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anonymous

Gartner Says That by 2017, 25 Percent of Enterprises Will Have an Enterprise App Store - 0 views

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    "Gartner Says That by 2017, 25 Percent of Enterprises Will Have an Enterprise App Store Growing Number of Enterprise Mobile Devices and Enterprise Adoption of MDM Will Drive Demand and Adoption of Enterprise App Stores Analysts Examine the State of the Industry at Gartner Application Architecture, Development By 2017, 25 percent of enterprises will have an enterprise app store for managing corporate-sanctioned apps on PCs and mobile devices, according to Gartner, Inc. Enterprise app stores promise greater control over the apps used by employees, greater control over software expenditures and greater negotiating leverage with app vendors, but this greater control is only possible if the enterprise app store is widely adopted.  "Apps downloaded from public app stores for mobile devices disrupt IT security, application and procurement strategies," said Ian Finley, research vice president at Gartner. "Bring your own application (BYOA) has become as important as bring your own device (BYOD) in the development of a comprehensive mobile strategy, and the trend toward BYOA has begun to affect desktop and Web applications as well. Enterprise app stores promise at least a partial solution but only if IT security, application, procurement and sourcing professionals can work together to successfully apply the app store concept to their enterprises. When successful, they can increase the value delivered by the application portfolio and reduce the associated risks, license fees and administration expenses."  Gartner has identified three key enterprise app store trends and recommendations of how organizations can benefit from them:  The increasing number of enterprise mobile devices and the adoption of mobile device management (MDM) by enterprises will drive demand and adoption of enterprise app stores. Enterprises already have numerous choices for downloading software onto PCs, but most of them don't include support for smartphones and tablets. Enterprises are beginning to f
Aurialie Jublin

How Sensors and Social Data Can Improve the Office | MIT Technology Review - 2 views

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    Résumé IA : Ben Waber, auteur de "People Analytics: How Social Sensing Technology Will Transform Business", revient pour la Technology Review sur comment augmenter la réalité sociale sur nos lieux de travail. Que se passe-t-il quand l'espace de travail, les murs qui séparent les gens, voir même la machine à café sont déterminés par les données ? Il revient sur un vieux projet du MIT, Augmented Cubicle - http://fab.cba.mit.edu/classes/MIT/863.09/people/ben/project4.html - qui avait pour objet d'influencer la dynamique sociale dans le lieu de travail via une installation favorisant les échanges distants. A l'heure où les interactions sociales deviennent plus faciles à mesurer, le prochain défi est de trouver comment utiliser ce que nous apprenons des données comportementales pour influence ou améliorer les échanges entre collègues au travail. Ben Waber, à la tête de Sociometrics Solutions - http://www.sociometricsolutions.com - une spinoff du Medialab du MIT dont nous avons souvent parlé, utilise des badges pour monitorer les employés de sociétés clientes. Ces données ont ainsi montré que ceux qui mangent dans des groupes plus nombreux, ont tendance à être plus productifs. Le ton de la voix, la fluctuation de son volume, sa rapidité peut prédire combien une personne sera persuasive dans ce qu'elle dit. Sachant cela, le travail de Sociometric solutions est désormais de regarder comment peut-on indiquer à quelqu'un de moduler sa voix pour être plus persuasif ? Comment peut-on organiser des réunions afin quelles permettent de mieux mêler les gens ? Faudra-t-il imaginer demain des machine à café robot itinérantes pour permettre aux groupes de mieux se rencontrer ? Faudra-t-il imaginer demain des robots lents comme SlothBots - http://www.arch-os.com/projects/slothbots/ - qui viendront subtilement refermer une conversation d'un groupe des autres travailleurs ? Est-il éthique d'utiliser des technologies d
julien camacho

Réseaux Sociaux d'Entreprises : 3 - Tendances et nouveautés des solutions pha... - 0 views

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    Entre les offres en mode SaaS sur abonnement et celles sur site sur licence, entre les solutions indépendantes et celles incluses dans une suite, les RSE sont très divers.
julien camacho

Spécial réseaux sociaux d'entreprise : 4 - Passer du collaboratif à une vraie... - 0 views

