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Aurialie Jublin

Capteurs en entreprise: une meilleure collaboration ou une meilleure surveillance? | L'Atelier: Disruptive innovation - 1 views

  • Déjà présents en magasin afin de contextualiser l’expérience client indoor et redonner de la valeur à l’espace physique, les Beacons, ces mini-capteurs bluetooth basse consommation, veulent s’installer en entreprise et bâtir les prémisses de la "smart company". Apple, l’un des groupes ayant testé le premier cette technologie a ainsi décidé d’équiper les entreprises de ses ibeacons. Non pas pour surveiller de près les aller-venues des employés mais plutôt pour améliorer la collaboration en entreprise.
  • Dans le cas d’une réunion, toutes les personnes y assistant recevront une notification sur leur smartphone avec les informations de l’intervenant qu’il aura souhaité partagé avec eux. Les employés peuvent cependant contrôler ce qu’ils partagent en fonction des salles de réunion dans laquelle ils se trouvent. De plus, Robin permet aussi de partager du contenu: un document sur un compte Dropbox peut être synchronisé sur tous les appareils présents dans la salle à l’entrée même de la personne possédant le compte, facilitant ainsi le travail d’équipe.
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    "Une startup basée à Boston développe une application destinée à suivre les actions des employés grâce à des capteurs sans fils placés dans les espaces de travail."
Chamila Puylaurent

La flexibilité du travail menace-t-elle la culture d'entreprise ? | L'Atelier : Accelerating Innovation - 0 views

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    "Télétravailleurs, freelancers, travailleurs nomades… Le marché du travail semble aujourd'hui gagner en flexibilité. Comment la culture d'entreprise, étroitement liée au succès de l'organisation, peut-elle être préservée quand la plupart des employés sont des travailleurs temporaires et mobiles ?"
Aurialie Jublin

Le projet Matrioshka : des tiers lieux mobiles pour améliorer la ville | L'Atelier : Accelerating Business - 2 views

  • Son premier prototype sera présenté à Paris pour la conférence climat, la COP21 en décembre prochain. Le projet Matrioshka vise à construire des tiers lieux mobiles pour la ville notamment. Cela ressemble à une colonne Morris nouvelle génération, de six mètres de haut, et sans les publicités pour les spectacles. À la place, un routeur Wi-Fi et des panneaux solaires fournissent énergie et accès internet aux utilisateurs. Une énergie qui pourra alimenter quatre ordinateurs et six téléphones assurent les créateurs. Des places de bureau sont également prévues pour accueillir les salariés en réunion par exemple. La différence avec le Strawberry Tree dont L’Atelier avait déjà parlé ? La mobilité. Le Matrioshka serait en effet un dispositif pliable ou démontable, déplaçable au gré des besoins. Un peu à l'image du bus de la start-up Leap qui transformer de son côté le trajet quotidien en tiers lieu
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    "Son premier prototype sera présenté à Paris pour la conférence climat, la COP21 en décembre prochain. Le projet Matrioshka vise à construire des tiers lieux mobiles pour la ville notamment. Cela ressemble à une colonne Morris nouvelle génération, de six mètres de haut, et sans les publicités pour les spectacles. À la place, un routeur Wi-Fi et des panneaux solaires fournissent énergie et accès internet aux utilisateurs. Une énergie qui pourra alimenter quatre ordinateurs et six téléphones assurent les créateurs. Des places de bureau sont également prévues pour accueillir les salariés en réunion par exemple. La différence avec le Strawberry Tree dont L'Atelier avait déjà parlé ? La mobilité. Le Matrioshka serait en effet un dispositif pliable ou démontable, déplaçable au gré des besoins. Un peu à l'image du bus de la start-up Leap qui transformer de son côté le trajet quotidien en tiers lieu"
Chamila Puylaurent

Génération Y: un rapport au travail façonné par la technologie | L'Atelier : Accelerating Innovation - 0 views

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    "Les millennials arrivent en masse sur le marché du travail. Décryptage des motivations de cette génération façonnée par les outils digitaux et son rapport au monde du travail."
julien camacho

Mutinerie s'intéresse aux coopératives ouvrières. - 2 views

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    Voici la suite, et la fin de ma série sur les lieux de travail qui ont changé l'histoire. Ces derniers mois ont été particulièrement chargés à Mutinerie et, à ma grande frustration, je n'ai pas pu trouver le temps de continuer à écrire. Faisons donc un petit bilan. Nous nous étions penchés sur des lieux, des époques et des initiatives complètement différentes, en commençant par les monastères à l'époque médiévale, les Kibboutz puis les ateliers d'artistes au XIXème siècle. Cette fois-ci encore, on change d'ambiance pour étudier les coopératives ouvrières et leurs influences sur les façons de travailler depuis l'époque où elles sont nées jusqu'à nos jours.
Aurialie Jublin

