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INJEP - La participation politique en ligne des jeunes à travers le prisme de... - 0 views

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    Le numérique et les médias sociaux apparaissent aujourd'hui comme les principaux supports et vecteurs de la participation politique des jeunes. Signer une pétition en ligne, participer à des groupes de discussion politiques sur les réseaux sociaux ou encore partager des vidéos de candidats apparaissent comme autant de modalités participatives plébiscitées par la jeunesse. Loin de se désengager de la vie de la cité, les jeunes semblent ainsi continuellement renouveler les formes de leur engagement au gré des avancées technologiques. Plus ou moins « conventionnelles », plus ou moins chronophages, plus ou moins assumées, ces nouvelles formes de participation sont néanmoins loin de former un tout homogène. Ce rapport propose d'éclairer ces différentes facettes de la participation en ligne, en les articulant aux profils des jeunes qui y ont recours. À cette fin, l'auteur a mené une enquête multi-méthode (questionnaire, entretiens et observation de comptes en ligne) auprès d'un millier de jeunes, aux origines sociales et aux parcours scolaires diversifiés. Catégorie sociale composite et hétérogène, la jeunesse est en effet traversée par de nombreuses inégalités que le numérique n'a pas fait disparaître. Qu'ils soient décrocheurs scolaires ou étudiants de grandes écoles, les jeunes interrogés apparaissent tous comme hyper connectés. Pour autant, tous ne développent pas les mêmes usages sociaux et politiques du numérique. Il apparaît alors que le rapport à la participation en ligne dépend très étroitement de l'acquisition de ressources très inégalement distribuées au sein de la jeunesse (capital culturel des parents, capital scolaire, etc.). À partir des résultats d'une analyse multivariée, le rapport établit plus précisément une typologie de quatre grands rapports à la participation numérique. Une typologie qui permet de rendre compte de tout
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France Stratégie - Covid-19 : pour un "après" soutenable : 7 questions pour p... - 0 views

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    Nous bougions beaucoup, nous ne cessions d'aller et venir, nous étions souvent stressés. Nous nous arrêtions le samedi et le dimanche mais pour reprendre de plus belle. Nous n'hésitions pas à provoquer d'immenses bouchons : le matin pour aller au travail, le soir quand on revenait, le samedi lorsque nous allions faire nos courses pour toute la semaine, le dimanche soir quand nous revenions à la maison, et même lorsque nous décidions de nous évader, encore des bouchons pendant des heures dans nos belles montagnes de Savoie. On savait que la pollution était là, qu'on n'avait plus la possibilité de voir l La pandémie de Covid-19 frappe aujourd'hui le monde entier et la France n'y échappe pas. Nous ne savons pas encore, à l'heure actuelle, ni à quelle vitesse nous sortirons de la crise sanitaire, ni comment l'économie redémarrera. Mais nous savons déjà que ce choc va mettre rudement à l'épreuve nos sociétés, nos institutions, nos politiques publiques. Comment devront-elles y faire face et évoluer pour en tirer les leçons Il est bien sûr trop tôt pour le savoir. Mais il n'est pas trop tôt pour commencer à y réfléchir. France Stratégie a conçu, à la fin de l'année dernière, un cycle de séminaires autour du thème des « soutenabilités ». L'objectif était de réfléchir aux manières d'élaborer et de mettre en œuvre des politiques publiques qui soient à la hauteur des exigences extrêmement fortes de lutte contre le changement climatique, de combat contre les inégalités sociales ou territoriales, de renouvellement de l'implication et de l'impact des citoyens dans l'élaboration des politiques publiques, etc. Ces exigences ont un point commun : la volonté de laisser aux générations futures un monde « soutenable ». La crise ne les pas effacées, loin de là ; elle y ajoutera de nouveaux besoins et de nouvelles attentes. L'équipe qui porte le projet « Soutenabilités » a identifié sept domaines c
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Institut Montaigne - Désinformation : dépasser la modération des contenus - 0 views