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    Vendeur de solutions RSE, Big Blue a déployé en interne IBM Connections. Après trois ans de vécu sur le terrain, quel est le bilan de cette solution RSE (réseaux sociaux d'entreprise) ? Big Blue disposait depuis plus de 25 ans d'un annuaire mondial de ses employés. « Ce n'est pas le cas de toutes les entreprises internationales», souligne Pierre Milcent, consultant RSE. Selon lui, la première étape pour parvenir à la dimension réseau social, c'est le recensement des compétences au sein d'une entreprise.
Aurialie Jublin

Les machines feront de nous tous des intermittents - France Culture - 0 views

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    "Ce qu'on craignait depuis la fin du 19ème siècle est en train de se produire, dit Lanier, des machines et des programmes occupent une partie des emplois qui étaient ceux de la classe moyenne, accroissant le fossé entre un prolétariat toujours nécessaire à l'économie numérique et l'élite de cette même économie. La solution de Lanier est intéressante : que le simple fait d'être internaute soit rémunéré, car après tout, en fournissant des données à des entreprises qui ensuite les monnaient, nous créons de la valeur. La solution est très différente du revenu de base inconditionnel mais le constat n'est pas éloigné : le travail change, il faut imaginer de nouvelles formes de rémunération. Ne retrouve-t-on là une question qui est centrale dans l'intermittence : comment rémunérer ce qui est échappe aux vieilles définitions du travail ? Comment penser et caractériser qui est entre le travail ? Est-ce que le chômage est toujours de l'inactivité ? Parfois, on regrette (mais comme on le regrette à d'autres moments de la vie politique, quand on parle des retraites par exemple), que ces discussions ne soient pas l'occasion d'un vrai débat sur le travail, sa nature et son avenir. Car par bien des aspects, l'intermittence pourrait être un laboratoire permettant d'anticiper les mutations que va nous imposer la technologie, plutôt qu'un statut dont on a l'impression que beaucoup aimerait voir le disparaître."
abrugiere

Le CDI représente seulement 5% des embauches : les solutions du CJD - 2 views

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    "L'organisation de dirigeants propose donc de remplacer le CDI par un contrat à la fois flexible et qui garantisse la sécurité pour les salariés, un Pack unique d'emploi à durée indéterminée.  Ce pack serait constitué : - d'un contrat unique d'emploi à durée indéterminée - d'une période de préavis pouvant atteindre 6 mois - d'une anticipation du coût et des modalités de séparation - d'une conciliation obligatoire avec présence d'un avocat en cas de séparation conflictuelle - d'une modulation du temps de travail et de la rémunération (+ / - 20 %) sur la base de 35 heures - de primes annuelles de résultat, avec une fiscalité adaptée pour encourager la consommation."
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    Le CDI représente seulement 5% des embauches Les solutions du CIDJ : L'organisation de dirigeants propose donc de remplacer le CDI par un contrat à la fois flexible et qui garantisse la sécurité pour les salariés, un Pack unique d'emploi à durée indéterminée. Ce pack serait constitué : d'un contrat unique d'emploi à durée indéterminée d'une période de préavis pouvant atteindre 6 mois d'une anticipation du coût et des modalités de séparation d'une conciliation obligatoire avec présence d'un avocat en cas de séparation conflictuelle d'une modulation du temps de travail et de la rémunération (+ / - 20 %) sur la base de 35 heures de primes annuelles de résultat, avec une fiscalité adaptée pour encourager la consommation.
Aurialie Jublin

Reconnaissance ouverte des apprentissages pour mieux coopérer | Techniques in... - 0 views

