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hubert guillaud

GitHub : le Hub d'innovation de l'internet - Technology Review - 1 views

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    GitHub a créé un réseau social où les programmeurs se réunissent, font le travail et ce sans patrons, e-mails ou réunions, souligne Tom Simonite pour la Technology Review. Github, avec ses 3,6 millions d'utilisateurs deviendra-t-il le prochain grand réseau social ? Et pourtant, ce n'est qu'un lieu de stockage, de mise à jour et d'échange de code logiciel pour développeurs. Un réseau social construit autour de la création d'objets de valeur, explique le PDG de ce Facebook pour geeks, Tom Preston-Werner. Cette plaque tournante de l'innovation logicielle dont les membres à 78 % viennent d'en-dehors des Etats-Unis est aussi devenu un des premiers lieux de recrutement de développeurs. La force de Github est de permettre de s'impliquer dans un projet facilement.
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    GitHub a créé un réseau social où les programmeurs se réunissent, font le travail et ce sans patrons, e-mails ou réunions, souligne Tom Simonite pour la Technology Review. Github, avec ses 3,6 millions d'utilisateurs deviendra-t-il le prochain grand réseau social ? Et pourtant, ce n'est qu'un lieu de stockage, de mise à jour et d'échange de code logiciel pour développeurs. Un réseau social construit autour de la création d'objets de valeur, explique le PDG de ce Facebook pour geeks, Tom Preston-Werner. Cette plaque tournante de l'innovation logicielle dont les membres à 78 % viennent d'en-dehors des Etats-Unis est aussi devenu un des premiers lieux de recrutement de développeurs. La force de Github est de permettre de s'impliquer dans un projet facilement.
Aurialie Jublin

Innovation sociale : quand les startups inspirent les grandes entreprises - 1 views

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    "Innovation sociale : quand les startups inspirent les grandes entreprises"
Aurialie Jublin

A job is just a role that cannot change | Harold Jarche - 0 views

  • The hierarchical organizational structure is outdated. Those outside the organization, including employees after work, have more connections and better access to knowledge than inside. Traditionally, companies have been users of human capital, demanding all intellectual property for themselves. But networks can empower individuals, building upon the strengths of each member. The innovators are moving away from companies and into networks already. Today, most new companies are hiring fewer employees and many existing companies are shedding employees at every opportunity. The newly unemployed often realize their professional networks outside the organization are inadequate. The industrial era social contract between capital and labour is broken. Workers are starting to get more professional value from their social networks than from their companies, especially through open knowledge-sharing.
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    "Social networks disrupt hierarchical structures. Web-based social networks accelerate the spread of new ideas and lay bare organizational flaws. Anyone in a position of power and authority is losing some of that due to the growing power of social networks - doctors, teachers, managers, politicians. Social networks speed access to knowledge and accelerate learning. They allow people to quickly make and change connections. Seb Paquet calls this "ridiculously easy group-forming"."
Aurialie Jublin

Urban Collaborative Spaces Can Provide Many Benefits for People with Disabilities - 0 views

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    "Collaborative spaces within the city are more than just rising hotbeds of innovation; they can serve as social equalizers to disenfranchised populations, such as people with physical and cognitive disabilities. Collaborative spaces can help promote social inclusion by acting as accessible hubs of civic engagement, meaningful relationships, learning, innovation, and creativity."
Chamila Puylaurent

Réseau social et collaboratif en entreprise : témoignages - 0 views

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    "Les entreprises sont de plus en plus conscientes des avantages potentiels de l'introduction d'un réseau social interne. Le réseau social peut permettre une véritable transformation des pratiques de collaboration, avec des échanges plus fluides, une mobilisation de l'intelligence collective pour partager les connaissances, pour être plus efficace, pour innover."
Aurialie Jublin

