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Contents contributed and discussions participated by Aurialie Jublin

Aurialie Jublin

Sur Google, le mot « lesbienne » ne renverra plus vers de la pornographie - 0 views

  • Victoire pour l’équipe de SEOlesbienne, et pour toutes les femmes homosexuelles lassées d’être réduites à une simple catégorie sur les sites pornos. Le mouvement, lancé en avril 2019, pointait du doigt les dérives de l’algorithme Google, qui renvoyait chaque recherche du mot « lesbienne » vers du contenu pornographique. Depuis le jeudi 18 juillet, l’algorithme Google propose des articles de presse, des ressources pédagogiques ou des contenus viraux. Mais le terme continue d’être fortement connoté et parfois même censuré, notamment sur Facebook et Instagram.
  • « Nous voulons détruire ce mythe de l’algorithme sans tête, qui n’aurait pas été créé par un humain. Un algorithme capable de nous engloutir et sur lequel nous n’aurions aucun pouvoir », souligne-t-elle. Une ignorance traduite par les critiques adressées à SEOlesbienne, souvent de la part de personnes très jeunes, qui affirmaient l'impossibilité de s'élever contre une grosse machine Google déshumanisée. Pour Fanchon, il ne faut pas oublier que ce sont des êtres humains qui programment ces algorithmes, et induisent des biais sexistes : « Considérer la subjectivité de Google, la prendre en compte, c’est aussi se dire que les résultats Google ne sont pas neutres ».
  • « L’ancien algorithme Google n’était rien d’autre que de la lesbophobie s’exprimant par de l’hypersexualisation ». Les recherches des mots « gay » ou « homosexuel », destinées aux hommes donc, ne renvoient pas directement à du contenu pornographique. Ces transformations profondes sont, selon elle, concomitantes à la lutte des femmes, à leur émancipation et à une nouvelle forme de militantisme post #metoo. Car à travers ces recherches Google se cachent un véritable enjeu de santé publique. De nombreuses jeunes filles n'ont pas accès à une information de qualité et à une éducation sexuelle adaptée.
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  • Sans compter que l’objectification des femmes lesbiennes a des répercussions catastrophiques sur leur vie quotidienne. « Les personnes lesbiennes, gaies, bi et trans se suicident en moyenne 4 fois plus que le reste de la population », rappelle l'Inter-LGBT. Les discriminations, les violences et les insultes sont les principales causes de cette surexposition au suicide.
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    "Depuis le 18 juillet, une saisie Google du mot « lesbienne » ne conduira plus systématiquement vers de la pornographie et proposera dorénavant du contenu informatif. On fait le point avec la créatrice de SEOLesbienne, la cyberactiviste Fanchon.  "
Aurialie Jublin

Les communs urbains : nouveau droit de cité ? - Métropolitiques - 0 views

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    "La notion de « communs » traduit un intérêt croissant de la société civile pour produire, gérer et partager des ressources matérielles et immatérielles de façon collaborative et ouverte. Comment ces nouvelles façons de faire en commun s'inscrivent-elles dans les territoires et contribuent-elles à les redéfinir ? Sont-elles susceptibles de renouveler la production de la ville et d'accéder au rang d'un nouveau « droit de cité » ?"
Aurialie Jublin

La « gig-economy » est-elle condamnée à être antisociale ? | Mais où va le Web - 0 views

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    "J'assistais cette semaine à un meet-up organisé par la petite équipe de Tête à Tech, autour de la « Gig economy », qui désigne notamment le recours à des travailleurs précaires pour réaliser à la demande des tâches variées. Un phénomène rendu possible par la numérisation d'une partie importante de l'activité économique. Les intervenants, Touhfat Mouhtare et Jérôme Pimot abordaient successivement les « travailleurs du clic » et la situation des livreurs à vélo via des applications type Foodora. Deux jobs aux formes plutôt nouvelles qui génèrent de nombreuses controverses."
Aurialie Jublin

