obin Chase était hier à TED Global pour présenter sa vision de la consommation collaborative, et en particulier le concept de Peers Incorporated. Spécialiste des questions de transport, nommée par le Times parmi les 100 personnes les plus influentes en 2009, Robin Chase à créé Zipcar en 2000 puis Buzzcar en 2011. Zipcar met une flotte de voitures à disposition des automobilistes et Buzzcar, version p2p de Zipcar, permet aux automobilistes de louer directement leur voiture à d'autres automobilistes. Deux startups qui sont donc résolument ancrées dans la consommation collaborative.

Grâce à des capteurs fixés sur un t-shirt, la gestion des maladies chroniques, pour les patients comme pour les professionnels de santé, est plus accessible. Surtout s'ils s'intègrent dans un système plus large permettant de comprendre l'environnement dudit malade.

L'influence du Web social dans le secteur des voyages est ressentie tant par les marques que par les voyageurs. Les sites sociaux de voyage prolifèrent et les voyageurs connectés montrent des caractéristiques uniques.

Le fait d'amener ses propres appareils pour travailler, la mobilité mais aussi la vidéo et la virtualisation du poste de travail, fragiliseraient les réseaux internes des entreprises, qui n'arriveraient pas à suivre ces évolutions.

C'est un fait qui est incontestable : plus de 90% des jeunes entreprises innovantes américaines qui se créent sont vouées à l'échec. C'est particulièrement le cas dans le domaine des hautes technologies où les risques sont plus importants : exploration de nouveaux marchés, incertitudes sur la technologie, redéfinition des paysages compétitifs, etc. De multiples ouvrages, conférences et partages d'expertise sont déjà disponibles pour tenter de guider les jeunes entrepreneurs et augmenter leurs chances de succès, mais aucun ne peut se prétendre être une "recette du succès" pour toute nouvelle JEI. Chaque marché de haute technologie possède en effet des particularités bien définies, qui empêchent de dégager des structures de succès communes. L'entreprise Blackbox, responsable de l'étude "Startup Genôme", dont nous vous relations l'existence dans une précédente brève [1], a entrepris de centrer son étude sur les startups du domaine du web, industrie la plus dynamique actuellement. Les données financières, économiques, marketing, technologiques, stratégiques de plus de 3 200 entreprises (principalement américaines) ont ainsi été décortiquées pour faire émerger les motifs de réussite ou d'échec de ces entreprises, et ainsi procurer une aide précieuse pour le développement de ces dernières. L'approche est particulièrement intéressante car très scientifique. L'étude a été rendue possible par le boom actuel des systèmes d'analyse et d'interprétation de grand volumes de données (ou "big data"), qui s'annonce comme un marché à fort potentiel de croissance dans les prochains mois.

Once we connect 50 billion devices to the web, as Ericsson's CEO thinks will happen by 2020, what will those devices talk to? Chicago Startup Tempo hopes those sensors will take to its database as a service - depositing their tiny bits of time series data inside its custom database. The company, which was a Structure 2012 Launchpad finalist, has built a specialty database for data that consists of two items, time and a data point.

It's not news that demand for bandwidth is growing exponentially. But here's a surprise: The fastest-growing technology for wired broadband is still DSL. That's right, DSL, the aging technology based on copper telephone wires that, if you believe the conventional wisdom, is being buried by cable and fiber. 

Pour optimiser le remplissage des camions, trains et cargos, un moyen est d'identifier chaque chargement afin de pouvoir les tracer et de pouvoir les ajouter au dernier moment à un moyen de transport.

In a bid to give its staid image a jolt of cool, the software giant snaps up a red-hot business-networking platform for $1.2 billion in cash

However, when you stand back from all the announcements made by Google today and increase the periphery, you start to notice that this is a company that is fighting a lot of battles on many fronts. In some places it is winning, but most places it is trench warfare.

The UK Royal Society is a fellowship of the world's most brilliant scientists. Founded in 1660, its members have included Sir Isaac Newton, Charles Darwin and Albert Einstein. Distinguished thinkers Richard Dawkins, Stephen Hawking and Tim Berners-Lee are current members of the society. It is arguably the most prestigious scientific community in the world. And so it is of note how strident it is about the importance of open data for the advancement of science.

