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Mondes sociaux - Comprendre les réseaux personnels - 0 views

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    "On sait que leur taille varie selon le critère que l'on se donne pour les délimiter : en moyenne, nous « connaissons » quelques milliers de personnes par leur nom, nous pourrions mobiliser une ou deux centaines de personnes pour nous présenter à quelqu'un que nous ne connaissons pas, nous échangeons régulièrement avec une trentaine de personnes et nous ne faisons des confidences qu'à trois ou quatre proches. La plupart des études de réseaux personnels portent sur les relations les plus régulières (20 à 50 personnes selon les méthodes d'enquêtes utilisées). Que nous apprennent-elles ? Elles permettent d'abord de savoir que les réseaux ont une structure spatiale. Alors même que l'on peut entretenir des liens forts avec des personnes à l'autre bout du monde, entre deux tiers et trois quart des personnes avec lesquelles nous sommes en relation résident dans la même aire urbaine. Beaucoup de ces relations sont fragiles : elles disparaissent ou s'endorment lorsque nous partons nous installer ailleurs. Seuls les liens forts (famille, amis proches) résistent. Les relations locales se recréent au fil du temps et il faut environ deux ans pour reconstituer un réseau local similaire à celui de personnes installées depuis longtemps. Constitué de nouveaux liens, ce réseau présente une structure semblable au réseau antérieur." Les études de réseaux personnels permettent aussi de comprendre que les relations ne naissent pas par hasard : la plupart se construisent dans des contextes collectifs (famille, études, travail…) ou concernent des personnes qui nous sont présentées par une connaissance. On sait aussi que la taille des réseaux varie avec le niveau social : plus on est favorisé par l'éducation ou le revenu, plus on a de relations. Ces relations sont en outre marquées par une homophilie assez forte : on fréquente davantage ceux qui nous ressemblent par l'âge, le niveau d'études, le genre… Si l'on cumule
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Qu'est-ce que votre liste d'amis sur Facebook révèle de votre vie amoureuse ?... - 0 views

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    Lars Backstrom de l'université de Cornell et Jon Kleinberg ont analysés comment, sur Facebook, les couples étaient reliés par les amis qu'ils ont en commun. Par l'analyse de la dispersion de votre réseau relationnel, les chercheurs ont montré qu'une relation qui montre des niveaux élevés de dispersion est plus susceptible de persister. En d'autres termes, les gens qui introduisent leurs épouse ou mari à une grande diversité de relation ont une plus forte propension à rester ensemble... En observant 400 000 utilisateurs en couple, les chercheurs ont regardé que ceux qui avaient des relations dispersées conjointes étaient significativement moins susceptibles d'avoir changé leur statut de vie matrimonial 60 jours plus tard ! Est-ce qu'un jour Facebook pourra nous dire avec qui dans nos amis d'amis devrions-nous nous marier pour optimiser notre relation ?
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Interview de Daniel Kaplan (Fing) : le numérique, entre démocratisation et po... - 0 views

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    Daniel Kaplan, délégué général de la Fing (éditeur d'InternetActu.net) dresse un intéressant tableau des transformations liées au numérique. Le numérique est l'outil de la transformation de tous les secteurs d'activité rappelle-t-il, impactant toutes les étapes de la chaîne de valeur, de la conception à la production jusqu'à la relation au consommateur. Un mouvement qui est intimement lié à la globalisation des économies : la facilitation des coordinations a favorisé la globalisation et la globalisation a favorisé la généralisation des outils numériques. La numérisation de l'économie redistribue les fonctions économiques : elle tend à découper les chaînes de valeur (comme l'illustre le modèle de la plateforme), favoriser les monopoles et à banalise la fabrication industrielle (qui s'immisce jusque dans notre intimité). "La numérisation a rendu possible ces transformations, elle en est l'outil, le catalyseur, autant que le produit". La disparition des acteurs historiques n'a pas eu lieu, la plupart ont intégré le numérique, même s'ils n'ont pas transformé en profondeur leurs modèles. La numérisation ne conduit pas à une substitution des canaux, mais plutôt à une augmentation des relations, ce qui a plutôt eut tendance à dégrader la qualité de la relation. Certes, les individus font de plus en plus de choses ensemble, mais souvent pour le faire plus rapidement, moins cher ou mieux, au bénéfice d'un intermédiaire qui capte la valeur. On devrait d'ailleurs parler d'économie horizontale plus que d'économie collaborative. Demain, cette transformation va s'appliquer à la conception et au prototypage. Reste que le danger repose bien sur les plateformes, qui correspond à une prise de pouvoir des distributeurs par l'aval, par la relation client (sans porter grande attention à ce qui est produit).
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Relationships Are More Important Than Ambition - Emily Esfahani Smith - The Atlantic - 0 views