Qu'est devenue l'utopie d'Internet ? | Revue Projet - 0 views

  • Si les années 1990 constituent bien une sorte d’âge d’or de l’utopie numérique, l’expansion d’Internet va progressivement remettre en cause cette vision enchantée du cyberespace. Afin de financer le développement de l’infrastructure, l’administration scientifique en charge d’Internet décide, en 1993, d’ouvrir le réseau aux entreprises privées. Jusqu’alors soutenu par la puissance publique, il était considéré comme un outil de coordination scientifique dont les usages se devaient d’être strictement non lucratifs. Mais le développement de services commerciaux d’accès favorise la découverte du web par un plus large public.
  • La deuxième trahison tient à l’accroissement du contrôle des communications dans un espace numérique jusqu’ici marqué par le principe d’auto-régulation et de responsabilisation de chaque participant. Dans les années 1990, les premières « affaires du net » révèlent la face sombre du web : incitations à la haine, pédopornographie, piratage informatique, propagande, etc. Ces menaces favorisent un retour progressif des États, jusqu’alors remarquablement absents, pour réguler les échanges et protéger les droits sur Internet. Depuis les années 2000, les initiatives législatives se multiplient pour lutter contre le piratage, la prolifération de contenus haineux ou, plus récemment, la manipulation de l’information.
  • Retour du contrôle des communications, règne de la marchandisation et centralisation du web autour des grandes plateformes : ces transformations d’Internet sont dénoncées comme autant de coups portés au projet initial de « l’Internet libre », principalement de la part des Gafam. Pour autant, on aurait tort d’opposer schématiquement les défenseurs aux fossoyeurs de l’utopie numérique. Google s’est parfois trouvé aux côtés des militants du net pour défendre la libre circulation de l’information, la neutralité du net ou l’assouplissement de la propriété intellectuelle. Le projet « Google books » de numérisation de livres, par exemple, n’est pas sans rappeler celui de bibliothèque universelle formulé par les premiers concepteurs du réseau. On songe également aux prises de position très strictes d’Apple au sujet de la protection de la vie privée5. Ces affinités s’expliquent aussi par les racines culturelles de l’utopie numérique. Les fondateurs d’entreprises numériques, les développeurs qui y travaillent, sont bien souvent des utilisateurs pionniers et passionnés d’Internet. Pour certains, l’esprit de la Silicon Valley, loin de marquer une trahison de l’utopie numérique, en constitue l’expression la plus aboutie en tant que synthèse entre l’esprit de la contre-culture et l’enthousiasme technologique d’entrepreneurs innovants.
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    "Aux débuts d'Internet, un idéal d'horizontalité, de gratuité, de liberté. Trente ans après, le web s'est centralisé, marchandisé, et a été colonisé par les géants du numérique. Ces derniers ont-ils trahi l'utopie des pionniers d'Internet ?"
Aurialie Jublin

« Carbonalyser » : découvrez combien surfer sur le web coûte au climat - 0 views

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    "L'extension de navigateur (ou add-on) « Carbonalyser » vous permet de visualiser la consommation électrique et les émissions de gaz à effet de serre (GES) associées à votre navigation internet. Il permet de se représenter la matérialité de nos usages numériques, afin de comprendre que même cachés derrière notre écran, les impacts du Numérique sur le climat et les ressources sont véritables. Téléchargez « Carbonalyser » dans le répertoire du navigateur Firefox ici : https://addons.mozilla.org/fr/firefox/addon/carbonalyser/. Pour calculer ces impacts, le programme : Comptabilise la quantité de données transitant via le navigateur, Traduit ce trafic en consommation électrique (via le modèle « 1byte » développé par The Shift Project), Traduit cette consommation électrique en émissions de CO2e selon la zone géographique."
Aurialie Jublin

Retrouver ensemble la puissance d'agir pour l'environnement et le social | Les Echos - 0 views