  • Pour ouvrir l’échange, Serge Ravet nous a présenté l’initiative MIRVA et les OpenBadges : rendre les apprentissages informel visibles et actionnables. Serge nous a démontré l’intérêt de pouvoir montrer ses talents cachés au travers d’open badges. L’idée est que chacun puisse proposer et définir des éléments de reconnaissance qui fassent sens, au niveau d’une communauté, d’un territoire. Cette reconnaissance ouverte est porteuse de confiance et de partage, en permettant une reconnaissance beaucoup plus ouverte que si elle est porté uniquement par des institutions délivrant des diplômes.
  • Eden Jean-Marie du CIBC Normandie, nous a ensuite présenté comment accompagner les parcours d’apprenants pour leur donner confiance et de leur permettre de se prendre en main. L’outil proposé en support à cet accompagnement est DayTripper, qui permet de capturer une expérience avec son mobile, de la décrire, de la caractériser et de la partager. Ainsi, chacun peut valoriser ses apprentissages, communiquer sur ses parcours, ses expériences, et donc de devenir acteur, porteur de preuves de son parcours.
  • Philippe Ruffieux apporte quant à lui une approche qui permet aux apprenants de travailler ensemble. Chacun peut devenir expert d’un apprentissage dès qu’il a réussi à le démontrer et ensuite accompagner ses pairs, voire proposer de nouvelles modalités pour démontrer ses capacités. On est bien dans une démarche d’enseignement mutuel. L’outil proposé, Sqily permet ainsi de définir des objectifs d’apprentissage, de décrire un parcours complet sous forme d’arbre, de gérer la validation mutuelle, et de supporter l’enseignement collaboratif avec une interface proche de Slack, outil collaboratif bien connu et reconnu.
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  • Open Badges, DayTripper, Sqily sont des outils existant, permettant de rendre visible les talents, les apprentissages, les expériences et de soutenir la coopération. Les témoignages démontrent que ces outils prennent leur sens dans une démarche qui soutient et développe la capacité d’agir des acteurs. Si vous êtes intéressés par les conditions pour que numérique rime avec pouvoir d’agir, je vous encourage à aller consulter le travail du projet Capacity qui est en train de présenter ses conclusions sur ce sujet.
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    "Coopérer autour de ses apprentissages, tout un programme pour les apprenants tout au long de la vie, élèves, étudiants, citoyens… Comment rendre visible ses connaissances, comment donner à voir ce que l'on a appris au détour d'une expérience, du chemin, comment permettre aux étudiants de s'épauler pour progresser ensemble ? Lors du forum des usages coopératifs de Brest, plusieurs acteurs, proposant des solutions complémentaires nous ont proposé un panorama d'approches et de solutions qui promettent de dynamiser ces coopérations, tout en gommant les frontières dans les apprentissages."
Aurialie Jublin

Need Help With Work? Startup RelateIQ Aims to Improve Work Relationships - WSJ.com - 1 views

  • Data scientists are beginning to peer into work relationships, trying to identify patterns that can improve how employees collaborate with peers, manage sales relationships, or see how they stack up against colleagues. It is a nascent market, but up-and-coming startups have their eyes set on upending established business-technology companies like Salesforce, which are also increasingly digging into data.
  • Elsewhere, Boston-based Sociometric Solutions Inc. uses physical sensors to collect data on employees' movements and the tone of their conversations to tell managers where interactions are dipping and where employees are congregating. In San Francisco, tenXer Inc., a program for computer engineers, tracks code modifications and hours spent in meetings to help them see how their productivity stacks up against colleagues. And Boston-based Yesware Inc. helps employees track emails, monitors how many times their emails are opened, what devices recipients are using, and provides analytic reports on the email traffic of colleagues.
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    Startups Like RelateIQ Are Aiming to Help Improve Employees' Work Life With Software Résumé IA : RelatelQ - https://www.relateiq.com - est un logiciel qui se propose de regarder votre vie numérique pour vous en faire ressortir ce qui semble important. L'algorithme de RelateIQ recueille constamment des signaux de données pour déterminer si les relations de travail avec des partenaires internes ou externes se refroidissent et si l'utilisateur doit prendre des mesures. Sociometric Solutions utilise une méthode proche pour améliorer les conversations. tenXer - https://www.tenxer.com - gère les modifications de code et les heures passées en réunion pour aider à mieux maîtriser sa productivité. Yesware - http://www.yesware.com - tente d'améliorer la productivité par e-mail. Chez RelateIQ, les programmeurs tentent de toujours mieux cerner les tendances, comme le temps moyen qu'il faut pour qu'une personne puisse répondre et quels types de ponctuation et de phrases provoquent généralement des réponses. Ils tentent également de détecter le sarcasme et les mots qui sont habituellement associées à des questions importantes. Ces données peuvent révéler, par exemple, si une relation stagne ou progresse. Reste que dans des environnements de communication très complexe, le défi de ces outils est également complexe. L'apprentissage machine peut provoquer des erreurs, des mauvaises interprétations, des recommandations qui semblent venir de nulle part. Promesse ou illusion ?
Aurialie Jublin

