Skip to main content

Home/ Groups/ Tic&Travail
Aurialie Jublin

Les auteurs de BD se cachent pour mourir - Le nouvel Observateur - 0 views

  • La transformation de l’auteur de bande dessinée en couteau suisse vivant, capable d’assurer le dessin, le scénario, la couleur et à présent sa propre promotion, n’a pas plu à certains auteurs expérimentés ayant connu un petit âge d’or. Une époque où le statut des auteurs était d’autant mieux défini qu’ils bénéficiaient de la carte de presse en tant que participant aux journaux de BD.
  •  
    "Bruno Maïorana et Philippe Bonifay ne sont pas des débutants dans la BD. Pourtant, les contrats précaires et les fins de mois difficiles ont eu raison de leur passion. C'est officiel : ils arrêtent."
Chamila Puylaurent

Les nouveaux modes de travail à l'ère du digital - 5 views

  •  
    "Orange Business Services et le cabinet de conseil Sia Partners publient une étude qui explore comment la « vague digitale » transforme les modes de travail des salariés et offre de nouvelles opportunités à l'entreprise dans sa relation avec ses clients et partenaires. Ce document repose notamment sur une étude menée en partenariat avec Sia Partners et Harris Interactive auprès de plus de 1 800 dirigeants d'entreprises dont des DSI et directeurs métier dans 5 pays européens. "
Chamila Puylaurent

Pourquoi le travail collaboratif nous intéresse t-il tant? - 1 views

  •  
    "A l'heure où les entreprises du CAC40 se dotent une à une d'un réseau social d'entreprise, où les pratiques collaboratives se développent dans les entreprises et où des questions pertinentes se posent quant à la nécessité de se doter d'outils de travail collaboratif, il nous apparait intéressant de nous arrêter un moment sur ce qu'on entend par travail collaboratif."
Aurialie Jublin

Quand les algorithmes remplaceront les cadres... - L'Express avec L'Expansion - 2 views

  • Exemple, ces armées de juristes employés outre-Atlantique par les cabinets d'avocats pour la recherche documentaire, indispensable là-bas aux procédures judiciaires. "Bientôt, une seule personne fera le travail de 500", affirmait sans sourciller au New York Times un spécialiste du secteur. En France, c'est l'automatisation de la gestion des contrats et des brevets dans des bases de données qui offre des gains d'efficacité et de productivité aux directions juridiques des grands groupes.  
  • Même chose pour les services de lutte contre la fraude, au fisc, aux allocations familiales ou dans les assurances : "Avec le data mining (exploration de données, NDLR), le taux de fraudes détecté par enquêteur est multiplié par dix", assure Mouloud Dey, directeur solutions et marchés émergents à SAS France, un des leaders de la gestion de données.  Plus étonnant, le big data renforce même l'efficacité de la police, grâce à des technologies de "police prédictive" : "En analysant une masse d'événements passés, on peut repérer les zones et les heures à risques et organiser les patrouilles en fonction", ajoute Mouloud Dey. Aux Etats-Unis, ces techniques ont amélioré les performances des services de police malgré les réductions d'effectifs.  
  • Des gains de productivité, on en retrouve aussi à une échelle inédite dans la programmation informatique (les algorithmes détectent et réparent mieux les bugs), la pharmacie (les ordinateurs modélisent et testent plus vite les molécules) ou la traduction. Cette révolution est due à Google. Depuis 2007, la firme de Mountain View a emmagasiné des millions de textes déjà traduits, qui permettent aujourd'hui à "Google Translate" d'en traduire d'autres automatiquement.
  • ...2 more annotations...
  • Même les médecins ne sont plus à l'abri du big data ! IBM a ouvert le bal en 2012 : son superordinateur Watson a été installé au Memorial Sloan-Kettering Cancer Center de New York, où les cancérologues lui apprennent à soigner les tumeurs du poumon. Il a ingéré des millions d'articles scientifiques et de cas de patients. En comparant les symptômes des nouveaux malades à ces informations, il peut proposer aux médecins des pistes de traitement.
  • "Je n'ai encore jamais vu un ordinateur innovant, créatif, bon négociateur ou bon leader, ou encore capable de rassurer une personne en détresse", répond Andrew McAfee. Et pourtant... La créativité n'échappe pas à la curiosité des spécialistes de l'intelligence artificielle : "Nous travaillons avec des designers et des compositeurs, pour voir comment mettre leurs méthodes de travail en équation et les améliorer", explique Marcin Detyniecki, chercheur CNRS à Paris VI.
  •  
    "DRH, médecins, avocats, assureurs, enseignants, analystes financiers... Même les cols blancs sont menacés. La révolution du "big data" s'étend déjà à tous les métiers et à tous les secteurs. "
Aurialie Jublin

