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Conseil national du numérique - Rapport - Identités numériques : Clefs de voû... - 0 views

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    Le rapport « Identités numériques, clés de voûte de la citoyenneté numérique » fait suite à la saisine de Cédric O en juillet 2019 sur la mise en œuvre d'une identité numérique publique, des dispositifs FranceConnect et de la carte nationale d'identité électronique. Le rapport du Conseil National du Numérique (CNNum) décrit précisément, via 35 recommandations actionnables, les conditions d'une confiance dans les outils de l'identité numérique et l'importance de l'intérêt du citoyen, afin d'enrichir les prochains travaux du Gouvernement sur les identités numériques. Le groupe de travail « Identités numériques » composé de Karine Dognin-Sauze et Mohammed Boumediane (membres pilotes), Gilles Babinet, Olivier Clatz, Gaël Duval et Jean-Michel Mis a conduit ses travaux de janvier 2019 à mars 2020. Dans une logique de co-construction avec les citoyens, les territoires et les experts dans plusieurs villes de France (Montpellier, Lyon, Paris, Douai), le groupe de travail a organisé des ateliers de prospective avec les citoyens, des table-rondes d'experts, des auditions et a poursuivi ses recherches jusqu'en Estonie pour analyser un modèle de dématérialisation souvent vanté comme le plus avancé au monde. Le CNNum tient à remercier chaleureusement les plus de 200 contributeurs qui ont ainsi partagé leurs retours d'expérience et leurs visions des identités numériques : citoyens, professionnels de la cybersécurité ou de la banque, institutions publiques, entreprises et startups, société civile, acteurs de la médiation numérique, chercheurs, etc. Le rapport décrit comment les identités numériques peuvent être fondatrices de la citoyenneté numérique et être un vecteur de confiance entre l'État, les citoyens et un écosystème d'acteurs publics comme privés. Il insiste sur l'importance de créer un environnement de confiance, basé sur une gouvernance partagée, à partir d'instances jouant le
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Conseil national du numérique - Dossier de presse - Identités numériques : Cl... - 0 views

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    Le rapport « Identités numériques, clés de voûte de la citoyenneté numérique » fait suite à la saisine de Cédric O en juillet 2019 sur la mise en œuvre d'une identité numérique publique, des dispositifs FranceConnect et de la carte nationale d'identité électronique. Le rapport du Conseil National du Numérique (CNNum) décrit précisément, via 35 recommandations actionnables, les conditions d'une confiance dans les outils de l'identité numérique et l'importance de l'intérêt du citoyen, afin d'enrichir les prochains travaux du Gouvernement sur les identités numériques. Le groupe de travail « Identités numériques » composé de Karine Dognin-Sauze et Mohammed Boumediane (membres pilotes), Gilles Babinet, Olivier Clatz, Gaël Duval et Jean-Michel Mis a conduit ses travaux de janvier 2019 à mars 2020. Dans une logique de co-construction avec les citoyens, les territoires et les experts dans plusieurs villes de France (Montpellier, Lyon, Paris, Douai), le groupe de travail a organisé des ateliers de prospective avec les citoyens, des table-rondes d'experts, des auditions et a poursuivi ses recherches jusqu'en Estonie pour analyser un modèle de dématérialisation souvent vanté comme le plus avancé au monde. Le CNNum tient à remercier chaleureusement les plus de 200 contributeurs qui ont ainsi partagé leurs retours d'expérience et leurs visions des identités numériques : citoyens, professionnels de la cybersécurité ou de la banque, institutions publiques, entreprises et startups, société civile, acteurs de la médiation numérique, chercheurs, etc. Le rapport décrit comment les identités numériques peuvent être fondatrices de la citoyenneté numérique et être un vecteur de confiance entre l'État, les citoyens et un écosystème d'acteurs publics comme privés. Il insiste sur l'importance de créer un environnement de confiance, basé sur une gouvernance partagée, à partir d'instances jouant le
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The Shift Project - Déployer la sobriété numérique - 0 views

