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BVA - Les salariés et l'écologie - 0 views

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    Moins d'un salarié sur deux estime que son entreprise est engagée au niveau écologique 44% des salariés estiment que leur entreprise est engagée au niveau écologique dont seulement 9% de « oui, tout à fait ». Cette perception est plus partagée au niveau des entreprises privées (48%) que des entreprises publiques (35%). Nous n'observons aucune différence significative en fonction de la taille d'entreprise. Pour les entreprises concernées, cet engagement est perçu à la fois comme une réponse opportune aux tendances actuelles (90%) mais également comme un réel engagement des dirigeants (86%). Notons que pour 89% des collaborateurs de ces entreprises, ces actions sont soutenues par les salariés. Des entreprises qui ne donnent pas toujours les moyens nécessaires à leurs salariés pour minimiser leur impact écologique dans leur quotidien au travail 73% des salariés estiment savoir comment minimiser leur empreinte écologique au sein de leur entreprise et dans leur quotidien au travail. En opposition à ce résultat positif, seuls 44% déclarent que leur entreprise leur donne les moyens de le faire. L'enjeu est ainsi porté seulement à titre individuel pour le moment. Une nouvelle fois, les entreprises privées semblent plus investies (49% des collaborateurs estiment que leur entreprise leur donne les moyens nécessaires contre 32% dans le public) Des salariés qui voient très majoritairement dans l'écologie une opportunité de croissance Les salariés se montrent plus prudents concernant l'apport de l'écologie pour les entreprises : pour 72%, les engagements dans ce domaine sont compatibles avec le développement des entreprises et pour 69% elles peuvent même être sources de croissance. 66% d'entre eux estiment aussi que la mise en place d'actions en faveur de l'environnement dans les entreprises les rend plus attractives pour les candidats. Des perceptions plus ancrées pour les salariés du privé et des grandes ent
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Sénat / Délégation aux entreprises - Synthèse - Responsabilité sociétale des ... - 0 views

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    La pandémie de Covid-19 a plongé le monde dans une crise sanitaire, économique et sociale sans précédent. La mobilisation des entreprises, quels que soient leur secteur et leur taille, pour contribuer à lutter contre la pandémie a été à la hauteur de ces circonstances exceptionnelles. Nombreuses sont celles qui ont converti leur appareil productif pour fabriquer masques, respirateurs, produire du gel hydroalcoolique ou accueillir des personnels soignants afin d'alléger leur temps de trajet. La crise a apporté la preuve tangible et pragmatique de la responsabilité sociétale des entreprises : contribuer à l'intérêt général. Les entreprises responsables s'imposent comme un nouveau « business model » financièrement rémunérateur, économiquement résilient, sociétalement plébiscité. Elles répondent à l'attente de « valeurs » de la part des consommateurs, à l'appel au « sens » des salariés et au constat, de plus en plus partagé par les actionnaires, que la performance financière en sera meilleure. La RSE devient même un avantage comparatif pour une économie nationale. Les entreprises sont donc interpellées de toutes parts pour être « plus responsables », par leurs « parties prenantes » mais aussi par les pouvoirs publics. Ainsi, l'ONU s'est adressée directement à elles en 1999 pour en faire des acteurs de la lutte contre le réchauffement climatique. Les entreprises sont destinataires des 17 objectifs de développement durable (ODD) de 2015, qui entendent construire un agenda universel pour construire un monde plus durable et inclusif. L'Europe durable à l'horizon 2030 attend, selon la Commission européenne, un comportement responsable des entreprises. La France a adopté une législation pionnière dès 2001, s'est dotée d'une diplomatie RSE proactive, et d'un forum qui réunit depuis 2013 les parties prenantes de la RSE. Démarche volontaire à l'origine, elle s'impose de plus en plus aux entrepri
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Sénat / Délégation aux entreprises - Rapport d'information - Responsabilité s... - 0 views