Un congé bénévolat bientôt sur les rails - L'Express - 1 views

  •  
    Le gouvernement planche sur un dispositif proche du congé de solidarité internationale, mais applicable en France: les salariés pourront s'absenter jusqu'à six mois pour des missions de bénévolat, avec l'accord de leur employeur.
Aurialie Jublin

Google Glass, Oculus Rift… Au delà du gadget, comment la technologie transfor... - 1 views

  •  
    "Lunettes, imprimantes, réalité augmentée... L'appropriation de ces technologies par le grand public semble n'être qu'une question de temps. Les entreprises sont elles aussi concernées. Jusqu'à quel point ?"
Aurialie Jublin

9 Future Jobs That Will Power Africa | Co.Exist - 0 views

  •  
    "Ever heard of an "Invisible Executive" or a "Nutrient Banker"? Those are just a few of the positions that are being created in Africa today that will drive economic development in the coming decades."
abrugiere

Du collaboratif au contributif : vers le 3ème web - Kaizen magazine - 3 views

  •  
    La contribution, c'est ce qui procède de la déprolétarisation, à savoir, ce qui a été mis en œuvre à travers la création du logiciel libre. Dans celui-ci, les créateurs développent un travail industriel qui ne repose pas sur une division du travail et une perte de savoir de la part de ceux qui travaillent, facteurs qui constituent le véritable processus de la prolétarisation. L'économie contributive est tout autre : elle repose sur le développement et le partage du savoir. Selon l'IRI, l'économie des data et de leur partage est contributive si les utilisateurs construisent, traitent et partagent les données personnelles de manière réflexive, délibérée, critique, élaborée. Les utilisateurs doivent être associés à la conception même de tout ce qui consiste à tirer un parti de ces données. Ce doit être en l'occurrence ce que le philosophe Gilbert Simondon appelait un processus d'individuation collective. La question des big data ou calcul intensif nécessitera une intelligence collective très fortement renouvelée.
Aurialie Jublin

Un robot au travail : le premier robot patron vient d'être nommé au conseil d... - 2 views

  •  
    Si jamais vous en doutiez, voici une preuve que les robots nous remplaceront un jour au bureau. Le 13 mai, la société hongkongaise Deep knowledge ventures, ou DKV, a nommé un algorithme à son conseil d'administration. Le logiciel siégera donc aux côtés d'êtres en costume, qui respirent et sûrement diplômés d'universités prestigieuses. Spécialisée dans les investissements en capital risque, DKV s'implique dans des sociétés privées et publiques des secteurs de la lutte contre le cancer, de la médecine régénérative et des traitements personnalisés. La mission de l'algorithme, nommé Vital, sera donc d'analyser les résultats prévisionnels, les premiers tests de médicaments, la disponibilité des brevets et les levées de fonds précédentes des sociétés dans lesquelles DKV envisage d'investir.
Aurialie Jublin

