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Pour connecter les objets entre eux, SigFox propose un système basé sur un réseau à bas débit. Celui permet notamment de couvrir une surface large et d'être moins gourmand en énergie. Les objets connectés sont là, encore faut-il trouver les moyens de les connecter simplement, et à bas prix. L'un des moyens est peut être de mettre en place un réseau cellulaire dédié. C'est la voie suivie par SigFox, qui a lancé la semaine dernière un réseau à bas débit, qui permet de connecter des objets entre eux grâce à des bornes disposées sur le territoire national. SigFox fonctionne avec des petits modems qui doivent être connectés aux appareils. Modems qui ne mesurent pas plus de quelques millimètres carrés. Et qui s'occupent de recevoir et d'émettre de très petits signaux, des mWatts, soit des millimètres de Watts. De fait, cela en fait "une solution qui consomme peu d'énergie puisqu'il s'agit de signaux faibles, et qui résistent au passage du temps ; on pourrait oublier un modem sur un compteur électrique pendant vingt ans", note Ludovic Le Moan, PDG de la startup. Pour Philippe Gautier, directeur général associé de Business2any, un tel réseau répond à un véritable besoin. 

Le modèle de l'École en réseau constitue une solution pédagogique et organisationnelle pour l'école primaire de moins de 100 élèves au Québec.  Dès 2002, l'École en réseau a été mise en place en réponse à la problématique de maintien des petites écoles et à la réussite des élèves qui les fréquentent. Pour l'année 2012-2013, l'équipe de l'École en réseau poursuit son travail de soutien et d'animation auprès des écoles participantes.  Pa exemple, par le biais des outils du modèle EER (knowledge forum pour l'écrit, visioconférence pour l'oral), nous poursuivons le développement du projet des régions du Québec en offrant la possibilité à chaque communauté de présenter le patrimoine culturel de son milieu. De plus, nous sommes toujours engagés à soutenir les projets à l'international.

La Ville de Québec a officiellement inauguré jeudi un réseau de fibre optique qui relie sept grandes villes du Québec. Deux autres villes devraient s'ajouter sous peu.

La Ville de Québec a officiellement inauguré jeudi un réseau de fibre optique qui relie sept grandes villes du Québec. Deux autres villes devraient s'ajouter sous peu. Ce réseau permet déjà de partager des applications dans la gestion des ressources humaines comme la paie et la cour municipale. Pour les citoyens, le réseau permet aux villes de partager des données publiques qui permettent à des passionnés du Web de développer des applications qu'ils pourront utiliser.

Pour répondre à des questions récurrentes, et suite à la lecture de l'excellent livre de Tim Wu, The Master Switch, je me permets de brosser un petit portrait historique de l'installation du monopole, ou oligopole pour être plus exact, des compagnies de télécommunications sur l'internet au Québec. Je propose également une solution au problème du monopole par l'entremise de la nationalisation du réseau de télécommunication physique et la création d'une société d'état: Réseau-Québec.

Bien que le froid, l'eau, l'électricité et la fibre optique y soient présents, il manque des éléments cruciaux à l'implantation de centres de données en Jamésie. Survol. Barrage Daniel-Johnson Dans quelques années, des villages près de la Baie James pourraient bénéficier d'un réseau à large bande dont la dorsale serait une fibre optique contenue dans le câble de garde d'un réseau qui transporte l'électricité vers le sud du territoire (voir http://bit.ly/a4qvL3)

le Regroupement des intervenants francophones en santé et services sociaux de l'Ontario (RIFSSSO) développe et soutient le leadership professionnel de ses membres. Il vient de lancer, le lundi 17 octobre, « esante-ontario », un réseau virtuel de collaboration. Ce nouveau réseau très moderne devrait permettre d'apporter une réponse, ou au moins, une partie de réponse aux problèmes des intervenants francophones en matière de santé. L'un des principaux défis pour ses acteurs, qui souhaitent souvent participer à des formations ou des ateliers, est la distance qui les sépare de ces activités. Une distance, coûteuse en temps, et en argent. Jusqu'ici, de nombreux intervenants se passaient de ces formations.

