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Aurialie Jublin

How Reddit created the world's largest dialogue between scientists and the general publ... - 1 views

  • Reading through the dozens of science AMAs that have been conducted on Reddit, it seems evident that r/science is fulfilling a need that may have been previously unforeseen by the scientific community of researchers who spend years toiling in obscurity, testing and retesting their hypotheses so that one day their hard work may see the light of day in the form of a journal article. In a world where scholarly journals are often frustratingly difficult to access by the general public, there remains a demand in the market for a way to remove the friction between scientists and non scientists. With the rise of MOOCs and other discussion tools like Reddit, science communication is transcending its heretofore gatekeepers. “My personal belief, in the end, is that scientists really work for the people,” said Mason. “We’re allowed to follow our intellectual curiosity insomuch as we share it with other human beings.” With six months of AMAs and thousands of questions uploaded, Reddit’s Science AMA series seems to have brought us significantly closer to that goal.
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    "Allen, a PhD chemist who works for the Dow Chemical Company in Pennsylvania, began to think about ways he could leverage r/science's massive reach to connect scientists to the general public. R/science is a default subreddit, meaning it's visible to people visiting Reddit.com even if they aren't logged in. According to internal metrics Allen has access to, r/science gets between 30,000 and 100,000 unique visitors a day; it's arguably the largest community-run science forum on the internet. So what if r/science were to form an AMA series of its own, focused solely on working scientists who are producing interesting, groundbreaking research?"
hubert guillaud

Les scientifiques doivent être les fers de lance de l'usage éthique des Big D... - 1 views

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    Pour le physicien Albert-László Barabási, le spécialiste de l'analyse des réseaux, la façon dont la NSA recueille les données personnelles des américains a brisé le modèle traditionnel qui lie la science et la société. La plupart des technologies ont plusieurs usages (pensez à l'énergie atomique, au génie génétique...) et on ne peut pas pour autant décider d'arrêter toute recherche du fait des risques qu'elles comportent. Au lieu de cela, les scientifiques doivent faire preuve de transparence sur les risques et les abus possibles et parvenir à un consensus avec la société pour l'usage de ces technologies. Les scientifiques dont les travaux ont alimenté la NSA ont échoués à montrer les dangers de ces outils. Les politiques, enivrés par la puissance de ces outils, n'ont pas réussi à faire que leur utilisation respecte les cadres strictes de la constitution. Les Big Data sont un saint Graal. Ils promettent de mettre à jour les lois mathématiques qui régissent la société. Barabási explique qu'il a lui-même utilisé des données de millions d'utilisateurs de téléphone mobile pour faire des analyses, sauf que les siennes étaient anonymisées afin de ne pas nuire aux utilisateurs. Mais oui, la fouille de données peut être une arme, reconnaît le chercheur. Il peut être tout aussi dommageable que la bombe atomique. Il empoisonne la confiance. Il peut cibler des combattants, mais aussi des civils innocents. Utilisée comme une arme, elle doit être traitée comme une arme. Et Barabási d'en appeler au concept de la non-prolifération pour tenter de trouver une règle d'apaisement en rendant public les outils, en prônant le désarmement et l'utilisation pacifique. Pour cela, il faut tisser une nouvelle alliance avec la société en amendant les droits de l'homme par le droit de propriété de ses données. Il faut réaffirmer que les données (mon historique et modèle de navigation, mes habitudes de consommation, mon historique de
Aurialie Jublin

Entreprise et "quantified work" : au secours, Taylor revient (plus fort) ? - 0 views

  • L’enjeu est de taille car, au-delà de la question du “fliquage” (“l’employeur a le droit de contrôler et de surveiller ses salariés, mais seulement dans le cadre d’un contrôle de leur activité et à la condition de les avoir informés préalablement”, peut-on résumer à ce sujet), c’est la nature même du travail, de l’évaluation de la productivité à, en fait, toute la gestion d’un ensemble de données des salariés dans l’entreprise, qui est amenée à se réinventer. Et avec elle, de nouvelles politiques RH, “data-centrées”.
  • Initialement, le taylorisme a en effet été salué comme une force qui “libèrerait les salariés des penchants autocratiques de leurs supérieurs”, rappelle Peter Cappelli, qui insiste pour que le quantified work, ce travail où les salariés mesurent eux-mêmes diverses facettes de leur activité, ne reste pas aux mains des économistes, ingénieurs IT et autres data miners. À la manière des outils d’évaluation dont les conséquences éthiques sont un sujet pris en compte à l’heure de leur élaboration, notamment en y associant la psychologie du travail, la workforce science ne peut se prémunir d’un équilibre entre “l’intérêt des employeurs à prendre des décisions [plus efficaces] et des préoccupations plus vastes sur l’équité et les conséquences inattendues [en matière de motivation, notamment]“.
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    La workforce science, discipline mettant les données des employés au coeur du management, promet une vie en entreprise conjuguant bien-être et productivité. Au prix de la surveillance généralisée ?
Aurialie Jublin

