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hubert guillaud

Briser le piège d'Apple - NYTimes.com - 1 views

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    A l'époque ou Apple a lancé ses nouveaux iPhone, Catherine Rampell a constaté que son vieux iPhone devenait beaucoup plus lent. Faut-il rappeler que les batteries des anciens modèles ont des cycles de recharges limités... Alors, que faire ? Acheter une nouvelle batterie ou un nouveau téléphone ? Ce n'est pas la première fois que des spécialistes notent que les pannes des anciens modèles coïncident avec la mise sur le marché de nouveaux modèles... Apple pratique-t-il l'obsolescence programmée ? Une entreprise a beaucoup d'intérêts à dégrader la durabilité de ses produits quand il a beaucoup de pouvoir sur ce marché ou quand les consommateurs n'ont pas de bons produits de substitution pour les remplacer. Le coût de "commutation", c'est-à-dire le coût à changer de marque devient difficile avec les smartphones, à mesure qu'on investit dans les applications. A défaut de rendre ses nouveaux modèles irrésistibles, dégrader les anciens est une bonne façon de forcer les gens à se mettre à jour...
hubert guillaud

Le matériel freemium arrive (et vous ne pourrez pas l'arrêter) - Hack Things - 0 views

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    Tout le monde connaît les smartphones et téléphones vendus pour rien si vous les prenez couplés avec un abonnement... Et bien préparez-vous à ce que ce phénomène, le matériel freemium, débarque pour bien d'autres produits électroniques ! C'est par exemple le cas du Kindle d'Amazon, mais aussi du disque dur de sauvegarde Space Monkey : http://www.spacemonkey.com... Le problème de ce nouveau type de matériel, c'est sa fiabilité. HackThings rapporte le cas de bouilloire chinoises dotée de puces pour trouver des réseaux Wi-fi non protégés pour servir de routeur à Spam... Le risque du nouveau Far West !
Aurialie Jublin

Les enfants gâtés de la Silicon Valley - 2 views

  • "Le mot 'talents' est devenu extrêmement populaire. Mais si une entreprise offre ces avantages à tout le monde, alors il s'agit simplement d'un synonyme pour employés", estime David Lewin, professeur en ressources humaines à l'université de Californie à Los Angeles, soulignant que certains postes pourraient être facilement pourvus sans.
  • Le coût annuel de ces politiques peut se chiffrer à plusieurs dizaines de milliers de dollars par employé. Mais les entreprises assurent être gagnantes. Chez Google, on explique que les repas gratuits permettent de favoriser les rencontres et les échanges entre les équipes, d'où naissent parfois des idées inattendues. Avec trois repas offerts par jour, les salariés sont incités à rester plus longtemps sur leur lieu de travail. Et les navettes gratuites équipées de Wi-Fi qui relient San Francisco aux différents campus de la Silicon Valley, c'est potentiellement deux heures de travail en plus par jour !
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    "Etre payé pour partir en vacances ? Chez Evernote, c'est possible. La start-up californienne, connue pour son service de prise de notes en ligne, offre 1 000 euros à chacun de ses salariés réalisant au moins un voyage d'une semaine par an. Et ce n'est pas tout : la jeune société pratique également les congés illimités. "Nous voulons encourager nos salariés à prendre les vacances qu'ils méritent, sans limitation." "Snacks à volonté, massages, yoga, fitness, coiffeur, blanchisserie, ménage à domicile, journée consacrée à un projet personnel, subventions pour acheter une voiture électrique, prime pour la naissance d'un enfant, tablettes, smartphones et autres gadgets informatiques... La liste des perks - certains gratuits, d'autres à prix réduits - est longue."
Aurialie Jublin

How Technology Can Help Work/Life Balance - WSJ - WSJ - 0 views

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    Smartphones have made it more difficult than ever for people to separate their jobs from the rest of their lives. It doesn't have to be that way.
Chamila Puylaurent

Les technologies qui vont transformer le travail en 2020 - 1 views

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    "Smartphone, objets connectés, cloud computing... Autant de nouvelles technologies qui modifient le mode de travail et le fonctionnement des entreprises. Une transformation qui devrait s'accentuer d'ici 2020."
Aurialie Jublin

Entreprise et travail en mobilité : demain, le nuage dans nos mallettes ? - 1 views

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    "Bring your own device ! L'acronyme fait office d'injonction : utilisez votre smartphone au bureau, l'entreprise saura l'encadrer. Mais le BYOD fait souvent pschitt, indiquent plusieurs études. Place au cloud ?"
abrugiere

