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DREES - Les valeurs des jeunes adultes, leur perception de l'avenir et de la protection... - 0 views

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    La Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) publie trois études sur les valeurs, jugements et opinions des jeunes en France et en Europe, dans la collection « Les Dossiers de la DREES ». Elle mobilise pour cela dix années de son Baromètre d'opinion sur la protection sociale, et s'appuie sur les réponses de près de 8 000 jeunes de 18 à 29 ans, interrogés entre 2004 et 2014. À l'encontre des idées reçues, les jeunes Français sont globalement optimistes pour leur avenir, et dans des proportions bien plus fortes que leurs ainés : 65 % des moins de 25 ans contre 46 % des 50-54 ans. De même, si 44 % des jeunes Français de moins de 25 ans pensent avoir une moins bonne situation que leurs parents au même âge (tendance en hausse depuis la crise économique), ce sentiment de « déclassement intergénérationnel » est plus faible que chez les 25-50 ans. Les jeunes Français sont néanmoins toujours bons derniers au palmarès des optimistes en Europe, dépassés même par les jeunes des pays les plus touchés par la crise (Espagne, Portugal). Des clivages apparaissent en outre avec, d'un côté, les jeunes en cours d'études ou en emploi et diplômés du supérieur, les plus optimistes pour leur avenir, et de l'autre, les jeunes les moins diplômés et les précaires, qui le sont le moins. Famille, genre, immigration : les jeunes défendent des valeurs d'ouverture Les jeunes Français sont plus favorables que leurs aînés à l'égalité des rôles entre les femmes et les hommes, plus tolérants aux nouvelles formes de couples et de familles et rejettent globalement l'ensemble des stéréotypes de genre, à l'opposé des plus de 65 ans dont les opinions diffèrent très fortement. Neuf jeunes sur dix sont en désaccord avec le modèle traditionnel de la femme au foyer s'occupant des enfants, et tout autant avec l'idée de privilégier l'emploi des hommes à celui des femmes. De mêm
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France Stratégie / HCFEA - Tome I : Etat des lieux - L'accueil des enfants de... - 0 views

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    Le développement des modes d'accueil de la petite enfance est une des priorités de la politique familiale. Permettant aux parents une meilleure articulation entre vie familiale et vie professionnelle, ils sont souvent mis en exergue pour expliquer la réussite du modèle français en termes de natalité et de taux d'emploi des femmes. La France se caractérise en effet, par rapport à la plupart de ses voisins européens, par une offre développée et diversifiée de solutions d'accueil, qu'il s'agisse de places en crèches (établissements d'accueil de jeunes enfants - EAJE), de possibilités de faire garder son enfant par une assistante maternelle[1] au domicile de celle-ci, ou au domicile des parents, par la préscolarisation dès l'âge de deux ans dans des écoles maternelles, ou par le recours des parents à un congé parental d'éducation (CPE) à temps plein ou partiel, accompagné ou non d'une indemnisation au travers de la prestation partagée d'éducation de l'enfant (PreParE). Le recours effectif des familles aux différents modes d'accueil résulte de choix sous contraintes multiples et complexes : l'offre de modes d'accueil disponible localement et les manques éventuels de celle-ci, l'accessibilité financière à ces modes d'accueil, la complexité des situations familiales et professionnelles (contraintes horaires, possibilité d'aide familiale…). Mais il vise avant tout à trouver une solution qui réponde au mieux aux besoins spécifiques des très jeunes enfants sur tous les plans : physique, affectif, cognitif, émotionnel et social, en offrant la meilleure qualité de service possible sur ces différents plans. Malgré une politique volontariste, et des attentes encore importantes exprimées par les familles, le développement de l'offre semble se tarir ces dernières années. Les résultats observés durant la période 2013-2017, couverte par la dernière convention d'objectifs et de gestion (COG)
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France Stratégie / HCFEA - Tome II : Orientations - L'accueil des enfants de ... - 0 views

