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hubert guillaud

Intertwinkles et les outils de prise de décision consensuelles - Ethan Zuckerman - 0 views

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    Ethan Zuckerman revient sur la soutenance de thèse d'un de ses étudiants, Charlie DeTar, fondateur d'Intertwinkles, une plate-forme pour aider à la prise de décision par consensus. Force est de constater, qu'en votant une fois tous les 4 ans, aucun citoyen américain n'est vraiment confronté aux règles démocratiques. Nous sommes surtout confrontés à des règles non-démocratiques de la vie réelle : celle de nos employeurs, de nos propriétaires, des institutions sur lesquels nous avons peu d'influence... Les mouvements démocratiques ont tendance à être de courte durée et à être lents, coûteux en temps pour les gens et à n'impliquer que les gens impliqués. D'où la question de Charlie DeTar : pouvons concevoir des outils en ligne pour la consultation démocratique qui soient plus efficaces ? C'est l'idée d'InterTwinkles, une plateforme de consensus qui favorise l'absence de hiérarchie et la prise de décision assistée par ordinateur. Pour y parvenir, le jeune chercheur critique la notion de décentralisation, car les systèmes décentralisés nécessitent une certaine centralisation : Wordpress est décentralisé car son code ne l'est pas, BitTorrent décentralise les serveurs via un protocole centralisé, et le consensus décentralise l'autorité à travers la centralisation des procédures. Le consensus évite les trois tyrannies : celle de la majorité, celle de la minorité, et celle de l'absence de structure. Pour que les systèmes par consensus fonctionnent, il est nécessaire que que tout le monde soit à l'aise avec les outils estime le jeune chercheur.
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Quitter Twitter et Facebook pour survivre - Thierry Crouzet - 0 views

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    "Au début, nous n'étions pas nombreux sur les réseaux sociaux, nous pouvions passer outre la faiblesse inhérente à leur centralisation, séduits avant tout par les possibilités nouvelles qui nous étaient offertes. Avec le succès, de plus en plus de gens sont arrivés, par millions, par centaines de millions, un milliard maintenant et tout a changé. Quand un opérateur peut quand il le désire envoyer un message à un milliard de personnes, quand il peut subrepticement influencer les informations qu'ils reçoivent (si si, les pubs sont des informations), ou la façon dont ils les reçoivent, quand il peut en assourdir certains, ou même en éradiquer d'autres sans le moindre procès, et que nul ou presque ne s'en inquiète, il n'est pas surprenant de noter un appauvrissement des fils de conversation, une dérive populiste, une télévisualisation du Web." (...) "Le lieu où nous discutons n'est pas neutre sur la teneur de nos échanges." J'appartiens à la famille des utopistes (ou vieux cons si vous préférez) qui ont cru que le net nous aiderait à changer notre organisation sociale pour nous offrir plus de liberté, plus d'équité, plus de respect mutuel, plus d'armes pour affronter les crises que nous traversons. J'ai fait l'éloge du cinquième pouvoir, de cette force sociale décentralisée qui échappe à tout embrigadement, et pendant ce temps nous avons laissé fleurir sur le web les plus grosses structures centralisées de tous les temps. Propriétaires, capitalistes, omnipotentes, dominatrices, impérialistes, elles ne nous aideront pas à éviter le mur vers lequel nous fonçons collectivement. Si nous continuons à les nourrir, nous nous passons la corde autour du cou." Nous devons nous réapproprier les fonctions sociales, estime Thierry Crouzet. On ne peut vivre activement sur Twitter et Facebook sans que cela affecte ce que nous sommes. "Nous ne pouvons pas défendre les monnaies libres ou le revenu de base, et nous c
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Comment les Big Data ont aidé Obama à gagner - TIME.com - 0 views

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    Le Time nous plonge au coeur de l'équipe chargée de traiter les données durant la campagne électorale d'Obama. Comment ceux-ci ont-ils utilisés les Big Data pour centraliser les données, cibler les actions clefs, tester les messages, mieux les cibler... 
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Le rôle de l'infrastructure numérique dans la victoire d'Obama- TechPresident - 0 views

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    Sarah Lai Stirland pour TechPresident fait le point sur le rôle qu'a joué l'infrastructure numérique dans la victoire d'Obama. Tout d'abord, la campagne numérique a été bien plus organisée que celle de 2008 en refondant son tableau de bord, son logiciel d'organisation et son application de prospection via smartphone. En centralisant les données, cela a permis de dégager les priorités. Pour cela, le bureau de campagne s'est doté de spécialistes des données. L'usage des médias sociaux n'a pas faibli, au contraire, ni le dispositif de collecte de fonds.
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L'accompagnement de la révolution numérique: une chance pour la France ? - le... - 0 views