La décision gonflée d'un geek : "Je ne répondrai plus à vos e-mails" | Rue89 Eco - 0 views

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    Les raisond:une avalanche d'e- mails chaque jour, le sentiment de se noyer en permanence, malgré toutes les techniques de classement, de priorités, de filtres, etc. Et ce sentiment de désespoir lorsque, à l'occasion, on parvient à écluser le retard de ses e-mails pour retrouver le lendemain la même situation. Les solutions: messageries instantanées, fenêtres de tchat MSN ou Facebook et autres messages privés sur Twitter.
hubert guillaud

Pourquoi l'évaluation/rémunération sur indicateurs ne marche pas - Atoute.org - 0 views

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    Bien qu'appliqué à la médecine, la réflexion de Dominique Dupagne, l'auteur de "La revanche du rameur", pourrait s'appliquer à bien d'autres choses. Il revient sur les théories de l'économiste américain Robert Lucas qui estimait que les statistiques n'aident pas à prédire les comportements futur des agents économiques. "Une corrélation observée peut devenir trompeuse si elle est utilisée dans un but de prévision ou d'évaluation." Pour Lucas, les agents ne modifient pas forcément leur comportement face à un nouvel indicateur qui les concerne. Charles Goodhart, allait même plus loin encore : "Lorsqu'un indicateur est choisi pour guider une politique économique, il perd du même coup la valeur informative qui l'avait qualifié pour remplir cette fonction. Pour le sociologue américain Donald Campbell : "Plus un indicateur quantitatif est utilisé pour prendre des décisions, plus il va être manipulé et plus son usage va aboutir à corrompre le processus qu'il était censé améliorer". Et Dominique Dupagne d'afficher son sceptiscisme face aux méthodes d'évaluation et de rémunération incitatives. Alors quelles évaluations mettre en place ? Pour Dupagne, la solution est d'avoir une palette d'indicateurs très large et de conserver le secret sur ces indicateurs.
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    Bien qu'appliqué à la médecine, la réflexion de Dominique Dupagne, l'auteur de "La revanche du rameur", pourrait s'appliquer à bien d'autres choses. Il revient sur les théories de l'économiste américain Robert Lucas qui estimait que les statistiques n'aident pas à prédire les comportements futur des agents économiques. "Une corrélation observée peut devenir trompeuse si elle est utilisée dans un but de prévision ou d'évaluation." Pour Lucas, les agents ne modifient pas forcément leur comportement face à un nouvel indicateur qui les concerne. Charles Goodhart, allait même plus loin encore : "Lorsqu'un indicateur est choisi pour guider une politique économique, il perd du même coup la valeur informative qui l'avait qualifié pour remplir cette fonction. Pour le sociologue américain Donald Campbell : "Plus un indicateur quantitatif est utilisé pour prendre des décisions, plus il va être manipulé et plus son usage va aboutir à corrompre le processus qu'il était censé améliorer". Et Dominique Dupagne d'afficher son sceptiscisme face aux méthodes d'évaluation et de rémunération incitatives. Alors quelles évaluations mettre en place ? Pour Dupagne, la solution est d'avoir une palette d'indicateurs très large et de conserver le secret sur ces indicateurs.
Aurialie Jublin

RH, numérisez-vous ! "Mes compétences", la solution d'Orange pour cartographi... - 0 views