Le réseau québécois de télésanté (RQT) est un regroupement de passionnés de télésanté qui a pour mission la promotion et l'utilisation optimale de la télésanté à des fins cliniques, éducatives et de recherche aux fins d'amélioration de la santé des populations. Il se veut un carrefour d'échange et de partage de connaissance pour l'ensemble des acteurs de la télésanté au Québec : patients, professionnels de la santé, gestionnaires, enseignants, experts et chercheurs et évaluateurs dans divers domaines, comme : les télésoins, la télépsychiatrie, la téléréadaptation, la formation et l'E-learning, les évidences pour la prise de décision, le plan d'affaires, la technologie et les équipements, la gestion de changement, la recherche et l'évaluation.

L'Association des Gestionnaires Informatique du Réseau de la Santé au Québec regroupe les intervenants impliqués dans les technologies de l'information, des systèmes d'information et des ressources informationnelles en support aux activités cliniques, médico-administratives et administratives.

Le Réseau des Territoires innovants est une association indépendante qui a pour objectif de favoriser la diffusion des usages des nouvelles technologies dans les collectivités locales.   L'Assemblée des Communautés de France et l'Association des Communautés Urbaines de France, en sont les fondateurs et invitent les autres associations territoriales à se joindre à elles afin de développer un programme d'innovation et de diffusion des usages des nouvelles technologies sur le territoire français.  

Tous accros à Facebook, dès le CM2. Pour être "cool", il faut avoir son propre compte. Publier les photos de sa vie entière, à moins de se retrouver exclu, savoir s'affranchir des règles et des contrôles avec un je-m'en-foutisme retentissant, comme des milliers de jeunes Italiens chaque jour, clandestins ravis d'un réseau social interdit en théorie aux moins de 13 ans mais qui laisse à chacun la possibilité d'insérer l'âge de son choix en proclamant : "Rien à foutre". Ce n'est pas un monde virtuel mais une photocopie du monde réel, où triomphent le contournement des règles, l'indifférence envers la moindre forme de prévention des risques encourrus, la loi du plus fort, la violence verbale et psychologique. J'ai pu le découvrir au cours d'un voyage à travers le monde des moins de 13 ans grâce à un compte aussi faux que celui des autres, en jouant à la collégienne de onze ans.

e 20 et 21 juin 2012 ont eu lieu les premières rencontres franco-québécoises du e-tourisme à Montréal. L'événement était organisé par la Chaire de tourisme Transat de l'ESG UQAM et son Réseau de veille en  tourisme, en collaboration avec Tourisme Montréal et le ministère du Tourisme du Québec

"Présenté comme le réseau des professionnels du digital, avec notamment une section « Community Manager » (même si j'ai plutôt un rôle de « Social Media Manager » à Invest in Wallonia), c'est le seul qui ait vraiment attiré mon œil dans une liste de 50 nouveaux réseaux sociaux pros « à connaître ». Il faut dire qu'outre le domaine professionnel segmenté,  graphiquement, il se distingue: sobre et « so cute » à la fois. Et puis leur vidéo de présentation est très sympa et me parle personnellement, à l'image des fameux « Si toi aussi tu es né dans les années '80  » !"

Plusieurs commentateurs avance qu'il y a un certain épuisement dans les réseaux sociaux. Facebook, étant le premier réseau social, joue un rôle dans cet épuisement. Plus de 28% des américains ont une vision négative de Facebook. L'achat récent de Instagram par Facebook, donne de l'eau au moulin de ceux qui critique la position de plus en plus hégémonique de Zuckerberg. Le coût payé pour Instagram, la ttaille de Facebook, le niveau de confiance des gens dans l'entreprise et le "cool factor" font que Facebook perds de plus en plus d'adeptes. Plusieurs milliers utilisateurs actuels d'Instagram ont même retiré leurs photos du site afin que celles-ci ne tombent pas sous le joug de Facebook.

extrait: Québec International soutient la mise en œuvre de projets structurants pour le développement des créneaux d'excellence de l'économie régionale. L'agence s'appuie sur la démarche ACCORD (Action concertée de coopération régionale de développement) initiée par le gouvernement du Québec. Québec International est le coordonnateur désigné de cette démarche pour la région de la Capitale-Nationale. Le Consortium Télésanté et Mobilité clinique est issu de cette démarche de concertation. À l'instar du dynamisme de l'industrie des technologies médicales, il regroupe des entreprises de la région métropolitaine de Québec offrant des produits et solutions novatrices permettant la réduction de coûts et l'amélioration de l'accessibilité aux soins. Un projet de démonstration technologique d'efficience clinique est actuellement en cours dans le réseau de la santé du Québec.