Technology and jobs: Coming to an office near you | The Economist - 0 views

  • Even if new jobs and wonderful products emerge, in the short term income gaps will widen, causing huge social dislocation and perhaps even changing politics. Technology’s impact will feel like a tornado, hitting the rich world first, but eventually sweeping through poorer countries too. No government is prepared for it.
  • Worse, it seems likely that this wave of technological disruption to the job market has only just started. From driverless cars to clever household gadgets (see article), innovations that already exist could destroy swathes of jobs that have hitherto been untouched. The public sector is one obvious target: it has proved singularly resistant to tech-driven reinvention. But the step change in what computers can do will have a powerful effect on middle-class jobs in the private sector too.
  • One recent study by academics at Oxford University suggests that 47% of today’s jobs could be automated in the next two decades.
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  • At the same time, the digital revolution is transforming the process of innovation itself, as our special report explains. Thanks to off-the-shelf code from the internet and platforms that host services (such as Amazon’s cloud computing), provide distribution (Apple’s app store) and offer marketing (Facebook), the number of digital startups has exploded. J
  • f this analysis is halfway correct, the social effects will be huge. Many of the jobs most at risk are lower down the ladder (logistics, haulage), whereas the skills that are least vulnerable to automation (creativity, managerial expertise) tend to be higher up, so median wages are likely to remain stagnant for some time and income gaps are likely to widen.
  • The main way in which governments can help their people through this dislocation is through education systems. One of the reasons for the improvement in workers’ fortunes in the latter part of the Industrial Revolution was because schools were built to educate them—a dramatic change at the time. Now those schools themselves need to be changed, to foster the creativity that humans will need to set them apart from computers. There should be less rote-learning and more critical thinking. Technology itself will help, whether through MOOCs (massive open online courses) or even video games that simulate the skills needed for work.
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    "INNOVATION, the elixir of progress, has always cost people their jobs. In the Industrial Revolution artisan weavers were swept aside by the mechanical loom. Over the past 30 years the digital revolution has displaced many of the mid-skill jobs that underpinned 20th-century middle-class life. Typists, ticket agents, bank tellers and many production-line jobs have been dispensed with, just as the weavers were."
anonymous

"J'appelle un ami..." La mobilisation du réseau chez les entrepreneurs | Muti... - 0 views