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    The Shift Project travaille depuis 2017 sur l'impact environnemental du numérique. Le troisième volet de ce travail vise à proposer des cadres méthodologiques opérationnels pour mettre en place la sobriété numérique : dans les stratégies et politiques publiques, dans l'entreprise, dans les systèmes d'usages du domaine privé. Nos deux premiers rapports, « Lean ICT - Pour une sobriété numérique » (2018) et « Climat : l'insoutenable impact de la vidéo en ligne » (2019), nous ont permis de définir notre vision du concept de sobriété numérique. Les constats établis dans ces précédents travaux ont alimenté, notamment grâce à la production de chiffres, une prise de conscience de l'importance de l'empreinte environnementale du numérique, de son augmentation préoccupante et des raisons systémiques qui conduisent à cette situation. Le troisième rapport est disponible en version intermédiaire et diffusé pour relecture : Passer de la sensibilisation et des constats à l'action S'il est nécessaire de poursuivre les efforts de sensibilisation en la matière, il est tout aussi important de montrer qu'il est possible de passer des constats à l'action, elle aussi systémique, visant donc à ce que les différents acteurs interconnectés au sein du système puissent conjointement évoluer dans un sens permettant de contenir l'envolée de la consommation d'énergie et de matériaux du numérique. Dans ce cadre, il est nécessaire de cibler des leviers permettant d'inciter les différents acteurs à opérer les changements nécessaires. Sans prétendre à l'exhaustivité, c'est ce que nous essayons de faire à travers les différents chantiers en cours. Nos 4 axes de travail * Axe 1« Analyse de projets smart » : Démythifier les approches « smart » en montrant aux acteurs publics (collectivités locales) et privés (entreprises, ménages) que des conditions doivent être remplies pour que leurs impacts environ
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Unicef - La situation des enfants dans le monde 2017 : Les enfants dans un mo... - 0 views

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    Malgré la présence en ligne massive des enfants - un internaute sur trois dans le monde est un enfant - trop peu de mesures sont prises pour les protéger des dangers du monde numérique et pour augmenter leur accès à un contenu en ligne sûr, selon un rapport du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) publié lundi. Le rapport intitulé 'La situation des enfants dans le monde en 2017 : les enfants dans un monde numérique' présente le premier regard de l'UNICEF sur les différentes façons dont la technologie numérique affecte la vie des enfants, en identifiant les dangers et les opportunités. Il affirme que les gouvernements et le secteur privé n'ont pas suivi le rythme du changement, exposant les enfants à de nouveaux risques et laissant de côté des millions d'enfants défavorisés. « Pour le meilleur et pour le pire, la technologie numérique est maintenant un fait irréversible de nos vies », a déclaré le Directeur exécutif de l'UNICEF, Anthony Lake. « Dans un monde numérique, notre double défi est de savoir comment atténuer les inconvénients tout en maximisant les avantages d'Internet pour chaque enfant ». Le rapport explore les avantages que la technologie numérique peut offrir aux enfants les plus défavorisés, y compris ceux qui grandissent dans la pauvreté ou qui sont affectés par des crises humanitaires. Cela inclut augmenter leur accès à l'information, renforcer leurs compétences numériques pour le monde du travail, et leur donner une plate-forme pour se connecter et s'exprimer. Mais environ un tiers des jeunes dans le monde - 346 millions - ne sont pas en ligne, ce qui exacerbe les inégalités et réduit la capacité des enfants à participer à une économie de plus en plus numérique. Le rapport examine également comment Internet accroît la vulnérabilité des enfants aux risques, y compris l'utilisation abusive de leurs renseignements personnels, l'accès à du contenu préjudiciable et la cyberintimidat
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Synthèse - Rapport d'info... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Rapport - Rapport d'infor... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Infographie - Rapport d'i... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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INJEP - Rapport - Education populaire à l'ère du numérique - 0 views