WorkersControl.net : quand les ouvriers prennent le contrôle de leurs entreprises - Basta ! - 0 views

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    "Reprise d'entreprises en coopératives, usines autogérées, ateliers occupés par un conseil ouvrier : de l'Argentine à la France, en passant par l'Egypte, ces expérimentations menées par les travailleurs eux-mêmes incarnent-elles « une alternative dans l'organisation des sociétés » ? C'est ce dont sont convaincus les fondateurs du site workerscontrol.net, une bibliothèque de ressources sur le « contrôle ouvrier ». « En assumant le contrôle autonome de leur travail et en refusant le pouvoir de la propriété privée, les travailleurs remettent en question la structure capitaliste des relations de production. »"
Aurialie Jublin

Upstart propose d'investir sur une personne, pas dans une entreprise | L'Atelier - 0 views

  • L'équipe d'Upstart calcule selon un algorithme mathématique basé sur les diplômes, les résultats obtenus et met en relation ces talents avec des investisseurs potentiels au profil similaire ou susceptibles d'être intéressés. De ce calcul apparaît quel montant est nécessaire à la personne pour rendre son initiative viable, et à partir de quel montant minimum elle pourra ensuite partager ses revenus avec ceux et celles qui la soutiennent.
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    "A la manière des autres plate-forme de crowdfunding finançant les startup, Upstart offre la possibilité cette fois d'investir sur la possible réussite d'un individu."
julien camacho

Communication externe ou réseau : les chefs d'entreprises encouragés à tweeter | L'Atelier: Disruptive innovation - 1 views

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    Faut-il s'inscrire sur Twitter quand on est patron d'une entreprise ? Et quels sont les enjeux et les bénéfices derrière ? Autant de questions que les chefs d'entreprises français commencent à se poser.
Aurialie Jublin

Un lieu de travail "augmenté" optimise en temps réel les interactions entre employés | L'Atelier: Disruptive innovation - 2 views

  • La “réalité sociale augmentée” est le fruit de nombreuses années de recherche. “Contrairement à la réalité augmentée, qui ajoute des couches d’information à une vidéo ou à votre champ de vision pour vous fournir plus d’informations, la réalité sociale augmentée désigne les systèmes qui changent en temps réel pour satisfaire des besoins d’un groupe”
  • pour dynamiser les interactions sociales entre les employés, inutile d’organiser des réunions. A mesure que se développent des capteurs de plus en plus sophistiqués, les possibilités se démultiplient quant à l’étude des données comportementales sur les employés...  Le “prochain challenge”, selon Ben Waber, est “d’utiliser ces données afin d’influencer ou d’améliorer la façon dont les personnes travaillent entre elles”.
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    "La "réalité sociale augmentée" postule qu'en collectant les données comportementales des employés, il est possible de modifier la configuration de l'espace de travail pour optimiser les relations entre employés."
Aurialie Jublin

COPE ou BYOD: l'entreprise a plusieurs choix pour gérer la mobilité des employés | L'Atelier: Disruptive innovation - 0 views

  • Un nouveau choix s'est donc offert aux employés d'utiliser leurs gadgets informatiques sur leur lieu de travail, connu comme « corporate owned, personally enabled », ou COPE. Contrairement au BYOD, dans lequel les employés apportent leurs propres appareils qu'ils utilisent à des fins professionnelles, COPE est acheté par l'entreprise mais géré par les employés. COPE permet aux entreprises d'attribuer des fonctions et des permissions sur une base ad hoc, permettant ainsi un meilleur contrôle de l'utilisation de l'appareil. Outre une sécurité renforcée, COPE permet également aux entreprises et aux employés de réaliser des économies. Les employés sont souvent indemnisés pour ces appareils à usage réduit et les entreprises obtiennent de meilleurs prix grâce à des achats groupés.
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    Les faiblesses du BYOD ont donné naissance à un autre modèle d'appareils achetés par l'entreprise mais activés par les employés (COPE). Dans un cas comme dans l'autre la sécurité et les logiciels de productivité peuvent également apporter une réponse à ces préoccupations.
Aurialie Jublin

Recrutement : ces métiers qui montent, qui montent… Atelier de l'emploi - 0 views

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    Quels métiers recrutent de plus en plus... et recruteront de plus en plus ? Aux États-Unis, où le taux de chômage a retrouvé son niveau de fin 2008 et où 2 millions d'emplois ont été créés en 2013, les statistiques du Bureau of Labor Statistics sont formelles : les métiers de demain se situent dans les services d'aide à la personne, les métiers du social et de la santé.
Aurialie Jublin

Ces « entreprises partagées » où s'invente une nouvelle forme de travail - Basta ! - 2 views

