Skip to main content

Home/ Ubicast (Public)/ Group items tagged MOOC

Rss Feed Group items tagged

lauraschmitz1992

Le blended learning, l'avenir des écoles | Miss MOOC & sa Team - 1 views

  • Le blended learning, l’avenir des écoles
  • Quand la pédagogie et la technologie se rencontrent… « Si vous pensez que l’explosion numérique ne vous concerne pas, vous venez de commettre votre première erreur ». 
Jean-Marie Cognet

Le futur de l'éducation s'écrit en numérique - Largeur.com - 1 views

  • Start-ups et enseignants développent de nouvelles méthodes d’apprentissage pour améliorer l’expérience pédagogique. Les technologies digitales y contribuent de manière importante. A l’EPFL, elles permettent de réduire le taux d’échec.
lauraschmitz1992

Le numérique transforme l'enseignement - 0 views

  • Dans le supérieur, on peut assister aux cours de professeurs renommés dans le monde entier, depuis chez soi, grâce aux MOOC, les « Massive Online Open Courses ». Mais également dans les collèges et lycées où le principe de la « classe inversée » gagne en popularité. La classe devient lieu d’échange et d’approfondissement de connaissances acquises à distance.
  •  
    "haque élève ou étudiant s'organise comme il le veut durant les phases d'apprentissage à distance. Et sa marge de liberté s'est ­accrue sur les lieux d'ense"
Jean-Marie Cognet

Quand les nouvelles pédagogies bousculent l'enseignement supérieur | Il y a u... - 1 views

  • Si la pédagogie devient peu à peu un enjeu majeur c’est notamment parce qu’il faut bien imaginer comment les 350 000 nouveaux étudiants qui doivent rejoindre l’enseignement supérieur dans les dix ans vont pouvoir y réussir. 300 millions d’euros vont ainsi être consacrés au développement des pédagogies dans l’enseignement supérieur dans le cadre des « Nouveaux cursus à l’université ».
  •  En école de management nous individualisons déjà les parcours pour renforcer les étudiants dans leurs manques identifiés suite à des tests de langue, informatique, gestion, etc. », établit Jean-Christophe Hauguel dont les étudiants peuvent aussi compter sur des contenus multimédias dans le cadre de son programme grande école qui est l’un des seuls à être 100% en ligne.
  • L’Ecole de management Léonard de Vinci (EMLV) recourt quant à elle largement à la « classe inversée » : pour plus de la moitié de nos cours l’acquisition des connaissances doit se faire en dehors de la salle de cours. « En amont, nous demandons à nos étudiants de lire tel ou tel chapitre d’un livre sur la finance (nous sommes abonnés à Scholarvox par exemple), de regarder des vidéos, des Moocs, etc. Autant de connaissances dont nous vérifions la bonne acquisition dès le début du cours par une séquence de test de 5 à 10 minutes. Cela correspond à la fois à une demande de nos étudiants, qui ont de plus en plus de mal à suivre des cours magistraux, et des professeurs qui peuvent mettre en application les données acquises au travers d’exercices », explique le directeur de l’EMLV, Sébastien Tran.
  • ...3 more annotations...
  • « La classe inversée rend du temps aux étudiants qui font plus appel au collectif. A contrario les plus égocentrés souffrent car ils n’apprécient pas de voir leur travail dilué », établit Albéric Tellier, responsable du master Management de l’innovation de l’IAE Caen.
  • L’introduction de ces nouvelles pédagogies est facilitée par l’utilisation de nouveaux espaces, de nouveaux matériels. Essca EM (Angers-Paris) a ainsi créé des salles de classe dite intelligentes appelées PECT (Pédagogie en Environnement Collaboratif et Technologique) aménagées et équipées de façon à renforcer l’interactivité entre le professeur et les élèves mais aussi entre les élèves et à vérifier, en temps réel, la bonne acquisition des connaissances. Des vidéoprojecteurs et des écrans blancs installés offrent une vision à 360° pour tous les îlots de travail collaboratif qui sont eux-mêmes de forme ronde. Des « mini-quiz » réguliers envoyés sur tous les ordinateurs des étudiants donnent la possibilité aux professeurs d’obtenir des statistiques anonymes et immédiates. « Ces outils permettent à l’enseignant de passer facilement d’un registre pédagogique à un autre (cours magistral, exercices individuels, mini-travaux de groupe, etc.) et de relancer ainsi l’attention des étudiants », confie Stéphane Justeau, le directeur de valorisation de l’enseignement de l’école.
  • Du côté de Sciences Po, qui vient de créer un laboratoire de « pédagogie active », on ne nie pas les difficultés mais on positive. « C’est clair que c’est plus facile de trouver des professeurs volontaires quand il existe des financements. Mais beaucoup sont également volontaires quand nous réussissons à faire la démonstration de l’utilité des pédagogies innovantes. Il règne une vraie émulation collective dès lors qu’on peut montrer à ses pairs ces réalisations et que nous pouvons les accompagner », a
Jean-Marie Cognet