  • marche la plus difficile est celle qui nous fait passer de 0 à 1 »
  • Aujourd’hui, l’explosion des plateformes de mises en  relation (professionnelles -Linkedin- ou non -Facebook-) a changé la donne pour ce qui est de faire appel à son réseau afin d’obtenir une ressource, et ce quelle que soit sa nature;
  • si la mobilisation du réseau a évolué dans sa forme, qu’en est-il du choix même de la mobilisation du réseau?
  • ...29 more annotations...
  • A quel moment et pourquoi
  • dans la visée d’obtenir une ressource qui, dans l’immédiat, lui fait défaut?
  • phénomène de mobilisation des réseaux et des energies
  • l’entreprise est une réponse à des besoins économiques mais est également « construite par des individus dont l’action est à la fois facilitée et limitée par la structure et les ressources disponibles des réseaux sociaux où ils s’inscrivent ». Le cadre social de l’entreprise facilite l’accès aux ressources car il réunit un ensemble de connaissances et de compétences complémentaires. Mais il peut s’avérer limitant si la rigidité des structures et le manque de communication avec l’exterieur freinent l’entreprise dans son accès aux ressources manquantes.
  • lorsqu’on se lance dans la création d’entreprise, tout est à construire ou à trouver : on ne dispose pas encore de toutes les ressources nécessaires à la réalisation du projet
  • son joker : son réseau et ses amis.
  • ’importance de la mobilisation des relations sociales dans le processus de création d’entreprise
  • pour accéder à des ressources par rapport à l’usage d’autres voies d’accès à ces ressources que sont les dispositifs de médiation comme par exemple l’appel contractuel à un bureau d’architectes pour le design du lieu de travail.
  • Le mode d’accès par les dispositifs de médiation s’oppose à la mobilisation du réseau social dans le sens où il s’agit d’accéder à des ressources sans disposer de relation préalable
  • possible de faire directement appel à un professionnel dont le métier est précisément de jouer les intermédiaires
  • recrutement, la cooptation est pratiquée très largement
  • « au fil du processus de création, les médias et les organismes privés interviennent de plus en plus, alors que la présence des organismes publics et des médiateurs humains diminue avec la période initiale ».
  • place prépondérante des relations sociales pour des entreprises ayant moins de trois ans d’existence
  • « réseau social» auquel fait appel un entrepreneur
  • moins que le réseau social privé, c’est le réseau professionnel qui joue à plus de 80%, amis de travail ou  connaissances ponctuelles
  • éseau professionnel n’est pas uniquement issu du milieu du travail, mais s’est également formé durant les études ou par le jeu de la sociabilité
  • l n’existe pas de corrélation entre l’efficacité et la pérennité du réseau mobilisé : autrement dit, les « liens forts » (amis, anciens collègues) n’apparaissent pas plus efficaces que les « liens faibles » (recommandations).
  • en relation les types de ressources et leur accès
  • «si tous les types de ressources sont susceptibles de mettre en jeu des relations sociales, celles-ci sont particulièrement sollicitées pour le montage de partenariats, le recrutement des employés ou le choix des fournisseurs, et relativement peu pour les informations ou idées permettant de monter le projet, et le financement ».
  • la mobilisation du réseau social reste prépondérante dans le processus de création d’entreprise, celle-ci est toujours en interaction (que ce soit par complémentarité ou concurrence) avec les autres formes d’accès aux ressources
  • question qui se pose pour l’entrepreneur est alors de savoir où placer le curseur; autrement dit quand s’avère-t-il plus sage, ou plus optimal, de faire appel à un dispositif de médiation?
  • C’est généralement la répartition de ressources et la confiance dans les autres acteurs qui dictera sa conduite.
  • Il existe également des moyens « matériels » qui permettent aux entrepreneurs d’accéder à un certain nombre de ressources. On pense notamment aux médias (presse, web),
  • elativiser au cas par cas
  • De manière un peu caricaturale, on pourrait retenir un code de conduite : si c’est une histoire de qualité : conseils, partenaires, employés, faites confiance à vos amis, si c’est une histoire de quantité (fonds, locaux…) demandez à ceux qui en ont !
  • quelle place reste-il aux réseaux sociaux générateurs de liens “faibles” , dont l’éloignement peut faire douter de la capacité de mobilisation réelle du réseau.
  • les liens forts sont les seuls à permettre d’engager concrètement des collaborations et une aide importante nécessitant un niveau de confiance élevé
  • limite d’Internet, les liens faibles qu’il génère favorisent l’accès à l’information mais la collaboration réelle nécessite toujours une confiance et un sentiment d’engagement mutuel
  • l’accès aux connaissances et aux compétences utiles, ce n’est pas seulement savoir à qui s’adresser, c’est c’est aussi savoir s’insérer dans un environnement riche en sérendipité … 
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    "Aujourd'hui, l'explosion des plateformes de mises en  relation (professionnelles -Linkedin- ou non -Facebook-) a changé la donne pour ce qui est de faire appel à son réseau afin d'obtenir une ressource, et ce quelle que soit sa nature; conseils techniques, juridiques, fonds, locaux… Ce phénomène a clairement bouleversé les manières d'envisager l'entrepreneuriat : en plus de faciliter les démarches, il ouvre un champ des possibles infiniment plus large qu'il y a trente ans pour une même action entrepreneuriale." "De manière un peu caricaturale, on pourrait retenir un code de conduite : si c'est une histoire de qualité : conseils, partenaires, employés, faites confiance à vos amis, si c'est une histoire de quantité (fonds, locaux…) demandez à ceux qui en ont !"
Aurialie Jublin