Etienne Wasmer : « Accepter la destruction d'emplois si le salarié est accomp... - 1 views

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    Alors que les discussions sur la réforme du marché du travail se sont ouvertes jeudi, Etienne Wasmer, spécialiste en économie du travail à Sciences Po, analyse l'enjeu du débat.
Aurialie Jublin

Cyber-flânerie : j'avoue, je surfe perso au bureau | Rue89 Eco - 0 views

  • Au bureau, le travailleur américain moyen passe entre 60 et 80% de son temps en ligne à faire autre chose que travailler, selon une étude réalisée par des chercheurs universitaires américains. En France, ce serait autour de 60% également. Plus précisément, en moyenne, les salariés passent 1 heure 30 sur Internet chaque jour, dont 52 minutes pour un usage personnel, en 2011, selon l’une des seules études [PDF] sur la question.
  • Laurence a plus de 30 ans. Les chercheurs américains aurait pu le deviner : les étudiants et les plus jeunes salariés utilisent davantage les réseaux sociaux que leurs aînés et trouvent normal de le faire pendant leur temps de travail, même si cela n’a rien de professionnel, révèle l’étude. Les moins jeunes, en revanche, flânent plutôt utile : ils vont voir leur compte en banque, réservent des billets de train, règlent des problèmes administratifs, etc.
  • La plupart des très grandes entreprises et des administrations françaises font plus simple : elles filtrent. A l’échelon inférieur, 70% des entreprises de plus de 500 salariés ont mis en place une telle solution, et 30% des entreprises de 250 salariés, selon Olfeo. Pour limiter les flâneries et le risque juridique (pour le téléchargement par exemple).
  • ...2 more annotations...
  • « Il faut voir que, dans les bureaux, les salariés passent 8 à 10 heures par jour devant leur écran. Ils n’ont plus besoin d’aller dans le bureau d’à côté chercher une réponse, ni un dossier, ils croisent donc moins de collègues. Ces temps sociaux et de respiration disparaissent. Ils les récupèrent sur l’ordinateur, en flânant. »
  • « Une partie de ce temps est nécessaire au repos, à l’échange, à la récupération, voire à la réflexion. Mieux vaut ne pas y toucher. Le salarié risquerait de moins bien travailler. »
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    "Voilà, j'ai cyber-flâné. Je ne suis pas la seule apparemment. Et les entreprises commencent à se pencher sur la question, plutôt pour s'en inquiéter, et pas toujours avec succès. Mais est-ce si grave, de divaguer sur le Net ?"
Aurialie Jublin

Peut-on penser le travail par le don ? La Nouvelle Revue du Travail - 1 views

  • Formulant l’hypothèse qu’à l’intérieur des entreprises se déroule toute une série d’échanges obéissant à des prescriptions archaïques, il cherche à montrer comment la triple obligation de donner, recevoir et rendre structure la coopération verticale (entre employeur et salariés) et horizontale (entre salariés). Ni la contrainte sociale, ni la recherche de l’intérêt personnel ne suffiraient à expliquer les relations qui se forment dans les organisations, les interactions qui s’y déploient, les alliances qui s’y nouent…
  • La perception du don aux collègues et plus encore à l’entreprise n’est-elle pas un masque à l’aliénation, une violence symbolique inhérente au fonctionnement même de l’aliénation : le déni de la domination et du travail pour autrui ?
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    Depuis la parution du traité de Georges Friedmann et Pierre Naville il y a cinquante ans, la sociologie du travail a toujours cherché à comprendre, sous leurs divers aspects, toutes les communautés humaines qui se constituent à l'occasion du travail.  Alain Caillé, le principal animateur du Mouvement Anti-Utilitariste en Sciences Sociales (MAUSS) et Norbert Alter, le contributeur essentiel d'inspiration maussienne pour la sociologie du travail et des organisations, reviennent dans deux textes inédits sur les vertus heuristiques de la théorie du don contre-don pour appréhender le monde du travail et ses mutations. La NRT ouvre ensuite le débat avec ces deux auteurs.
Aurialie Jublin

Tous bureaucrates (featuring Benoit Poelvoorde) ? Un manifeste pour les middl... - 1 views

