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« Respectons la Vie » - ARCHIDIOCESE DE PAPEETE - 0 views

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    "Ce week-end (18, 19 janvier), en France, comme en Polynésie française, les chrétiens sont invités de nouveau à montrer publiquement leur attachement au respect de la vie : de la conception à la mort naturelle. C'est aussi un appel à la solidarité et au refus de l'individualisme. Solidarité envers les « sans voix » dont la vie est menacée par des lois permissives élargissant (ou tendant à élargir) le droit à l'avortement, le droit de manipuler des embryons, le droit à l'euthanasie."
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UNASP - Audition Comité consultatif national d'éthique - Avril 2018 - 0 views

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    Contribution sur la fin de vie. Opposition à l'euthanasie et au suicide assisté. Demande de : - Information au public de la loi fin de vie, de l'accompagnement des malades, des mourants, des endeuillés - Soutien aux aidants - Soutien au personnel en souffrance en institutions -tout particulièrement en EHPAD - Bénévoles en souffrance (maltraitance en institution, personnel non adapté...) - Révision des critères de PEC au domicile - Formation des soignants à l'application de la loi, à la sédation profonde et continue - Solidarité versus toute puissance de l'individu - Elaboration de mesures sociales d'accompagnement en fin de vie pour les personnes les plus vulnérables - nouvelles formes de solidarité à initier - L'objectif d'égalité dans la PEC n'est pas rempli (tous les citoyens sont égaux en droits) - Valorisation et soutiens financiers aux fédérations et associations de soins palliatifs pour une pérennisation de leurs multiples actions au près de leurs concitoyens - Meilleure visibilité des budgets ARS. Incohérences et inégalités territoriales.
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Ministère de la santé et de la solidarité - Propositions du groupe de travail... - 0 views

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    Lancée en décembre dernier, la concertation destinée à nourrir la stratégie de lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes est désormais achevée. Des objectifs contractualisés entre Etat et départements, un parcours d'accompagnement garanti pour les jeunes, l'accès universel à l'accueil petite enfance en 2030, la refondation des minima sociaux... font partie des propositions des groupes de travail. L'annonce par le président de la République de la stratégie devrait avoir lieu avant la fin du mois d'avril. Pour établir une stratégie de lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, le processus de concertation aura duré trois mois. Réunis le 15 mars 2018 autour d'Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé, et d'Olivier Noblecourt, délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, les présidents des six groupes de travail nationaux ont dévoilé leurs propositions. Avant d'entrer dans le vif du sujet, ils ont dans l'ensemble fait part de leur satisfaction sur la qualité du processus, notamment quant à la place donnée aux collectivités, aux associations, aux institutions dans leur diversité et aux personnes concernées. En dehors des groupes thématiques, la concertation a donné lieu à 40 rencontres et visites sur le territoire - avec la présence d'environ 2.000 personnes - et à une consultation en ligne ayant recueilli quelque 7.200 contributions. "Des efforts ont été faits pour permettre la participation des personnes concernées", a jugé François Soulage, président du collectif Alerte, même s'il reste "encore du travail". Au sein des groupes nationaux, un climat favorable à l'échange aurait permis de "faire cohabiter ce qui est faisable et ce qui est louable", de l'avis Elisabeth Laithier, adjointe au maire de Nancy et présidente de la commission petite enfance de l'Association des maires de France. "On est arrivé à des positions communes"
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Ministère de la santé et de la solidarité - Synthèse des propositions - Strat... - 0 views

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    Lancée en décembre dernier, la concertation destinée à nourrir la stratégie de lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes est désormais achevée. Des objectifs contractualisés entre Etat et départements, un parcours d'accompagnement garanti pour les jeunes, l'accès universel à l'accueil petite enfance en 2030, la refondation des minima sociaux... font partie des propositions des groupes de travail. L'annonce par le président de la République de la stratégie devrait avoir lieu avant la fin du mois d'avril. Pour établir une stratégie de lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, le processus de concertation aura duré trois mois. Réunis le 15 mars 2018 autour d'Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé, et d'Olivier Noblecourt, délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, les présidents des six groupes de travail nationaux ont dévoilé leurs propositions. Avant d'entrer dans le vif du sujet, ils ont dans l'ensemble fait part de leur satisfaction sur la qualité du processus, notamment quant à la place donnée aux collectivités, aux associations, aux institutions dans leur diversité et aux personnes concernées. En dehors des groupes thématiques, la concertation a donné lieu à 40 rencontres et visites sur le territoire - avec la présence d'environ 2.000 personnes - et à une consultation en ligne ayant recueilli quelque 7.200 contributions. "Des efforts ont été faits pour permettre la participation des personnes concernées", a jugé François Soulage, président du collectif Alerte, même s'il reste "encore du travail". Au sein des groupes nationaux, un climat favorable à l'échange aurait permis de "faire cohabiter ce qui est faisable et ce qui est louable", de l'avis Elisabeth Laithier, adjointe au maire de Nancy et présidente de la commission petite enfance de l'Association des maires de France. "On est arrivé à des positions communes"
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Ministère de la santé et de la solidarité - Propositions du groupe "Piloter l... - 0 views