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    Ce rapport s'appuie sur une démarche de recherche documentaire, d'entretiens et d'observation. Il pose la première pierre d'un questionnement plus large sur les mutations des pratiques et du système d'acteurs de l'éducation populaire, en évoquant par touches successives quelques aspects de la relation entre éducation populaire et numérique (histoire, pratiques, acteurs, principes, etc.). La relation entre éducation populaire et numérique est complexe. Les pratiques numériques, quand bien même elles sont collectives, ne participent pas toutes de l'éducation populaire. Toutes les pratiques d'éducation populaire usant du numérique ne constituent pas plus une contribution à un projet d'émancipation systématique. L'idée défendue ici revient à dire qu'il existe néanmoins un continuum d'enjeux entre culture, émancipation et technique, dans certaines pratiques développées (hier et aujourd'hui) au sein des réseaux d'éducation populaire et dans certaines pratiques numériques poussées par des collectifs militants tournés vers l'action. Apprendre en faisant est à coup sûr une pratique commune aux acteurs de l'éducation aux médias, de la médiation numérique, de la culture scientifique et technique ou de l'animation socioculturelle. Mais ce sont aujourd'hui les référentiels, qui permettent de doter la pratique d'objectifs émancipateurs, qui semblent s'être transformés. Si les acteurs de l'éducation populaire dans leur ensemble font moins référence à des penseurs ou débats pédagogiques, ils multiplient en revanche les références à la société de la connaissance dans laquelle l'horizon des communs et les valeurs de la culture du Libre jouent un rôle important pour renforcer les liens entre l'action éducative et les grands enjeux politiques de la société numérique (données, partage, information, etc.). Cela incite à considérer le rapport entre éducation populaire et numériq
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BVA - L'engagement à l'heure du numérique - 0 views

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    1/ Le numérique, vecteur d'engagement citoyen * Pour 27% des Français, les nouvelles formes de concertation et d'implication rendues possibles par le numérique sont une révolution. * 22% des Français déclarent d'ailleurs que le numérique a changé leurs pratiques en termes d'engagement citoyen, car il leur permet d'être davantage impliqué dans la vie publique. * Notons que le fait d'être déjà un minimum engagé dans la vie publique, indépendamment des outils offerts par le numérique, influe fortement sur les résultats. 2/ Concrètement, comment les Français s'engagent-ils via le numérique ? * Près de la moitié des Français (49%) ont déjà signé ou diffusé une pétition en ligne (vs 38% qui ont déjà signé une pétition en format papier). * Près d'un Français sur 5 a déjà suivi le compte Facebook ou Twitter de sa commune, de son département ou de sa région (19%), ou a déjà participé à une consultation en ligne pour une institution publique (18%), des pratiques qui nécessitent un niveau d'engagement encore plus élevé. * A l'avenir, 45% souhaiteraient pouvoir voter en ligne à des référendums locaux pour porter de nouvelles expérimentations au sein de leur territoire, et 33% souhaiteraient avoir la possibilité d'interpeller directement le Parlement, via un dispositif de pétitions en ligne. 3/ Des freins qui subsistent toutefois à l'engagement citoyen via le numérique * Face à ces changements, l'immobilisme persistant des institutions françaises est le principal frein à l'utilisation des nouvelles formes de concertation et d'implication offertes par le numérique. En effet, près d'un tiers (32%) de ceux qui n'ont pas encore expérimenté ces pratiques numériques estiment que ces nouvelles formes d'engagement sont inutiles, car non prises en compte dans les décisions des pouvoirs publics. * De plus, la moitié des Français considèrent l'engagement citoyen
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Sénat - Rapport complet - Rapport d'information "L'illectronisme ne disparaît... - 0 views

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    Rapport de la commission d'information du Sénat sur la "Lutte contre l'illectronisme et pour l'inclusion numérique". - Une fracture numérique sociale et générationnelle, un handicap dans une société toujours plus numérisée - Les laissés pour compte du numérique, des alertes déjà anciennes - Une stratégie nationale en 2018 mais sous-dimensionnée et sous-financée - Les propositions de la mission d'information : un milliard d'euros pour une politique ambitieuse d'inclusion numérique Axe n°1 : évaluer plus finement l'exclusion numérique Axe n°2 : passer d'une logique 100% dématérialisation à une logique 100% accessible. Axe n°3 : proclamer l'inclusion numérique comme priorité nationale au service d'intérêt économique général Axe n°4 : l'offre et l'architecture de la médiation numérique doivent être repensées Axe n°5 : l'exclusion par le coût, angle mort de la Stratégie nationale pour un numérique inclusif, doit être combattue plus efficacement Axe n°6 : construire une "Education nationale 2.0" qui doit être le fer de lance de la lutte contre l'illectronisme Axe n°7 : un choc de qualification au numérique des salariés est nécessaire
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Sénat - Synthèse - Rapport d'information "L'illectronisme ne disparaîtra pas ... - 0 views