Combiner les stratégies de production de e-learning - 1 views

  • La première stratégie : sous-traiter la production de ces contenus à des studios extérieurs. Solution indispensable pour certaines modalités de formation (MOOC, serious game voire module e-learning scénarisé, etc.). Problème : le coût est élevé, souvent de l'ordre de 1.000 à 1.500 euros la minute pour du e-learning scénarisé. Cette solution n’est pas viable à long terme, sauf pour des marques B2C prestigieuses qui considèrent que leur image est en jeu.
  • tant de l’achat correspondant si le contenu devait être sous-traité… Il présente même le mérite d’être (presque) invisible au budget / non comptabilisé, sinon dans les charges générales, car il n’y a pas d’achat ! Deux obstacles : d’une part, la plupart des entreprises manquent des compétences en qualité et en quantité nécessaires pour produire ainsi ; d’autre part, la qualité des productions n’est en général pas au niveau de celle qu'offrent les studios spécialisés. On en est souvent réduit à une approche rapid learning, ce qui peut néanmoins faire l'affaire, dans certains secteurs d’activité ou pour des thématiques de formation dont le niveau de design graphique ne serait pas critique.
  • Troisième stratégie : EGC (employee generated content). Ce sont les experts de terrain qui produisent des contenus avec leur smartphone. Des séquences souvent pertinentes, car qui pourrait mieux qu’un expert de terrain capturer
  • ...3 more annotations...
  • par exemple le geste technique qu'il est en train d'effectuer et de commenter.
  • eure stratégie est une combinaison des trois.
  • Ce qu'on voit se dessiner : la meil
Jean-Marie Cognet

"L'université de demain sera imaginée par les étudiants" - Les Echos Start - 1 views

  • .A quoi pourrait ressembler un cours en amphi à l’université dans 10 ans ? François Taddei : Tout d’abord, je ne sais pas s’il y aura encore des amphis ! Le taux de présence des étudiants y est de plus en plus faible… et pourtant, ils réussissent leurs examens. Les lieux où l’on apprend sont divers et variés : en entreprise, en discutant avec ses amis, en cours… Il serait intéressant de prendre tous ces lieux en considération. Les conférences inversées ont également beaucoup de potentiel : au lieu de parler devant des étudiants durant deux heures pour 15 minutes de question, on leur demande de préparer leurs questions pour les intervenants, et on fait deux heures de questions-réponses.
  • Quel deviendrait alors le rôle des profs ? Ils pourraient devenir des mentors. Ils ne feraient pas que transmettre du savoir, mais s'assureraient que les étudiants l’acquièrent. Peu importe que ce soit dans un cours, à travers un serious game, un MOOC, en entreprise, en France, à l’étranger… Un bon mentor accompagnerait les étudiants dans leurs projets individuels et collectifs. Ils serait à l’écoute de leurs besoins et les orienterait pour qu’ils parviennent à leur fin.
Jean-Marie Cognet

Demain la formation : vidéo ? - 2 views

  • Tout dispositif de formation qui veut capitaliser sur les usages du Web et des smartphones devra toujours plus compter avec la vidéo. Ça tombe bien : les plateformes de video learning arrivent ! Capture, enregistrement, tagging automatique par la reconnaissance (voix, image), édition, diffusion sur tout périphérique… des plateformes séduisantes.
  • Le Social Learning d'abord… ou Video Social Learning (VSL) si on veut, et la montée en puissance du video-coaching ! Expérientiel aussi, comme les exemples plus haut le montrent. Quant aux usages de la vidéo en présentiel, ils n’ont rien de nouveau (Cf. par exemple les jeux de rôle filmés dans le cadre des formations commerciales à l’entretien de vente, depuis des décennies).
  • Autres fonctionnalités en pointe : enregistrement, édition, partage des videos, etc. Sans oublier l’accès à des catalogues déjà existants. Le tout dans l’environnement de l’apprenant et du formateur, qui offre des outils de prise de vue et d’enregistrement provenant aussi bien du smartphone ou d’une caméra portable que d’un studio vidéo (pour des formations structurées, à l'instar de ce qu'on trouve dans les MOOC). C’est ce que proposent les nouvelles plateformes (intégrées) de vidéo, aussi dites « video management system» ou « video content management system », à l'instar de Panopto ou, d’une certaine façon, de Workday Learning (mais on attend d’en savoir plus). Coexistence avec les plateformes LMS ? A suivre.
  •  
    et UbiCast ????
Jean-Marie Cognet