  • « Les CAE ne devraient pourtant pas créer des salariés très pauvres », convient Henri Cachau. Certes, en milieu rural en particulier, il n’est pas rare que les entrepreneurs aient plusieurs activités, y compris à l’extérieur de la CAE. Mais c’est surtout en jouant sur le collectif que les CAE répondent à la précarité de leurs salariés. A travers le partage d’expérience et du savoir-faire de chacun – ateliers de démarchages, de référencement internet ou de marketing sont régulièrement organisés dans toutes les CAE – mais aussi la constitution de groupes de travail autour de projets communs.
  • Comme Fatima Lamyne, beaucoup de cadres en recherche d’autonomie s’adressent chaque année à une CAE. « C’est un profil plutôt courant : des personnes de 40 à 50 ans qui veulent redonner du sens à leur travail et se lancent comme consultants », confirme Anne-Laure Desgris, co-directrice de l’antenne bretonne d’Oxalis, une CAE de 180 entrepreneurs. La plupart des nouveaux entrants dans une CAE – 70% disent les statistiques [1] – pointent à Pôle emploi, après avoir connu une rupture dans leur parcours professionnel. Pour les autres, surtout ces dernières années, il s’agit en partie de jeunes diplômés très compétents qui choisissent l’indépendance parce qu’ils ne peuvent exercer leur métier en tant que salarié.
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    "Nombreux sont ceux qui rêvent de lancer leur propre activité économique et de redonner du sens à leur travail. Beaucoup moins sont prêts à devenir entrepreneurs. En France, 5 000 salariés ont choisi la solution de la Coopérative d'activité et d'emploi (CAE), une « entreprise partagée » où se côtoient télé-secrétaires, menuisiers, designers, et même boulangers. Elle appartient à ses entrepreneurs-salariés, et mutualise services administratifs ou formations. Une alternative à l'auto-entrepreneuriat et ses possibles dérives ? Reportage au sein de ces structures peu connues, laboratoires d'un nouveau rapport au travail, que la future loi du gouvernement sur l'Économie sociale et solidaire prévoit de développer."
Aurialie Jublin

LinkedIn ouvre son programme "influenceurs" à tous ses membres | L'Atelier - 2 views

  • En ouvrant son programme de partage de contenu à tout le monde, la plateforme espère que ses membres produiront un flux régulier de contenu partageable pour les professionnels d’entreprise, de la même façon que Facebook avec son fil d’actualité composé en grande partie de photos à destination de son réseau d’amis. LinkedIn va utiliser un algorithme pour identifier les articles qui auront le vent en poupe par les lecteurs pour ensuite les mettre en avant et les distribuer de façon plus large. En outre, LinkedIn permet aujourd’hui à ses utilisateurs de suivre des personnes qui ne sont pas dans leur réseau et de construire leur propre groupe de suiveurs, à la manière de Twitter. Chacun pourra alors devenir un influenceur sur LinkedIn sans avoir la notoriété de Bill Gates. LinkedIn insère aussi des annonces dans le fil d’actualité des utilisateurs, afin d’avoir des revenus publicitaires.
  • L’objectif de cette modification, est de rendre l’interface sociale, un lieu où chaque membre peut devenir productif et réussir sa carrière professionnelle, pas seulement dans le cadre de la recherche d’emploi ou de personne.
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    "LinkedIn a ouvert son programme « influenceurs » à tous ses utilisateurs, leur permettant ainsi de publier du contenu, de suivre des personnes et de gagner des « followers », à la manière de Twitter."
julien camacho

Le "plombier du digital" ou les petites mains du numérique | L'Atelier: Disruptive innovation - 0 views

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    Les entreprises ne se digitalisent plus seulement pour offrir des services à distance mais également pour répondre à une mutation profonde des attentes des usagers. La question est de savoir comment les marques peuvent reconstruire une proximité avec leurs clients grâce aux nouvelles technologies.
Aurialie Jublin