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    La pandémie de Covid-19 a plongé le monde dans une crise sanitaire, économique et sociale sans précédent. La mobilisation des entreprises, quels que soient leur secteur et leur taille, pour contribuer à lutter contre la pandémie a été à la hauteur de ces circonstances exceptionnelles. Nombreuses sont celles qui ont converti leur appareil productif pour fabriquer masques, respirateurs, produire du gel hydroalcoolique ou accueillir des personnels soignants afin d'alléger leur temps de trajet. La crise a apporté la preuve tangible et pragmatique de la responsabilité sociétale des entreprises : contribuer à l'intérêt général. Les entreprises responsables s'imposent comme un nouveau « business model » financièrement rémunérateur, économiquement résilient, sociétalement plébiscité. Elles répondent à l'attente de « valeurs » de la part des consommateurs, à l'appel au « sens » des salariés et au constat, de plus en plus partagé par les actionnaires, que la performance financière en sera meilleure. La RSE devient même un avantage comparatif pour une économie nationale. Les entreprises sont donc interpellées de toutes parts pour être « plus responsables », par leurs « parties prenantes » mais aussi par les pouvoirs publics. Ainsi, l'ONU s'est adressée directement à elles en 1999 pour en faire des acteurs de la lutte contre le réchauffement climatique. Les entreprises sont destinataires des 17 objectifs de développement durable (ODD) de 2015, qui entendent construire un agenda universel pour construire un monde plus durable et inclusif. L'Europe durable à l'horizon 2030 attend, selon la Commission européenne, un comportement responsable des entreprises. La France a adopté une législation pionnière dès 2001, s'est dotée d'une diplomatie RSE proactive, et d'un forum qui réunit depuis 2013 les parties prenantes de la RSE. Démarche volontaire à l'origine, elle s'impose de plus en plus aux entrepri
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Attac - Les grandes entreprises française : un impact désastreux pour la soci... - 0 views

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    A l'occasion du Forum économique mondial de Davos 2019 et de la deuxième édition du « Choose France summit », Attac France fait une série de propositions concrètes lesquelles, si elles étaient mises en œuvre par les pouvoirs publics, contribueraient à répondre aux exigences de justice sociale, fiscale et climatique, aujourd'hui portées par la majorité de la population. Dans ce rapport il est révélé qu'entre 2010 et 2017 : les impôts versés par les entreprises du CAC 40 ont baissé de 6,4 % en valeur absolue, alors que leurs bénéfices cumulés ont augmenté de 9,3 % et les dividendes versés aux actionnaires de 44 % en valeur absolue également sur la même période, tandis que leurs effectifs en France ont baissé de 20 %. Quelle justice sociale alors que les profits des grandes entreprises françaises, les dividendes et les rémunérations des hauts dirigeants s'envolent quand les effectifs mondiaux stagnent et qu'ils diminuent fortement en France ? Quelle justice climatique alors que les émissions de CO2 des sites les plus polluants du pays ont augmenté de 5 % en 2017 et que ces émissions, notamment issues d'entreprises du CAC 40, échappent largement à la fiscalité carbone ? Quelle justice fiscale alors que les entreprises du CAC 40 ont plus de 2 500 filiales dans les paradis fiscaux et payent moins d'impôts aujourd'hui qu'en 2010 ?
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Notre Europe - Unir nos forces pour garantir une relance verte et sociale - 0 views

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    Avec le Pacte vert pour l'Europe, la transition écologique est devenue l'une des priorités de l'agenda politique de l'UE, comme l'a indiqué la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, dans son premier discours sur l'état de l'Union le 16 septembre dernier. Sa réussite dépendra grandement de sa capacité à recueillir le soutien des citoyens. Dans ce Policy paper, nous estimons que pour lui garantir un soutien massif, il est nécessaire que les entreprises et les citoyens soient des acteurs du changement, et non de simples bénéficiaires passifs des transformations déjà en cours. Dans le contexte actuel de pandémie de Covid-19, nous considérons que la période de relance constitue un moment crucial pour contribuer à la conception d'un processus aussi inclusif et participatif. Nous présentons donc un certain nombre de recommandations analysant le rôle de trois groupes clés d'acteurs de la transition : les entreprises, les travailleurs et les citoyens. Pour chacun d'entre eux, nous veillons à ce que la mise en place d'un cadre règlementaire adapté, qui crée non seulement l'environnement adéquat pour les entreprises mais apporte aussi une aide aux travailleurs vulnérables et aux citoyens tout au long de la transition, soit complété par des mesures concrètes leur permettant de s'approprier la transition écologique et de façonner leur propre avenir. Cela pourrait par exemple se traduire par une participation accrue des entreprises aux initiatives européennes de promotion de l'innovation dans leur secteur, par un renforcement des possibilités de formation des travailleurs pour acquérir des compétences vertes, par des actions concrètes afin d'éradiquer la précarité énergétique et par le développement de structures de gouvernance participative afin de renforcer la voix des citoyens européens.
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CIDSE - Plus de 230 évêques se joignent à leurs voix pour mettre fin aux abus... - 0 views

