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Contents contributed and discussions participated by Aurialie Jublin

Aurialie Jublin

La Société Générale s'offre Lumo, la start-up bordelaise mi-fintech mi-greentech - 0 views

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    La Société Générale rachète Lumo. Fondée en 2012, cette start-up a développé une plate-forme d'épargne participative dédiée à la transition énergétique.
Aurialie Jublin

Comunes collective - 0 views

  • Ourproject.org is a web-based collaborative free content repository. It acts as a central location for offering web space and tools for projects of any topic, focusing on free knowledge. It aims to extend the ideas and methodology of free software to social areas and free culture in general. Thus, it provides multiple web services (hosting, mailing lists, wiki, ftp, forums…) to social/cultural/artistic projects as long as they share their contents with Creative Commons licenses (or other free/libre licenses). Active since 2002, nowadays it hosts 1,733 projects and its services receive around 1,000,000 monthly visits.
  • Kune is a platform for encouraging collaboration, content sharing & free culture. It aims to improve/modernize/replicate the labor of what ourproject.org does, but in an easier manner and expanding on its features for community-building. It allows for the creation of online spaces of collaborative work, where organizations and individuals can build projects online, coordinate common agendas, set up virtual meetings and join people/orgs with similar interests. It sums up the characteristics of online social networks with collaborative software, aimed at groups and boosting the sharing of contents among orgs/peers.
  • Move Commons (MC) is a simple web tool for initiatives, collectives and NGOs to declare and visualize the core principles they are committed to. The idea behind MC follows the same mechanics of Creative Commons tagging cultural works, providing a user-friendly, bottom-up, labeling system for each initiative with 4 meaningful icons and some keywords. It aims to boost the visibility and diffusion of such initiatives, building a network among related initiatives/collectives across the world and allowing mutual discovery.
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  •   Other projects   Alerta! is a community-driven alert system Plantaré is a community currency for seed exchange The World of Alternatives is a proof-of-concept initiative that aims to classify and document collectively alternatives of our “Another World is Possible” in Wikipedia Karma is a proof-of-concept gadget for a decentralized reputation rating system Massmob is a proof-of-concept gadget for calling and organizing meetings and smart mobs Troco is a proof-of-concept gadget of a peer-to-peer currency Brick (temporal nickname) is a forthcoming initiative for guiding student assignments towards the solution of real problems and the sharing of their results for reusing/replicating/adapting the solutions Ideas (temporal nickname) is a forthcoming initiative for brainstorming ideas of possible social projects related to the Commons
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    "Comunes is a non-profit collective dedicated to facilitating the use of free/libre web tools and resources to collectives and activists alike, with the hopes of encouraging the Commons."
Aurialie Jublin

move-commons | Sharing initiatives - 0 views

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    Move Commons (MC) is a simple web tool for initiatives, collectives and NGOs to declare and visualize the core principles they are committed to. The idea behind MC follows the same mechanics of Creative Commons tagging cultural works, providing a user-friendly, bottom-up, labeling system for each initiative with 4 meaningful icons and some keywords. It aims to boost the visibility and diffusion of such initiatives, building a network among related initiatives/collectives across the world and allowing mutual discovery. Thus, it can facilitate the climb up to critical mass. Added to which, newcomers could easily understand the collective approach in their website, and/or discover collectives matching their field/location/interests with a simple search. Although there are a few initiatives already with their MC, it is still a beta-version under development, with the support of the Medialab-Prado Commons Lab .
Aurialie Jublin

DAISEE - internets of energu - energy as a common(s) - 0 views

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    "DAISEE is an open design program for people who consider Energy as a Common(s). Our mission: Build the *Internets of Energy* relying on resilient, distributed, secured and trusted energy data & physical infrastructures. Our purpose: Provide the conditions for a shared governance of energy by ALL the grid stakeholders. "
Aurialie Jublin

Bientôt une IA éco-friendly ? - 0 views

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    "Des chercheurs d'IBM publiaient une étude le 6 juin 2018 dans la revue Nature présentant un prototype de puce intégrant un réseau neuronal artificiel, permettant un système machine learning plus rapide, efficace et surtout consommant moins d'énergie qu'un même réseau fabriqué à partir d'un logiciel. Serions-nous sur la piste d'une adéquation entre progrès numérique et régulation écologique ?"
Aurialie Jublin

French Impact: les 22 projets retenus par le gouvernement - Les Echos Start - 0 views

  • La liste des 22 projets retenus : Acta Vista, Article 1, Ecov, Baluchon, Enercoop, Envie autonomie, Fédération Simon de Cyrène, La foncière Chênelet, GRAP, Jaccede, Mozaïk RH, Messidor, Phénix, Siel Bleu, TicketForChange, Toit à Moi, Trait d'union, VAE les 2 Rives, VoisinMalin, WeTechCare, YesWeCamp, Plateau Urbain.
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    "Le gouvernement a détaillé hier, mardi 12 juin,  la nouvelle étape de son initiative French Impact, pour développer l'Économie sociale et solidaire en France. Parmi les annonces, 22 projets d'innovation sociale, avec un bon niveau de maturité, ont été identifiés pour devenir des solutions nationales et bénéficieront d'un accompagnement sur mesure."
Aurialie Jublin