The tons of virtual ink that are being used to discuss e-participation, e-democracy, social organizations, enterprise or government 2.0, social media and collaboration seem to assume that everybody is moved by an unstoppable desire to collaborate with others. Vendors, consultants, social media gurus, politicians, communication professionals and amateurs all depict a compelling future where the wisdom of the crowd - be it a project team, a division, a corporation, a cross-section of experts in something, or the population of an entire country - will necessarily replace traditional decision making processes in response to the urge of people of different age, gender, culture, to feel part of something bigger than them. There is an assumption of selflessness as experts donate their time to communities, developers create free applications for everybody to use, communities  replace individuals, and community-building is rewarded more than individual achievements.

e 20 et 21 juin 2012 ont eu lieu les premières rencontres franco-québécoises du e-tourisme à Montréal. L'événement était organisé par la Chaire de tourisme Transat de l'ESG UQAM et son Réseau de veille en  tourisme, en collaboration avec Tourisme Montréal et le ministère du Tourisme du Québec

City governments, faced with decreased resources after the Great Recession and rising citizen demand for services with increased urbanization, must be able to make better decisions that are informed by data. To put it another way, in 2012, mayors need to start playing Moneyball in government with evidence-based analysis.

The growing popularity of connected TVs and efforts to build interactive programs will drive the next wave of broadband demand. That future and the continued growth of devices in the home are all reasons that Verizon has launched a 300 Mbps broadband tier and will continue pushing the speeds on its fiber-to-the-home network.

Google unveiled its own Nexus tablet, the Nexus 7, at the Google I/O conference Wednesday in San Francisco. The 7-inch tablet running Android 4.1 Jelly Bean will have a 1.3GHz quad-core Tegra 3 processor as well as a 1280x800 IPS display with a 178-degree viewing angle.

Google is talking about a new world of search at the I/O developer conference. The biggest change is called Google Now. It's a new generation of semantic-style search. Google Now figures out where you commute to work and how. It gives you a faster route if there is a lot of traffic. When you're at a public transit stop, Google Now tells you when the next one arrives This is a developing story. Refresh for updates.

Il est indéniable que les apports du web 2.0 dans l'apprentissage ne se limitent pas à un simple aspect disciplinaire mais touchent des compétences relatives à l'éducation aux médias telles que l'identité numérique, le travail collaboratif, la déontologie du web, etc. Les enseignants mettent en place des activités supportées par les outils du web social et sont appelés à évaluer les productions des étudiants. Ils sont alors confrontés à une nouvelle donne car les processus par lesquels on arrive à la production, à savoir la recherche d'information, la communication, le mode de travail individuel, collectif ou collaboratif, l'impact de l'effort individuel dans la dynamique de groupe sont autant d'éléments de compétence et de maîtrise que les étudiants doivent acquérir.

Depuis plusieurs années les risques d'Internet, les faits divers en lien avec le réseau ont alimenté le registre des critiques du numérique. En tenant ces propos, leurs auteurs avaient une bonne intention et souhaitaient ainsi protéger la population et parfois freiner la diffusion de ces techniques. L'observation montre que si elle a réussi à freiner quelque chose c'est d'abord la possibilité de développer une véritable éducation au monde numérique, et cette responsabilité est plus lourde de conséquences qu'on ne le pense. Au lieu de cela on a vu se développer des conférences pour prévenir les dangers, des initiatives pour imaginer une vie comme avant, sans numérique… et d'autres initiatives luttant contre ce que le B2i avait au le mérite de pointer : la présence du numérique dans le quotidien implique que chacun prenne sa part à l'éducation et que chaque discipline contribue à cette démarche. Refusant de spécialiser dans une discipline le numérique, le B2i avait certes le défaut de mettre de coté les sciences du numérique. Mais à la différence d'autres apprentissages scolaires, le numérique est un fait social avant d'être un fait scolaire… Or en faire un objet uniquement scolaire aurait eu l'effet de rejet voulu par les détracteurs de ces technologies. Cela aurait eu comme effet de marginaliser les pratiques sociales au profit des pratiques « savantes » et ainsi scolarisées peu courantes dans la vie quotidienne des jeunes.

En effet, un essai a été mené dans quatorze établissements scolaires de niveau "gymnasium" danois en 2011, soit dans 10% des établissements de ce niveau qui correspond au lycée français et au secondaire québécois. Cette expérience consistait à permettre l'utilisation d'internet pendant les examens écrits finaux menant à l'obtention du diplôme de fin d'études. Parmi les matières pour lesquelles on autorisa l'utilisation de l'Internet : sociologie, danois, mathématiques, administration et économie. Le test semble avoir été concluant puisqu'en février 2012, le ministère de l'enfance et de l'éducation a annoncé son intention d'ouvrir cette possibilité (article en danois), celle de pouvoir utiliser l'accès à Internet lors d'examens finaux, à d'autres matières dont l'anglais. Il est permis aux élèves d'utiliser internet pour chercher de l'information et se faire une opinion sur une question. La communication avec d'autres personnes demeure toutefois interdite - impossible donc de se tourner vers un parent ou un camarade pour obtenir une réponse ou une suggestion pour trouver une réponse.