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    Le développement des modes d'accueil de la petite enfance est une des priorités de la politique familiale. Permettant aux parents une meilleure articulation entre vie familiale et vie professionnelle, ils sont souvent mis en exergue pour expliquer la réussite du modèle français en termes de natalité et de taux d'emploi des femmes. La France se caractérise en effet, par rapport à la plupart de ses voisins européens, par une offre développée et diversifiée de solutions d'accueil, qu'il s'agisse de places en crèches (établissements d'accueil de jeunes enfants - EAJE), de possibilités de faire garder son enfant par une assistante maternelle[1] au domicile de celle-ci, ou au domicile des parents, par la préscolarisation dès l'âge de deux ans dans des écoles maternelles, ou par le recours des parents à un congé parental d'éducation (CPE) à temps plein ou partiel, accompagné ou non d'une indemnisation au travers de la prestation partagée d'éducation de l'enfant (PreParE). Le recours effectif des familles aux différents modes d'accueil résulte de choix sous contraintes multiples et complexes : l'offre de modes d'accueil disponible localement et les manques éventuels de celle-ci, l'accessibilité financière à ces modes d'accueil, la complexité des situations familiales et professionnelles (contraintes horaires, possibilité d'aide familiale…). Mais il vise avant tout à trouver une solution qui réponde au mieux aux besoins spécifiques des très jeunes enfants sur tous les plans : physique, affectif, cognitif, émotionnel et social, en offrant la meilleure qualité de service possible sur ces différents plans. Malgré une politique volontariste, et des attentes encore importantes exprimées par les familles, le développement de l'offre semble se tarir ces dernières années. Les résultats observés durant la période 2013-2017, couverte par la dernière convention d'objectifs et de gestion (COG)
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France Stratégie / HCFEA - Synthèse - L'accueil des enfants de moins de trois... - 0 views

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    Le développement des modes d'accueil de la petite enfance est une des priorités de la politique familiale. Permettant aux parents une meilleure articulation entre vie familiale et vie professionnelle, ils sont souvent mis en exergue pour expliquer la réussite du modèle français en termes de natalité et de taux d'emploi des femmes. La France se caractérise en effet, par rapport à la plupart de ses voisins européens, par une offre développée et diversifiée de solutions d'accueil, qu'il s'agisse de places en crèches (établissements d'accueil de jeunes enfants - EAJE), de possibilités de faire garder son enfant par une assistante maternelle[1] au domicile de celle-ci, ou au domicile des parents, par la préscolarisation dès l'âge de deux ans dans des écoles maternelles, ou par le recours des parents à un congé parental d'éducation (CPE) à temps plein ou partiel, accompagné ou non d'une indemnisation au travers de la prestation partagée d'éducation de l'enfant (PreParE). Le recours effectif des familles aux différents modes d'accueil résulte de choix sous contraintes multiples et complexes : l'offre de modes d'accueil disponible localement et les manques éventuels de celle-ci, l'accessibilité financière à ces modes d'accueil, la complexité des situations familiales et professionnelles (contraintes horaires, possibilité d'aide familiale…). Mais il vise avant tout à trouver une solution qui réponde au mieux aux besoins spécifiques des très jeunes enfants sur tous les plans : physique, affectif, cognitif, émotionnel et social, en offrant la meilleure qualité de service possible sur ces différents plans. Malgré une politique volontariste, et des attentes encore importantes exprimées par les familles, le développement de l'offre semble se tarir ces dernières années. Les résultats observés durant la période 2013-2017, couverte par la dernière convention d'objectifs et de gestion (COG)
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BVA - Prendre en compte la parentalité dans la vie au travail - 0 views