Classes inversées et MOOC, quand la révolution numérique s'invite dans le cha... - 1 views

  • En revanche, la "flipped class" semble avoir davantage le caractère d'une révolution copernicienne. Tous ceux qui la mettent en œuvre se plaisent à souligner son aspect "disruptif". Elle introduit en effet un changement majeur dans l'organisation du double travail d'enseignement et d'apprentissage. Au niveau de chaque processus s'opère un dédoublement.Le travail de l'enseignant se dédouble en travail a priori d'élaboration d'un contenu qui, sous la forme de "capsules vidéo", de documents numérisés, de textes illustrés, de PowerPoint, sera mis à la disposition des apprenants, lesquels en prendront connaissance sur leur ordinateur, tablette ou smartphone. Et travail a posteriori d'accompagnement des élèves se livrant en classe à des activités encadrées : révisions, exercices, discussions, travaux en équipe.
  • La classe inversée peut être la porte d'entrée dans une "SmartEcole", utilisant de façon intelligente les outils apportés par la révolution numérique. Mais sans doute reste-t-il une dernière étape à franchir pour que s'accomplisse une véritable révolution pédagogique, que la révolution numérique pourra au mieux faciliter, mais qu'elle ne déterminera jamais à elle seule, et que la classe inversée, en l'état, ne réalise pas. Car elle reste à l'intérieur d'une dichotomie qu'il nous paraît nécessaire de remettre en question.En effet, l'inversion concerne ce qui se fait traditionnellement à l'école (confrontation au contenu d'un cours), et ce qui se fait traditionnellement à la maison (exercices pratiques d'application et de consolidation). Le temps scolaire, et le temps familial. Mais pourquoi accepter cette dichotomie classe/maison ? On réintroduit l'activité personnelle en classe, ce qui est une excellente chose ; mais pour laisser l'élève seul, et livré aux seules ressources de son environnement social, au moment décisif de l'appropriation d'un contenu
  • Que dirait-on d'une entreprise qui contraindrait ses employés à emporter tous les soirs à la maison le plus dur du travail à faire ?Pour une "révolution" permettant à l'école de jouer pleinement son rôleTout doit se faire à l'école, pour une raison simple. On ne peut pas abandonner ceux qui ont la difficile tâche d'apprendre aux seules conditions et forces de leur milieu d'origine, en ce moment décisif que constitue l'assimilation d'un contenu et la construction d'un savoir. Pour une "révolution" permettant à l'école de jouer pleinement son rôle Tout doit se faire à l'école, pour une raison simple. On ne peut pas abandonner ceux qui ont la difficile tâche d'apprendre aux seules conditions et forces de leur milieu d'origine, en ce moment décisif que constitue l'assimilation d'un contenu et la construction d'un savoir.
Jean-Marie Cognet

Formation professionnelle : zoom sur les learning nuggets - Focus RH - 1 views

  • Le nuggets learning (ou learning nuggets) figure parmi les tendances émergentes ces dernières années en terme de formation professionnelle. Par son format court, cette technique d’apprentissage s’insère facilement dans l’emploi du temps des collaborateurs. Elle répond aussi aux aspirations d’une jeune génération en quête d’un apprentissage mobile. 
  •  Si la tendance est encore peu développée en formation présentielle, elle occupe le devant de la scène dans le digital. Aujourd’hui, quels que soient la taille et le secteur d’activité des entreprises, elles ont toutes intégré ces nuggets dans leur processus de formation. A l’avenir, les smartphones leur ouvriront un nouveau terrain d’expansion : accessibles en mobile learning, les nuggets permettront d’apprendre à n’importe quel moment, quel que soit l’endroit et le type de terminal digital »
Jean-Marie Cognet