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    En psychologie, il y a peu de recherches sur l'ambition, souligne Emily Esfahani Smith pour The Atlantic, mais une récente étude longitudinale s'est intéressé aux conséquences de celle-ci. Ce sont les enfants les plus consciencieux, extravertis et issu d'un milieu socio-économique aisé qui s'avèrent être les plus ambitieux. Si les plus ambitieux ont tendance à aller dans les meilleurs écoles, à gagner plus d'argent, quand il s'agit de bien être, les résultats sont plus mitigés. L'ambition est faiblement reliée avec le bien être et négativement associée à la longévité. Les gens ambitieux sont souvent heureux de ce qu'ils ont accomplis dans leur vie, leur bonheur ne peut se faire au détriment des relations personnelles. Et de faire référence au psychologue Tim Kasser auteur du "Prix élevé du matérialisme" qui a montré que la recherche de valeurs matérialistes (argent, possessions...) entraîne une baisse du bien-être et plus de détresse chez les individus et est même préjudiciable aux relations. Les gens qui croient aux valeurs matérialistes ont des relations interpersonnelles plus pauvres et contribuent moins à la communauté et ils ont plus tendance à utiliser les autres pour atteindre leurs propres objectifs. Une étude a montré que les relations sociales sont primordiales dans le bonheur... Autant de recherches qui montrent que la limitation de notre liberté n'est pas préjudiciable à notre bien être, au contraire. L'absence de contraintes est préjudiciable à notre bonheur.
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L'algorithme qui vous aide à vous mettre en relation avec des gens que vous n... - 0 views

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    Des informaticiens ont développé un algorithme qui utilise la structure d'un réseau social pour trouver la meilleur stratégie pour vous mettre en relation avec des gens que vous ne connaissez pas. L'idée est de vous permettre de trouver les relations qui vous conduiront le plus vite possible à être mis en relation avec une personne cible.
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Big data, asymétrie et affaires - Ideas Bazaar - 0 views

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    Pour l'anthropologue Simon Roberts de retour d'Epic 2013 qui se tenait à Londres la semaine dernière, les Big data étaient tapies dans toutes les conversations à la manière de la musique incidieuse de John Williams dans "les dents de la mer", comme une menace que nous serions incapables de surmonter. Mais les discussions sur le sujet l'on déçues. Simplistes, manichéennes... Elles semblaient toutes oublier les relations de pouvoir que les Big Data impliquent. Et Robert Simon de prendre un exemple. ll habitde dans le sud de Londres et, du fait de son code postal, son assurance automobile était très chère. Pour la faire diminuer, il a été contraint d'y placer un dispositif de suivi, acceptant par la même que sa conduite (ainsi que celle de sa femme et de la jeune fille au pair suédoise qu'ils embauchent et accueillent). Quelle va être les implications de cette surveillance sur leur conduite ? Comment le système va-t-il faire la différence entre la conduite encore hésitante d'une jeune femme, et celle plus assurée de gens qui conduisent depuis 20 ans ? Désormais, les limitations de vitesses sont devenues une obligation. Pour l'instant, le système les catégorise comme "bons" conducteurs. Mais les chercheurs devraient porter attention à l'ambiguïté de nos réponses à ce type de services. Quelle ligne de démarcation devons-nous tracer entre la surveillance et la quantification de soi ? Surtout, nous sommes enfermés dans une asymétrie d'échange. Pourquoi nos cartes de fidélités nous proposent-elles certains produits, certaines promotions plutôt que d'autres ? "Quand mes données commencent à vivre dans une chaîne de valeur complexe qui n'est ni visible ni explicable, l'asymétrie d'échange est évidente". C'est comme aller faire le marché avec un bandeau sur les yeux. La rétroaction que nous recevons de ces services est souvent bien faible. Nous devons nous connecter aux sites pour obtenir des informations, pas de rappels, d'alertes
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Pourquoi je classe mes amis... - The Kernel - 0 views

