter du « laisser mourir » autorisé par la loi de 2005, mais autoriser le « faire mourir », encore prohibé. Plus de 90 % des Français sont d'ailleurs favorables à une légalisation de l'aide active à mourir. En outre, la pratique de l'euthanasie a déjà cours en France, mais d'une manière clandestine, pour répondre aux attentes légitimes de malades, de patients en fin de vie et en situation de souffrance. Il convient donc d'encadrer cette pratique afin d'éviter tout risque, tant pour le patient que pour le corps médical. La présente proposition de loi vise à assurer aux patients en fin de vie le droit de mourir dans la dignité. Cela se concrétise par l'ouverture du droit aux pratiques d'aide active à mourir, à savoir l'euthanasie et le suicide médicalement assisté, mais également par le renforcement
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La Croix - Pour le pape François, seule une société qui s'oppose à la "cultur... - 0 views

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    "Dans la matinée du 30 janvier 2020, le pape François a reçu en audience, salle Clémentine au Vatican, les participants à l'Assemblée plénière de la Congrégation pour la doctrine de la foi. Une assemblée consacrée à la prise en charge des personnes dans les phases critiques et terminales de leur vie. De ce fait, lors de son intervention, le pape François a évoqué la valeur intangible de la vie humaine, la question des soins à l'égard des malades en fin de vie, ainsi que la nécessité de réécrire la « grammaire » de l'accueil et des soins envers la personne souffrante. « Le contexte socio-culturel actuel mine progressivement la conscience de ce qui rend la vie humaine précieuse, a-t-il constaté. En effet, celle-ci est de plus en plus souvent évaluée en raison de son efficacité et de son utilité, à tel point que l'on considère comme des "vies rejetées" ou des "vies indignes" celles qui ne répondent pas à ce critère. » Pour le pape François, une société ne mérite d'être qualifiée de « civilisée » que si « elle développe les anticorps contre la culture du rejet », reconnaît « la valeur intangible de la vie humaine » et « si la solidarité est effectivement pratiquée et sauvegardée ». Il a également évoqué, pour les encourager, les centres de soins palliatifs « où l'on pratique avec engagement la "thérapie de la dignité" », thérapie qui alimente « l'amour et le respect pour la vie »."
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IFOP - Le regard des Français sur la fin de vie - 0 views

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    "Alors qu'une proposition de loi vient d'être présentée pour instituer un « droit à une fin de vie libre et choisie » par le député Olivier Falorni, l'Ifop a interrogé les Français sur leur regard en ce qui concerne la fin de vie pour l'Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité (ADMD).   93% des Français considèrent que la loi française devrait autoriser les médecins à mettre fin, sans souffrance, à la vie de des personnes atteintes de maladies insupportables et incurables si elles le demandent. C'est un chiffre stable par rapport à notre dernière enquête datant de 2017. Les partisans de tous les partis politiques y sont favorables à au moins 90%.   Cette étude montre aussi que les Français sont majoritairement pour l'autorisation du suicide assisté pour des personnes souffrant de maladies insupportables et incurables. 89% approuvent cette idée, et seulement 4% pas du tout. C'est aussi un chiffre stable par rapport à 2017 (90%). Plus de deux tiers des interrogés (69%) jugent que la loi Claeys-Leonetti, relative aux droits des malades et à la fin de vie, doit être fortement modifiée ou abrogée car elle n'est pas efficace.   Ces questions sont prioritaires pour les Français. 87% estiment qu'il est urgent que l'Assemblée nationale débatte de ces questions. 83% déclarent que cette institution a vocation à parler de ces questions à travers un texte de loi. Preuve de l'importance du sujet, 1 Français sur 2 annonce être prêt à renoncer à voter en faveur d'un candidat proche de sa sensibilité politique mais qui, sur les questions liées à la fin de vie, se déclarerait opposé à la légalisation de l'euthanasie. C'est 18 points de plus qu'en 2017 (32%). Pour un candidat aux législatives, ce chiffre grimpe même à 58% aujourd'hui."
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