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    Lancée en décembre dernier, la concertation destinée à nourrir la stratégie de lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes est désormais achevée. Des objectifs contractualisés entre Etat et départements, un parcours d'accompagnement garanti pour les jeunes, l'accès universel à l'accueil petite enfance en 2030, la refondation des minima sociaux... font partie des propositions des groupes de travail. L'annonce par le président de la République de la stratégie devrait avoir lieu avant la fin du mois d'avril. Pour établir une stratégie de lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, le processus de concertation aura duré trois mois. Réunis le 15 mars 2018 autour d'Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé, et d'Olivier Noblecourt, délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, les présidents des six groupes de travail nationaux ont dévoilé leurs propositions. Avant d'entrer dans le vif du sujet, ils ont dans l'ensemble fait part de leur satisfaction sur la qualité du processus, notamment quant à la place donnée aux collectivités, aux associations, aux institutions dans leur diversité et aux personnes concernées. En dehors des groupes thématiques, la concertation a donné lieu à 40 rencontres et visites sur le territoire - avec la présence d'environ 2.000 personnes - et à une consultation en ligne ayant recueilli quelque 7.200 contributions. "Des efforts ont été faits pour permettre la participation des personnes concernées", a jugé François Soulage, président du collectif Alerte, même s'il reste "encore du travail". Au sein des groupes nationaux, un climat favorable à l'échange aurait permis de "faire cohabiter ce qui est faisable et ce qui est louable", de l'avis Elisabeth Laithier, adjointe au maire de Nancy et présidente de la commission petite enfance de l'Association des maires de France. "On est arrivé à des positions communes"
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Ministère de la santé et de la solidarité - Propositions du groupe " Un accom... - 0 views

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    Lancée en décembre dernier, la concertation destinée à nourrir la stratégie de lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes est désormais achevée. Des objectifs contractualisés entre Etat et départements, un parcours d'accompagnement garanti pour les jeunes, l'accès universel à l'accueil petite enfance en 2030, la refondation des minima sociaux... font partie des propositions des groupes de travail. L'annonce par le président de la République de la stratégie devrait avoir lieu avant la fin du mois d'avril. Pour établir une stratégie de lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, le processus de concertation aura duré trois mois. Réunis le 15 mars 2018 autour d'Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé, et d'Olivier Noblecourt, délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, les présidents des six groupes de travail nationaux ont dévoilé leurs propositions. Avant d'entrer dans le vif du sujet, ils ont dans l'ensemble fait part de leur satisfaction sur la qualité du processus, notamment quant à la place donnée aux collectivités, aux associations, aux institutions dans leur diversité et aux personnes concernées. En dehors des groupes thématiques, la concertation a donné lieu à 40 rencontres et visites sur le territoire - avec la présence d'environ 2.000 personnes - et à une consultation en ligne ayant recueilli quelque 7.200 contributions. "Des efforts ont été faits pour permettre la participation des personnes concernées", a jugé François Soulage, président du collectif Alerte, même s'il reste "encore du travail". Au sein des groupes nationaux, un climat favorable à l'échange aurait permis de "faire cohabiter ce qui est faisable et ce qui est louable", de l'avis Elisabeth Laithier, adjointe au maire de Nancy et présidente de la commission petite enfance de l'Association des maires de France. "On est arrivé à des positions communes"
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Ministère de la santé et de la solidarité - Propositions du groupe "Accès aux... - 0 views