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    Pour Milo Yiannopoulos qui tient une base de données de ses relations sociales classée selon leurs attributs physiques, professionnels et financiers, et qui prépare un livre sur "Les sociopathes de la Silicon Valley", ces métriques de nos relations préfigure la façon dont nous gérerons nos relations dans le futur. Bienvenue au Quantified Us.
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Visualiser ses métadonnées Gmail : d'abord amusant puis carrément effrayant |... - 0 views

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    Les chercheurs du MIT ont mis au point une application - https://immersion.media.mit.edu - qui permet de visualiser ses métadonnées issues de Gmail : réalisant un graphe de vos relations, du volume de vos échanges et de leurs relations. 
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9 questions auxquels la recherche devrait répondre vis à vis de la violence u... - 0 views

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    La recherche passe beaucoup de temps et d'argent pour comprendre certaines maladies qui font pourtant bien moins de morts que notre utilisation des armes à feu. Or nous ne savons pas grand chose de la relation entre armes et criminalité estime un chercheur de l'Urban Institute. Et Emily Badger de poser 9 questions auxquels les chercheurs devraient être capables de répondre : Combien ya-t-il d'armes ? Comment les armes arrivent-elles dans les mains des criminels ? Qui devrait être exclu de la possession d'armes à feu ? Pourquoi les gens possèdent-ils des armes ? Y'a-t-il une relation entre le niveau de possession d'armes à feu et le niveau de criminalité ? ...
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Autopsie d'un réseau social mort - Technology Review - 0 views

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    Des chercheurs ont cherché à comprendre pourquoi et comment les réseaux sociaux mourraient. En analysant Friendster, ils ont montré que les réseaux sont vulnérables à leur transformation et notamment au départ de leurs membres. Certains sites sociaux peuvent être plus résistants que d'autres à ce type d'effondrement de communautés qui se propage de relations en relations. C'est la baise du ratio coût/bénéfice qui semble être fatal.
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Rapport : les entreprises doivent participer à l'économie collaborative - Web... - 0 views

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    Pour Jeremiah Owyand, consultant au group Altimeter, les clients des entreprises vont demain utiliser les technologies non seulement pour partager des médias et des relations, mais des produits et des services, comme le montre l'essor de l'économie collaborative. Pour Altimeter, la prochaine phase du business social est dans le collaboratif et nécessite de redéfinir la relation acheteur-vendeur, d'adopter sa nouvelle chaine de valeur. Le rapport : http://www.slideshare.net/Altimeter/the-collaborative-economy
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Chez Fiverr, les compétences prennent de la valeur - Presse-Citron - 0 views

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    "En 2010, au lancement de Fiverr - http://fiverr.com -, cette plateforme de mise en relation entre prestataires et clients pour des petits boulots à 5 dollars, certains affichaient leur scepticisme sur la pérennité et la pertinence du concept. D'autres exprimaient leur malaise face à la multiplication de ce type de services, craignant une dévalorisation supplémentaire de certains métiers intimement liés à l'économie du Web. Trois ans après, la donne semble avoir quelque peu changé. A la veille de la publication d'une nouvelle version profondément remaniée, Fiverr n'est plus juste un petit site pour prestataires du web (ou d'autre chose) en mal de contrats qui bradent des retouches Photoshop ou des blasts SEO pour arrondir leurs fins de mois à coups de 5 dollars. C'est devenu une plateforme incontournable et solide qui permet à des centaines de milliers de personnes dans le monde d'entrer en relation pour bosser ensemble", explique Eric Dupin pour Press-Citron. La preuve : avec la nouvelle version, les prestations vont pouvoir monter jusqu'à 500 euros. 
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Qui suis-je réellement ? - We the Data - 0 views