  • "Il y a au moins deux situations où nous avons besoin de connaître les compétences. Avant de faire des recrutements externes pour savoir si nous disposons de compétences dans le Groupe que nous pouvons mobiliser. Ou à la demande de la direction de la stratégie qui veut savoir, notamment au moment du Plan, de quelles compétences nous disposions en interne", explique Sonia Bonnet, directrice Anticipation des compétences du groupe, qui a été moteur dans le développement de cette solution.
  • De son côté, le service du groupe qui a fait la demande obtient une cartographie des compétences assez précises, puisqu’il lui est possible de zoomer et "d’obtenir les coordonnées des personnes concernées grâce au lien de la cartographie avec l'annuaire interne ", précise Sonia Bonnet.
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    "Troisième volet de notre dossier "RH, Numérisez-vous !" : Aujourd'hui, nous vous proposons de découvrir comment Orange a réussi à ne pas être - tel le cordonnier - la plus mal équipée des entreprises. L'équipe RH de l'opérateur a développé un outil pour connaître en temps réel les compétences disponibles dans le groupe, sans passer par les managers de proximité. Avec ce service, le salarié peut s'évaluer et les services savoir où sont les compétences dont ils ont besoin. "
Aurialie Jublin

En France, 3 millions d'ouvriers sont passés au numérique - Le Journal du Net... - 0 views

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    Sur 4 335 000 cols bleus en France, 70% ont déjà recours à des solutions professionnelles de productivité. Dixit une étude d'IDC publiée lors des TechDays.
Aurialie Jublin

Exploring portable ratings for gig workers - Doteveryone - Medium - 0 views

  • Unlike the traditional economy, the gig economy doesn’t rely on CVs or letters of recommendation. You build your reputation on one platform at a time — and your reputation is often the route to higher earnings (A service user is more likely to choose someone with 100 five-star ratings than just one or two). Platforms don’t want people to leave, so they don’t let workers have ownership over their own ratings. Leaving a service means starting over.
  • More recently, we’ve been exploring the “how” of ratings portability: what technology, data, user experience and investment might be needed to make this real.Our design team, along with our policy intern and developer James Darling, have been conducting user research and prototyping possible technical solutions for ratings portability. Here’s where we’ve got to so far.
  • “Cab” drivers didn’t have visible habits around their ratings, weren’t checking them frequently and when we spoke about them, they told us that this wasn’t something they’d considered before or something they were particularly concerned about. They were confident in their skills and ability to find work outside of their platforms, and viewed ratings more as performance indicators for their platform owners — the main fear being a drop below 3.5 stars, where they might be dropped from the platform completely.
  • ...11 more annotations...
  • This “performance indicator over ratings” feeling was even stronger with food delivery workers. They expressed even less concern about the issue, focussing more on their delivery metrics such as attendance and cancellations. The rider app screens we were shown support this.
  • This makes sense for both food delivery and transit: the customer has little to no ability to use workers’ reputation data to inform their purchase decision. (When we press a button to order a cab or for food to be delivered, speed is the primary factor and platforms emphasise that in their design.)
  • It was a radically different story for tradespeople. Their reputation data feels important to them, and they prefer to keep control over it. They preferred word of mouth reputation and recommendations, as there was no middleman who could take that away from them. Online platforms were seen as something to graduate away from once you had a sufficient “real world” presence.
  • Alongside our user research, James Darling looked at the technical possibilities, drawing on the Resolution Trust’s initial work and the research that our policy intern did. They came up with five possible solutions and gave them names and some logos. They are in increasing order of complexity.
  • Personal referenceThis is the status quo: when approaching a new employer, workers create their own CVs, loosely standardised by convention.
  • Publicly hosted reputationsWhat feels like a technical quick win is to ensure that a platform hosts a publicly accessible web archive of all worker reputation data, including for profiles which have been disabled. This would allow workers to provide a URL to anyone they wish to provide their reputation data. How would this be encouraged/enforced?
  • Profile verificationHow does a worker prove that they are the owner of a publicly hosted reputation profile? There are a few technical solutions that could be explored here, like a public/private key verification or explorations around OAuth. Is it possible to create something that is secure, but also usable?
  • Decentralised open data standardA data standard for reputation data could be created, allowing automated transfer and use of reputation data by competing platforms or external services. Creating the standard would be the trickiest part here: is it possible to translate between both technical differences of different platforms (eg 5 stars versus 80%), but also the values inherent in them.
  • Centralised data holderPerhaps one way to help standardise and enforce this easy transfer of reputation data is to create some sort of legal entity responsible for holding and transferring this reputation data. A lot of discussion would have to be had about the legal framework for this: is it a government department, a charity, a de facto monopoly?
  • We also thought about ways to verify identity (by including an RSA public key), what a best practice data standard might look like (here’s an example in JSON), and what the import process might look like (via a mock competitor site). The code for all this is on Github, and everything above is available in a slide deck here.
  • I worry that the concept of “owning” people’s ratings reflects some deeper, more systemic issues around who “owns” things more generally in society. In the coming months, we’d like to keep working with like minded organisations to explore that idea more, as well as how the cumulative effects of those systems affect us all.
Aurialie Jublin