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    Lancée en décembre dernier, la concertation destinée à nourrir la stratégie de lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes est désormais achevée. Des objectifs contractualisés entre Etat et départements, un parcours d'accompagnement garanti pour les jeunes, l'accès universel à l'accueil petite enfance en 2030, la refondation des minima sociaux... font partie des propositions des groupes de travail. L'annonce par le président de la République de la stratégie devrait avoir lieu avant la fin du mois d'avril. Pour établir une stratégie de lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, le processus de concertation aura duré trois mois. Réunis le 15 mars 2018 autour d'Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé, et d'Olivier Noblecourt, délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, les présidents des six groupes de travail nationaux ont dévoilé leurs propositions. Avant d'entrer dans le vif du sujet, ils ont dans l'ensemble fait part de leur satisfaction sur la qualité du processus, notamment quant à la place donnée aux collectivités, aux associations, aux institutions dans leur diversité et aux personnes concernées. En dehors des groupes thématiques, la concertation a donné lieu à 40 rencontres et visites sur le territoire - avec la présence d'environ 2.000 personnes - et à une consultation en ligne ayant recueilli quelque 7.200 contributions. "Des efforts ont été faits pour permettre la participation des personnes concernées", a jugé François Soulage, président du collectif Alerte, même s'il reste "encore du travail". Au sein des groupes nationaux, un climat favorable à l'échange aurait permis de "faire cohabiter ce qui est faisable et ce qui est louable", de l'avis Elisabeth Laithier, adjointe au maire de Nancy et présidente de la commission petite enfance de l'Association des maires de France. "On est arrivé à des positions communes"
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Ministère de la santé et de la solidarité - Propositions du groupe " Développ... - 0 views

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    Lancée en décembre dernier, la concertation destinée à nourrir la stratégie de lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes est désormais achevée. Des objectifs contractualisés entre Etat et départements, un parcours d'accompagnement garanti pour les jeunes, l'accès universel à l'accueil petite enfance en 2030, la refondation des minima sociaux... font partie des propositions des groupes de travail. L'annonce par le président de la République de la stratégie devrait avoir lieu avant la fin du mois d'avril. Pour établir une stratégie de lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, le processus de concertation aura duré trois mois. Réunis le 15 mars 2018 autour d'Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé, et d'Olivier Noblecourt, délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, les présidents des six groupes de travail nationaux ont dévoilé leurs propositions. Avant d'entrer dans le vif du sujet, ils ont dans l'ensemble fait part de leur satisfaction sur la qualité du processus, notamment quant à la place donnée aux collectivités, aux associations, aux institutions dans leur diversité et aux personnes concernées. En dehors des groupes thématiques, la concertation a donné lieu à 40 rencontres et visites sur le territoire - avec la présence d'environ 2.000 personnes - et à une consultation en ligne ayant recueilli quelque 7.200 contributions. "Des efforts ont été faits pour permettre la participation des personnes concernées", a jugé François Soulage, président du collectif Alerte, même s'il reste "encore du travail". Au sein des groupes nationaux, un climat favorable à l'échange aurait permis de "faire cohabiter ce qui est faisable et ce qui est louable", de l'avis Elisabeth Laithier, adjointe au maire de Nancy et présidente de la commission petite enfance de l'Association des maires de France. "On est arrivé à des positions communes"
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Ministère de la santé et de la solidarité - Propositions du groupe "Prévenir ... - 0 views

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    Lancée en décembre dernier, la concertation destinée à nourrir la stratégie de lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes est désormais achevée. Des objectifs contractualisés entre Etat et départements, un parcours d'accompagnement garanti pour les jeunes, l'accès universel à l'accueil petite enfance en 2030, la refondation des minima sociaux... font partie des propositions des groupes de travail. L'annonce par le président de la République de la stratégie devrait avoir lieu avant la fin du mois d'avril. Pour établir une stratégie de lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, le processus de concertation aura duré trois mois. Réunis le 15 mars 2018 autour d'Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé, et d'Olivier Noblecourt, délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, les présidents des six groupes de travail nationaux ont dévoilé leurs propositions. Avant d'entrer dans le vif du sujet, ils ont dans l'ensemble fait part de leur satisfaction sur la qualité du processus, notamment quant à la place donnée aux collectivités, aux associations, aux institutions dans leur diversité et aux personnes concernées. En dehors des groupes thématiques, la concertation a donné lieu à 40 rencontres et visites sur le territoire - avec la présence d'environ 2.000 personnes - et à une consultation en ligne ayant recueilli quelque 7.200 contributions. "Des efforts ont été faits pour permettre la participation des personnes concernées", a jugé François Soulage, président du collectif Alerte, même s'il reste "encore du travail". Au sein des groupes nationaux, un climat favorable à l'échange aurait permis de "faire cohabiter ce qui est faisable et ce qui est louable", de l'avis Elisabeth Laithier, adjointe au maire de Nancy et présidente de la commission petite enfance de l'Association des maires de France. "On est arrivé à des positions communes"
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Vatican News - Mgr Paglia : la fraternité est indispensable pour la survie de... - 0 views