  • Place aux modèles de gouvernance qui, en articulant une large diversité de points de vue, permettent la mobilisation rapide d'une myriade de savoir-faire. L'initiative Les Bons Clics, qui veut lutter contre l'exclusion numérique dont sont victimes 15 millions de Français, réunit des partenaires très divers : une entreprise de l'ESS (Simplon.co), 3 associations qui travaillent sur l'insertion sociale (Emmaüs Connect, la Croix-Rouge française et Bibliothèques sans frontières), une start-up (WeTechCare) et un réseau d'associations locales (le Comité national de liaison des régies de quartiers). Lauréate du label French Impact en juin 2018, cette coalition obtiendra des résultats qu'aucun des porteurs du projet n'aurait pu espérer atteindre hors du cadre collectif.
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    "Les dynamiques de coalition apparaissent comme l'outil le plus approprié pour retrouver une puissance d'agir dans le monde actuel, estiment Frédéric Bardeau et Antoine Sire. Etat ou acteur privé, aucune entité ne peut désormais prétendre résoudre seule les grands enjeux."
Aurialie Jublin

La « colère Internet ». Et si les révolutions étaient désormais algorithmique... - 0 views

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    "Clément Mabi (@C_Mabi), maître de conférences à l'UTC de Compiègne, spécialiste des questions d'expérimentation démocratique, de participation citoyenne et de culture numérique, interroge dans ce texte le rôle d'Internet dans l'émergence et la structuration des mouvements politiques récents. Là où nous posons trop souvent un regard binaire sur Internet, le jugeant coup à coup favorable à la démocratie, ou encourageant des visées populistes, son propos opte pour une remise en contexte sociale de l'usage des technologies qui permet de dépasser cette dichotomie trop stricte. Il défend qu'Internet n'est pas stricto sensu une représentation fidèle du monde social, mais plutôt son miroir déformant qu'il convient d'étudier sous différents angles avant de se laisser aller à des jugements hâtifs et englobants."
Aurialie Jublin

« Le cyberminimalisme libère du temps, réhabilite les rencontres, préserve la... - 0 views