Les salariés menacés d'extinction par les distractions quotidiennes ? - Entre... - 0 views

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    Les dérives de notre quotidien professionnel (réunionite, infobésité…) sont d'autant plus graves qu'elles sont reconnues et tolérées. Pire, dans certains pays (La France en particulier), elles sont aggravées par une aberration culturelle : nous avons tendance à récompenser ceux qui sont les plus occupés, ou qui le semblent, car ils donnent l'illusion d'être plus productifs, d'abattre plus de travail (The Paradox of Organizational Time). Or, nous devrions faire l'inverse : récompenser ceux qui savent correctement s'organiser, déléguer et gérer leur charge de travail. Pourtant il n'en est rien, et nous ne pouvons que constater les ravages du présentéisme. 3 solutions proposées par l'auteur : - Lutter activement contre l'email et les réunions intempestives - Adopter de nouveaux réflexes et réprimander les comportements toxiques - Revoir l'environnement de travail
julien camacho

L'Anssi déconseille aux entreprises d'accepter le BYOD - 2 views

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    Pour l'agence nationale de la sécurité des systèmes d'information, l'usage des smartphones dans un environnement pro est "problématique" car "les solutions de sécurisation actuelles sont peu efficaces".
Aurialie Jublin

What Value Creation Will Look Like in the Future - Jack Hughes - Harvard Business Review - 1 views

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    The value of products and services today is based more and more on creativity - the innovative ways that they take advantage of new materials, technologies, and processes. Value creation in the past was a function of economies of industrial scale: mass production and the high efficiency of repeatable tasks. Value creation in the future will be based on economies of creativity: mass customization and the high value of bringing a new product or service improvement to market; the ability to find a solution to a vexing customer problem; or, the way a new product or service is sold and delivered. Organizational structure will have to change to meet the new reality of creativity as a core component of value and continuous innovation as the mechanism to sustain it. The new organization will include structures that support innovation 24/7/365 and at increasing scale. They will be more like organisms than machines. They'll be structurally fluid - bringing individuals together in creative networks designed to adapt to an ever changing landscape of customer needs and desires, often at a moment's notice. Management will be the job of those who oversee creative economies, ecosystems, and communities; it will be the job of managing innovation on a continuous basis where scale is used to create differentiated products and services to solve problems and meet needs on a customer by customer basis - all in real or near real time.
julien camacho

Spécial Cloud: 1- Quel est l'intérêt des architectures Cloud ouvertes? - 1 views

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    Entre un large accès à des solutions innovantes, une plus large ouverture des données, une accélération de la consommation et une meilleure maîtrise des dépenses IT, le Cloud Computing se fait une place au soleil et, telle une vague de fond, vient modifier la façon de délivrer les services informatiques et leurs contenus. Grâce aux technologies et aux services de Cloud Computing, les entreprises souhaitent gagner en flexibilité et en coûts opérationnels. Quelles soient actrices de ce marché ou consommatrices des services dans le nuage, elles souhaitent établir un rapport plus souple et moins contraignant, dans un environnement ou écosystème moins propriétaire.
Aurialie Jublin

L'adoption des RSE et plateformes collaboratives progresse lentement - Entreprise20.fr - 1 views