Vers un pair à pair de l'innovation sociale ouverte ? - @ Brest - 1 views

  • Apprendre à collaborer entre des milliers de personnes à reconnaître le travail de chacun à organiser les apports contributifs est une révolution méthodologique dans une société habituée à gérer la rareté. C’est du fonctionnement des communautés de contributeurs du logiciel libre et de wikipédia que nous avons appris de nouvelles méthodologies qui crée de nouvelles richesses partagées. Ce sont de nouveaux rapport sociaux qui encouragent et valorisent le pouvoir d’agir des contributeurs et ne sont plus essentiellement basés sur la fonction, le titre ou la place hiérarchique.Dans un monde numérique où la copie ne coûte rien, les données ouvertes, les logiciels libres, les ressources éducatives libres, et nos pratiques de la musique ou des films copiés sont issus de ce changement de paradigme de la rareté vers l’abondance qui nous fait découvrir la richesse des échanges de pair à pair et du partage.
  • La coopération ouverte est un profond changement de culture dans une société où le travail est organisé de manière cloisonnée et hiérarchique. Apprendre à donner à voir, copier, réutiliser, partager demande du temps parce que ce n’est pas dans nos habitudes.L’expérience nous montre que la coopération qui partage et mutualise est une expérience souvent irréversible. Nous prenons goût à cette forme de co-production où chacun-e est invité-e à co-produire, où sont reconnus celles et ceux qui font plutôt que les responsables hiérarchiques.
  • Aujourd’hui l’innovation ouverte progresse dans les entreprises où elle stimule la créativité, dans les services où elle favorise l’implication des personnes, dans le tiers secteur où elle est facteur d’innovation sociale.
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    En donnant à voir des dizaines d'initiatives, nous nous rendons compte que l'innovation sociale ouverte est abondante sur le territoire du pays de Brest (et ailleurs si la même démarche est engagée). Les centaines de personnes concernées ont souvent en commun un souci de partage, de solidarité, de territoires en transition. En appliquant les méthodologies collaboratives issues du logiciel libre et des projets autour des biens communs numériques nous souhaitons explorer un pair à pair des acteur-ice-s de l'innovation sociale ouverte qui contribue au mieux vivre ensemble et à la transformation du territoire.
Aurialie Jublin

Comment l'innovation sociale bouscule les entreprises - ParisTech Review - 1 views

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    "L'innovation sociale est apparue aux marges du monde industriel, mais elle s'y intègre peu à peu, en pénétrant des domaines tels que la conception, la production et le service après-vente. Elle touche les modes d'organisation, les manières de penser, les pratiques et jusqu'aux technologies mises en œuvre. Comment prendre la mesure de ses mécanismes et de son impact ? D'ores et déjà on peut préconiser certaines orientations en termes de méthodologie, de techniques d'analyse et de traitement de l'information."
Aurialie Jublin

Un lieu de travail "augmenté" optimise en temps réel les interactions entre e... - 2 views

  • La “réalité sociale augmentée” est le fruit de nombreuses années de recherche. “Contrairement à la réalité augmentée, qui ajoute des couches d’information à une vidéo ou à votre champ de vision pour vous fournir plus d’informations, la réalité sociale augmentée désigne les systèmes qui changent en temps réel pour satisfaire des besoins d’un groupe”
  • pour dynamiser les interactions sociales entre les employés, inutile d’organiser des réunions. A mesure que se développent des capteurs de plus en plus sophistiqués, les possibilités se démultiplient quant à l’étude des données comportementales sur les employés...  Le “prochain challenge”, selon Ben Waber, est “d’utiliser ces données afin d’influencer ou d’améliorer la façon dont les personnes travaillent entre elles”.
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    "La "réalité sociale augmentée" postule qu'en collectant les données comportementales des employés, il est possible de modifier la configuration de l'espace de travail pour optimiser les relations entre employés."
Aurialie Jublin

Liberté & Cie - blog des auteurs de l'ouvrage "l'entreprise libérée" - 1 views

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    Thèmes des ouvrages : auto-direction, auto-motivation, engagement & bonheur, innovation & découverte, liberté tirée des règles, leadership, lieu de travail & ses maux, sagesse
Aurialie Jublin