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    Pour Peter Vander Auwera, tout le monde veut remplacer notre Moi par Mes Données. A l'heure où notre corps et notre esprit est augmenté et complété par des outils, par l'écologie des machines, les réseaux et les algorithmes, qui sommes-nous devenus ? Il est temps d'inventer un mot nouveau pour "cet environnement de soi", ce "Dysical" (contraction de digital et physical). Notre soi-dysical est également de plus en plus défini par le contexte et la réputation que nous avons dans cette économie de donnée en P2P chère à Michael Bauwens. Mon identité est de plus en plus corrélée à mes relations aux autres. La confiance se définit de plus en plus par le niveau de relation plus que par le niveau d'identité, qui pause avec de plus en plus d'acuité la question de l'usage des données. Nous avons besoin de contrats clairs, de règles du jeu très explicites. Et demain, avec des milliards d'objets interconnectés, les objets ne seront plus le contexte, mais les données d'objets seront l'interface. "Nous sommes les données" et pour exister nous avons besoin de sortir le monde des données de leurs silos propriétaires.
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Comment utiliser les technologies numériques pour poursuivre l'amélioration d... - 0 views

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    Le CAS publie une nouvelle note d'analyse sur l'utilisation du numérique pour améliorer les relations entre administration et usagers. Elle articule 4 propositions : - limiter les demandes de documents par le développement d'une base de donnée commune - élargir les modes de contacts (sms, tchat, applications...) - Renforcer le portail des services publics et développer l'accès à un dossier individuel. - Développer les échanges avec les outils du web 2.0 et permettre aux usagers de faire remonter des idées d'amélioration. Autant dire que les propositions sont plutôt décevantes. Rien n'est dit sur l'accessibilités de formulaires en ligne. Rien n'est dit sur la diminution des données personnelles que les administrations accumulent sur nous. Quant aux propositions d'innovations, on en reste à leur recensement, pas à leur mise en oeuvre.
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Salariat ou revenu d'existence ? - La Vie des idées - 0 views

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    La vie des idées publie une longue et passionnante lecture critique d'André Gorz par le sociologue Robert Castel, qui dissèque la relation de l'emploi au travail et rappelle que ce couple a (au moins jusque dans les années 70) donner aux salariés des droits et des protections qui a formé une "citoyenneté sociale". Pour Castel, Gorz a sous-estimé la reconnaissance de l'utilité sociale du travailleur, celle qui commande son accès à l'espace public, qui le fait reconnaître comme sujet de droit. Le travail-emploi dignifie le travailleur en même temps qu'il l'aliène rappelle Castel, et n'est pas un travail marchandise sans rôle social. De cette critique, Castel en fonde une autre sur le revenu d'existence. Pour Castel, le revenu d'existence est une perspective inenvisageable politiquement et socialement. "On peine aujourd'hui à dégager 2 milliards d'euros pour financer le revenu de solidarité active (RSA) qui procure un médiocre revenu de subsistance (moins d'un demi SMIC) aux plus malheureux de nos concitoyens, que l'on stigmatise de surcroît en les accusant de devenir ainsi des parasites assistés. On ne voit pas quel régime politique, fût-il de gauche ou même d'extrême gauche (en France, en Europe, ou dans le monde ?), pourrait assurer les quelques dizaines ou centaines de milliards d'euros nécessaires pour garantir à tous un revenu « suffisant », que l'on travaille ou que l'on ne travaille pas. Si quelque chose comme un revenu de ce type se met en place, ce qui n'est pas exclu, ce sera nécessairement un revenu « insuffisant », assurant à peine des conditions minimales de survie - ce dont conviennent d'ailleurs la plupart des partisans de ces mesures dont les chiffrages sont beaucoup plus réalistes que ceux d'André Gorz. L'idée d'un revenu d'existence ou de citoyenneté « suffisant » me parait représenter le type même de la mauvaise utopie." Pour Castel, ce type de mesure entérinerait la rupture c
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Stalking: pourquoi on surveille ses relations amoureuses sur Facebook | Slate.fr - 1 views

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    Si vous surveillez de façon obsessionnelle le fil twitter de votre copain ou de votre copine, cela en dit plus sur vous que votre relation.
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La méthode algorithmique : de la rencontre à l'amour - TheGuardian.com - 0 views