    • Aurialie Jublin
       
      Résultat de l'étude "évolution de la networked enterprise" : Si l'adoption de certaines technologies et fonctionnalités liées à la networked enterprise sont en hausse régulière, la tendance générale est plutôt à la stagnation ;  - Les bénéfices ressentis au sujet de ces nouveaux outils ou nouvelles pratiques sont plutôt mitigés (surtout liés à la réduction des coûts de communication ou de voyage) ; - Des préoccupations qui se déportent vers des sujets très techniques (accès mobile, sécurisation des données dans les nuages, big data…).
  • Même son de cloche avec l’étude 2013 sur la Social Collaboration en Allemagne, en France et au Royaume-Uni de PA Consultants. On y apprend que les entreprises allemandes et anglaises ont une approche pragmatique centrée sur l’efficacité ou la recherche de rapidité, alors que les entreprises françaises cherchent à améliorer la motivation, l’implication… mais comme ces derniers bénéficient d’un faible niveau d’autonomie, les résultats ne sont pas forcément au rendez-vous
  • Le principal enseignement de cette étude est que des solutions sont déployées, probablement dû à un bon travail d’évangélisation des éditeurs, mais que l’intégration aux outils du quotidien reste à faire. En d’autres termes : on colle des rustines pour faire bonne figure, mais les habitudes ne changent pas forcément à cause d’un déficit de volonté de changement.
  • ...1 more annotation...
  • Comme pour les études précédentes, si les entreprises se targuent d’un déploiement de solutions modernes (RSE, accès mobile…), elles sont beaucoup moins volontaires pour initier une mutation en profondeur des habitudes de travail. Ce qui manque le plus, comme le démontre ces études, est la mise en place d’une réelle dynamique de changement où la direction et le middle management expliquent, stimulent et participent de façon active à la transformation des outils et processus métiers.
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    Un article de synthèse de quatre études sur l'adoption des RSE et plateformes collaboratives parues récemment.
abrugiere

L'employabilité et le travail : c'est trop fort en emploi… (2) « id-carrieres... - 0 views

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    Employabilité  Le concept d'employabilité s'est développé dans les années 90, comme une solution à l'incertitude de l'emploi renvoyant les individus et les organisations à adopter une attitude proactive pour construire, évaluer, développer l'employabilité individuelle. L'employabilité a été repensée comme une adaptation continue à l'emploi et au marché de l'emploi. Aptitude à travailler  L'aptitude à travailler se construit de plus en plus à l'extérieur de l'entreprise, en communauté, au sein de réseaux, sur Internet et mêlent des savoirs, des savoir-faire et des savoir-être acquis dans les différentes sphères.
Aurialie Jublin

Les espaces de coworking sont-ils les salles de classes du futur ? | Deskmag | Coworking - 0 views

  • Certaines universités comme le H4 en Caroline du Nord, ou le Kosilab à Siegen ont créé leurs espaces de coworking d’été pour étudiants au sein même de l’université. Les deux espaces mettent l’accent sur l’interaction entre étudiants. Le H4 de par des évènements et l’organisation de formation par des professionnelles, le Kosilab en prônant l’entraide. L’objectif est bien la réussite des étudiant car dans les deux cas, ce sont les services d’orientation professionnel qui ont permis ces initiatives.
  • Les avantages pour les étudiants sont en effet multiples : - Travailler dans des espaces moins surpeuplés que les cafés ou les bibliothèques. - Pouvoir travailler pendant des plages horaires plus étendues - Pouvoir se familiariser avec l’entreprenariat - Apprendre auprès d’une communauté d’experts - Confronter la théorie à la pratique - Réaliser des projets personnels dans un environnement de travail motivant - Accéder à des opportunités de stages et d’emploi
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    "Avez-vous remarqué combien il peut être difficile de trouver des entrepreneurs célèbres étant diplômés? D´autre part, dans certains domaines tels que Webdesign ou la programmation, les nouvelles technologies évoluent si vite que les étudiants peuvent ressortir des salles de cours avec des connaissances déjà obsolètes. Malheureusement, même à l´heure d'internet et du partage de connaissances, il est encore difficile d´imaginer toute une génération d'autodidactes. Bonne nouvelle, le coworking pourrait être l'une des solutions. Il attire de plus en plus d'étudiants et pourrait bien être l'espace privilégié d'une nouvelle éducation pour les entrepreneurs de demain. En fait, certains voient même le coworking remplacer des universités désormais dites dépassées."
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