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    "En Europe, la diversité des écosystèmes politiques, réglementaires et médiatiques crée une variété de situations dans la manière dont les campagnes de désinformation, d'origine étrangère ou nationale, affectent les espaces publics numériques. Dans le même temps, les écosystèmes des pays occidentaux sont sujets à des menaces communes. Afin de contribuer à l'agenda européen et lutter efficacement contre les campagnes de désinformation, l'Institut Montaigne a sollicité, dans le cadre d'un atelier de réflexion, un groupe international d'experts, réunissant le think tank allemand Stiftung Neue Verantwortung et l'Alliance for Securing Democracy au sein du German Marshall Fund. Le but de cet échange était de débattre des enjeux de la désinformation au sein de différents écosystèmes politiques, réglementaires et médiatiques, principalement les écosystèmes français et allemands, et d'identifier des pistes de solutions pour limiter l'impact des campagnes de désinformation. Le présent article est une contribution commune inédite de ces trois structures et signée par les personnalités ayant participé à l'atelier. À l'heure où divers États sont forces d'initiatives en matière de régulation des contenus, l'objectif de cet article est de fournir une perspective large sur la désinformation, qui prenne en compte les spécificités de ces différents écosystèmes nationaux. Il vise, plutôt qu'à fournir une liste exhaustive de solutions, à aider les dirigeants politiques à mieux comprendre les nombreuses facettes de la désinformation et à identifier certaines actions possibles à court terme pour dépasser la simple réglementation des contenus."
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Villes de France - En route vers des villes plus intelligentes.pdf - 0 views

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    Villes de France, Orange, Tactis, Veolia et Villes internet publientun guide intitulé : «En route vers des villes plus intelligences - Comment penser et construire la smart city en Villes de France ? ». Ensemble, ils dressent un portrait de la smart city en ville moyenne et des outils pour construire une stratégie locale. Alors que le concept de ville intelligente prospère et que les métropoles rivalisent de nouvelles pratiques, les villes de taille moyenne ne sont pas en reste. Elles s'appuient sur les spécificités de leur territoire ainsi que sur leurs différentes compétences, et mettent au point des politiques innovantes et remarquables au service des habitants. Evolution des attentes de la société, nouvelles réglementations à intégrer et baisse des moyens financiers incitent les villes et intercommunalités à innover, à se démarquer et à se saisir des technologies de l'information et de la communication afin de renforcer l'efficience des politiques publiques. La publication « En route vers des villes plus intelligentes ! » fournit les clés aux décideurs des villes et intercommunalités de taille moyenne pour faire face à ces évolutions. Mode d'emploi, statistiques, enjeux et risques sont passés au crible tandis que 12 portraits de territoires (Arras, Béthune, Cahors, Niort...) viennent témoigner concrètement des politiques menées.
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The Shift Project - Déployer la sobriété numérique - 0 views

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    The Shift Project travaille depuis 2017 sur l'impact environnemental du numérique. Le troisième volet de ce travail vise à proposer des cadres méthodologiques opérationnels pour mettre en place la sobriété numérique : dans les stratégies et politiques publiques, dans l'entreprise, dans les systèmes d'usages du domaine privé. Nos deux premiers rapports, « Lean ICT - Pour une sobriété numérique » (2018) et « Climat : l'insoutenable impact de la vidéo en ligne » (2019), nous ont permis de définir notre vision du concept de sobriété numérique. Les constats établis dans ces précédents travaux ont alimenté, notamment grâce à la production de chiffres, une prise de conscience de l'importance de l'empreinte environnementale du numérique, de son augmentation préoccupante et des raisons systémiques qui conduisent à cette situation. Le troisième rapport est disponible en version intermédiaire et diffusé pour relecture : Passer de la sensibilisation et des constats à l'action S'il est nécessaire de poursuivre les efforts de sensibilisation en la matière, il est tout aussi important de montrer qu'il est possible de passer des constats à l'action, elle aussi systémique, visant donc à ce que les différents acteurs interconnectés au sein du système puissent conjointement évoluer dans un sens permettant de contenir l'envolée de la consommation d'énergie et de matériaux du numérique. Dans ce cadre, il est nécessaire de cibler des leviers permettant d'inciter les différents acteurs à opérer les changements nécessaires. Sans prétendre à l'exhaustivité, c'est ce que nous essayons de faire à travers les différents chantiers en cours. Nos 4 axes de travail * Axe 1« Analyse de projets smart » : Démythifier les approches « smart » en montrant aux acteurs publics (collectivités locales) et privés (entreprises, ménages) que des conditions doivent être remplies pour que leurs impacts environ
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Fondapol Trop libre - E-citoyennetés - 0 views