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    James Bridle pour le Guardian revient sur les sites de rencontres, à l'heure où 1/3 des couples qui se marient se sont rencontrés sur un site de rencontre. Pour trouver le bon partenaire, pour l'instant, il faut encore mieux être bon en math qu'avoir du charisme, comme l'expliquait il y a peu pour Wired le hacker Chris McKinlay. Et Bridle de revenir sur les techniques d'appariements des sites de rencontre, qui s'appuient sur des préférences déclarées via des tests sensés être scientifiques. Le développement des rencontres en ligne nous en dit plus au sujet de notre relation avec la technologie que de notre relation avec l'autre... Parmi les outils évoqués par Bridle, qui revient surtout sur l'article de McKinlay, http://tastebuds.fm : un réseau social de rencontre qui se branche sur Spotify...
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Comment les robots nous incitent-ils à les aimer ? - NYTimes.com - 0 views

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    Le Roomba de Maggie Koerth-Baker fait du bruit quand il nettoie à côté d'elle, comme s'il communiquait avec elle. Ses déplacements font qu'il existe dans l'espace physique et mental de son propriétaire. A l'avenir, les robots vont de plus en plus habiter cette zone étrange où les robots cohabitent avec nous et leur comportement ont un impact sur la relation que nous avons avec eux et à mesure qu'ils se rapprochent de nous nous brouillons un peu plus la frontière entre les outils et les êtres. Ce n'est pas neuf. Les humains ont depuis très longtemps noué des relations avec les objets. "Quand un robot se déplace par ses propres moyen, il exploite un instinct social fondamental que tous les êtres humains possèdent : la capacité de séparer les choses en objets ou en agent". Et cette capacité à distinguer les agents des objets est la base de l'empathie cognitive (encore appelée théorie de l'esprit) : c'est-à-dire la capacité de prédire ce que les autres êtres pensent, et ce ils veulent, en observant comment ils se déplacent .Nous savons attribuer des états d'âme à des objets à condition qu'ils apparaissent au moins autonome. Reste qu'en sollicitant notre empathie, ils peuvent aussi la décevoir du fait de leur manque de capacités, même s'ils sont programmés pour nous manipuler, comme le fait le robot Paro. Notre futur sera-t-il peuplé d'objets qui nous leurrent ?
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Votre nouveau secrétaire est un algorithme - WSJ.com - 0 views

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    RelatelQ - https://www.relateiq.com - est un logiciel qui se propose de regarder votre vie numérique pour vous en faire ressortir ce qui semble important. L'algorithme de RelateIQ recueille constamment des signaux de données pour déterminer si les relations de travail avec des partenaires internes ou externes se refroidissent et si l'utilisateur doit prendre des mesures. Sociometric Solutions utilise une méthode proche pour améliorer les conversations. tenXer - https://www.tenxer.com - gère les modifications de code et les heures passées en réunion pour aider à mieux maîtriser sa productivité. Yesware - http://www.yesware.com - tente d'améliorer la productivité par e-mail. Chez RelateIQ, les programmeurs tentent de toujours mieux cerner les tendances, comme le temps moyen qu'il faut pour qu'une personne puisse répondre et quels types de ponctuation et de phrases provoquent généralement des réponses. Ils tentent également de détecter le sarcasme et les mots qui sont habituellement associées à des questions importantes. Ces données peuvent révéler, par exemple, si une relation stagne ou progresse. Reste que dans des environnements de communication très complexe, le défi de ces outils est également complexe. L'apprentissage machine peut provoquer des erreurs, des mauvaises interprétations, des recommandations qui semblent venir de nulle part. Promesse ou illusion ?
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Quand vous tombez amoureux, voici ce que voit Facebook - Rue89.com - 1 views

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    Facebook est capable de de prédire la vie sentimentale en fonction de la fréquence des messages échangés. Les célibataires postent de plus en plus sur leur mur au fur et à mesure que se rapproche le basculement dans la vie de couple... Puis, la fréquence de leurs contributions au réseau chute, correspondant au passage de la fin de la période de séduction aux interactions physiques. Une fois engagés dans une relation de couple, leurs messages sont plus positifs.
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