Demain la formation : vidéo ? - 1 views

  • Que la vidéo soit efficiente, simple à produire « à la demande », facile d’accès, économe des coûts de l’entreprise, on n’en doute pas. Qu’elle soit au cœur de toute stratégie 70:20:10, on commence à s'en aviser. Le Social Learning d'abord… ou Video Social Learning (VSL) si on veut, et la montée en puissance du video-coaching !
  • A l’instar du e-learning, la vidéo est un moyen privilégié de travailler sur les messages à retenir, d’en assurer l’homogénéité. Le contenu lui-même ? C’est peut-être le plus important : mieux vaut une courte vidéo qu’un long manuel ou mode d’emploi pour expliquer (par exemple) un geste ou une manipulation
  • Plasticité de la vidéo qui pourra être utilisée dans les domaines les plus étendus : l’intégration des nouveaux collaborateurs, la capitalisation des savoir-faire les plus difficiles à capturer, la formation des vendeurs, du SAV et des clients aux produits et services lancés par l’entreprise, la formation des opérateurs industriels, les formations de compliance (hygiène, sécurité, compliance métiers, etc?)… 
  • ...2 more annotations...
  • Première fonctionnalité nécessaire : l’indexation du contenu, qui ne saurait plus se contenter aujourd’hui de tags posés à la main ou de titres particulièrement bien choisis pour faciliter la recherche via le moteur du portail de vidéos.
  • Autres fonctionnalités en pointe : enregistrement, édition, partage des videos, etc. Sans oublier l’accès à des catalogues déjà existants. Le tout dans l’environnement de l’apprenant et du formateur, qui offre des outils de prise de vue et d’enregistrement provenant aussi bien du smartphone ou d’une caméra portable que d’un studio vidéo (pour des formations structurées, à l'instar de ce qu'on trouve dans les MOOC). C’est ce que proposent les nouvelles plateformes (intégrées) de vidéo, aussi dites « video management system» ou « video content management system », à l'instar de Panopto ou, d’une certaine façon, de Workday Learning (mais on attend d’en savoir plus).
Jean-Marie Cognet

Digitalisation de la formation : consensus entreprise-salariés - 1 views

  • Baromètre Cegos 2017
  • 'entreprise veut optimiser ses coûts de formation unitaires et les salariés se former quand ils en ont besoin. Le digital y pourvoit, mais le présentiel et plus généralement l'échange continuent d'avoir la préférence des salariés
  • La formation comme moyen de s'adapter aux transformations en cours ne fait plus débat : 99% des salariés considèrent qu'il faut se former tout au long de sa vie professionnelle. Pour autant 27% seulement sont prêts à financer une partie de leur formation
  • ...3 more annotations...
  • Point de vue de la fonction formation-RH
  • Les modalités de formation à distance continuent de faire la part belle au e-learning (53%) toutefois dépassé par les vidéos (60%) : conforme à la place que la vidéo est en train de prendre sous l'influence des grandes plate-formes (YouTube, Facebook, etc.) et des capacités de production et de montage offertes par les smartphones. Perdant : le serious game (13%) malgré ses quinze ans d'âge, doublé par des approches plus récentes (MOOC : 32%). La classe virtuelle obtient un score honorable (41%) et étonnant, sauf si on considère que le concept a évolué en intégrant les webinaires, conférences en ligne, etc., bref : le "live" à distance.
  • Du point de vue des apprenants, le classement diffère : ils plébiscitent le présentiel : 97% considèrent que c'est la modalité de formation la plus satisfaisante ; s'il ne tenait qu'à eux, c'est avec la classe virtuelle (97%) la modalité qu'il choisirait, ce qui est une pression réelle sur la fonction formation-RH, et qui explique que les dispositifs présentiels ne survivent pas si mal.
lauraschmitz1992

Digital learning : Les tendances pour 2018 | Solunea - 0 views

  • Le social learning En 2017, on a beaucoup entendu de social learning. 2018 semble être SON année. Ce mode d’apprentissage collaboratif utilise les outils digitaux de la formation (e-learning, classe virtuelle, MOOC, …) et permet aux apprenants d’apprendre ensemble. Le social learning permet de pallier à la « solitude » souvent ressentie dans la formation e-learning par exemple. Ajouter un côté social aux formations sera un véritable avantage pour les apprenants, mais aussi pour les entreprises. Ce type d’apprentissage horizontal et collaboratif est très engageant. Il est également dans l’air du temps avec l’explosion des réseaux sociaux.
« First ‹ Previous 121 - 136 of 136
Showing 20 items per page