  • D'autres principes s'adressent à tous, comme posséder le moins d’objets connectés possible. Cesser de noter autrui, aussi, permettrait d'éviter de basculer vers le système de « crédit social » chinois. Même si cela semble ludique ou que l'on pense bien faire en notant son prochain sur Uber ou Airbnb, ce sont les prémisses d'une société à la chinoise. Si on n'y prend pas garde, on y va tout droit.
  • J’ai cherché un mot permettant de refléter la façon dont j’avais envie de vivre, entre la mise à distance des objets connectés et le désir de vivre dans mon époque. Je me suis intéressée à l'équipément et aux usages, en listant 7 principes. Certains concernent la jeunesse, comme « ne pas fournir de téléphone portable avant 15 ans ».
  • Le minimalisme matériel concerne aussi les logiciels, donc il faut alléger son téléphone. On peut « libérer » son portable et son ordinateur en optant pour des logiciels libres qui respectent davantage la vie privée. Mais le libre peut prendre du temps et nous river de nouveau aux écrans, c’est toute son ambiguïté.
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  • Il y a plusieurs enjeux avec le « life log », c’est-à-dire le fait de mettre sa vie en ligne en permanence. Il y a la perte de temps, d’abord. C’est une activité qui peut prendre le pas sur la vie réelle. Certains ont des vies sur instagram devenues plus intenses que leur vie réelle. D’autres saluent Instagram tous les soirs, « bonne nuit Insta », mais à qui s’adresse-t-on ?
  • Je suis optimiste de nature donc j’ai tendance à estimer que les quelques résistances à l’oeuvre sont des bons signes. On peut parler des éleveurs de « Faut pas pucer » dans le Tarn, qui refusent d’accrocher une boucle électronique à leurs animaux. Les animaux sont parfaitement identifiés par ailleurs, ils ont reçu toute la prophylaxie nécessaire, mais ils n’entrent pas dans la nouvelle norme… Ces éleveurs sont en difficulté et ils ont besoin de soutien. 
  • Je pense à deux autres résistances. Des élus locaux de New York viennent de fermer la porte à Amazon qui voulait y installer son siège social. Craignant une hausse des prix et une gentrification du quartier pressenti pour le projet, ils refusent aussi par principe d’accorder une aide fiscale à Jeff Bezos, l’homme le plus riche du monde. C’est une résistance politique très intéressante. Je pense aussi à la Cour de Cassation qui, en novembre 2018, a requalifié en contrat de travail la relation contractuelle d'un livreur à vélo et de la plateforme de livraison de repas Take Eat Easy. Elle a estimé qu’il y avait un lien de subordination entre le livreur et la plateforme, et non une relation de type travail indépendant. On voit donc des juges qui ne se laissent pas faire, des élus locaux résistant à l'ogre Amazon, et des éleveurs qui tentent d'élever leurs chèvres avec du bon sens. 
  • Il n’y a aucun débat démocratique sur la société cybernétique. Il n’y a donc de la place que pour des résistances locales ou individuelles. Mon espérance est que cela devienne un sujet politique, qu’on nous pose des questions scientifiques, à propos de la société numérique, et que chacun puisse se positionner. Veut-on vraiment des voitures autonomes ? Une médecine « connectée » et « à distance » ? Veut on vraiment tomber sur des répondeurs plutôt que sur des gens ? Bien sûr, il y a d’autres priorités, je ne prétends pas que ce soit toujours le sujet numéro 1. Mais à travers ce thème de l'artificialisation du monde, il y a la question de l’écologie, de la démocratie, de la jeunesse. Il faut faire émerger le débat. 
  • Je trouverais intéressant de faire émerger un nouveau droit fondamental qui donnerait le droit, par exemple, d’accéder aux services publics sans passer par un écran, en allant trouver un humain à un guichet. C’est important pour toutes les personnes qui sont allergiques aux écrans, qui souffrent énormément de passer par Internet, pour les personnes âgées, pour les personnes qui n’ont pas les moyens. Il faut retrouver l’humain dans ce rapport à l’administration. Les enfants et les jeunes doivent de leur côté conserver le droit de vivre de façon non connectée. Cela suppose de renoncer au projet fou de numérisation progressive de l’école. 
  • C’est une démarche qui d’abord libère du temps. Renoncer au « life log » (la captation et la publication de sa vie) permet de laisser moins de données derrière soi, et donne de la liberté mentale en se sentant moins dépendant de l'approbation d'autrui. Le cyberminimalisme apporte aussi du bien-être puisque l’idée est de réhabiliter les rencontres réelles, de privilégier les coups de fil plutôt que les courts messages, les sorties sans téléphone, s’autoriser quelques soirées sans écran et enrichir l'amitié. Enfin il y a préservation de la biosphère par l'achat systématique de numérique d'occasion afin de remettre en circulation les objets déjà produits, et soulager ainsi la Terre d'une activité extractive très polluante. 
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    "Le tout-numérique n'est pas une fatalité et la résistance, déjà à l'oeuvre, doit grossir ses rangs. Tel est le message au coeur de Cyberminimalisme, à la fois essai critique et manuel pratique, paru le 7 février au Seuil dans la collection Anthropocène. Entretien avec son auteure, Karine Mauvilly."
Aurialie Jublin