50 Creative Resume Designs of Year 2014 | TheNeoDesign.com - 1 views

  •  
    50 CV créatifs
Aurialie Jublin

Economie du partage : les limites d'une utopie // Les Echos - 5 views

  • Le discours promettant de se libérer de l'engagement lié au salariat en travaillant comme cuisinier pendant deux ou trois heures, puis comme chauffeur, apparaît comme une utopie. » Au départ mis en avant comme le moyen d'obtenir un revenu de complément utile en temps de crise, l'échange (rémunéré) de services entre particuliers pose particulièrement problème quand il devient le seul moyen de subsistance. « Dès qu'un individu cherche à en faire son activité principale, il risque de tomber dans la précarité »
  • Au lieu d'un monde où chacun se retrouve sur un pied d'égalité, à la fois producteur et consommateur, la montée en puissance des plates-formes peut aboutir au résultat inverse. S'ils ne sont certes plus sous les ordres d'un employeur, comme dans le modèle classique, les travailleurs risquent de se retrouver dépendants des plates-formes, de leurs règles et de leurs systèmes de notation - la notation par les clients et le référencement venant remplacer la hiérarchie. Dans ce scénario, les travailleurs risquent de devenir paradoxalement plus isolés : « Enlever les intermédiaires, c'est aussi enlever des institutions collectives », estime Damien Demailly, pour qui « le discours qui se construit autour de l'économie du partage peut être aussi bien libertaire qu'ultralibéral ».
  •  
    "Précarisation du travail Les premières attaques sont venues d'acteurs directement menacés : chauffeurs de taxi contre UberPop à Paris ou Bruxelles, ou hôteliers contre Airbnb à New York. Au-delà de ces conflits très médiatisés, des questions commencent à émerger sur la condition des travailleurs du partage. Le lancement début avril à New York d'UberRush, un service de coursiers à pied ou à vélo, a été vu par l'influente revue américaine « The Atlantic » comme « le triomphe de l'économie de la récession »  : un monde où le partage vient toucher même des activités jugées précaires et mal payées. Dans le dernier numéro du mensuel « Fast Company », la journaliste Sarah Kessler raconte un mois passé à tenter de survivre uniquement avec des petits boulots trouvés sur TaskRabbit, une plate-forme d'enchères présentée comme l'« eBay du travail » : « Au lieu de la révolution du travail promise, je n'ai trouvé que des tâches pénibles, un faible salaire et un système défavorable pour les salariés. »"
Aurialie Jublin

L'obsolescence programmée des employés - Migros Magazine - 1 views

  • En fait, on demande à l’employé d’être adaptable, polyvalent, multitâche, connecté, infatigable, imperméable au stress et hyper-productif… Bref, d’être un vrai superman! Oui, c’est le nouveau super-héros, sauf qu’on ne le caractérise pas comme tel et c’est bien là le problème. Exiger de lui toutes ces qualités est devenu une normalité implicite qui n’est même pas intégrée dans les instruments d’évaluation. Il est toujours question de productivité, de rentabilité, de rendement, d’objectifs remplis, jamais de l’importance de la reconnaissance de l’engagement, de la qualité du travail, etc. Et en plus d’être corvéable à merci, ce superman est jetable aussi! Effectivement, on est aussi dans l’ère de la précarité. On parle d’obsolescence programmée pour les objets et on peut légitimement se demander – même si c’est un brin caricatural – si les travailleurs ne sont pas, eux aussi, victimes d’obsolescence programmée...
  •  
    Interview de Sophie Le Garrec, sociologue
abrugiere

Travail partagé - Service Canada - 1 views

  •  
    Le Travail partagé est un programme d'adaptation destiné à aider les employeurs et les employés à éviter les mises à pied à la suite d'une diminution temporaire du niveau d'activité normale de l'entreprise qui est indépendante de la volonté de l'employeur. Cette mesure permet de fournir un soutien de revenu aux employés admissibles aux prestations d'assurance-emploi qui réduisent temporairement leur semaine de travail pendant la période de redressement de l'entreprise.
Aurialie Jublin

Les RH vont-elles se passer des humains? - Techno, Les plus de la rédaction -... - 2 views