Et si l'on se débarrassait une fois pour toutes de l'emploi ? - 0 views

  • Le travail comme contrôle social Une première solution serait de continuer à travailler, même si cela ne sert plus à rien, ne serait-que pour préserver un certain ordre social, comme l'imaginent Léo Henry et Jacques Mucchielli dans leur nouvelle Demain l’usine
  • Le travail comme expression de soi Il serait évidemment préférable de se remettre en quête du sens de ce que l’on nomme encore aujourd’hui « travail ». On ne peut cependant pas s’en tirer par des expressions toutes faites telles que « créativité » ou « empathie », puisqu’on fait aujourd’hui toutes sortes d’efforts pour doter les robots et les IA de ce type de capacités.
  • Le travail comme oeuvre collective Mais on ne travaille pas tout seul, ni pour soi. Le travail est par essence une activité sociale, tant dans son déroulement que dans son résultat. Beaucoup d’utopies des XIXe et XXe siècle s’organisaient autour d’une manière de travailler ensemble
  • ...3 more annotations...
  • Le travail comme assurance-futur Oeuvrer, d’accord, mais à quoi ? Dans son article « The Option Value of the Human », situé à la lisière de la recherche et de la spéculation, l’informaticien et penseur de l’économie Steve Randy Waldmann suggère qu'à l'heure de la robotisation, la fonction du travail pourrait consister, d’une part, à garder en vie les savoir-faire et même les systèmes productifs du passé et d’autre part, à inventer le plus grand nombre de choses possibles, indépendamment de leur utilité immédiate.
  • ... Ou plus de travail du tout ? À moins… que nous apprenions à accepter l’oisiveté au nom de la contemplation, de l’amélioration de soi et de la philosophie, comme nous y invitent certaines des fictions les plus anciennes sur la robotisation du travail humain - le travail résiduel devenant une forme de “service social”, d’impôt temporel, comme dans la pièce « R.U.R, les Robots Universels de Rossum », de Karel Capek
  • Au fond, la disparition éventuelle du travail n’est peut-être un problème que dans un monde où la majorité des activités humaines s’inscrit dans un contexte marchand, justifiant dès lors un calcul coût-avantage qui tournera souvent à l’avantage de la machine. Tout en cherchant à inventer les métiers de demain, on pourrait aussi chercher aussi à imaginer la disparition de l’idée de métier, pour s’intéresser à l’infinie variété des « activités », des manières d’être utile à soi et aux autres.
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    "Les deux premiers épisodes de la série d'articles « Boulofictions » se penchaient respectivement sur la façon dont la fiction nous aide à penser les futurs du travail et sur l'origine et les intentions des robots. Dans ce troisième épisode, Daniel Kaplan, à l'initiative du projet Work+, explore le scénario suivant : à supposer que les robots se substituent effectivement aux humains dans la plupart des emplois actuels et que la création de nouveaux emplois (notamment de servants, de réparateurs ou de coaches des machines) ne vient pas compenser la destruction des anciens, que pourrions-nous bien faire de nos vies ?"
Veronique Routin

Les trois piliers de l'innovation - 0 views

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    faire place à l'émotion dans les organisations. Norbert Alter nous parle de l'émotion comme l'un des piliers de l'innovation, qui ne devrait pas être externalisée. l'émotion pour dire lien social, on se soutient. il parle de collectif "sensible", qui y met du coeur. il faut revenir à l'individu; la pensée managériale s'est focalisée sur une vision mécanique du travail humain. Pour "humaniser" le travail, on s'est focalisé sur le rendre heureux mais d'une manière caricaturale, on a affaire à une vison instrumentale de l'émotion (le smiley au lieu du visage humain). Comment sortir de ces représentations ? En posant différemment l'équation. L'émotion, ce n'est pas quelque chose qui appartient à l'individu et à lui seul, tout comme ce n'est pas quelque chose qu'on peut gérer ou manager. L'émotion émerge des rapports sociaux et elle se partage.
Aurialie Jublin

Bitwlking, exercice nd the workification of everything - 0 views

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    Very soon you will be able to earn money just by walking.A new app is about to be launched which will convert your steps into a cryptocurrency similar to Bitcoin. With Bitwalking you simply generate money by walking. Once installed on your phone, the free app converts steps to Bitwalking dollars (BW$) that you can manage and use as you wish. The money you generate accumulates each day, and remains in your account until transferred or spent. This is presented by the app designers as a disruptive and revolutionary innovation (they usually are) but also one with a moral mission. It is proposed that it can help to improve health and happiness by encouraging more exercise. Also, it can improve the environment through pushing us into walking rather than driving and because it mine coins through human movement rather than via computers. (...) Even more audaciously Bitwalking is also suggested as a enabling freedom and equality. We believe that everyone should have the freedom, and ability, to make money. A step is worth the same value for everyone - no matter who you are, or where you are. What matters is how much you walk. The drive to do social good has been presented as central to the development of this new app with the creators including developing countries, such as Malawi, amongst their test sites. Sportswear brands, charities, health insurance companies and environmental groups are to be targeted for involvement in the Bitwalking marketplace where the virtual currency can be used to buy goods or trade for real money. Also, the data will be made available to advertisers(with security and anonymity safeguards, of course). I have previously developed an argument that self-tracking is contributing towards a reconceptualisation of exercise into labour. Here I suggested that the standardisation of exercise activities through tracking and digitisation and their subsequent accumulation into valuable (to advertisers, insurers and others) data means that
Aurialie Jublin