"Smart mobility" : des groupes de travail pour des projets concrets - 0 views

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    Pour Jérôme Coutant, responsable du numérique à la Société du Grand Paris, chargée de la construction du Grand Paris Express, le nouveau réseau de métro automatisé avec ses 205 kilomètres de lignes de métro et 72 nouvelles gares, les gares de demain (à horizon 2020-2030) auront pour vocation d'être des "tiers lieux" connectés pour favoriser le travail nomade et l'usage des loisirs sur smartphone, en répondant aux quatre révolutions numériques en cours : la révolution mobile, la révolution optique, la révolution data et la révolution sociétale. Un appel à manifestation d'intérêt a été lancé auprès des acteurs de l'innovation pour réflechir aux services de demain
Aurialie Jublin

BYOD : quelle intimité pour le travailleur connecté ? - CNIL - Commission nat... - 0 views

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    "Le constat est partagé par tous depuis quelque temps déjà : le numérique favorise le brouillage des frontières entre sphère privée et sphère professionnelle. Le travailleur connecté amène son travail à la maison mais il peut aussi amener sa famille et ses amis au travail (via les réseaux sociaux notamment). Ce phénomène s'illustre également dans les pratiques de BYOD (Bring Your Own Device), qui consistent à utiliser les appareils personnels (smartphones, tablettes, etc.) dans un cadre professionnel, afin de gagner en flexibilité et en confort. Le 7ème numéro de la Lettre IP de la CNIL intitulé, Intimité et vie privée du travailleur connecté : BYOD, capteurs, sécurité des données dans l'entreprise numérique, analyse les mutations en cours. Face à ce nouveau phénomène, les organisations s'adaptent et cherchent un équilibre entre sécurité et protection de la vie privée des salariés. Comment ces pratiques amènent à repenser la sécurité ? Comment gérer les besoins de salariés mobiles aux usages numériques intensifs ? Quelle est l'étendue et la légitimité du contrôle que l'organisation peut exercer sur ses employés pour des raisons de confidentialité ou de performance ? A ces questions très actuelles s'ajoutent des interrogations plus prospectives. En effet, " l'intimité professionnelle " du travailleur connecté sera analysée au travers de capteurs et d'indicateurs de performance, dans un objectif d'optimisation des ressources de l'organisation et de la productivité. Cela pourrait conduire à des formes bien réelles de surveillance permanente des salariés, de leurs performances, de leurs actions, mais aussi de leur bien-être ou de leur humeur. Il s'agit donc de construire un cadre éthique et juridique à la hauteur de ces enjeux."
Chamila Puylaurent

Le bureau virtuel, espace de travail de demain ? - 0 views

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    "Le cloud computing a redéfini notre façon de travailler. Nous avons maintenant la possibilité de récupérer les données et travaux où que l'on soit, via une tablette, un smartphone… Quel est l'impact du cloud computing et des serveurs virtualisés sur les conditions de travail ? Quels sont les avantages du bureau virtuel ?"
Chamila Puylaurent

Droit à la déconnexion : inventer un nouveau modèle de gouvernance - 1 views

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    "Après la CFDT et la CFE-CGC, la CGT Cadres a exigé la reconnaissance comme temps de travail effectif du travail réalisé par les cadres hors de leur temps et lieu de travail grâce aux technologies de l'information, le désormais fameux « blurring ». La réintégration de ce volume d'heures ferait alors exploser le temps de travail des cadres car la majeure partie d'entre eux utilise son smartphone, sa tablette et/ou son ordinateur portable tant à la maison que dans les transports en commun."
Aurialie Jublin

Le Uber de la restauration débarque à Toulouse. L'indépendance, c'est l'escla... - 0 views