Illectronisme : quelles solutions pour les exclus du numérique ? - U&R - 0 views

  • Le Livre Blanc appelle ainsi les concepteurs à améliorer la simplicité d’accès, estimant qu’une « grande part de responsabilité » incombe aux designers d’interface (UX designers) dans l’intégration des problématiques d’accessibilité aux outils du numérique. « Les concepteurs de sites ont tendance à créer des sites pour eux-mêmes, commente Olivier Sauvage, entrepreneur et fondateur de Wexperience, société de conseil en UX Design. C’est aussi un problème de formation : pendant leurs études, pratiquement aucun UX designer n’entend parler d’illectronisme. Il faut absolument former ceux qui font le web à ces questions-là ».
  • À moins que les personnes concernées par l'illectronisme ne soient aidées par les interfaces vocales. C’est le pari d’Olivier Mejean, directeur de demain.ai, un cabinet de conseil en stratégie spécialisé dans l'intelligence artificielle, et également contributeur du rapport. À ses yeux, la solution peut résider en deux lettres désormais bien connues : IA. « Pour apporter un service à ceux qui ne sont pas capables de communiquer via des interfaces, la meilleure solution n’est-elle pas de créer une interface sans interface ?  », explique-t-il, estimant qu’on peut « récupérer une partie des gens par la voix ».
  • L’apprentissage machine pourrait également permettre d’identifier les « abandonnistes », soit les 19% des Français qui, au cours des douze derniers mois, ont renoncé plus d’une fois à faire quelque chose parce qu’il fallait utiliser Internet. « La machine est capable de déceler les comportements anormaux, et donc d’identifier la personne qui est sur le point d’abandonner et de la rattraper, en lui proposant soit d’appeler un numéro, soit de prendre un rendez-vous, soit d'échanger avec un chatbot ». Soit exactement les stratégies déployées par les sites de e-commerce pour vous rattraper quand vous avez déguerpi avant de « valider votre panier » - leur hantise ultime.
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  • Alors que rien ne semble pouvoir arrêter la dématérialisation, le « cyberminimalisme » et l'émergence d'un « droit à la non-connexion qui donnerait le droit, par exemple, d’accéder aux services publics sans passer par un écran, en allant trouver un humain à un guichet » ne semblent donc toujours pas être des options pour notre futur. 
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    "Le Syndicat de la Presse sociale (SPS) publie un Livre Blanc contre l'illectronisme. Un phénomène qui concerne 23% de la population française."
Aurialie Jublin

Chartes et manifestes numérique et éthique - HackMD - 0 views

  • En français Manifeste RESET - 2019 - FING Label territoire numérique inclusif-mars 2019 Orientations stratégiques cadrant le développement des projets numériques au Pôle Solidarité Citoyenneté Culture de Rennes métropole 1 Développer des services numériques nouveaux pour une accessibilité renforcée aux services publics 2 Lutter contre la fracture numérique (et l’intégrer dans le point numéro 1) 3 Impulser une culture collaborative (personnes morales, habitants, institutions, etc) 4 Faire place et donner à voir l’innovation et l’expérimentation 5 Accompagner en interne l’appropriation d’une culture du numérique dans la collectivité. Conception numérique responsable - Low tech - Green IT (eco-responsable) Charte territoire France connectée pour un numérique inclusif (décembre 2018 - Etat-Gironde) - il existerait un pdf en ligne :-) Déclaration de Montréal IA Responsable Charte sur l’usage de la donnée - Nantes métropole - juin 2019 Manifeste de la fabcity Manifeste pour une démocratie délibérative (civic tech-BlueNove) Projet de charte des smart cities (ADULLACT - juin 2019) Charte PrestaLibre pour les relations entre prestataires informatiques et collectivités (2018, Lorient et les Consometers). Charte de l’aidant numérique, ville de Paris Charte de l’aidant numérique, Grand Chambery CHARTE DE L’ACCOMPAGNEMENT NUMERIQUE DES RESEAUX LOCAUX D’INCLUSION NUMERIQUE, Stratégie Départementale d’Inclusion numérique des Pyrénées-Atlantique Kit et modèle de mandat de la CNIL pour les travailleurs sociaux Charte internationale des données ouvertes [Serment d’Hippocrate pour Data Scientist by Data For Good] Explications (https://www.hippocrate.tech/) Serment (https://framavox.org/g/Qtz0JHr9/dataforgood-serment) Charte qualité des données de Datatourisme Charte de l’IFLA sur Internet en bibliothèque Charte Biblib ABF (Association des bibliothécaire de France)
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    "L'objectif est de recenser des ressources de type "charte" ou "manifeste" permettant de cadrer éthiquement les développements de projets/plateformes/services/médiations outillés par du numérique, notamment sur des territoires. L'idée est de ne pas se focaliser sur la performance, la précision, le passage à l'échelle de nouveaux services ou de processus optimisés, mais de fabriquer des territoires souhaitables, à l'aide du numérique (le numérique peut servir à "ralentir" ou "déconnecter" des espaces-temps, par exemple. Il peut respecter des principes, utiliser des méthodes éco-responsables, des valeurs comme la démocratie, etc)."
Aurialie Jublin

LinkedOut : Partagez votre réseau avec ceux qui n'en ont pas - association En... - 0 views