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    "« Dans le monde numérique, le citoyen devient acteur à part entière et entre dans un espace où il défie et même délégitime les puissants. L'internet permet à l'espace public de changer d'échelle et s'affranchit des étiquettes politiques ; les habits idéologiques et partisans sont trop petits pour son ambition qui vise le noyau même du politique, la démocratie, en aspirant faire éclater le premier et refonder la seconde. Il aspire aussi à en construire l'auteur et l'acteur, l'e-citoyen ». Anna Krasteva, professeure à la Nouvelle Université Bulgare et docteur à l'Université de Lille analyse la portée politique de l'Internet : celle d'une « e-citoyenneté » élargie et augmentée."
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Usbek & Rica - Une brève histoire des politiques numériques en France - 0 views

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    "Longtemps resté un impensé de la classe politique, la transformation numérique compte parmi les chantiers prioritaires du nouveau gouvernement. En attendant de savoir si nos politiques finiront ou non par être eux-mêmes « disruptés » par le phénomène, retour sur les réformes numériques emblématiques entreprises ces trente dernières années."
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Le Figaro - Comment les YouTubeurs bousculent le monde politique et médiatique - 0 views

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    "Sur la toile, a émergé un monde parallèle aux médias traditionnels. Ces dernières années, des influenceurs de tous bords politiques comme Osons Causer, Tatiana Ventôse ou Le Raptor ont investi la plateforme de vidéos YouTube. Essentiellement anticonformistes, ils proposent un autre regard sur l'actualité."
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Usbek & Rica - Cédric Villani : « Je n'ai pas peur de la singularité technolo... - 0 views

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    "Le député de l'Essonne et mathématicien Cédric Villani dévoile jeudi 29 mars son rapport parlementaire sur l'intelligence artificielle, fruit d'un long travail de consultation auprès d'experts, d'entrepreneurs, de politiques et de citoyens. Au menu, une volonté affirmée de faire de la France et de l'Europe une place forte de l'IA, moyennant un investissement dans la recherche et une politique de mise en commun des données, sous la tutelle et la protection de l'État."
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Fondapol - L'intelligence artificielle : l'expertise partout accessible à tous - 0 views

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    L'intelligence artificielle est l'un des sujets de bouleversements majeurs qui affectent notre époque. Rarement une évolution technologique n'aura engendré autant d'opportunités de résolutions de problèmes, autant de changements dans les usages, autant de peurs. Pourtant, il ne s'agit absolument pas d'une rupture technologique. L'intelligence artificielle s'inscrit dans la continuité de l'informatique dont la puissance de calcul ne cesse de croître, augmentée par la disponibilité de grandes masses de données que le monde Internet sait agréger. L'intelligence artificielle ne se résume pas à gagner les championnats du monde de GO ; elle permet maintenant aux voitures de rouler sans conducteurs, aux robots de devenir de plus en plus autonomes, aux médecins de faire des diagnostics plus fins, aux avocats de faire des contrats plus précis. Après l'information, puis la connaissance, c'est maintenant au tour de l'expertise d'être disponible partout, accessible à tous. Sa rareté, qui jusqu'ici a été source d'un profit légitime mais considérable, est en passe de se transformer en abondance. Seuls les experts les plus pointus, qui auront compris comment tirer parti de la nouveauté qu'apporte l'intelligence artificielle, survivront. Mais c'est potentiellement une très bonne nouvelle pour l'ensemble de l'humanité. Serge Soudoplatoff est un expert de l'Internet, cofondateur de Sooyoos, Scanderia et Mentia. Il a précédemment publié La blockchain, ou la confiance distribuée (Fondation pour l'innovation politique, 2016) ainsi que Pour la croissance, la débureaucratisation par la confiance (Fondation pour l'innovation politique, 2013).
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Cese - Mieux investir pour la Frnace : rapport annuel sur l'Etat de la France - 0 views

