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La culture de l'échec des startups détruit-elle l'innovation ? - Wired - 0 views

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    Pour la designer Erika HALL, l'échec est devenu à la mode dans la Silicon Valley... Parce que le risque d'échec est bien plus bas qu'il n'a jamais été... Et parce que nul ne se préoccupe plus de la recherche. Aujourd'hui, on parle de prototypage rapide, de startups agiles... Autant de concepts qui visent à éviter de se confronter à la recherche. Pourtant la recherche est préciseuse. Elle ne consiste pas seulement à demander aux gens ce qu'ils veulent ou comment ils se sentent. Et elle devrait être un outil plus utilisé qu'il ne l'est. Les focus groupes ne disent pas grand chose de comment les gens se comportent. Les gens peuvent vous dire qu'ils veulent plus de films de qualité, alors qu'en fait ils regardent des vidéos de chats sur le net. La recherche appliquée est plus que jamais utile aux affaires, estime la designer, parce qu'elle seule aide à comprendre les gens, à faire le tri entre l'irrationnel et le réalité... L'échec est maintenant un badge d'honneur . Quelque part le long du chemin , il a obtenu d'être cool de réduire son risque d'échec. Ce genre de pensée peut-être bien pour les entrepreneurs de se concentrer uniquement sur ​​leur risque personnel et la peur de l'échec, mais il a un réel coût financier, culturel , et la possibilité pour les entreprises. ( Le coût d'opportunité inclut tous les besoins qui ne sont pas satisfaits , car ils ne sont pas arrivées à se produire à un entrepreneur solitaire ou d'une équipe étroitement ciblées . ) Cette attitude est également embrassé et promu par des investisseurs de risque parce que la sagesse commune est que les investissements à haut risque ont un plus grand potentiel de hausse. Pour être franc : de nombreux VCs ne se soucient pas de savoir si un seul placement particulier connaît un succès à long terme. Ils ne se soucient que d'un pourcentage des entreprises dans leur portefeuille les filets d'un rendement élevé. Donc un résultat positif pour les investi
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The Disconnectionists - The New Inquiry - 0 views

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    Pour le sociologue Nathan Jurgenson, la déconnexion de l'internet que prônent certains ne cherche pas tant à restaurer l'autonomie individuelle que d'étouffer le désir d'autonomie que la technologie inspire. L'authenticité personnelle n'a pas connue d'âge d'or : nous n'étions pas plus fidèles à nous-mêmes avant les médias sociaux ! La "detox numérique", visant à se reconnecter au réel, au vrai soi, génère son propre discours... Mais qui fera le tri entre fantasme et réalité, dans ce type de propos ? Pourquoi la préoccupation morale de déconnexion est-elle devenus si populaire ? Pourquoi notre connectivité est-elle devenue moralement toxique, malsaine comme un plaisir qu'il faudrait faire taire ? Les déconnexionnistes, comme les appelle Nathan Jurgenson s'opposent à la simulation. Mais peut-on réduire la complexité de l'authenticité de quelqu'un à son degré de connexion ? Certes, les médias sociaux transforment nos performances identitaires. Il rend le fait de devoir vivre sur scène, devant les autres, plus explicite. En fait, plus ces gens pensent que la connexion menace l'autonomie, et plus ils prônent la déconnexion. "L'obssession de l'authenticité prend racine dans une volonté de délimiter le "normal" et de lui appliquer une prétendue vérité". Le numérique est devenu une maladie. Pour les deconnexionnistes, la déconnexion est le traitement à un problème de santé, un remède à notre techno-anxiété ! Mais la déconnexion n'est-elle pas plutôt et avant tout morale ? N'est-elle une manière d'organiser le contrôle et la gestion de nos nouveaux désirs et plaisirs ? "Le désir d'être entendu, vu, informé via une connexion numérique agréable et pénible, dangereuse et excitante, nécessitant alors une police interne et externe". Derrière la fausse dichotomie réel/virtuel, se cache une dichotomie du sain/toxique et un discours d'austérité visant à réguler nos nouveaux plaisirs. Nos machines de stimulation produi
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Plus de regards, des drones aux Google Glass - Cyborgology - 0 views