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    "Dans son récent e-book intitulé "Pandémie et fraternité. La force des liens humains rouvre l'avenir", Mgr Vincenzo Paglia, président de l'Académie pontificale pour la vie, invite à activer "l'antivirus de la solidarité" et appelle à une vision bioéthique mondiale."
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Ministère de la santé - Soins palliatifs : des avancées concrètes au bénéfice... - 1 views

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    "Chaque année, entre 150 000 et 200 000 personnes bénéficient de soins palliatifs. Dans le cadre de la journée mondiale du 14 octobre, le ministère des solidarités et de la santé confirme son engagement dans ce domaine ainsi que son action pour garantir aux personnes malades une fin de vie digne et apaisée."
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Le Monde - Loi de bioéthique : « Une évolution salutaire qui reste à consolid... - 0 views

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    "Jean-François Delfraissy et Pierre-Henri Duée, du Comité consultatif national d'éthique, soulignent que le texte adopté par le Parlement promeut la solidarité dans le respect de l'autonomie."
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La Tribune - Boris Cyrulnik : "Un bon choix éthique peut être un mauvais choi... - 0 views

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    "LE MONDE D'APRES. "La pandémie Covid-19 marque un tournant dans l'histoire, estime Boris Cyrulnik. Pour la première fois, "on" accepte de ruiner l'économie mondiale pour sauver en majorité des personnes qui, par leur âge avancé ou leur vulnérabilité liée à d'autres pathologies, devaient mourir prochainement". Un choix éthique fort - celui "de la vie contre l'argent" - aux enseignements et questionnements cardinaux, surtout au moment de penser l'humanité autrement : la hiérarchisation des vies est abolie, la valeur de chaque existence est égale à toute autre, la santé devient droit et "revendication". Mais concomitamment, ne devenons-nous pas intolérants à la mort ? Encagés dans "nos" progrès scientifiques et la chimère scientiste ? Déstabilisés face au triptyque valeur - coût - prix de la vie ? Cette éthique n'apparaît-elle pas, justement, "hors de prix" lorsque se profile un tel chaos social, humanitaire et (géo)politique ? "Un bon choix éthique peut être un mauvais choix économique", concède le neuropsychiatre. Mais il constitue surtout un phare, indispensable pour débroussailler le chemin du "nouveau déterminisme" que commande la... santé de la civilisation, gangrenée par une "consommation", une "mobilité", une "intensification" hypertrophiées. Est convoquée alors le concept de résilience, dont les manifestations au plus loin dans l'Histoire prouvent que l'espèce humaine est capable d'extraire des traumas un profit humaniste et collectif, fécondé dans la solidarité. Les plans du "nouveau déterminisme" qu'exige l'état, incandescent, de la planète sont à l'étude : Boris Cyrulnik en livre quelques précieux croquis."
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Nîmes - Fin de vie : Restons Solidaires ! - 0 views

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    Le diocèse de Nîmes vient de publier un livret intitulé « Fin de vie, restons solidaires ! ». Cette plaquette sera prochainement imprimée et diffusée largement dans le diocèse. Une convention citoyenne sur la fin de vie organisée par le Conseil Economique, Social et Environnemental se penche sur la question de l'euthanasie et du suicide assisté. Elle doit rendre ses conclusions en mars 2023. Le 13 septembre dernier, le Comité National Consultatif d'Ethique (CCNE), dans son avis N° 139 intitulé : « Questions éthiques relatives aux situations de fin de vie : autonomie et solidarité », estimait « qu'il existe une voie pour une application éthique d'une aide active à mourir, à certaines conditions strictes avec lesquelles il apparaît inacceptable de transiger ». La perspective d'une loi autorisant l'euthanasie ou le suicide assisté ne peut nous laisser indifférents. Nous sommes tous concernés parce que nous sommes tous confrontés à la mort. C'est pourquoi je propose ces éléments de réflexion.
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Euthanasie : l'inquiétude de Mgr d'Ornellas - ouest-france.fr - 0 views