L'invasion des «métiers à la con», une fatalité économique? | Slate - 0 views

  • David Graeber est bien conscient que personne n’a la légitimité pour décider quels boulots sont utiles et quels boulots sont «foireux». Il ne s’agit même pas d’une distinction entre travail productif et improductif, mais plutôt entre travail socialement utile et travail vidé de sens. D’ailleurs, comme il l’observe, un métier est d’autant moins payé qu’il est utile à la société.
  • Mais la division du travail est en général perçue par les anarchistes comme dénaturant l’individu en le cantonnant à une vie dans laquelle la technique a fait de lui un esclave, bien loin de le libérer. L’opposition entre tâches de conception et tâches d’exécution, la nostalgie vis-à-vis d’un monde où le travailleur n’était pas dépossédé du fruit de son travail ou la critique de la «techno-bureaucratie» sont en effet des thèmes forts de la pensée anarchiste, en lien avec son refus de la hiérarchie sociale
  • Graeber pense que l'explication de ce paradoxe des bullshit jobs n’est pas économique: elle est politique. C’est parce que «la classe dirigeante a réalisé qu’une population heureuse et productive avec du temps libre était un danger mortel» que le travail inutile continue à prospérer.
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  • «Contrairement à une vision un peu critique de gauche qui dit que c’est de la faute du grand capital, en fait, il y a sans doute cette logique, mais nous sommes tous bureaucrates. Parce qu’au nom de la sécurité, du principe de précaution, de la facilité de la vie, on promeut cette extension de l’usage de la norme.»
  • Graeber est dans une mentalité qui rappelle celle de la génération Fight Club ou le choix de l’universitaire Matthew Crawford de quitter sa position de professeur pour… ouvrir un atelier de réparation mécanique. Mais le succès retentissant de son petit article, stimulant bien qu’un peu mal fichu, témoigne que derrière leurs écrans, les gens sont nombreux à prendre conscience des sacrifices qu'ils s'infligent en acceptant de telles routines professionnelles.
  • Mais le paradoxe ultime, c’est sans doute que seule une économie pleine de ces emplois jugés inutiles peut produire des textes comme celui de Graeber, des économistes pour le commenter, des journalistes pour le relayer et, plus encore… des gens pour le lire au bureau entre deux échanges d’emails avec le comité de pilotage.
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    "Alors que la technologie devait nous libérer du travail, l'économie contemporaine crée toujours plus de «métiers à la con» que ceux qui les exercent savent parfaitement inutiles, déplore l'anthropologue David Graeber. Ou pourquoi la semaine de 20 heures est encore loin."
julien camacho

Une vision de la formation tout au long de la vie en Europe pour 2030 - Le blog de la formation professionnelle et continue - 3 views

  • L’environnement de travailSi nous projetons  l’environnement de travail en 2030 sur les bases de ce  que l’on connait aujourd’hui, il est vraisemblable que :la société numérique dans laquelle nous évoluerons rendra le marché du travail très flexible, segmenté et  particulièrement changeant. Il sera organisé selon le «skill on demand», où les entreprises solliciterons les compétences dont elles auront besoin au moment où elles en auront besoin. Nous travaillerons pour plusieurs employeurs, parfois en même temps, souvent à distance.La performance des employés sera mesurée et quantifiée en continu au travers de systèmes de mesures numériques, les «analystics». La démonstration des compétences et des aptitudes sera préférée aux diplômes.Le savoir sera disponible et gratuit. L’information sera partout. Les ressources  de formation seront nombreuses.Les barrières existantes s’estomperont : les limites du public/privé, professionnel/ personnel, bureau/domicile, réel/virtuel, formel/informel, seront confuses.Dans ce contexte, chacun d’entre nous devra  dédier au moins 20% de son temps à renouveler ses compétences pour rester employable et s’efforcer de coller à celles  requises par l’évolution du marché du travail.
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    "Pour rester employable, nous devrons tous, à l'avenir, développer une culture de l'auto-formation basée sur les compétences et les aptitudes valorisées par le marché du travail. Comment apprendrons-nous en 2030 ? Comment le digital impactera nos pratiques individuelles de formation? Quelle sera la place des ressources pédagogiques libres et autres MOOC dans notre formation tout au long de la vie? C'est à ces questions que le groupe de recherche, The Institute for Prospective Technological Studies (IPTS), rattaché au centre de recherche la commission européenne (JRC), s'est penché lors d'un atelier à Séville les 29 et 30 avril 2013, durant lequel une vingtaine d'experts ont planché sur les scénarii possibles."
julien camacho

La culture influence le degré d'utilisation des outils de recrutement en ligne | L'Atelier: Disruptive innovation - 1 views

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    Pour les employeurs et les recruteurs, de nombreux marchés pour l'instant attractifs vont connaître des difficultés dans les années à venir, obligeant le secteur du recrutement à se concentrer sur de nouveaux modèles et non pas seulement à trouver des moyens de maintenir les anciens flux de revenus. C'est ce que dévoile un rapport mené par Evenbase qui compare les marchés de recrutement à travers le monde et dresse une liste des pays les plus concernés pour montrer la façon dont le paysage de recrutement numérique va évoluer.
Aurialie Jublin

« L'économie collaborative amène à repenser notre représentation du travail » | L'Atelier : Accelerating Business - 0 views

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    "L'économie collaborative a-t-elle besoin de cadre juridique ? Quelques éléments de réponse avec Nicolas Colin, associé fondateur de The Family et Arthur Millerand, avocat à la Cour."
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