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    "À l'ouverture de la Saison de la Création, le Pape François a souligné le lien inextricable entre le soin de notre maison et le fonctionnement de notre économie. Il nous a rappelé: «Nous devons restaurer avec justice à l'esprit, en veillant à ce que ceux qui vivent sur la terre depuis des générations reprennent le contrôle de son utilisation. Les communautés autochtones doivent être protégées des entreprises, en particulier des multinationales »Il a ajouté que:« Cette mauvaise conduite des entreprises est une «nouvelle version du colonialisme» (Querida Amazonia, 14) qui exploite honteusement les pays les plus pauvres et les communautés en quête de revenus. Nous devons renforcer la législation nationale et internationale pour réglementer les activités des entreprises extractives et garantir l'accès à la justice pour les personnes touchées."
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Insee - Entreprises - La responsabilité sociétale des entreprises : une démar... - 0 views

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    "En France, plus de la moitié des sociétés de 50 salariés ou plus déclarent s'impliquer dans la responsabilité sociétale des entreprises (RSE), contribution des entreprises aux enjeux du développement durable. Cet engagement est d'autant plus fréquent que la taille des sociétés est importante. Il est plus présent dans les secteurs de l'énergie et de l'environnement que dans le commerce. Les sociétés impliquées dans la RSE ont, de fait, des pratiques différenciées. En particulier, elles sont plus attentives aux enjeux de développement durable dans leur politique d'achats ou au respect de la biodiversité. D'autres actions sont plus largement mises en œuvre, y compris au sein des sociétés qui ne connaissent pas la notion de RSE. Elles relèvent davantage du volet social, même si une des actions les plus courantes est la prévention ou le recyclage des déchets. "
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The Shift Project - Etude - Scénarios Energie-Climat : Evaluation et mode d'e... - 0 views

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    Cette étude a été réalisée d'abord à destination de l'Afep (association française des entreprises privées) et de ses 113 membres, mais elle concerne plus largement toutes les entreprises. Elle rappelle utilement les « fondamentaux » des enjeux énergie-climat à tout citoyen désireux de s'informer. L'étude vise à nourrir le développement d'un débat stratégique sur les enjeux énergie-climat au sein des entreprises. Elle encourage également les producteurs des scénarios énergétiques mondiaux à faire évoluer leurs pratiques.
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The Shift Project - Résumé - Scénarios Energie-Climat : Evaluation et mode d'... - 0 views

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    Cette étude a été réalisée d'abord à destination de l'Afep (association française des entreprises privées) et de ses 113 membres, mais elle concerne plus largement toutes les entreprises. Elle rappelle utilement les « fondamentaux » des enjeux énergie-climat à tout citoyen désireux de s'informer. L'étude vise à nourrir le développement d'un débat stratégique sur les enjeux énergie-climat au sein des entreprises. Elle encourage également les producteurs des scénarios énergétiques mondiaux à faire évoluer leurs pratiques.
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CIDSE - Un devoir de diligence s'impose dans la chaîne d'approvisionnement af... - 0 views

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    Le Président de la COMECE, le Cardinal Jean-Claude Hollerich sj, et d'autres évêques délégués à la COMECE, ainsi que plus de 110 évêques catholiques du monde entier, ont signé ce lundi 6 juillet 2020 la déclaration « Aujourd'hui plus que jamais, un devoir de diligence s'impose dans la chaîne d'approvisionnement afin de mettre un terme aux abus commis par les entreprises et de garantir une solidarité mondiale », demandant aux autorités publiques d'introduire une législation contraignante afin de mettre un terme aux abus commis par les entreprises, réglementer leurs activités et les rendre légalement responsables.
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Comece - La COMECE contribue à la consultation de l'UE sur la diligence raiso... - 0 views

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    "La COMECE salue l'initiative proposée par l'UE de tenir les entreprises pour responsables des violations des droits de l'homme et des dommages environnementaux tout au long de leurs chaînes d'approvisionnement, et appelle à une approche ambitieuse pour offrir aux victimes d'abus des entreprises un accès effectif à la justice. Cette contribution a été élaborée conjointement avec CIDSE, Pax Christi International et Justice & Paix Europe."
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Terra Nova - Répondre à une crise de solvabilité sans hypothéquer la transiti... - 0 views