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    Robin James pour Cyborglogy a récemment développé le concept de droning pour évoquer la nouvelle forme de panoptisme que prend la surveillance dont nous sommes l'objet. C'est plus une forme de visualisation qu'un regard que les drones, les caméras de surveillance, les Google Glass ou la surveillance de masse opèrent sur nous. Cette nouvelles forme de surveillance ne s'insère pas vraiment dans nos vies, tant que les analyses ne nous identifient pas précisément. Nous ne savons quelles images, quelles données vont être utiles ou utilisées pour nous identifier. La surveillance n'est pas dirigée contre nous précisément, elle est sans perspective, mais elle est en même temps plus précise que jamais. Quand on regarde les commentaires sur Trip Advisor, nous n'avons confiance dans aucun commentaire, nous sommes à la recherche de modèles uniformes dans les commentaires, pour voir si tout le monde pointe le même types de problèmes sur un restaurant ou un hôtel, accréditant alors le problème. Nous sommes nous aussi à la recherche de motifs, de tendances. Le droning, ce "bourdonnement", nous avons besoin nous aussi d'une grande diversité de regards. Le bourdonnement n'est pas intéressé par l'information, par la prolifération... Il a besoin de la multiplication des yeux, des enregistrements omniprésents. Il est un processus autonome, il fonctionne en essaim, en troupeau... Le bourdonnement est le fait de, par et pour le peuple.
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La transparence démocratique n'est pas la transparence totale : 10 propositio... - 0 views

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    Le collectifs citoyen Regards Citoyens propose 10 mesures de transparence démocratiques concrètes : - la transparence du vote des parlementaires - le pouvoir d'investigation financière et de sanction pour la future Haute autorité de la transparence - la création d'un mécanisme d'alerte citoyenne auprès de cette autorité. - un encadrement financier de la vie politique par cette autorité avec la publication de rapports sur l'évolution des patrimoines des élus, la publication des indemnités et de l'usage des frais de mandats et des réserves, la publication en open data de l'ensemble des budgets et comptes administratifs de l'Elysée, de chaque ministère et des Assemblées. - l'encadrement des conflits d'intérêts et du lobbying notamment par l'instauration d'un registre des lobbyistes. Mettre les citoyens au coeur du projet de contrôle démocratique, tel est le projet de Regards Citoyens.
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Le lourd regard du mâle - Model View Culture - 0 views

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    Kate Losse pose une question qui dérange : quel est le lien entre la surveillance et le sexisme ? La surveillance de masse est le produit d'une inégalité de pouvoir technologique. Si le scandale de la NSA a été si fort, c'est peut-être parce que les hommes blancs, maîtres de la technologie, sont devenus les cibles du regard surveillant plutôt que ses maîtres hautains... Et Kate Losse de nous rappeler que le précurseur de Facebook était Facemash, une application d'appréciation des photos des étudiants et surtout des étudiantes de Harvard. Mais la suppression de la fonction de notation n'a pas changé la fonction de base du site qui est d'afficher des photos des gens autour de vous pour votre consommation et votre jugement. Nous devons en savoir plus sur là où se porte les regards dans nos réseaux sociaux. La différence sexuée de consommation de Facebook n'est-elle pas invisible ? La transparence n'est pas symétrique. La technologie est fondamentalement une question de pouvoir, rappelle Kate Losse, au sens le plus élémentaire du terme, comme le développement d'outils qui étendent la puissance de leurs propriétaires. Dans le cas de Facebook, depuis l'origine, l'accent a été mis sur la photographie et sur des informations d'identification. Alors que les entités de contrôle de Facebook sont majoritairement des hommes, les contenus portent majoritairement sur des photographies de femmes. Les décisions de développement reflètent ce contrôle : lorsque "Places" a été déployé, il a d'abord permis aux utilisateurs d'étiqueter des endroits par des amis, sans le consentement explicite des victimes. La surveillance et le sexisme ont en commun un modèle d'exploitation de personnes qui ne maîtrisent pas la technologie et qui ne sont autorisés à exister que sous contrôle.
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Vous êtes vos données : l'effrayant avenir du Quantified Self- PandoDaily.com - 0 views