  • Non, Take Eat Easy ne recourt pas à des auto-entrepreneurs.ses pour contourner le droit du travail. Quelle mauvaise langue faut-il être... S’il ne salarie pas ses coursierEs, c’est simplement parce que « 70% [d’entre elleux] sont étudiants ou ont déjà un job à côté » ! Moi qui pensais que l’on pouvait avoir un contrat de travail tout en suivant des études... Mais si la start-up ne fait appel qu’à des prestataires, c’est surtout, surtout par amour de la liberté. « Les coursiers travaillent quand ils veulent, ils apprécient cette flexibilité » C’est beau, la flexibilité... Ça sonne quand-même mieux que « précarité », qui peut prétendre le contraire ? « Et en plus, ils sont payés pour faire leur passion !  » (sic).
  • Il n’est pas obligé d’observer un jour de repos par semaine, de s’ennuyer en congés payés, de cotiser à des mutuelles obligatoires… Bref, il est in-dé-pen-dant. Il s’est renseigné, il peut même crever librement ! Le journal La Tribune a posé la question au CEO. « Qu’avez-vous prévu si [l’unE de vos coursierEs] se retourne contre vous en cas d’accident ? – Nous avons étudié cette question avec nos conseillers juridiques. Normalement, les coursiers ne pourraient pas se retourner contre nous, l’assurance est à leur charge et nous vérifions qu’ils en ont une. »
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    Une autre vision des livreurs de plats, notamment sur la question l'auto-entrepreneur, un salarié déguisé : "Rien de plus simple (pour prouver le fameux lien de subordination). La jurisprudence a reconnu quelques éléments permettant de déceler les abus :   - Mise à disposition du matériel (Take Eat Easy fournit à Jordan un smartphone, une tenue estampillée du logo de l'entreprise, un sac de livraison et éventuellement un porte bagage) ;   - Instructions spécifiques pour l'exercice d'une activité (Jordan est obligé de livrer en vélo, alors qu'unE clientE ne peut exiger qu'un résultat, et non une méthode pour y parvenir) ;   - Travail au sein d'un service organisé (Jordan s'intègre à une organisation du travail entièrement pensée hors de lui) ;   - Existence d'un système de sanction (les strikes) ;   - Comptes-rendus périodiques (le tracking GPS) ;   - Le fait de n'avoir qu'un seul client ;   - Le fait pour le prestataire de n'avoir ni carte de visite ni adresse email professionnelle ;   - …"
Aurialie Jublin

Vous apportez votre tablette perso au bureau ? La fin du salariat | Rue89 Eco - 0 views

  • Le mot d’ordre du PDG de cette société, Mark Templeton est clair : « N’importe quoi, n’importe où, n’importe quand. » Il s’agit de traiter le salarié comme un consommateur des données et de prendre en compte le fait qu’avec son ordinateur personnel et, de plus en plus, son smartphone ou sa tablette numérique, il va pouvoir accéder aux données de son entreprise en même temps qu’à ses propres fichiers personnels et, bien sûr, au Web.
  • cette fusion outil professionnel/appareil personnel prolonge le mouvement d’autonomisation des salariés. L’équation personnelle – compétences, réseau de relations et capacité à les utiliser dans le travail – compte toujours plus.
  • Les experts de Fing n’occultent pas les dangers de précarisation et d’exclusion pour ceux qui ne sauront pas s’adapter. Leur diagnostic retient cependant l’attention. Chaque individu devient responsable de son « employabilité » :
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  • 2010-2020 sera sans doute la période charnière pour le passage d’une société hiérarchique à un système de relations ouvert qui va dynamiter les organisations des entreprises et donner davantage de pouvoirs aux individus, pour le meilleur et pour le pire.
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    "Face aux aspirations à l'autonomie des salariés, les employeurs ont, jusqu'à présent, réussi à sauvegarder l'essentiel : la maîtrise de l'organisation du travail. Mais les nouvelles technologies de l'information sont en train de miner cet ordre social, en permettant la reprise en main de leur environnement de travail et de leur propre organisation par les salariés. Une sorte de re-privatisation du travail signant le délitement du salariat."
Aurialie Jublin

Travailler chez soi le soir : forcément un stress ? | Rue89 Eco - 0 views

  • « Le matin, on met son armure, on entre dans la peau de la personne professionnelle, en écoutant les nouvelles à la radio, en s’habillant, en se maquillant éventuellement, en se remettant à penser au travail, etc. La lecture des mails sur le smartphone peut avoir cette fonction-là aussi. Elle peut jouer ce rôle de mise en situation, de transition. »
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    Quand on a un bureau et un employeur, travailler chez soi, le soir tard, voir le week-end, témoigne d'une surcharge de travail, d'une mauvaise organisation ou d'un certain masochisme. Forcément ? Les outils numériques rendent poreux la frontière qui sépare notre vie professionnelle de notre vie personnelle : et si c'était, parfois, pour le meilleur ? C'est sur ce terrain que nous avons voulu emmener les auditeurs et les lecteurs pour le troisème épisode du partenariat entre l'émission de France Culture Place de la toile et Rue89, diffusée samedi.
Aurialie Jublin

Les Français ambivalents sur le numérique en entreprise - 0 views

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    Une conception alternative de la fracture numérique semble se faire jour dans les entreprises françaises, à l'initiative et non à l'insu des salariés, qui tendent à se montrer frileux, voire démesurément prudents vis-à- vis des technologies mises entre leurs mains, notamment les terminaux mobiles.
abrugiere