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    Rapport de la commission d'information du Sénat sur la "Lutte contre l'illectronisme et pour l'inclusion numérique". - Une fracture numérique sociale et générationnelle, un handicap dans une société toujours plus numérisée - Les laissés pour compte du numérique, des alertes déjà anciennes - Une stratégie nationale en 2018 mais sous-dimensionnée et sous-financée - Les propositions de la mission d'information : un milliard d'euros pour une politique ambitieuse d'inclusion numérique Axe n°1 : évaluer plus finement l'exclusion numérique Axe n°2 : passer d'une logique 100% dématérialisation à une logique 100% accessible. Axe n°3 : proclamer l'inclusion numérique comme priorité nationale au service d'intérêt économique général Axe n°4 : l'offre et l'architecture de la médiation numérique doivent être repensées Axe n°5 : l'exclusion par le coût, angle mort de la Stratégie nationale pour un numérique inclusif, doit être combattue plus efficacement Axe n°6 : construire une "Education nationale 2.0" qui doit être le fer de lance de la lutte contre l'illectronisme Axe n°7 : un choc de qualification au numérique des salariés est nécessaire
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Cour des comptes - Synthèse - Le service public numérique pour l'éducation - 0 views

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    La loi de refondation de l'école de la République a créé en 2013 le « service public du numérique éducatif », pour apprendre aux élèves les techniques numériques en vue de leur insertion citoyenne et professionnelle, améliorer la pédagogie par l'usage de services et de ressources numériques en classe, mais aussi favoriser l'égalité des chances. Il s'agissait également de moderniser la gestion du service éducatif, en facilitant les relations entre enseignants, élèves et parents. Le bilan de sa mise en œuvre est décevant. Si les investissements publics en faveur du numérique ont beaucoup progressé, les conditions de déploiement de ce service public sont loin d'être réunies : la connexion des écoles et des établissements est encore insuffisante et, dans bien des cas, inexistante ; de fortes inégalités d'équipement des classes et des élèves demeurent entre les territoires ; l'offre de ressources numériques, abondante et souvent innovante, n'est pas organisée ; faute de formation initiale et continue suffisante, seule une minorité d'enseignants est à l'aise avec une pédagogie s'appuyant sur le numérique. Pour remédier aux inégalités persistantes d'accès au service public numérique, la Cour recommande de doter écoles, collèges et lycées d'un socle numérique de base.
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Cour des comptes - Rapport - Le service public numérique pour l'éducation - 0 views

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    La loi de refondation de l'école de la République a créé en 2013 le « service public du numérique éducatif », pour apprendre aux élèves les techniques numériques en vue de leur insertion citoyenne et professionnelle, améliorer la pédagogie par l'usage de services et de ressources numériques en classe, mais aussi favoriser l'égalité des chances. Il s'agissait également de moderniser la gestion du service éducatif, en facilitant les relations entre enseignants, élèves et parents. Le bilan de sa mise en œuvre est décevant. Si les investissements publics en faveur du numérique ont beaucoup progressé, les conditions de déploiement de ce service public sont loin d'être réunies : la connexion des écoles et des établissements est encore insuffisante et, dans bien des cas, inexistante ; de fortes inégalités d'équipement des classes et des élèves demeurent entre les territoires ; l'offre de ressources numériques, abondante et souvent innovante, n'est pas organisée ; faute de formation initiale et continue suffisante, seule une minorité d'enseignants est à l'aise avec une pédagogie s'appuyant sur le numérique. Pour remédier aux inégalités persistantes d'accès au service public numérique, la Cour recommande de doter écoles, collèges et lycées d'un socle numérique de base.
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Assemblée Nationale / Comm des Aff. Européennes - Rapport d'information sur l... - 0 views