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    Michael Carney pour PandoDaily s'affole de voir des gens partager avec autant de désinvolture des données de santé hautement personnelles avec des constructeurs d'appareils, sans même sembler regarder les implications potentielles. Or toutes ces données intéressent du monde, comme nos assureurs, nos banquiers... Nous faudra-t-il arrêter d'acheter des hamburgers avec nos cartes bancaires pour éviter toute menace d'augmentation de son assurance santé ? Beaucoup attendent du gouvernement qu'il protège les consommateurs des atteintes à leur vie privée, mais le plus souvent le législateur se contente de réagir aux problèmes. C'est donc à chacun d'entre nous de protéger ses données. Or, quand on regarde les CGU des appareils qui nous mesurent, pour l'instant elles sont souvent assez favorable au consommateur, mais elles peuvent rapidement être modifiées. Pas tous. Reste que les politiques de confidentialités des outils sont très différentes. Jawbone se réserve le droit de partager les informations des utilisateurs avec des tiers. Nike essentiellement avec les autres services de Nike. Fitbit ne partagera que des données cumulatives ne permettant pas d'identifier les utilisateurs, mais aussi à des annonceurs... Peut-être est-il tant de faire le ménage ?
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Détroit, laboratoire du monde d'après le néolibéralisme - BastaMag ! - 0 views

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    "Détroit est-elle entrée malgré elle en transition ? Pour Grace Lee Boggs, la ville a été pendant des décennies le symbole international de l'industrialisation avant de devenir celui de la dévastation du capitalisme. Aujourd'hui confie Grace, « nous créons une société post-industrielle, une nouvelle civilisation. En sortant de chez moi, vous pouvez regarder autour de vous et voir seulement une ville en ruine. Ou bien, regarder Détroit et vous dire, voici notre futur ». Ce qui se joue à Détroit inspirera-t-il d'autres parties du monde frappées du même mal, qu'il se nomme austérité ou récession ?"
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Facebook Stories - Carte interactive des amitiés internationales sur Facebook - 0 views

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    Facebook publie une intéressante carte des amitiés internationales. La méthodologie est simple : on regarde tous les amis des inscrits d'un pays, et on regarde la nationalité de ces derniers. Pour la France, c'est avec la Belgique que nous sommes le plus liés. Suivent le Maroc, la Tunisie, l'Algérie et la Suisse.
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Internet, où ça bloque ? - ArXiv.org - 0 views

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    « Where in the Internet is congestion? », se demandent Daniel Genin et Jolene Splett, les auteurs de cette étude. Tout le monde s'est dit au moins une fois « ça rame » mais n'a pas pu répondre à la question « ça rame où ? Dans mon accès Internet ? Chez mon FAI ? Plus loin ? » Pour répondre, les auteurs ont utilisé les données récoltées par les sondes #SamKnows placées par la #FCC dans des milliers de foyers états-uniens. Ces sondes passent leur temps à télécharger de gros fichiers et à regarder combien de temps ça prend. L'idée de base des auteurs est de regarder les *corrélations* entre les épisodes de ralentissement : si tout le monde dans le Missouri rame en même temps, c'est probablement un problème dans le réseau de l'État, et pas chez M. Smith. Parmi les conclusions, le fait que la congestion apparait aussi bien au bord qu'au cœur de l'Internet.
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La technologie ne nous sépare malgré tout - NYTimes.com - 0 views