Que reste-t-il du logiciel libre ? - 0 views

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    "Microsoft vient de racheter la plateforme de création collaborative de logiciels Github. Est-ce vraiment une bonne nouvelle pour le logiciel libre ? Et quelles conséquences pour les utilisateurs ? La philosophie du libre a-t-elle gagné ou s'est-elle faite manger ?"
Aurialie Jublin

Le Bitcoin va-t-il détruire la planète ? Contre point - LinuxFr.org - 0 views

  • « Si le Bitcoin consomme autant d’électricité que le Maroc, c’est une catastrophe, non ? » Actuellement le Bitcoin consommerait autant d’électricité que le Maroc. En fait, si on ne peut pas parler de catastrophe écologique c’est tout simplement parce que ce mot est plutôt employé pour une pollution flagrante (genre marée noire ou autre pollution chimique). Mais le fait est que le bitcoin consomme tous les jours et tous les jours un peu plus, la facture énergétique s’allonge et s'accroît ; c’est comme fumer : ça détruit un peu tous les jours les poumons et on ne parle de catastrophe que lorsque le cancer est là. Le Bitcoin seul ne crée pas le réchauffement climatique, mais il fait partie des nombreux systèmes qui tendent à l’aggraver. Donc : Si le Bitcoin consomme autant d’électricité que le Maroc, ce n’est pas une catastrophe mais ça n’est clairement pas bon du tout. Pour simplifier je vais diviser les erreurs de raisonnement en quatre parties : La fausse simplification consommation continue et gaspillée n’équivaut pas à pollution On ne compare que ce qui est comparable Oui, l’énergie du Bitcoin est gaspillée Les 2 phases d’optimisation en ingénierie
  • « …parfois l’électricité est là et inutilisée. C’est le cas des panneaux solaires, des barrages hydro-électriques ou des centrales nucléaires qui produisent de l’électricité, quoi qu’il arrive. On ne peut pas faire ON/OFF. Et l’électricité est pour le moment difficilement transportable. » 2 divisions par 0 et un verre de vin : Une plutôt évidente : “les panneaux solaires qui produisent de l’électricité quoi qu’il arrive” … sauf quand il fait nuit, quand la météo n’est pas clémente ou quand ils sont sales. L’autre division par 0 : “l’électricité est pour le moment difficilement transportable”. Difficilement par rapport à quoi ? Car en fait c’est sûrement la source d’énergie la plus transportable qui soit. D’ailleurs les pays européens sont interconnectés entre eux et s’échangent de l’électricité (bien plus rapidement qu’une transaction Bitcoin
  • Et même s’il est possible actuellement de perdre de l’énergie verte (en 2017 la Californie a perdu 300 000 MW faute d’utilisation). Cela démontre juste l’immaturité des réseaux électriques intelligents (smart grid).
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  • “Les comparaisons que j’ai vues sont toutes plus absurdes les unes que les autres”, celle-ci en est un parfait exemple. Reprenons: qu’est ce que Bitcoin : Un système d’échange de valeurs. Ok, donc utiliser Bitcoin c’est comme payer avec sa carte bleue : le système a le même but. Donc ici, on essaye de nous faire avaler que 30 millions de personnes qui ne font que payer régulièrement avec leur carte bleue c’est pareil que 33 millions qui, en plus eux aussi, d’utiliser une carte bleue de temps en temps, se déplacent, s’éclairent, utilisent leurs ordinateurs, leurs machines, rechargent leurs téléphones, ont une climatisation, font fonctionner leurs entreprises … etc, bref 33 millions de personnes qui vivent. Non ce n’est pas du tout comparable : le fait que 30 millions d’utilisateurs de Bitcoin consomment autant que 33 millions de marocains démontre l’inefficacité énergétique extrême du Bitcoin.
  • « Surprise, le Bitcoin consomme à peine plus que la production des pièces de monnaies et des billets de banque ! Or, rappelons que les pièces et billets ne représentent que 8% de la masse monétaire totale et plus spécifiquement 6,2% pour la zone euro. » Effectivement je suis surpris ! Car je n’ai pas du tout les mêmes chiffres pour la production de monnaie. Mais j’ai l’impression que Ploum a intégré l’extraction de l’or dans le coût de production de monnaie ce qui est faux depuis de nombreuses années (j’y reviens juste après) Pour le coût de la monnaie fiduciaire je vais citer Emmanuelle Assouan, de la Banque de France :« le coût de fabrication d'un billet se situe entre 5 et 10 centimes d'euro. Une validation d'une transaction bitcoin c'est 215 kilowatts-heure… » 6.6. « Or, outre la consommation énergétique, l’extraction de l’or est extrêmement contaminante (notamment en termes de métaux lourds comme le mercure). » Donc l’excuse c’est “lui il pollue plus que moi, donc je peux polluer aussi”. C’est la défense Chewbacca !