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    De nombreuses propositions, y compris au niveau européen, mettent la priorité sur des plans de "relance verte". Dans certains secteurs, un tel plan de relance verte est aisé à imaginer : les investissements dans des moyens de transports décarbonés, des véhicules électriques aux grands projets de transports en commun, pourraient être renforcés. Certains chantiers déjà en cours, au premier rang desquels celui du métro du Grand Paris, offriraient même la possibilité d'un premier impact macroéconomique rapide sur la demande. Mais tous les secteurs et entreprises ne sont pas logés à la même enseigne : des secteurs très émissifs comme le transport aérien sont les premiers touchés par la crise. Les TPE-PME présentent un bilan carbone varié, selon leur secteur, mais se trouvent également en première ligne face aux impacts économiques du confinement, alors même que l'Etat ne dispose pas d'outils directs aussi efficaces et ciblés que pour les grandes entreprises qui, elles, peuvent bénéficier d'un soutien sur mesure. Il ne s'agit donc pas tant d'articuler une stratégie de soutien uniquement autour des enjeux climatiques, mais bien de concevoir une réponse qui ne soit pas entièrement orthogonale aux priorités d'hier qui seront également celles de demain, au premier rang desquelles la transition écologique. Au-delà des mesures de court terme et d'une intervention en solvabilité dont les conditionnalités seront malgré tout contraintes par les réalités économiques des entreprises, il est possible de concevoir une politique de relance à moyen terme présentant des co-bénéfices plus importants dans le domaine de l'écologie. Ces co-bénéfices ne doivent pas être simplement vus comme une façon d'atteindre deux objectifs, écologiques et économiques, en même temps dans un contexte de moyens contraints. Au contraire, les bénéfices écologiques d'une politique de relance permettent de doubler le stimulus de co
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Ademe - Synthèse - Etude sur la caractérisation des effets rebonds induits pa... - 0 views

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    Présentation du Journal de l'Environnement Dans une nouvelle étude, l'Agence de la transition écologique (Ademe) a caractérisé les « effets rebond » du télétravail, comprenant l'usage de la visioconférence, qui minorent d'un tiers les bénéfices environnementaux induits par cette pratique. Réduire la taille du texteAugmenter la taille du texteImprimer cette pageEnvoyer par e-mail En cette période de crise sanitaire du coronavirus, le Gouvernement recommande de continuer à privilégier le télétravail, lorsque cela est possible. L'Agence de la transition écologique (Ademe) a étudié, en juillet dernier, l'impact du travail en ligne à domicile qui a été plébiscité par les salariés pendant le confinement. Dans une nouvelle étude publiée le 22 septembre, l'Ademe prévient toutefois des « effets rebond » qui pénalisent les bénéfices environnementaux de cette pratique. L'agence a mené une enquête terrain auprès de 26 organisations françaises comptant 350 000 salariés. Ces entreprises ont été interrogées sur leur politique en matière de télétravail actuelle et future, permettant de caractériser les éventuels effets rebond. Ainsi, l'absence de trajets quotidiens pour aller au bureau est le principal avantage des télétravailleurs. Un jour de télétravail permet en effet de réduire de 69 % le volume des déplacements du jour. L'Ademe estime que la réduction des trajets domicile-travail génère un bénéfice environnemental moyen de 271 kilogrammes équivalent carbone (kg eqCO2) annuels, par jour de télétravail hebdomadaire. Pour les entreprises, l'agence ajoute aussi des bénéfices, en intégrant les réductions des surfaces immobilières qu'il induit, quand il est couplé « au flex office ». C'est-à-dire lorsque les collaborateurs d'une entreprise ne disposent plus de poste de travail attitré. La balance environnementale globale du télétravail augmente de 52 % par jour de télétravail hebdomadaire, si le télétravai
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Ademe - Rapport final - Etude sur la caractérisation des effets rebonds indui... - 0 views