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    Alors que le Conseil de l'Ordre des médecins envisage qu'un collège médical permette une « sédation terminale » pour des patients en fin de vie ayant donné un accord éclairé, Mgr Pierre d'Ornellas, chargé des questions de bioéthique au sein de la conférence des évêques de France, dit craindre « une dérive d'euthanasie ». Pour l'archevêque de Rennes, « il est plus juste de parler de sédation en phase terminale. L'intention de faire venir la mort est toujours coupable. Au fond de la conscience humaine ¯ et c'est sa dignité ¯, il y a toujours cette parole fondatrice de liberté et de solidarité : 'Tu ne tueras pas' », estime Pierre d'Ornellas.
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« La vie, de son début à sa fin, et le lien social » | Le Laboratoire d'Espri... - 0 views

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    "Retrouvez le texte de l'intervention Jérôme Vignon, président de l'Observatoire national de la pauvreté et de l'exclusion sociale, lors du débat avec Didier Sicard. « La solidarité commence avec l'humanisation des interdépendances »."
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Arrêté du 16 août 2016 portant homologation des règles de bonnes pratiques re... - 0 views

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    [Analyse de genethique.org] Le ministère des affaires sociales et de la santé a publié en annexe d'un arrêté en date du 16 août dernier, publié hier au journal officiel, où sont précisées les modalités de l'entretien avec les proches dans le cadre du prélèvement d'organes. Après la publication, la semaine précédente, de l'arrêté qui définit les modalités d'expression du refus au prélèvement d'organes après la mort, ces « bonnes pratiques » décrivent les différentes étapes « qui vont de l'accueil au rendu du corps, qu'il ait été possible d'aboutir ou non à un prélèvement d'organes et de tissus ». L'objectif de cet entretien avec les proches de la personne décédée vise à « à informer, annoncer et s'assurer de la bonne compréhension de la situation permettant d'envisager un prélèvement d'organes et de tissus, selon le contexte médical et dans le respect de l'éventuelle opposition du défunt exprimée de son vivant ». Il est précisé qu'il « doit permettre l'établissement d'un cadre relationnel de qualité avec les proches et être pensé et vécu comme un dialogue empathique et respectueux du vécu des proches pour établir avec tact les modalités humaines d'un accompagnement ». Il est plusieurs fois mentionné qu'il « participe à la démarche de deuil ». Après une préparation entre professionnels, 7 étapes indicatives, évoquées de façon très concrètes, sont décrites : - la présentation aux proches, - leur prise en charge, - la compréhension et l'acceptation de la réalité du décès, - l'information sur la nature, la finalité et les modalités des prélèvements, - les modalités de recueil d'une éventuelle opposition au prélèvement par le défunt, de son vivant, à l'accompagnement des proches après l'entretien. Enfin, le texte mentionne que les règles édictées dans ce texte s'appliquent aussi aux personnes décédées après arrêt circulat
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Euthanasie : les évêques de France rappellent le caractère « fondamental » de... - 0 views

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    "Les évêques de France ont choisi d'intervenir tôt dans le débat qui s'annonce sur la fin de vie. Jeudi 16 janvier, le conseil permanent de la Conférence des évêques de France (CEF) a publié une déclaration intitulée Fin de vie : pour un engagement de solidarité et de fraternité."
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Les évêques contre le "suicide médicalement assisté", contre l'euthanasie | R... - 0 views

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    "Dans une déclaration publiée ce 16 janvier 2014, la Conférence de évêques de France réitère son opposition à toute forme d'euthanasie. Il ne s'agit pas de changer la loi Léonetti, mais de l'améliorer pour plus de "solidarité et de fraternité"."
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« Notre regard sur la fin de vie » : un texte du Conseil famille et société -... - 0 views

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    "Après que le Conseil permanent des évêques de France ait fait une déclaration le 16 janvier sur « Fin de vie : pour un engagement de solidarité et de fraternité », le Conseil famille et société de cette même Conférence a publié le 17 janvier un texte de six pages, intitulé « Notre regard sur la fin de vie ». En explicitant les raisons de l'opposition de l'Église à la légalisation de l'euthanasie, il invite à entrer en dialogue."
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