  •  
    "Du recrutement à l'évaluation, le digital bouleverse les métiers des ressources humaines. Vous passerez peut-être votre prochain entretien d'embauche avec un algorithme."
dkaplan

Les RH en 2018 : de quelles compétences aura besoin l'entreprise agile ? - 2 views

  • D’un point de vue organisationnel et managérial, les entreprises et les ressources humaines sont elles-aussi en mutation : pour faire face au flux, la souplesse devient la norme pour s’adapter rapidement à un environnement et des besoins mouvants. Quitte, de plus en plus, à basculer vers un modèle d’organisation hyper-flexible, qui nourrit sa culture du rebond et de l’adaptation, ouvre ses murs, se concentre sur son coeur de métier et externalise : trois quarts des décideurs RH s’attendent ainsi à “outsourcer” plus de tâches d’ici à 2018.
  • Pour certains, le “freelance est l’avenir de l’homme”. Demain, le travail se morcellera et pourrait être réalisé de n’importe où, n’importe quand. Et les compétences traditionnellement identifiées chez le freelance seront requises pour les salariés !
  • Au-delà de la recherche de résilience chez le candidat, c’est l’ensemble du marché du travail qui est amené à se transformer, avec par exemple des seniors qui préféreront de plus en plus le temps partiel à la retraite (selon 92% des responsables RH sondés), un développement des compétences apte à se construire dans des carrières multiples et parfois simultanées (79%) et plus de la moitié des actifs en emploi entrepreneurs, travailleurs indépendants ou en travail temporaire (60%).
  •  
    "L'heure du travail flexible ? 91% des directeurs de ressources humaines britanniques interrogés estiment que les employés de demain seront recrutés avant tout sur leur capacité à s'adapter au changement."
  •  
    "Dans une étude de Right Management (UK), leader mondial des solutions d'optimisation du capital humain en management des Talents et des Carrières, intitulée « The Flux report », les acteurs des ressources humaines britanniques identifient les changements liés au climat d'incertitudes et de volatilité de ces dix dernières années."
Aurialie Jublin

LinkedIn s'associe à Evernote pour faire entrer les cartes de visite papier d... - 0 views

  •  
    LinkedIn et Evernote annoncent la signature d'un partenariat stratégique. Les abonnés du réseau social pourront accéder aux services d'Evernote (notamment la numérisation de cartes de visite) et inversement. A l'ère d'Internet et des réseaux sociaux, on pourrait penser que les cartes de visite papier sont en voie de disparition. Et pourtant. Elles constituent toujours l'un des traits d'union le plus répandus entre professionnels, notamment lors d'événements de "networking". LinkedIn, leader des réseaux sociaux professionnels, veut faire entrer les cartes professionnelles dans l'ère numérique. Il avait acheté la start-up Card Munch, spécialiste du "scan" de cartes de visites, en 2011, Mais c'est sur un autre partenaire, Evernote (un bloc note digital, bien plus populaire), qu'il s'appuie pour étendre cette fonctionnalité. Le service Card Munch sera d'ailleurs fermé en juillet prochain.
abrugiere

Rachel Botsman : « La confiance sera la nouvelle monnaie du XXIe siècle » - 2 views

    • abrugiere
       
      Les journaux définissent parfois la consommation collaborative comme le fait de préférer l'usage à la propriété. Ce n'est pas pour moi le fait central. Ce qui relie AirBnb, Kickstarter, mais aussi les Moocs ou les fablabs, c'est le passage d'institutions centralisées à des communautés distribuées et connectées.
  •  
    Les journaux définissent parfois la consommation collaborative comme le fait de préférer l'usage à la propriété. Ce n'est pas pour moi le fait central. Ce qui relie AirBnb, Kickstarter, mais aussi les Moocs ou les fablabs, c'est le passage d'institutions centralisées à des communautés distribuées et connectées.
« First ‹ Previous 821 - 840 of 1766 Next › Last »
Showing 20 items per page