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    "un Internet neutre serait "un simple tuyau qui ne discrimine ni ne modifie les données qu'il transporte"" rappelle Laurent Chemla, mais la neutralité, ça n'existe pas. Parce que tout opérateur établit des politiques de routage : par sa nature même l'internet est discriminant. Parce que l'internet est par définition a-centré, c'est-à-dire que sont intelligence est à ses extrémités et que tout ordinateur relié à l'internet peut devenir serveur autant que client. C'est ce principe qui a permis l'explosion d'innovation, mais c'est ce principe qui est marginalisé par l'asymétrie des débits d'émission et de réception. "La première des atteintes à l'objectif de neutralité est l'asymétrie des débits." Internet n'est donc ni neutre techniquement, ni politiquement. Mais l'objectif de neutralité n'en est pas moins important et ce d'autant que le marché seul est désormais incapable de garantir les libertés minimales de chacun. L'affirmation du principe de neutralité peut n'avoir que peu d'effets : un internet pourrait être légalement neutre pour permettre des échanges entre appstores centralisés. La décentralisation des données de l'utilisateur impliquera toujours de centralisation et toujours moins de contrôle. La seule réponse pérenne, estime Laurent Chemla, c'est de rééquilibrer le flux des données, ce qui ne serait pas sans effets majeurs sur l'économie comme sur les questions de contrôle de l'information et de vie privée permettant de mettre un frein à l'exil de données au mains d'une poignée de géants supranationaux. Alors que faut-il faire ? Pour Laurent Chemla, les solutions sont de trois ordres. Rééquilibrer les pouvoirs entre grandes entreprises et particuliers par la législation, pour renforcer la liberté d'expression et l'égalité des citoyens. Enfin, pourquoi ne pas proposer aux opérateurs la participation à un service public de la fourniture d'accès établie sur une réglementation claire favorisant la neut
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L'UFC-Que Choisir s'alarme de la montée des fraudes bancaires en France - Les... - 0 views

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    L'association pointe la montée en flèche des fraudes à la carte bancaire sur internet et émet 5 recommandations élémentaires : l'envoi systématique par les banques de confirmation de paiement sur internet, l'obligation pour tout commerçant stockant des données de carte bancaire d'informer ses clients en cas d'attaque ou de vols de données, et l'obligation pour les banques de centraliser les fraudes.
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2012 : L'innovation ouverte pour les gouvernements - opensource.com - 0 views

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    Une page très utile pour ceux qui veulent se renseigner sur les expériences d'open data et d'innovation ouverte outre-Atlantique. Nick Grossman de Civic Commons fournit une liste de nouveaux sites dont deux en particulier peuvent intéresser les villes françaises : un wiki ou les acteurs de l'open data des villes américaines partagent leurs expériences et un "marché" qui centralise les applications utilisant les données publiques, une sorte d'App Store pour les services urbains. 
hubert guillaud

Politique du chiffre | Techn0polis - 0 views

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    Depuis les révélations de Snowden, beaucoup de techniciens, à l'image de Bruce Schneier, se posent la question de comment déjouer, par des moyens techniques et le plus rapidement possible, la surveillance de masse qui s'est mise en place, explique Amaelle Guiton. À propos Hackers, le livre 11 novembre 2013 Politique du chiffre Que faire lorsqu'une agence de renseignement américaine, manifestement bien aidée par ses petites camarades européennes, a - dixit Bruce Schneier, s'exprimant mercredi dernier lors de l'assemblée plénière de l'Internet Engineering Task Force, l'organisation qui rassemble les ingénieurs du réseau - « transformé l'Internet en une gigantesque plate-forme de surveillance » ? Le problème, a-t-il ajouté, est « robuste politiquement, légalement et techniquement ». Il l'est d'autant plus que, la question étant fondamentalement politique - quelle « sécurité nationale », pour qui, comment, avec quel contrôle -, toute réponse technique est en dernière analyse une réponse politique, pas seulement dans ses attendus, mais aussi dans ses conséquences. Depuis quelques mois, il y a réaffirmation par beaucoup de « techniciens » - du moins beaucoup de ceux qui s'expriment publiquement - d'une volonté de déjouer, par des moyens techniques et le plus rapidement possible, la surveillance de masse. La qualification « de masse » est tout sauf accessoire : on n'entend pas grand-monde dire qu'il faut empêcher toute surveillance en enlevant tout moyen aux autorités d'intercepter des communications. Certains le pensent sans doute (j'y reviendrai), mais la surveillance ciblée me semble être considérée comme un coût socialement acceptable, ou à tout le moins une fonction classique du pouvoir, ce qui n'est pas le cas de la surveillance indiscriminée et généralisée. "Les moyens techniques envisagés, depuis les tuyaux jusqu'à l'utilisateur final, se rangent, pour simp
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Rendre les choses distribuées est dur - nikos.roussos - 0 views

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    Dans les années 90, l'internet apparaissait comme une exception : il pouvait être décentralisé, il pouvait être une force de démocratisation. Personne ne l'avait conçu, personne ne le contrôlait. Les entreprises qui avaient essayé de le centraliser étaient ridicule. Mais cette époque est révolue. Orwell avait imaginé un télécran pour surveiller chacun dans sa chambre : nous avons fait mieux avec les smartphone que chacun porte dans sa poche et qui savent tout de nous. Nous avons créé une version centralisée de l'internet basé sur la surveillance permanente. Mais ce n'est qu'un problème de conception estime Nikos Roussos. Rendre les choses éphémères, distribuées ou anonymes est difficile, cela ne veut pas dire qu'il ne faut pas s'y atteler.
hubert guillaud

Bitcoin, BitTorrent, TOR : un Internet décentralisé pour des usages centralis... - 0 views

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    Le point faible des réseaux décentralisés ? Leurs centralité !
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