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    "Quand on est en précarité, on est invisible. Les chances de trouver du travail sont proches de zéro. Faites don de votre visibilité avec LinkedOut. Un partage peut tout changer."
Aurialie Jublin

Pour une Europe des citoyens et des territoires | Alternatives Economiques - 0 views

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    "Les élections européennes du 26 mai 2019 constituent une opportunité historique d'assurer la participation des citoyens dans la construction de l'avenir de l'Union européenne. Dans ce contexte, l'économie sociale et solidaire (ESS) est déterminée à contribuer au façonnement d'un avenir basé sur le développement durable et sur le progrès économique et social à travers une Union européenne fondée sur la coopération, la démocratie, la solidarité et le respect de sa diversité, l'innovation et la citoyenneté active. Partout des initiatives citoyennes innovantes et solidaires émergent sur les territoires pour apporter des solutions économiques et sociales qui n'attendent que d'être structurées et amplifiées. Elles sont relayées ou initiées par des politiques publiques, notamment territoriales, créant des écosystèmes favorables à leur développement. L'Europe peut aider à multiplier ces solutions au travers d'un soutien résolu à l'économie sociale et solidaire. Celle-ci propose un modèle de fonctionnement qui réconcilie l'économique et le social au cœur des territoires et dans la durée."
Aurialie Jublin

A Machine May Not Take Your Job, but One Could Become Your Boss - The New York Times - 1 views

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    "The goal of automation has always been efficiency. What if artificial intelligence sees humanity itself as the thing to be optimized?"
Aurialie Jublin

Ind.ie - Ethical Design Manifesto - 0 views

  • Technology that respects human rights is decentralised, peer-to-peer, zero-knowledge, end-to-end encrypted, free and open source, interoperable, accessible, and sustainable. It respects and protects your civil liberties, reduces inequality, and benefits democracy.
  • Technology that respects human effort is functional, convenient, and reliable. It is thoughtful and accommodating; not arrogant or demanding. It understands that you might be distracted or differently-abled. It respects the limited time you have on this planet.
  • Technology that respects human experience is beautiful, magical, and delightful. It just works. It’s intuitive. It’s invisible. It recedes into the background of your life. It gives you joy. It empowers you with superpowers. It puts a smile on your face and makes your life better.
Aurialie Jublin

Public Money, Public Code - 0 views

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    "Nous voulons une législation qui requiert que le logiciel financé par le contribuable pour le secteur public soit disponible publiquement sous une licence de Logiciel Libre et Open Source. S'il s'agit d'argent public, le code devrait être également public. Le code payé par le peuple devrait être disponible pour le peuple!"
Aurialie Jublin

Have you heard about Silicon Valley's unpaid research and development department? It's ... - 0 views

  • So what should we do instead? Let’s instead invest in many small and independent not-for-profit organisations and task them with building the ethical alternatives. Let’s get them to compete with each other while doing so. Let’s take what we know works from Silicon Valley (small organisations working iteratively, competing, and failing fast) and remove what is toxic: venture capital, exponential growth, and exits. Instead of startups, lets build stayups in Europe. Instead of disposable businesses that either fail fast or become malignant tumours, let’s fund organisations that either fail fast or become sustainable providers of social good.
  • The EC must stop funding startups and invest in stayups instead. Invest €5M in ten stayups in each area where we want ethical alternatives. Unlike a startup, when stayups are successful, they don’t exit. They can’t get bought by Google or Facebook. They remain sustainable European not-for-profits working to deliver technology as a social good.
  • Furthermore, funding for a stayup must come with a strict specification of the character of the technology it will build. Goods built using public funds must be public goods. Free Software Foundation Europe is currently raising awareness along these lines with their “public money, public code” campaign. However we must go beyond “open source” to stipulate that technology created by stayups must be not only public but also impossible to enclose. For software and hardware, this means using licenses that are copyleft. A copyleft license ensures that if you build on public technology, you must share alike. Share-alike licenses are essential so that our efforts do not become a euphemism for privatisation and to avoid a tragedy of the commons. Corporations with deep pockets must not be able to take what we create with public funds, invest their own millions on top, and not share back the value they’ve added.
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  • We must also start to fund ethical, decentralised, free and open alternatives from the commons for the common good. We must ensure that these organisations have social missions ingrained in their very existence that cannot be circumvented. We must make sure that these organisations cannot be bought by surveillance capitalists. Today, we are funding startups and acting as an unofficial and unpaid research and development arm for Silicon Valley. We fund startups and, if they’re successful, they get bought by the Googles and Facebooks. If they’re unsuccessful, the EU taxpayer foots the bill. It’s time for the European Commission and the EU to stop being useful idiots for Silicon Valley, and for us to fund and support our own ethical technological infrastructure.
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    "Who should you thank for Facebook's Libra? "One of the UK's leading privacy researchers" University College London The DECODE project And, if you're an EU citizen who pays their taxes, You. Surprised? Don't be. None of this was unforeseen Today, the EU acts like an unpaid research and development department for Silicon Valley. We fund startups, which, if they're successful, get sold to companies in Silicon Valley. If they fail, the European taxpayer foots the bill. This is madness."
Aurialie Jublin