  • On s ’est donc trompés sur le management ! On cherchait des chefs guerriers en compétition, il nous faut des pairs bienveillants ayant un sens aigu de l ’intérêt général. On cherchait LA solution imaginée par nos penseurs, elle doit être ré-inventée tous les jours par nos faiseurs.  On cherchait à sanctionner les erreurs, elles sont structurelles à l ’amélioration continue et réclament le questionnement plus que l ’opprobre et le refoulement …
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    Différence de hiérarchie entre petite structure (comportement par défaut est la coopération, l'entraide, qui nécessite une hiérarchie plate / chaque contribution est décisive pour la survie du groupe) et une grande organisation (hiérarchisation forte / "les sciences de l'organisation indiquent de diviser le territoire en autant de baronnies, partiellement responsables de quelque chose. Cet empilement des territoires augmente souvent la distance des opérationnels et des responsables intermédiaires (un tous les 7 employés environ) à la réalité du client, et ce faisant les déresponsabilise") C'est la caractéristique principale d'une bureaucratie - la défense des territoires y devient un objectif plus important que l'intérêt général de l 'entreprise, sa survie + séparation penseurs/faiseurs.
julien camacho

VIDEO. "Infobésité", le mal du siècle - 1 views

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    Les conseils de Caroline Sauvajol-Rialland, maître de conférence à Sciences-Po Paris, consultante en gestion de l'information dans l'entreprise, pour "Comprendre et maîtriser la déferlante d'informations".
Aurialie Jublin

Julien Damon - La démobilité : travailler, vivre autrement | Fondapol - 1 views

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    "Cette note intitulée La démobilité : travailler, vivre autrement, se fonde sur la congestion des transports urbains, thème qui ne manquera pas de structurer le débat politique des semaines à venir. En effet, la création et l'organisation de métropoles est au cœur du projet de loi de modernisation de l'action publique territoriale, récemment déposé au Sénat. Julien Damon, professeur associé au master Urbanisme de Sciences Po, nous propose ici de saisir la démobilité comme une opportunité pour faire émerger le télétravail et un agencement écologique et urbain plus cohérent. L'optimisation des métropoles modernes constitue un levier majeur pour l'innovation."
Aurialie Jublin

Avis sur le reportage "Un monde sans humains" - 0 views

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    "Un monde sans humains ? est un documentaire où se croisent technosciences, philosophie et politique. Il nous emmène dans les laboratoires où se fabriquent les prothèses bioniques; près de ces chercheurs qui, pour assister l'armée, travaillent la commande des machines par la simple pensée; assiste aussi à un entretien d'embauche où un robot analyse les émotions d'un candidat répondant aux questions de son recruteur, ce même type de robot que l'on retrouve dans une maison de retraite, en train de surveiller le régime alimentaire d'une pensionnaire. Un monde où la science se mettrait au service de l'homme pour en adoucir la vie, pour le prévenir de ses erreurs, ou pour l'aider dans son quotidien. A l'heure actuelle au stade de prémisses, ce monde vise à totalement changer l'homme." Commentaires : revoir la séquence sur l'entretien d'embauche par le robot
Aurialie Jublin

Pourquoi le travail et l'emploi vont disparaitre - 3 views

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    Paul Jorion, chercheur en sciences sociales, explique comment «l'ordinatisation» des métiers va tuer - et tue déjà - l'emploi à petit feu. " La domination de la machine est impossible à éviter... Aujourd'hui, la seule chose qui manque aux logiciels et aux programmes informatiques est un facteur essentiel pour remplacer l'humain: il s'agit de l'émotion et de l'affect. Mais ce «manque» sera résolu dans 5 ans maximum."
Aurialie Jublin

The Science Behind Your Ideal Work Environment | Fast Company - 0 views

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    "FEW PEOPLE GET THEIR BEST WORK DONE IN A DULL GRAY CUBICLE FARM OR A NOISY OPEN OFFICE. HERE'S HOW TO CREATE THE OPTIMAL WORK ENVIRONMENT WITH THE PERFECT TEMPERATURE (env. 20/21°), LIGHTING AND NOISE LEVELS (ambient noise)."
julien camacho

La science de la productivité - Zevillage - 0 views

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    Etre (plus) productif est essentiel aujourd'hui ! En télétravaillant, nous sommes plus productifs comme nous l'avons dit dans plusieurs articles déjà. Mais cela suppose aussi une certaine discipline. La volonté ne suffit pas ! Il faut se fixer un objectif, une deadline, un planning de travail, ne pas être multi-tâches, alterner les moments de pause et les moments de travail (intense), évaluer régulièrement son travail, faire une liste des choses à faire pour les jours suivants ou la semaine.
hubert guillaud