Au revoir, Dilbert: l'émergence de l'économie nue - 2 views

    • abrugiere
       
      Nouveau rapport à l'espace de travail La principale mission de NextSpace est de fournir à ses membres une infrastructure souple qui leur permet de travailler individuellement et en équipe, mais aussi encourage « les heureux hasards » qui mettent en contact des personnes aux compétences différentes mais complémentaires. L'un des succès de NextSpace a ainsi été le développement d'une nouvelle application pour Smartphone appelée Fuel4Humans, née du travail commun d'un nutritionniste, d'un informaticien et d'un graphiste.
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    Cet article a été publié en janvier 2014 par Knowledge@Wharton, sous le titre "Goodbye, Dilbert: 'The Rise of the Naked Economy'". Dans les pays développés, près de 30% des actifs sont aujourd'hui indépendants ou employés à temps partiel. Ces changements s'accompagnent de préoccupations légitimes quant à la sécurité de l'emploi et aux avantages sociaux qui lui sont liés. Mais dans leur dernier ouvrage, The Rise of the Naked Economy: How to Benefit from the Changing Workplace, Ryan Coonerty et Jeremy Neuner montrent que la nouvelle réalité présente aussi des avantages incontestables. Bien compris et maîtrisés, les changements à l'œuvre pourraient donner des existences plus productives, plus heureuses, plus pérennes.
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    Article sur le dernier ouvrage de Ryan Coonerty et Jeremy Neuner The Rise of the Naked Economy: How to Benefit from the Changing Workplace En 2010, le Bureau of Labor Statistics américain annonçait qu'un individu passait en moyenne quatre ans et demi à un poste En outre, les salariés ne sont plus aussi nombreux que par le passé à n'avoir à faire qu'à un seul employeur à temps plein. Près de 30% des actifs sont aujourd'hui indépendants ou employés à temps partiel, et les plus grandes entreprises du pays estiment que 30% de leur budget de recrutement est destiné à du personnel à temps partiel. En question : la sécurité de l'emploi et les avantages sociaux qui lui sont liés, comme l'assurance maladie « Sous nos yeux, le petit fermier indépendant cher à Jefferson se réaffirme, mais il n'est plus un agriculteur. Les champs à labourer, en vertu des nouveaux contrats sociaux, sont virtuels, globaux et démocratiques. » Les auteurs insistent sur le fait qu'il ne faut pas déplorer outre mesure la disparition de l'ancien contrat qui, s'il avait des mérites, n'était pas non plus exempt de défauts. La manière de faire jusqu'ici s'est accomplie sans tenir compte des coûts environnementaux ou l'épuisement des ressources naturelles. Le consumérisme et l'influence excessive des entreprises ont parfois nui à la culture et la politique. Le monde des entreprises américaines a toujours sous-évalué le travail des femmes.
Aurialie Jublin

Comment Google surveillera ses salariés pendant 100 ans pour optimiser sa pol... - 1 views