  • 6.10. « Sans compter que nous n’en sommes qu’au début ! Bitcoin a le potentiel pour devenir une véritable plateforme décentralisée qui pourrait remplacer complètement le web tel que nous le connaissons et modifier nos interactions sociales et politiques : votes, communications, échanges sans possibilité de contrôle d’une autorité centralisée. » L’inefficience de Bitcoin a une conséquence lourde en plus de polluer : il ne scale pas (c’est à dire : très mauvaise montée en échelle). Il plafonne à 7 transactions par seconde, ce qui à l’échelle de la planète : 7 milliards d’utilisateurs potentiels, est vraiment … minable (presque sans mauvais jeux de mot). Pour comparer : VISA effectue en moyenne plus de 1600 transactions par seconde et des pics bien plus importants sont absorbés sans problème. Donc, non, sans résoudre le problème d’efficience, Bitcoin ne peut pas faire plus que ce qu’il fait aujourd’hui, c’est à dire finalement ne servir qu’à très peu d’utilisateurs.
  • Ploum ne parle que de la “Proof Of Work” comme concept de sécurisation. C’est pourtant une partie du système particulièrement inélégante qui devrait être remplacée par quelque chose de moins énergivore. Ethereum veut passer à la “Proof Of Stake” (preuve d’enjeux, moins énergivore) par exemple. Gridcoin remplace la “Proof Of Work” par des calculs utiles à l’humanité Duniter applique un handicap aux utilisateurs ayant trop de puissance de calcul ce qui évite la course à la puissance polluante. Bref, la consommation énergétique outrancière de Bitcoin n’est pas une fatalité pour les crypto monnaies.
  • Une image plus juste : le Bitcoin est actuellement comme un tracteur auquel on ajouterait des chariots, plus on lui ajoute de chariots, plus il crache de la fumée noire en faisant un boucan d'enfer et plus sa vitesse diminue … même si sa vitesse n’atteint jamais 0 km/h. A partir d’un certain nombre de chariots sa vitesse est tellement basse qu’il en devient inutilisable. Ici les chariots sont les utilisateurs et la vitesse représente les frais et la rapidité/lenteur des transactions. Ploum voudrait nous dire que ce tracteur rejette une fumée noire qui est une merveille d’écologie et que ce tracteur peut prendre l’autoroute sans rien y changer. Mais que c’est l’autoroute et notre perception de la vitesse qu’il faudrait adapter au système …
  • Je vous prie de croire que je n’ai aucune raison particulière de défendre les banques ou les états. Un système d’échange décentralisé est une bonne chose, mais pour moi laisser une planète dans le meilleur état possible à mes enfants est bien plus important.
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    "Cet article est une réponse à celui de Ploum visible ici et ici. D'ordinaire j'aime bien les articles de Ploum, sa plume est plaisante et son analyse me paraît souvent juste; mais dans son article sur la consommation énergétique du Bitcoin, Ploum use de contre-vérités, de raccourcis et de métaphores inadaptées pour arriver à ses fins. Je vais m'attacher à démontrer qu'avec un minimum de connaissances des problèmes d'un réseau électrique, de la consommation d'énergie et de rendement il est impossible de considérer ce gaspillage d'énergie comme négligeable. Je reviendrai sur le pourquoi il est urgent d'être efficient dans tous les domaines. C'est-à-dire qu'il ne suffit pas "d'utiliser de l'énergie verte puis c'est tout", une telle affirmation relève d'une ignorance des problèmes liés à la transition énergétique."
Aurialie Jublin

Transition énergétique citoyenne - Le Labo de l'économie sociale et solidaire - 1 views

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    "La transition énergétique recouvre un ensemble de modifications structurelles pour passer de l'utilisation de ressources énergétiques non renouvelables à des ressources renouvelables dans notre production et notre consommation : industrie, transports, éclairage et chauffage… La transition énergétique citoyenne est faite « avec des citoyens qui se réapproprient la gestion de l'énergie, de sa production à sa consommation en passant par sa maîtrise, dans un esprit d'intérêt général. » Depuis 2015, le Labo de l'ESS analyse les leviers de la participation citoyenne dans cette transformation de modèle à partir des expériences des acteurs de l'ESS qui apportent aujourd'hui des réponses par leurs valeurs, dont notamment la gouvernance démocratique et leur ancrage territorial."
Aurialie Jublin

TECH4GOOD. L'HEURE DE LA FEST A SONNE | Association Française des Fundraisers - 0 views

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    "Parallèlement au Sommet Tech For Good qui s'est tenu à l'Elysée, les acteurs français du numérique au service du bien commun annoncent qu'ils se fédèrent autour de l'initiative FEST."
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