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    La Commission européenne progresse à l'heure actuelle - à grands pas - vers la conclusion de sa stratégie pour un marché unique du numérique. Il s'agissait là d'une des grandes priorités politiques de la Commission de Jean-Claude Juncker et l'activité de la présidence estonienne à cet égard témoigne de l'importance du sujet. Le marché unique du numérique comprend par définition un vaste éventail de secteurs, tous touchés par la révolution digitale. L'ambition première qui préside à cette politique est donc de faire advenir un marché intérieur dans lequel la grande majorité des barrières nationales injustifiées auraient disparu, en vue de faciliter les échanges et notamment la circulation des données. Cette ambition initiale, destinée à favoriser la croissance d'entreprises numériques qui souffrent encore trop souvent, en France et en Europe, d'une petite taille par rapport à leurs concurrents mondiaux, s'est doublée d'une seconde dimension : la volonté de réguler le secteur numérique. Les bouleversements technologiques récents nécessitent en effet une adaptation de la législation de l'Union sur, là encore, un vaste champ d'actions, de la valorisation des œuvres culturelles au respect d'une juste contribution aux budgets publics. Les questions de sécurité et de protection de la vie privée justifient également l'intervention publique. C'est dans cette perspective que vos rapporteurs ont souhaité aborder cet ensemble très hétérogène sous l'angle des propositions récentes en matière de législation européenne, et plus précisément par le biais de quatre axes. En premier lieu, la proposition de règlement dite « ePrivacy », qui vise à adapter les principes de protection des données personnelles issus du Règlement général de protection des données (RGPD) au domaine des télécommunications, tire sa légitimité de l'obsolescence des textes précédents. L'irruption d
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Relicom 2019 - Religions et numérique : métamorphoses et conversions - 0 views

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    "Ce colloque se propose de penser les formes actuelles de la relation entre pratiques numériques connectées et religions - ou le religieux - quelles qu'elles soient, sous forme d'une triple interrogation : - qu'est-ce que les religions font avec le numérique connecté, et qu'est-ce qu'elles font au numérique connecté ? - qu'est-ce que le numérique connecté fait aux religions ? Comment les formes religieuses réapparaissent, transfigurées et plus ou moins métamorphosées, dans les espaces numériques ? - comment les pratiques religieuses se trouvent affectées, si elles le sont, par la digitalisation partielle de la production signifiante religieuse ? Par ces trois questions entrelacées, nous souhaitons examiner la réalité actuelle du numérique religieux et des religions numériques."
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Secrétariat d'Etat chargé du numérique - Présentation - ARCEP : Baromètre du ... - 0 views

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    La dernière édition du Baromètre du numérique, édité chaque année depuis 2007 par l'Arcep, le Conseil général de l'économie (CGE) et l'Agence du numérique, a été présentée le lundi 27 novembre en présence de Mounir Mahjoubi, le secrétaire d'Etat au Numérique. Parmi les usages numériques scrutés par l'étude, les démarches administratives en ligne sont celles dont l'audience s'accélère le plus. Entre 2016 et 2017, la part des interrogés (plus de 2.000 personnes rencontrées en face à face) effectuant des démarches administratives en ligne a grimpé de 62% à 67%. En 2013, ils n'étaient que 51% à utiliser internet pour ce type d'usage. L'étude confirme également l'attente face aux dispositifs de médiation numérique. Pour 33% des interrogés, c'est "un accompagnement personnel ou collectif dans un lieu dédié" qui est le plus pertinent pour se former au numérique, bien plus que le cercle familial (26%) ou encore le lieu de travail (23%). Le besoin se fait d'autant plus sentir dans les territoires moins denses. L'étude relève que "42% des personnes résidant dans les villes moyennes disent ne pas du tout profiter des opportunités offertes par le numérique, contre 22% des habitants de l'agglomération parisienne".
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Secrétariat d'Etat chargé du numérique - Dossier de presse - ARCEP : Baromètr... - 0 views

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    La dernière édition du Baromètre du numérique, édité chaque année depuis 2007 par l'Arcep, le Conseil général de l'économie (CGE) et l'Agence du numérique, a été présentée le lundi 27 novembre en présence de Mounir Mahjoubi, le secrétaire d'Etat au Numérique. Parmi les usages numériques scrutés par l'étude, les démarches administratives en ligne sont celles dont l'audience s'accélère le plus. Entre 2016 et 2017, la part des interrogés (plus de 2.000 personnes rencontrées en face à face) effectuant des démarches administratives en ligne a grimpé de 62% à 67%. En 2013, ils n'étaient que 51% à utiliser internet pour ce type d'usage. L'étude confirme également l'attente face aux dispositifs de médiation numérique. Pour 33% des interrogés, c'est "un accompagnement personnel ou collectif dans un lieu dédié" qui est le plus pertinent pour se former au numérique, bien plus que le cercle familial (26%) ou encore le lieu de travail (23%). Le besoin se fait d'autant plus sentir dans les territoires moins denses. L'étude relève que "42% des personnes résidant dans les villes moyennes disent ne pas du tout profiter des opportunités offertes par le numérique, contre 22% des habitants de l'agglomération parisienne".
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Secrétariat d'Etat chargé du numérique - Enquête complète - ARCEP : Baromètre... - 1 views