Après Internet digital (celui que tout le monde connaît), voici Internet physique, un concept sur lequel travaille Benoît Montreuil, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en ingénierie d'entreprises à l'Université Laval. «Partout dans le monde, tout ce qu'on appelle logistique, transport, approvisionnement est insoutenable d'un point de vue éco-socio-environnemental», affirme le chercheur qui prend souvent pour exemple les camions et les conteneurs qu'on remplit majoritairement d'air et d'emballages et qui parcourent le monde. À l'échelle des villes, cette aberration se mesure, entre autres, avec le flux de matières qui entrent et qui sortent. Ça va de la canne de tomates aux chaussures, en passant par les médicaments. «C'est un cauchemar dans toutes les grandes villes du monde», renchérit M. Montreuil. «Avec l'Internet physique, on va virer ça de bord», lance-t-il. Internet digital ne transporte pas de l'info brute, mais plutôt des infos encodées et structurées. Le système utilise un vaste réseau uniformisé qui permet à un courriel de partir de Québec pour aller à Shanghai en un rien de temps, efficacement et sans altération. «On veut faire la même chose avec les objets physiques», explique Benoît Montreuil. (Extrait)

Inforoute Santé du Canada (Inforoute) a chargé Praxia Information Intelligence et Gartner Consulting de faire une étude, à l'échelle pancanadienne, visant à connaître l'utilisation de la technologie en télésanté et les avantages obtenus jusqu'à présent. Comme le rapport Avantages et adoption de la télésanté : Lier les patients et les prestateurs dans l'ensemble du Canada, la télésanté a apporté un certain nombre d'avantages en matière d'accès, de qualité et de productivité aux cliniciens, aux patients et au réseau de santé.

Le secteur de la santé, tant au Québec que dans le reste du Canada est en continuelle évolution et on y remarque d'importantes transformations, tant au niveau de sa structure, que dans la façon dont les soins sont dispensés. De nombreuses innovations médicales, telle la miniaturisation des techniques chirurgicales, introduisent de nouvelles formes de traitement favorisant l'ambulatoire à l'hospitalisation. Ainsi, ce que nous appelons communément le virage ambulatoire entraîne une réforme et une modernisation majeures de nos modèles traditionnels d'organisation des soins de santé. Les épisodes de soins peuvent désormais être écourtés et tronqués en sous-épisodes offerts à des moments différents et en plusieurs points de services comprenant l'urgence, la clinique externe, la clinique médicale et le CLSC. Les patients reviennent à plusieurs occasions et passent alors sous la responsabilité d'équipes de soins différentes provenant de diverses organisations retenues pour leur structure d'interventions et de coûts financiers mieux adaptée à la gravité et la nature des cas traités. Cette délocalisation de l'offre de soins est poussée à l'extrême lorsque les patients reçoivent leurs soins à leur propre domicile. Dans certaines circonstances, le patient est responsabilisé et doit lui-même se prodiguer ses propres soins et communiquer à intervalles réguliers son état de santé à un ou plusieurs professionnels du réseau.

Les TIC sont souvent traitées comme de simples équipements pour les dirigeants d'entreprises, alors que leur utilisation change la manière même de travailler, et devraient donc s'intégrer dans les pratiques de gestion : sans aller jusqu'à parler du télétravail, le simple fait d'avoir mis les ordinateurs en réseau change les pratiques collaboratives ; la relation entre les technologies et les conditions de travail présente ici un enjeu organisationnel, mais aussi économique, car le gain d'efficacité apporté par le système d'information d'une entreprise dépend avant tout des usages qui en sont faits.

Macommunaute.ca est un projet de L'Avenue inc., une entreprise d'économie sociale, vouée depuis plus de quinze ans à la démocratisation des technologies de l'information auprès des groupes communautaires et des populations défavorisées de Montréal. L'Avenue exploite également un réseau de 63 centres d'accès communautaires à Internet dans la région montréalaise, conçoit des sites internet, offre de la formation et du soutien technique auprès des OBNL.

(Québec) Des milliers d'entrepreneurs au Canada et au Québec pourront plus facilement intégrer les plateformes technologiques dans leur entreprise grâce à la création d'un nouveau programme de financement mis en place par le Réseau des SADC et CAE et la Banque de développement du Canada (BDC).