  • L’entreprise américaine communique en effet de manière récurrente sur son approche scientifique des RH, comme le rappelait récemment son VP People Operations, Laszlo Bock, qui a contribué à réintroduire une dose de “certitude scientifique dans la manière dont on construit de bons environnements de travail, dont on maintient une culture de la très haute performance auprès de ses équipes, dont on maximise la productivité ou on améliore le bien-être”.
  • Depuis déjà plusieurs années, Google a quant à lui développé la data analysis  et une logique de R&D sur tous les pans ou presque de sa politique RH, afin d’“apporter le même degré de rigueur dans les décisions humaines que dans l’ingénierie“ – avec deux limites clairement posées, confidentialité et transparence : mise en oeuvre de KPI pour développer le leadership (Projet Oxygène) ; utilisation de méthodes de recherche et développement pour optimiser productivité, bien-être au travail… ou santé, en arrivant par exemple à la conclusion que la réduction de la taille des assiettes, à la cantine, réduirait l’apport calorique moyen (le “People & Innovation Lab”, modèle d’innovation RH “data-drivée” en voie de se répandre) ; développement d’un algorithme mathématique et de modèles prédictifs pour anticiper les envies de départ des collaborateurs, augmenter la diversité dans sa politique de promotion ou calculer la probabilité d’un recrutement réussi (“Project Janus”) ; etc.
  • La première session de gDNA, qui, espère le DRH, sera reproduite tous les ans pendant un siècle, a permis de distinguer deux catégories de “Googlers” : les “segmenteurs” (31% des salariés) dressent une barrière psychologique entre le stress du travail et le reste de leur vie : ils semblent peu affectés par la porosité – accrue par la technologie – entre les deux mondes et font de la déconnexion un élément important de bien-être  ; les “intégrateurs” (69% des salariés) vivent quant à eux un plus grand continuum entre vie professionnelle et vie personnelle, qu’il s’agisse d’actualiser frénétiquement son application boîte mail sur son smartphone avant d’aller se coucher ou de réserver ses prochaines vacances entre deux réunions. Avec le bien-être à la clé ? gDNA nuance : la moitié de ces intégrateurs souhaiteraient davantage “segmenter”.
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  • “Les datas de gDNA nous permettent de moduler nos pratiques RH en anticipant les besoins des salariés“, explique Laszlo Bock : et si le DRH précise que c’est sur le long terme que la “People Science” pourra dessiner de grandes tendances et appréhender le futur du travail, elle permet dès aujourd’hui d’adapter sa politique aux besoins réels. En l’occurrence : le design d’environnements de travail facilitant la déconnexion, une initiative – aux effets, positifs, quantifiés – obligeant les salariés à éteindre leurs devices (ou apps) professionnels en passant par l’accueil avant de rentrer chez eux, mais aussi, au quotidien, un management adapté auprès des segmenteurs, les encourageant notamment à ignorer les e-mails en dehors des heures de travail.
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    "Google collecte les données des utilisateurs... mais aussi celles de ses salariés. L'une des clés du succès de la firme américaine, qui a dépassé début février Exxon au rang de deuxième capitalisation boursière du monde, serait précisément l'approche scientifique de sa gestion RH. Cas d'école, avec une étude centenaire pour anticiper le futur du travail et mettre le bien-être en datas."
Aurialie Jublin

Wearable Tech and Smartphones Could Save Lives of Lone Workers - 0 views

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    Incorporating existing and new technologies into the standard lone worker system is required for success, according to the team. Integrating existing door scan data signifying location or using Bluetooth beacons to track users where cellular or Wi-Fi connections are not available are just a couple solutions the team is evaluating. But more critically is the incorporation of biometrics via smart health devices like earbuds or watches that can then detect abnormal changes to heart rate in conjunction to rapid accelerometer changes, which could indicate a dramatic fall or accident.
Aurialie Jublin

Capteurs en entreprise: une meilleure collaboration ou une meilleure surveillance? | L'... - 1 views

  • Déjà présents en magasin afin de contextualiser l’expérience client indoor et redonner de la valeur à l’espace physique, les Beacons, ces mini-capteurs bluetooth basse consommation, veulent s’installer en entreprise et bâtir les prémisses de la "smart company". Apple, l’un des groupes ayant testé le premier cette technologie a ainsi décidé d’équiper les entreprises de ses ibeacons. Non pas pour surveiller de près les aller-venues des employés mais plutôt pour améliorer la collaboration en entreprise.
  • Dans le cas d’une réunion, toutes les personnes y assistant recevront une notification sur leur smartphone avec les informations de l’intervenant qu’il aura souhaité partagé avec eux. Les employés peuvent cependant contrôler ce qu’ils partagent en fonction des salles de réunion dans laquelle ils se trouvent. De plus, Robin permet aussi de partager du contenu: un document sur un compte Dropbox peut être synchronisé sur tous les appareils présents dans la salle à l’entrée même de la personne possédant le compte, facilitant ainsi le travail d’équipe.
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    "Une startup basée à Boston développe une application destinée à suivre les actions des employés grâce à des capteurs sans fils placés dans les espaces de travail."
Aurialie Jublin

Le transport public se transforme en espace de travail - Influencia - 0 views

  • Dans chacun de ses cinq bus de luxe, la start-up vous permet de valider votre transport avec un QR code, pas la peine de trimbaler un billet ou une carte. Une fois à l’intérieur du bus ultra moderne boisé et hipstérisé, vous êtes carrément assis dans un café à l’atmosphère collaborative, avec le wifi gratuit et un bus manager qui tient son smartphone comme un menu, prêt à vous amener le jus de votre choix au premier clic de commande. L’autre valeur ajoutée de Leap, c’est un GPS qui permet de suivre le trajet en temps réel et une application donnant accès aux profils sociaux des autres passagers.
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    "Pour répondre au défi du transit de masse dans les cités urbaines connectées de demain, le bus se réinvente. Et à San Francisco, cela passe forcément par les start-up, comme Leap lancée la semaine dernière."
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