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    La dernière édition du Baromètre du numérique, édité chaque année depuis 2007 par l'Arcep, le Conseil général de l'économie (CGE) et l'Agence du numérique, a été présentée le lundi 27 novembre en présence de Mounir Mahjoubi, le secrétaire d'Etat au Numérique. Parmi les usages numériques scrutés par l'étude, les démarches administratives en ligne sont celles dont l'audience s'accélère le plus. Entre 2016 et 2017, la part des interrogés (plus de 2.000 personnes rencontrées en face à face) effectuant des démarches administratives en ligne a grimpé de 62% à 67%. En 2013, ils n'étaient que 51% à utiliser internet pour ce type d'usage. L'étude confirme également l'attente face aux dispositifs de médiation numérique. Pour 33% des interrogés, c'est "un accompagnement personnel ou collectif dans un lieu dédié" qui est le plus pertinent pour se former au numérique, bien plus que le cercle familial (26%) ou encore le lieu de travail (23%). Le besoin se fait d'autant plus sentir dans les territoires moins denses. L'étude relève que "42% des personnes résidant dans les villes moyennes disent ne pas du tout profiter des opportunités offertes par le numérique, contre 22% des habitants de l'agglomération parisienne".
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Institut Montaigne - Enseignement supérieur et numérique : connectez-vous ! - 0 views

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    "L'Institut Montaigne, en partenariat avec Sciences Po, recevait Frédérique Vidal, Ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation, Mounir Mahjoubi, Secrétaire d'État auprès du Premier ministre, chargé du Numérique et Edouard Husson, Vice-président de l'Université Paris Sciences & Lettres et président du groupe de travail de l'Institut Montaigne "Enseignement supérieur et numérique : connectez-vous !", pour débattre de l'impact du numérique sur notre système d'enseignement supérieur. À la fois outil, objet d'étude et vecteur de transformation, le numérique nous incite à repenser notre modèle d'enseignement supérieur dans sa globalité et à réaffirmer ses missions fondamentales. Retrouvez les trois points à retenir de cette soirée : 1. Le numérique est un outil au service de l'enseignement supérieur dont il faut se saisir 2. Le numérique est un objet d'étude à valoriser et à généraliser 3. Le numérique est un vecteur de transformation"
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France Stratégie - Avis de la plateforme RSE - Responsabilité numérique des e... - 0 views

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    Dans un avis adopté le 6 juillet 2020, la Plateforme RSE propose une définition de la responsabilité numérique des entreprises, formule un diagnostic sur l'enjeu des données et adresse 34 recommandations à l'attention des différentes parties prenantes. L'émergence de nouvelles possibilités technologiques - Intelligence Artificielle, objets connectés, cloud, big data, robotique, etc. - transforme le paysage dans lequel les entreprises évoluent. Face aux enjeux liés à l'éthique, au respect de l'environnement, au patrimoine numérique et à sa protection ou encore à la gestion des ressources humaines et des risques juridiques, le numérique s'impose de plus en plus dans la définition du projet d'entreprise. Pour appréhender les questions soulevées par la transition numérique, la Plateforme RSE a constitué en 2019 un groupe de travail « Responsabilité Numérique des Entreprises » conduit par Bettina Laville (Comité 21), Ghislaine Hierso (4D) et Geoffroy de Vienne (CFTC). Ce groupe a mené dix-huit auditions afin d'élaborer un diagnostic et des propositions. Dans ce premier avis, adopté en assemblée plénière le 6 juillet 2020, la Plateforme RSE s'est concentrée sur les données collectées ou générées par les entreprises dans le cadre de leurs activités. Elle s'est attachée à donner une définition claire et précise de ce que signifie, pour une entreprise, d'être numériquement responsable. La prise en considération des défis sociaux et environnementaux par les entreprises seront examinés ultérieurement dans un second avis. En analysant le contexte numérique dans lequel évoluent les entreprises et en s'appuyant sur leurs pratiques, le Plateforme RSE adresse 34 recommandations aux pouvoirs publics, aux entreprises, aux syndicats de salariés, aux chercheurs et aux acteurs de l'évaluation extra-financière des entreprises.
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