Chez Expectra, les candidats peuvent postuler en 1 clic avec Viadeo, Linkedin et Doyoub... - 3 views

  • Pour être concret, sur une année glissante, nous sommes à exactement 6,94% de réponses à nos offres effectuées avec un profil viadeo sur près de 400 000  candidatures. Nous sommes donc restés sur le même ratio qu’au lancement.
  • l’usage du profil Viadeo est assez inégal selon les filières métiers. Sur une année, ce sont les candidats de notre filière Commercial & Marketing qui sont les plus enclins à opter pour le profil Viadeo, et de loin : en moyenne, nous recevons 10,43 profils pour une offre d’emploi sur ces métiers. Viennent ensuite les candidats de notre département Managers & Dirigeants avec 4,87 profils reçus pour une annonce puis ceux de la filière Comptabilité & Finance où nous enregistrons 3,18 profils / annonce.
  • Maintenant, avec le choix CV ou profil de 3 réseaux, le rapport est de  92.49% vs 7,51% ; et dans le détail nous avons Viadeo à 4,63%, Linkedin à 2,09%, et DoYouBuzz à 0,79%.
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    Linkedin a lancé son bouton "Apply with Linkedin" il y a près de deux ans et un certain nombre de cabinets de recrutement avant-gardistes, au premier rang desquels Altaïde, l'ont rapidement adopté. Doyoubuzz a suivi en lançant lui aussi son bouton, avant qu'Expectra ne s'associe à Viadeo pour permettre en février 2012 aux candidats de postuler avec leur profil aux offres proposées par le cabinet. La guerre des boutons pouvait commencer ! Après avoir interrogé Gilles Gobron, Responsable Marketing Internet d'Expectra, en avril 2012 pour recueillir ses premiers feedbacks sur cette expérimentation, je lui ai proposé une seconde interview 14 mois plus tard alors qu'Expectra innove une nouvelle fois en étant le tout premier site à proposer 4 modes de candidature : Viadeo, Linkedin, Doyoubuzz et … le CV !
Chamila Puylaurent

Peur et manque de confiance, les principaux freins à l'innovation participative - 0 views

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    "Contrairement aux idées reçues, la France est un pays de créateurs, sauf qu'ils ne sont pas assez reconnus et encouragés dans notre pays. Un constat partagé le 24 novembre par Innov'Acteurs lors du Carrefour de l'innovation participative, journée de réflexion autour des enjeux de l'innovation et de la créativité dans les entreprises. "
Aurialie Jublin

LinkedIn ouvre son programme "influenceurs" à tous ses membres | L'Atelier - 2 views

  • En ouvrant son programme de partage de contenu à tout le monde, la plateforme espère que ses membres produiront un flux régulier de contenu partageable pour les professionnels d’entreprise, de la même façon que Facebook avec son fil d’actualité composé en grande partie de photos à destination de son réseau d’amis. LinkedIn va utiliser un algorithme pour identifier les articles qui auront le vent en poupe par les lecteurs pour ensuite les mettre en avant et les distribuer de façon plus large. En outre, LinkedIn permet aujourd’hui à ses utilisateurs de suivre des personnes qui ne sont pas dans leur réseau et de construire leur propre groupe de suiveurs, à la manière de Twitter. Chacun pourra alors devenir un influenceur sur LinkedIn sans avoir la notoriété de Bill Gates. LinkedIn insère aussi des annonces dans le fil d’actualité des utilisateurs, afin d’avoir des revenus publicitaires.
  • L’objectif de cette modification, est de rendre l’interface sociale, un lieu où chaque membre peut devenir productif et réussir sa carrière professionnelle, pas seulement dans le cadre de la recherche d’emploi ou de personne.
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    "LinkedIn a ouvert son programme « influenceurs » à tous ses utilisateurs, leur permettant ainsi de publier du contenu, de suivre des personnes et de gagner des « followers », à la manière de Twitter."
Aurialie Jublin

Why These Coworking Spaces In Train Stations Let You Pay In "Social Capital" | Fast Co... - 0 views

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    Is the free coworking space that's giving 80,000 people desks in vacant areas of schools, hospitals, and train stations the future of work?
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