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    Face aux principaux enjeux que sont la transition écologique, la révolution numérique et la lutte contre le chômage, il est indispensable de conduire une politique d'investissement ambitieuse. Pour respecter la discipline budgétaire, il importe de montrer une meilleure sélectivité dans le choix des investissements publics en privilégiant les dépenses susceptibles de stimuler la croissance de long-terme et de maximiser l'effet de levier sur l'investissement privé. Une meilleure efficacité passe par le renforcement des études d'impact et des outils d'évaluation existants. Elle suppose d'améliorer la gouvernance, d'aller vers de nouveaux modes de coopération public-privé et d'engager une commande publique responsable. Renforcer les investissements sociaux destinés à améliorer les compétences et agir de manière préventive sur les inégalités participerait à une plus grande efficacité des politiques publiques. Les territoires, plus particulièrement les régions en charge du développement économique, doivent jouer un rôle accru dans les écosystèmes territoriaux et la sélection des projets les plus innovants et à même de réduire les fractures territoriales. La lutte contre la désindustrialisation de l'économie française nécessite de renouer avec une véritable stratégie industrielle, co-construite par l'état, les entreprises et les partenaires sociaux, et de mettre en place un environnement favorable à l'investissement productif.
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Comece - L'UE fera-t-elle face aux défis éthiques, juridiques et politiques d... - 0 views

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    "Le Groupe d'experts de haut niveau sur l'intelligence artificielle (IA) mis en place par la Commission européenne a publié, le 26 juin 2019, le document « Recommandations politiques et d'investissements pour une IA digne de confiance ». La publication met en lumière certaines des recommandations proposées par la COMECE dans sa contribution « Lignes directrices éthiques pour une IA digne de confiance »."
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Fondapol - Les Biotechnologies en Chine : un état des lieux - 0 views

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    Dans cette étude, Aifang Ma présente les stratégies et les programmes nationaux chinois en biotechnologie et propose un état des lieux de l'avancement du pays dans ses applications médicale, industrielle, énergétique et agricole. En tant que nouveau challenger sur la scène internationale, la Chine multiplie ses efforts pour concurrencer les États-Unis, leader dans le domaine. Devenue une puissance incontournable, la Chine va cependant devoir trancher entre deux options : continuer à prioriser les avancées technologiques en reléguant la régulation des biotechnologies dans une position secondaire ou bien se donner le temps de réfléchir à la manière de cultiver un modèle alternatif de développement scientifique et technologique afin d'endiguer les éventuelles dérives éthiques. Cette note a été écrite par Aifang Ma, Doctorante et enseignante au Centre d'études européennes et de politique comparée de Sciences Po, titulaire d'une licence en Langue et Littérature française. Ayant parallèlement fait deux masters à Beijing Foreign Studies University et à Sciences Po Paris en master Affaires Européennes, elle a successivement travaillé à l'UNESCO à Paris et à l'Ambassade de France en Chine à Beijing. Elle est l'auteure de L'intelligence artificielle en Chine : un état des lieux, Fondation pour l'innovation politique, novembre 2018.
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Fondapol Trop libre - La siliconisation du monde : l'irrésistible expansion d... - 0 views

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    "Un vent nouveau souffle sur la société : il impacte non seulement notre consommation, nos usages, nos esprits, notre économie. « La Silicon Valley ne renvoie plus seulement à un territoire, c'est aussi et tout, un esprit en passe de coloniser le monde. Une colonisation d'un nouveau genre, portée par de nombreux missionnaires (industriels, universités, think tanks…), et par une classe politique qui encourage l'édification de valleys sur les cinq continents, sous la forme d'écosystèmes numériques et d'incubateurs de start-up ». Dans son essai « La siliconisation du monde », Eric Sadin va au-delà des débats caricaturaux. L'heure n'est plus de savoir si les algorithmes sont bons ou mauvais. Le véritable enjeu est de savoir s'ils construisent le monde que nous voulons. Des questions éthiques et politiques, de responsabilités et de valeurs."
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Fondapol - Vers la souveraineté numérique - 0 views