"Allô Muriel Penicaud, c'est pour signaler un accident du travail" - 0 views

  • Depuis 2017, Mathieu Lépine, professeur d’Histoire-Géo à Montreuil, égraine les blessés graves et les morts au travail. Il est désormais suivi par plus de 12 700 abonnés sur son compte Twitter Accident du travail : silence des ouvriers meurent. Électrocution, chute, accident de la route, suicide… Rien que depuis le 1er janvier 2019, il a comptabilisé "430 accidents graves, dont 160 mortels".
  • L'idée de ce recensement est née d'une phrase, prononcée par Emmanuel Macron, alors ministre de l'Économie : "Bien souvent, la vie d'un entrepreneur est plus dure que celle d'un salarié". Interpellé, il se lance dans des recherches pour établir un recensement, d'abord mensuel. Le compte Twitter apparaît lui en janvier 2019, "au moment où deux accidents assez emblématiques des évolutions du monde du travail ont eu lieu : _le décès de Franck Page, un livreur Uber Eats de 18 ans, et celui d'un ouvrier auto-entrepreneur de 68 ans, sur un toit de la préfecture de Versailles_".
  • Cette fois, le recensement est quotidien et le travail plus méticuleux. Chaque jour, il consacre près de deux heures à éplucher la presse, "le plus souvent locale ou régionale". Résultat : quatre à cinq accidents graves ou mortels apparaissent quotidiennement sur son compte. 
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  • Bien sûr, les données du rapport annuel de l'Assurance Maladie sont bien plus précises : en 2017, elle a comptabilisé 870 000 accidents du travail et 550 décès, 1 100 si on prend en compte les accidents de trajet et les maladies professionnelles. "On a des chiffres plein les yeux, ironise-t-il, mais _j'essaye d'y donner une dimension humaine... les gens sont tellement plus touchés lorsqu'ils voient un nom, une photo._"
  • À force d'en voir défiler sur son écran, Mathieu Lépine a tout de même fini par observer des tendances "liées aux évolutions du monde du travail". Il s'est ainsi aperçu que "plus de 40% des victimes dans [son] recensement ont plus de 50 ans". Par exemple, "les deux ouvriers morts mercredi dans le Val-d'Oise avaient 52 et 59 ans".
  • Sur la route, les jeunes livreurs à vélo sont eux aussi de plus en plus touchés, en raison de "l'ubérisation", analyse-t-il.
  • Pour autant, un bon nombre de victimes d'accidents du travail demeurent invisibles. La plupart de ses posts concernent "des hommes qui travaillent dans le BTP, l'industrie, l'agriculture, ou des chauffeurs routiers". Alors que "les premières victimes des accidents du travail sont des femmes, notamment dans le service à la personne, note Mathieu Lépine, mais il n'y aura pas d'article nous informant que l'infirmière libérale du Tarn s'est déchiré l'épaule".
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    "Depuis quelques mois, un compte Twitter interpelle la ministre du Travail. Un professeur d'Histoire-Géo recense les accidents graves et les morts au travail avec un objectif : "les rendre plus visibles" face à l'indifférence."
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