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    Présentation du Journal de l'Environnement Dans une nouvelle étude, l'Agence de la transition écologique (Ademe) a caractérisé les « effets rebond » du télétravail, comprenant l'usage de la visioconférence, qui minorent d'un tiers les bénéfices environnementaux induits par cette pratique. Réduire la taille du texteAugmenter la taille du texteImprimer cette pageEnvoyer par e-mail En cette période de crise sanitaire du coronavirus, le Gouvernement recommande de continuer à privilégier le télétravail, lorsque cela est possible. L'Agence de la transition écologique (Ademe) a étudié, en juillet dernier, l'impact du travail en ligne à domicile qui a été plébiscité par les salariés pendant le confinement. Dans une nouvelle étude publiée le 22 septembre, l'Ademe prévient toutefois des « effets rebond » qui pénalisent les bénéfices environnementaux de cette pratique. L'agence a mené une enquête terrain auprès de 26 organisations françaises comptant 350 000 salariés. Ces entreprises ont été interrogées sur leur politique en matière de télétravail actuelle et future, permettant de caractériser les éventuels effets rebond. Ainsi, l'absence de trajets quotidiens pour aller au bureau est le principal avantage des télétravailleurs. Un jour de télétravail permet en effet de réduire de 69 % le volume des déplacements du jour. L'Ademe estime que la réduction des trajets domicile-travail génère un bénéfice environnemental moyen de 271 kilogrammes équivalent carbone (kg eqCO2) annuels, par jour de télétravail hebdomadaire. Pour les entreprises, l'agence ajoute aussi des bénéfices, en intégrant les réductions des surfaces immobilières qu'il induit, quand il est couplé « au flex office ». C'est-à-dire lorsque les collaborateurs d'une entreprise ne disposent plus de poste de travail attitré. La balance environnementale globale du télétravail augmente de 52 % par jour de télétravail hebdomadaire, si le télétravai
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Pourquoi enseigner le développement durable en école de commerce ? - 0 views

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    "Dans un contexte de crise économique, la question de la résilience des entreprises est clairement posée. La prise en compte du développement durable par celles-ci doit donc être vue comme un enjeu stratégique majeur. Les récentes études montrent très nettement que l'intégration de la dimension sociale et environnementale et leur mise en œuvre concrète dans les entreprises sont à l'origine d'une meilleure performance économique."
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Paul Perdrieu, ou l'art de valoriser les entreprises éco-innovantes | La-Croi... - 0 views

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    "Parfois avant même la rubrique des « Entrepreneurs responsables », le site Cleantech Republic a déjà repéré les entreprises éco-innovantes de demain. Et c'est normal, puisque depuis 2009, Cleantech est un média spécialisé dans les informations sur les start-up qui inventent des solutions pour moins consommer et moins polluer la planète."
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CLIMAT - Ne pas faire l'économie de l'écologie intégrale | Eglises & écologie... - 0 views

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    "Ça bouge aussi du côté des entreprises. Ce 27 octobre, les Entrepreneurs et dirigeants chrétiens (EDC), qui regroupent 2700 membres, ont signé le « Manifeste des entreprises » aux côtés de l'union internationale des dirigeants chrétiens (UNIAPAC). Un manifeste qui fait plus impressionnnant en anglais : » Business proposals in a view of a 2015 international climate change agreement at COP21 in Paris »."
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"L'accord de la COP21 marque très peu de progrès" - 0 views

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    "Mission remplie pour la COP21. 195 pays et l'Union européenne ont accouché d'un accord signé par tous. L'euphorie du week-end passée, vient le temps de l'analyse : que va changer cet accord pour les entreprises ? Pas grand-chose a priori pour Gérald Maradan, directeur général d'EcoAct, cabinet de conseil qui accompagne entreprises, institutions et territoires dans la mise en place de stratégies carbone, politiques RSE et démarches d'éco-innovation. Interrogé par L'Usine Nouvelle, il déplore qu'au-delà des bonnes intentions affichées, l'accord ne marque guère de progrès. "
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Climat : les entreprises sont-elles un problème ou une partie de la solution ... - 0 views

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    "Dans la perspective de la COP21, qui se tient, à Paris, du 30 novembre au 11 décembre, Le Monde, en partenariat avec l'Institut Montaigne, confronte les analyses des dirigeants de grandes entreprises et de personnalités, experts du climat, économistes et élus. Quatrième et dernier entretien entre Pierre-André de Chalendar, PDG de Saint-Gobain, et Yannick Jadot, député européen EELV."
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Revue Projet - Le climat, un enjeu stratégique pour les entreprises - 0 views

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    "Bilans carbone, agenda des solutions... les entreprises bougent face au défi climatique. Du moins, les grands groupes. De là à reconsidérer leur business model ?"
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