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Le Centre spécialisé de technologie physique du Québec (CSTPQ) est un organisme à but non lucratif reconnu comme centre collégial de transfert de technologie depuis 1983. Grâce à son équipe multidisciplinaire et à son infrastructure de recherche constamment actualisée, il complète efficacement les expertises de ses partenaires industriels, travaillant avec ceux-ci à l'amélioration de leur compétitivité. Les domaines d'intervention du CSTPQ comprennent la conception de produits mécaniques, électriques, électroniques et électromécaniques la conception de procédés et d'équipements de production le développement de solutions logicielles les essais avec acquisition de données les procédés industriels laser utilisant des lasers de haute puissance (soudage laser, rechargement laser, etc.). Une importance toute particulière est donnée à l'application de ces expertises dans trois axes précis, soient : la mise au point d'équipements pour le domaine de la santé  l'efficacité énergétique appliquée aux produits, aux procédés et aux bâtiments les procédés industriels utilisant des lasers de haute puissance. Disposant de laboratoires dotés des plus récentes technologies, le CSTPQ investit continuellement dans les connaissances et dans les compétences de son équipe, ce qui lui permet de rester à l'avant-garde des besoins industriels.

"La majorité des consommateurs n'ont pas la moindre idée, lorsqu'ils entrent à l'épicerie, qu'ils viennent de mettre les pieds dans un immense centre de données. Les caisses enregistreuses, les réfrigérateurs, le système électrique, la gestion des stocks, même la musique et les messages radiodiffusés sont en lien avec une base de données. Si le lien est rompu, les opérations devront cesser le temps des réparations."

ParaView est une application multi-plateforme pour la visualisation des données en 2 et 3 dimensions, distribuée sous forme de logiciel libre (BSD-2). ParaView est conçu pour pouvoir être exécuté aussi bien sur des machines mono-processeur que sur des plateformes parallèles de grande taille, et a été testé avec succès sous Linux, Windows, Mac OS X, IBM Blue Gene, Cray XT3 et divers autres systèmes UNIX, en série et en parallèle. Sur une machine parallèle, ParaView peut traiter efficacement de très grands ensembles de données : à ce jour, ParaView a été utilisé par Sandia National Laboratories pour visualiser des maillages structurés contenant jusqu'à 6 milliards d'éléments, et des maillages non structurés en contenant un quart de milliard.

Bien que le froid, l'eau, l'électricité et la fibre optique y soient présents, il manque des éléments cruciaux à l'implantation de centres de données en Jamésie. Survol. Barrage Daniel-Johnson Dans quelques années, des villages près de la Baie James pourraient bénéficier d'un réseau à large bande dont la dorsale serait une fibre optique contenue dans le câble de garde d'un réseau qui transporte l'électricité vers le sud du territoire (voir http://bit.ly/a4qvL3)

Les lecteurs de Triplex ne seront pas surpris d'apprendre qu'un serveur Internet est glouton en énergie. On en avait glissé un mot ici, sur Triplex, à propos de ces centres de données qui consomment de l'énergie pas très propre. Mais on ne connaissait pas vraiment l'étendue et la gravité du problème. Une série d'articles de fond, comme seul en a le secret le New York Times, soulève une partie de voile et montre l'ampleur des dégâts.

"Nous vous faisions part, la semaine dernière, des bons conseils d'Ethan Zuckerman pour utiliser intelligemment le financement participatif pour mener à bien des projets citoyens… Le chercheur, directeur du Centre des médias civiques du MIT, a récemment complété son propos à l'occasion d'une conférence donnée à l'université Flinders à Adélaïde en Australie qu'il a retranscrite sur son blog (vidéo). Pour lui, l'expérience de financement participatif de Jase Wilson qu'il évoquait (le développeur Jase Wilson a lancé une collecte de dons sur l'internet pour financer une ligne de tramway à Kansas City, un projet que la ville venait d'abandonner faute de financement) est un exemple de la façon dont les "natifs" d'internet utilisent l'internet pour exercer leur citoyenneté, et s'engager via de nouvelles formes d'outils dans la vie civique."

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"Lors de son discours consacré aux perspectives économiques du 29 novembre 2011 (Autumn Statement), le Chancelier de l'Echiquier, George Osborne, a annoncé la création d'un Open Data Institute (ODI) dédié à la recherche et à l'innovation sur les données ouvertes. Le gouvernement participera au financement du projet à hauteur de 10 M£ sur cinq ans, à côté d'autres investisseurs venant de l'industrie et des universités."

"Most data centers, by design, consume vast amounts of energy in an incongruously wasteful manner, interviews and documents show. Online companies typically run their facilities at maximum capacity around the clock, whatever the demand. As a result, data centers can waste 90 percent or more of the electricity they pull off the grid, The Times found."

"The paper highlights the massive amounts of energy data centers consume. But is that all it got right?"

"Data Centers have come under attack as terminally wasteful and "dirty" enterprises that offer little in the way of jobs. Joe Weinman, senior VP at Telx, disputes that, and says in fact they indirectly employee countless thousands across many industries."

Everyone knows Amazon's cloud is huge. But many want to know exactly how huge it is. The latest to try is Deepfield Networks, a stealthy startup that worked with unnamed "network provider research" partners to figure out how much Internet traffic flows into and out of Amazon's cloud. It found that 1/3 of all Internet users hit Amazon-based services at least once a day and that 1 percent of all web consumer traffic is moving either into or out of Amazon's cloud.

Facebook has turned on its new data center in western North Carolina, the second computing facility the company has designed and built solely for its own use.