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    ésultats d'une consultation menée auprès de près de 37 000 salariés par le Conseil supérieur de l'égalité entre les femmes et les hommes (CSEP) et l'Institut BVA Dix grandes entreprises : Air France, Engie, Expertise France, EY, Legrand, Schneider Electric, Siemens, SNCF, SUEZ, Veolia ont lancé auprès de leurs salariés une grande enquête sur la prise en compte de la parentalité au travail en partenariat avec le CSEP et l'institut BVA. Un premier chiffre encourageant : 78% des pères ont pris leur congé de paternité et d'accueil de l'enfant dans leur intégralité (seulement 47% des cadres dirigeants), mais, à l'arrivée d'un enfant, ils ne sont que 6% à réduire ou à arrêter leur activité contre 47% des mères. Mêmes inégalités du côté de la répartition des tâches : 55% des mères disent prendre majoritairement en charge les responsabilités parentales et la charge mentale associée contre 8% des pères. Et pourtant, un décalage peut s'observer entre la réalité des pratiques et le ressenti exprimé. La moitié des pères estiment se charger des tâches parentales à égalité avec leur conjoint.e contre uniquement 37% des mères qui ont ce sentiment. Même ambivalence dans le sentiment de l'impact de la grossesse et de la parentalité sur la carrière, puisque 75% des femmes reconnaissent un impact négatif de la maternité sur fond de sexisme ambiant souvent fort. De même, seuls 6% des parents ont le sentiment de pouvoir tout à fait profiter de leur enfant autant qu'ils le souhaiteraient, mais dans le même temps, plus de 70% des pères et des mères se disent satisfaits en termes d'articulation de leur vie familiale et professionnelle. Enfin, on constate une assez grande méconnaissance des droits associés à la parentalité et les politiques d'entreprise menées en la matière sont jugées insuffisantes ou méconnues. On a un donc un statut quo souvent paradoxal qui montre la nécessité de rééqui
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France Stratégie - Un nouvel âge pour l'école maternelle ? - 0 views

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    Pionnière dans l'accueil universel des enfants, l'école maternelle française a longtemps bénéficié d'une excellente réputation, au point de servir de modèle à l'étranger. Aujourd'hui, une comparaison européenne conduit à un tableau quelque peu différent, pour trois raisons. Tout d'abord, la France présente une dépense par élève relativement faible et des classes de taille importante. Ensuite, notre école maternelle se caractérise par une forte et constante focalisation sur la préparation aux apprentissages formels de l'école élémentaire, que l'on ne retrouve pas - avec une telle ampleur -chez nos voisins. Une inflexion récente et des textes o ciels qui appellent à prendre en compte le développement de l'enfant dans toutes ses dimensions - sensorielle, motrice, cognitive, sociale et affective - n'ont pas effacé cette « primarisation » de la maternelle. La formation des enseignants de maternelle, poussée mais peu spécialisée, n'a fait qu'accentuer la tendance. Enfin, le modèle français, dual, avec une forte césure entre l'accueil des 0-3 ans et la préscolarisation à partir de cet âge, apparaît désormais de plus en plus isolé face au développement en Europe des systèmes « intégrés » d'accueil du jeune enfant, qui traitent comme un bloc la période allant de la première année à l'âge de la scolarité obligatoire. Comment tirer parti de ces constats pour dessiner l'avenir de l'école maternelle française ? À court terme, il serait pertinent d'expérimenter un renforcement de l'encadrement des élèves, en le hissant à la moyenne de l'OCDE. Il conviendrait aussi d'améliorer la spécialisation des enseignants et la qualification des agents territoriaux spécialisés des écoles maternelles (Atsem), et de mieux accompagner les innovations pédagogiques initiées par les enseignants. À plus long terme, l'évolution vers un système intégré, regroupant progressivement
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Insee - Bilan démographique 2020 - 2 views

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    "Au 1ᵉʳ janvier 2021, la France compte 67,4 millions d'habitants. Au cours de l'année 2020, la population a augmenté de 0,3 %. Cette progression est due pour moitié au solde naturel (+ 82 000 personnes), différence entre les nombres de naissances et de décès. Il a fortement baissé du fait de la forte hausse des décès liée à la pandémie de Covid-19. En 2020, 740 000 bébés sont nés en France. En recul depuis 2015, l'indicateur conjoncturel de fécondité s'établit à 1,84 enfant par femme en 2020. La France reste, en 2018, le pays le plus fécond de l'Union européenne. En 2020, 658 000 personnes sont décédées en France, soit 7,3 % de plus qu'en 2019. La pandémie de Covid-19 a particulièrement affecté les décès au printemps et en fin d'année. L'espérance de vie à la naissance s'établit à 85,2 ans pour les femmes et à 79,2 ans pour les hommes. Elle diminue nettement par rapport à 2019 (- 0,4 an pour les femmes et - 0,5 an pour les hommes). La baisse est bien plus forte qu'en 2015, année marquée par une forte grippe hivernale (- 0,3 an et - 0,2 an). En 2020, 148 000 mariages ont été célébrés, en recul de 34 % par rapport à 2019, la pandémie ayant empêché la tenue des célébrations ou incité à les repousser en raison de la limitation du nombre d'invités."
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CNCDH - Publication du rapport "Orientation sexuelle, identité sexuelle et in... - 0 views