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    En septembre 2008, deux étudiants de l'université Rutgers sous la direction de Keith Hampton, ont voulu refaire l'expérience du sociologue William Whyte, The Street life project, consistant à filmer la rue pour voir et comprendre les interactions humaines et renouveler l'urbanisme par l'observation. L'occasion de regarder si nos technologies nous isolent, comme le clament nombre de livres.... Hampton et ses étudiants ont ainsi découvert que les passants n'aiment vraiment pas les espaces très larges et ouverts, qui semblent désolés voir dangereux. Ils préfèrent les chaises aux bancs, notamment parce qu'ils peuvent les déplacer et se faire face. Les passants aiment les fontaines qui ne sont pas closes pour y tremper leurs pieds. Hampton a comparé les films de Whyte et ceux d'aujourd'hui pour regarder si les gens faisaient moins attention aux autres à l'heure des téléphones mobiles. Son étude montre que l'utilisation du mobile est plus répandue chez les gens qui se promènent seuls. L'utilisation du téléphone dans l'espace public s'est avéré beaucoup plus faible que prévu (seulement 3% des personnes aperçues en utilisaient un), pour beaucoup, c'est un moyen de passer le temps quand on est seul ou quand on attend quelqu'un. Mais il a aussi constaté que les gens trainent, flânent plus facilement que dans les films de Whyte. Mais notre tendance à interagir avec d'autres a augmenté. En 79, 32% des passants étaient seuls, alors qu'en 2010, seuls 24% des passants étaient seuls. Autre surprise, en 2010, il y a beaucoup plus de femmes dans la rue qu'en 1979. L'histoire des lieux publics ne nous raconte pas la solitude ou la distraction numérique, mais plutôt celle de la montée de l'égalité des sexes... Passionnant !
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Applications pour le 2nd écran ? Les téléspectateurs dubitatifs, alors que le... - 0 views

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    Les applications de 2nd écran, pour accompagner le visionnage d'une émission de télévision (permettant de voter, de répondre à des sondages, de jouer, de concentrer les fans...) sont-elles le Graal que l'industrie en attend ? Pas si sûr. Un sondage américain montre que seulement 13% des américains estime que les applications dédiées rendent leur activité plus agréable. Si les téléspectateurs aiment utiliser leur smartphones ou leurs tablettes en regardant la télé, peut regardent les sites web dédiés des émissions. Trop enfermant ? Trop dirigiste ? ... En fait, plutôt que de se retrouver avec d'autres fans, les téléspectateurs préfèrent certainement retrouver leurs amis là où ils sont...
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Comment avoir un job chez Google - NYTimes.com - 0 views

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    Google a arrêter d'embaucher des gens en regardant uniquement l'excellence de leurs résultats scolaires, rappelle l'économiste Thomas Friedman qui est allé rencontrer Laszlo Bock, responsable du management chez Google. Aujourd'hui, 14% des employés de Google n'ont pas de diplômes. Google a 5 attributs d'embauche. Sur les rôles techniques, la capacité à codé est testée. Mais Google recherche avant tout "la capacité cognitive générale", c'est-à-dire "la capacité de traiter à la volée", de "rassembler des éléments d'information disparates". Google recherche également le leadership, mais surtout le "leadership émergent", c'est-à-dire comment face à un problème, vous prenez le lead ou le laissez face à quelqu'un qui propose une meilleure solution que la vôtre. Google s'intéresse aussi à l'humilité, seule manière d'apprendre de ses échecs. Par contre, Google semble de moins en moins intéressé par l'expertise, qui ne permet pas suffisamment d'imaginer des solutions différentes, il lui préfère la capacité à aimer apprendre et réapprendre. Pour Bock, un diplôme n'est pas un indicateur de votre capacité à faire n'importe quel travail. Reste que ce nouveau regard de Google sur l'emploi divulgue un autre message fort : l'éducation, c'est fini. Votre diplôme ne vous assure plus de rien.
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L'ethnographie des technologues - Ethnography Matters - 0 views