Faut-il repolitiser le monde? - Slate - 0 views

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    Pour le philosophe et sociologue des sciences, Bruno Latour, il ne nous faut pas un gouvernement mondial, mais il faut repolitiser le monde. Pourquoi ? Parce qu'au lieu de créer un gouvernement universel qui va chercher à rationaliser tous les problèmes, il faut discuter sérieusement de ces problèmes. "Prenez les OGM, par exemple. Aura-t-on le droit de dire aux Américains qu'on n'en veut pas pour des raisons politiques? Et s'ils rétorquent qu'il n'y a pas de raisons scientifiques valables pour les refuser, pourra-t-on leur répondre: «Bah oui, il n'y a pas de problème scientifique. C'est un problème de construction du monde commun. Nous ne voulons pas le pouvoir de Monsanto dans les campagnes»? Ça, c'est repolitiser la question." "Prendre une décision ne signifie pas être arbitraire ou valider l'avis des experts. C'est plutôt voter pour accepter de ne plus discuter d'un certain nombre de connexions."
Aurialie Jublin

Les emplois atypiques ne sont plus ce qu'ils étaient  - Conditions de travail... - 0 views

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    "CDD, temps partiel, intérim mais aussi et de plus en plus stages, entrepreneuriat, portage salarial: les formes de l'emploi atypique ne cessent de se diversifier. Mais si certaines prospèrent, d'autres stagnent ou restent marginales. Christophe Everaere, professeur de sciences économiques à l'IAE Université de Lyon 3, revient pour Metis sur la notion d'emploi atypique et interroge les nouvelles sécurités du salariat contemporain."
Aurialie Jublin

Le futur que Google nous prépare | L'Humanité - 0 views

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    Hégémonique et tentaculaire, la firme californienne est une entreprise au pouvoir quasi souverain. Mais derrière le prédateur économique se cache aussi un projet de société ultra-individualiste, basé sur la méritocratie et la science, pour gouverner l'humanité de demain.
Aurialie Jublin

Comment serez-vous recruté en 2025 ? Les clés de demain - 0 views

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    "Un entretien de recrutement collaboratif avec une dose de réalité augmentée ou, carrément, un tête-à-tête avec un robot. Voilà comment Jean-Christophe Anna, directeur associé et co-fondateur de Link Humans, imagine le futur du recrutement. Si ces scènes semblent tout droit tirées d'un film de science-fiction, une certitude demeure : les devices mobiles joueront un rôle clé dans les pratiques de recrutement des prochaines années. A moins, bien sûr, que l'étape même du recrutement ne disparaisse un jour... Récit."
Aurialie Jublin

5 Robots Booking It to a Classroom Near You - Mashable - 0 views

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    Résumé Digital Society Forum : On a beaucoup parlé de l'apprentissage sans professeurs grâce au numérique. Mais certains ont décidé de pousser le concept encore plus loin en remplaçant nos profs par des robots. Le magazine Mashable a trouvé cinq exemples dans lesquels l'usage d'un robot peut améliorer l'apprentissage. Que ce soit dans le cadre d'un traitement de l'autisme, pour assurer une télé-présence dans les hôpitaux pour enfants ou bien pour réviser ses maths grâce au petit Nao (le petit robot français), certaines expériences donnent l'impression d'être dans un futur de science fiction.
abrugiere

"La multiplication des chefs de projet est une catastrophe managériale majeur... - 1 views

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    l'exemple de ce qui est pour moi la catastrophe managériale majeure : la multiplication des chefs de projet, le fonctionnement "en mode projet" Pour les sciences sociales, avoir du pouvoir c'est contrôler quelque chose d'important pour les gens qui vont travailler ensemble. Comment voulez-vous que la personne nommée chef de projet ait une quelconque autorité si elle ne contrôle pas une ressource stratégique ? l'engagement est la deuxième valeur la plus citée dans les entreprises européennes. Cela fait quinze ans là aussi que les sociologues parlent de ces phénomènes. Bien sûr que l'engagement (défini comme mettre dans son travail un peu plus de soi que ce que prévoit le contrat de travail) est un facteur de productivité. Aujourd'hui, de plus en plus de salariés préfèrent mettre ce surplus ailleurs que dans l'entreprise, dans l'associatif, le non marchand... Ils se désintéressent du gain monétaire. Le désengagement va coûter très cher aux entreprises.
Chamila Puylaurent

Le coworking testé grandeur nature - 1 views

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    "Prenez un panel de salariés, proposez-leur de travailler dans des espaces partagés proches de chez eux mais loin de leur entreprise, agitez le tout et observez. Depuis mai 2014, le Centre Michel Serres, un centre d'études et d'innovation qui rassemble des chercheurs de l'Ecole des hautes études en sciences sociales, de la Sorbonne ou encore des Arts et Métiers, mène avec le cabinet de conseil LBMG Worklabs une expérimentation sur le ressenti des usagers de ces nouveaux lieux où se côtoient des professionnels de différents métiers et statuts."
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