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    Jusqu'où ira la toute-puissance des GAFAs dans l'accès et l'exploitation de nos données personnelles ? Le confort de la servitude volontaire a un prix : la mise à nu de nos usages, de notre consommation, de notre santé. Depuis les révélations du site Wikileaks, la valeur « data » est une ressource convoitée et jalousée par les États et les entreprises. À la course effrénée pour cette valeur prisée répond la mise en place d'un nouvel écosystème où s'affrontent les « cercles » de la souveraineté des citoyens, des États et des entreprises. Quelle voix pourra porter le message de la liberté des citoyens sans se briser contre le mur des puissantes multinationales ? À l'heure où l'Union européenne affine sa politique de protection des données, de nouveaux rapports de force écrivent chaque jour les règles d'une gouvernance en genèse. Droit fondamental garanti par l'article 8 de la Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne, la protection des données des citoyens, à l'intérieur et à l'extérieur du territoire européen, ravive l'urgence à délimiter un cadre international des souverainetés. De la reconnaissance du Privacy Shield le 12 juillet 2016 par la Commission européenne au Safe Harbor, gage d'une protection équivalente des données à l'extérieur de l'espace européen, un système nouveau émerge, dans une violence et une concurrence qui participent d'un éveil de conscience aussi brutal que nécessaire : celui de la fin de l'internet avec ses libertés innées. Cette note a été écrite par Farid Gueham, consultant secteur public et contributeur numérique et innovation auprès de la Fondation pour l'innovation politique.
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The Conversation - Piloter et coordonner le développement de la « littératie ... - 0 views

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    "La Coalition française en faveur des compétences numériques annonce qu'elle cherche à établir une cartographie des acteurs du domaine. Il se trouve qu'elle vient d'être réalisée par le projet TRANSLIT de l'Agence nationale de la recherche (ANR) : 28 pays ont été analysés par plus de 60 chercheurs pour réaliser ce panorama. L'ouvrage sur les politiques publiques en éducation aux médias et à l'information (EMI) en Europe est publié chez Routledge, sous la direction de Divina Frau-Meigs, Irma Velez et Julieta Flores. Il répertorie les initiatives en France et dans l'UE et produit un outil de comparaison et de diagnostic à l'échelle européenne. Les politiques publiques en éducation aux médias et à l'information et en littératie numérique (ou translittératie) ont été abordées à partir des trois cultures de l'information (info-média, info-doc, info-data). La définition de la gouvernance s'est alignée sur celle de la gouvernance d'Internet, celui-ci étant le média qui sous-tend actuellement les compétences médiatiques et numériques : un processus multi-acteurs, où les documents-cadres, les procédures de décision, les valeurs et les programmes sont coordonnés collectivement et mis en œuvre pour façonner l'évolution de la translittératie à l'ère du numérique."
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Assemblée Nationale / Comm des Aff. Européennes - Rapport d'information sur l... - 0 views

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    La Commission européenne progresse à l'heure actuelle - à grands pas - vers la conclusion de sa stratégie pour un marché unique du numérique. Il s'agissait là d'une des grandes priorités politiques de la Commission de Jean-Claude Juncker et l'activité de la présidence estonienne à cet égard témoigne de l'importance du sujet. Le marché unique du numérique comprend par définition un vaste éventail de secteurs, tous touchés par la révolution digitale. L'ambition première qui préside à cette politique est donc de faire advenir un marché intérieur dans lequel la grande majorité des barrières nationales injustifiées auraient disparu, en vue de faciliter les échanges et notamment la circulation des données. Cette ambition initiale, destinée à favoriser la croissance d'entreprises numériques qui souffrent encore trop souvent, en France et en Europe, d'une petite taille par rapport à leurs concurrents mondiaux, s'est doublée d'une seconde dimension : la volonté de réguler le secteur numérique. Les bouleversements technologiques récents nécessitent en effet une adaptation de la législation de l'Union sur, là encore, un vaste champ d'actions, de la valorisation des œuvres culturelles au respect d'une juste contribution aux budgets publics. Les questions de sécurité et de protection de la vie privée justifient également l'intervention publique. C'est dans cette perspective que vos rapporteurs ont souhaité aborder cet ensemble très hétérogène sous l'angle des propositions récentes en matière de législation européenne, et plus précisément par le biais de quatre axes. En premier lieu, la proposition de règlement dite « ePrivacy », qui vise à adapter les principes de protection des données personnelles issus du Règlement général de protection des données (RGPD) au domaine des télécommunications, tire sa légitimité de l'obsolescence des textes précédents. L'irruption d
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Synthèse - Rapport d'info... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Rapport - Rapport d'infor... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Infographie - Rapport d'i... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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