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    Nick Seaver, ethnologue chez Intel, explore la façon dont les gens imaginent et négocient la relation entre les domaines culturels et techniques. Dans ce cadre, il s'est particulièrement intéressé aux développeurs, et notamment à ceux qui construisent des systèmes de recommandation musicales, comme Pandora, Spotify, Songza ou Beats Music. Comment les développeurs suggèrent des matériaux d'écoute aux utilisateurs en utilisant données, algorithmes et recommandations humaines. Si l'ethnographie est un excellent outil pour montrer combien les utilisateurs sont plus compliqués qu'on pourrait le penser, il est également un outil utile pour comprendre les processus par lesquels la technologie se construit et mieux comprendre les algorithmes ou les Big Data se construisent. Et Nick Seaver d'observer comment ces entreprises catégorisent les utilisateurs, selon une typologie populaire, celle de David Jennings, qui distingue les utilisateurs en savants (7%), enthousiastes (21%), occasionnels (32%) et indifférents (40%). Cette distinction pose un problème de fond, car bien souvent, les développeurs qui travaillent dans ces sociétés sont surtout un public de spécialistes de la musique, alors que les utilisateurs sont principalement occasionnels ou indifférents et donc abordent la musique d'une manière forcément très différente des experts. Le risque, bien sûr, est que les savants construisent des systèmes qui répondent à leur propres intérêts et à leurs propres idées sur la musique, négligeant les autres types d'utilisateurs. Le regard ethnographique pourrait permettre de construire des expériences qui aillent au-delà de variables trop simplistes comme : quel prix payer ? Combien de clics avant d'arriver au morceau que je souhaite écouter ?... Quelles sont les idées préconçues sur la culture des développeurs ? Quelles expériences veulent-ils créer dans les systèmes qu'ils construisent ? L'ethnographie des technologues permet de const
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Tobii EyeMobile : le contrôle de sa tablette par le regarde - Hands Digital T... - 0 views

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    L'EyeMobile de Tobii est un dispositif qui se place sur une tablette pour la contrôler par le regard. Fini les doigts et la souris !
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Le monde désordonné des Big Data -JunkCharts - 1 views

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    Kaiser Fung, l'auteur de "NumberSense", revient sur la difficulté à mesurer l'audience d'un site web... Cette difficulté explique que les grands pourvoyeurs de métriques donnent des chiffres différents dans les mesures médias qu'ils proposent par exemple. Car rien n'est plus difficile finalement à mesurer qu'un visiteur unique... Il faut donc comprendre que toute mesure est subjective. Et que l'important est toujours de comprendre comment les choses sont mesurées. Les journaux Web sont un monde en désordre désordre . Si deux vendeurs sont déployés pour analyser le trafic sur le même site , il est garanti que leurs statistiques ne seraient pas concilier , et l'écart peut être aussi élevée que 20 ou 30 pour cent. Les initiés hochent la tête , pour ceux qui ne sont pas familiers avec les données Web, jetez un oeil à ce post récent sur ​​le point sur ​​les mesures du trafic Web , malicieusement intitulé « Yahoo est plus grand que Google, mais Google est plus grande que Yahoo. " Ce poste est une réaction à l'annonce récente que les sites Yahoo ont surpassé les sites de Google en termes de trafic - Eh bien, selon un mode de comptage. *** Notez que les entreprises du Web comme Google , Yahoo! et Facebook vivent et meurent par ces chiffres. Toutes ces entreprises offrent des services «gratuits» pour les utilisateurs, et ils génèrent des revenus par la vente de (sur ) ces utilisateurs à des annonceurs . Les annonceurs veulent «REACH », qui est généralement mesurée par des indicateurs comme visiteurs uniques et de visites uniques. Lorsque vous entendez les gens font l'affirmation selon laquelle la publicité numérique est plus «mesurable» que la publicité traditionnelle , ils font référence à ce type de mesures. Le journaliste Verge compare trois services de mesure : Comscore (le joueur dominant) , la concurrence et SimilarWeb . Ces services n'ont pas pu s'entendre si Google ou Yahoo! était plus grand ou si elles ét
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Est-ce que le porno choque les enfants ? - NYTimes.com - 0 views

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    Et bien on ne sait pas... Selon un méta rapport britannique ayant étudié 276 articles de recherche sur le sujet, il y aurait un lien entre l'exposition à la pornographie et les comportements à risque... Mais comme tous les adolescents ont vus des images pornographiques, l'argument ne semble pas très solide. Une autre méta-étude américaine a fait part du même scepticisme. Aucun scientifique ne pouvant faire d'étude idéale (consistant à mettre des adolescents qui n'en ont jamais vu devant du porno pour voir si cela a une influence sur leur comportement), il n'est pas sûr qu'on obtienne un jour une réponse à cette question. Selon l'un des spécialiste du sujet, le hollandais Jochen Peter, plus les jeunes regardent de porno plus ils semblent satisfaits de leur vie sexuelle (un effet qu'on ne trouve pas même chez ceux qui ont une forte expérience sexuelle). Ceux qui en regardent plus que d'autres ont également moins d'aversion pour les rapports occasionnels. Mais la pornographie ne peut pas être décrite comme le seul facteur prédictif d'un comportement sexuel et ces résultats obtenus depuis des études sur des adolescents néerlandais ne sont pas généralisables. A défaut de résultats, les universitaires invitent à la prudence...
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Open Legislative Data Conference : échanges riches et synergies pour l'avenir... - 0 views

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    Regards citoyen revient sur son projet Law is Code, c'est-à-dire de proposer des outils de versionning en ligne pour discuter de propositions de lois.
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De recul en recul, les députés préfèrent le voyeurisme à la transparence démo... - 0 views

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    Regards Citoyens revient sur le vote de la loi relative à la publication du patrimoine des élus et regrette l'enterrement de toute transparence. Plus encore, le projet d'encadrement et de transparence du lobbying a lui aussi été rejeté. Les avis de la Haute autorité de la transparence ne seront pas accessibles aux citoyens. Et les votes aux scrutins publics des députés pas enregistrés.
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L'innovation peut-elle sauver la planète ? - Actu Environnement - 0 views

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    Dans la dernière livraison de "Regards sur la Terre" la revue du développement durable, un dossier revient sur les promesses de l'innovation durable. "L'enjeu pour la puissance publique n'est pas de déployer tous azimuts une solution socio-technique préalablement choisie, mais plutôt de mettre en oeuvre des institutions et une multitude de politiques publiques", expliquent les auteurs... L'innovation technique ne suffira pas, soulignent encore les auteurs. Il va falloir commencer à développer l'innovation frugale, celle qui se fait à partir de ressources limitées...
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Qu'arrivera-t-il après l'écran tactile ? - BuzzeFeed - 0 views

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    Nous connaissons déjà une génération de gadgets qui font disparaître les écrans, comme la Kinect ou Leap. Quelles interfaces viendront remplacer l'écran tactile ? Pour Gabe Newell, les écrans tactiles devraient durer une dizaine d'années avant d'être remplacé par d'autres interfaces :  http://venturebeat.com/2012/07/25/valves-gabe-newell-talks/ . Lesquelles ? Des technologies gestuelles sans toucher, qui seront sensibles à des petits gestes plutôt qu'à de grands gestes, estime le fondateur de Leap Motion. Des caméras capables de percevoir la profondeur ou les émotions, estime un chercheur de chez Intel. Des interfaces sensibles à ce que l'on regarde, plutôt que ce que l'on touche... 
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