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    "En 2018, la Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH), forte de son expérience issue de l'élaboration des rapports annuels sur la lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la xénophobie, s'est vu confi er par le Premier ministre le mandat d'évaluation de la mise en oeuvre des Plans de mobilisation contre la haine et les discriminations anti-LGBT, élaborés par la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la haine anti-LGBT (DILCRAH). C'est dans le cadre de cette mission d'évaluation que la CNCDH a rédigé son premier rapport sur la lutte contre les LGBTIphobies et l'effectivité des droits des personnes LGBTI. Le rapport s'articule autour de quatre parties et formule une série de recommandations à l'attention des pouvoirs publics afin d'améliorer les politiques de lutte contre les discriminations et pour l'égalité. La première partie dresse un état des lieux en analysant d'une part, les résultats détaillés d'une enquête originale sur les préjugés fondés sur l'orientation sexuelle, l'identité de genre en France et en tentant d'autre part, d'identifier et quantifier les actes LGBTIphobes en France, en s'appuyant sur l'ensemble des données disponibles. La deuxième partie du rapport décrit le système juridique, tant international que national, relatif à la lutte contre les discriminations anti-LGBTI et à la protection des droits. La troisième partie présente les différents acteurs concernés qui œuvrent pour cette lutte spécifique. La quatrième partie décline ce triple objectif : connaître les violations des droits, combattre les discriminations et promouvoir l'égalité, dans neuf domaines au sein desquels l'action publique pourrait se développer : l'école, l'enseignement supérieur, le travail, le sport, le monde de la culture, la santé, le champ judiciaire, l'asile et l'immigration et la diplomatie."
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Les Français et l'intergénérationnel | TNS Sofres - 0 views

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    "Le pessimisme collectif des Français ne se résorbe pas et de nombreuses analyses dressent désormais le portrait d'une France qui a peur de l'avenir, exclut et se fracture. Le « c'était mieux avant » se reflète dans notre enquête : 63% des Français estiment que les relations entre générations sont moins fortes qu'il y a 20 ans, un jugement partagé par toutes les tranches d'âge. Pourtant, même si ce pessimisme collectif se répercute sur leur façon de penser ou de voir le monde, les Français parviennent encore à fabriquer du lien social et le réinventent. L'importance accordée aux liens intergénérationnels en témoigne : 97% des Français disent avoir déjà participé à une activité de solidarité intergénérationnelle dont 82% qui y participent actuellement. Concrètement : 73% des Français déclarent avoir déjà apporté une aide en nature à leurs parents (services domestiques, soins, aides à la vie quotidienne) et 52% à leurs enfants adultes ou petits enfants, 73% disent prendre régulièrement des nouvelles de leurs voisins plus âgés, 48% déclarent apporter une aide en nature à des tiers d'une autre génération. On note toutefois des disparités par âge. Les plus jeunes (moins de 35 ans) aspirent à des activités qui touchent à la transmission des savoirs et aux échanges en matière d'éducation et d'apprentissage (ce qu'ils ont déjà fait ou ce qu'ils aimeraient faire : initier des jeunes à un métier, faire du soutien scolaire, donner des cours de musique, d'informatique… à des personnes âgées ou intervenir dans des écoles ou universités). Les plus âgés (50 ans et plus) sont davantage dans le présent (ils participent déjà à ces activités) et dans l'entraide avec leurs cercles de proximité (prendre des nouvelles des voisins, apporter une aide financière ou en nature à leurs enfants)."
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En matière d'homosexualité et d'avortement, la voix du Tiers Monde - 0 views

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    "Le pape François exhorte à s'ouvrir aux "périphéries" du globe. Mais alors ce n'est pas par l'Allemagne ou par la France que la doctrine et la pratique de l'Église en matière de mariage homosexuel et d'accès des divorcés remariés à la communion peuvent être définies Au cours des démarches de préparation au synode consacré à la famille, l'un des éléments qui ont eu l'impact le plus fort a été le questionnaire qui a été distribué "dans le but d'obtenir des données concrètes et réelles à propos du thème du synode"Aussi bien la formulation des 39 questions qui constituent ce questionnaire que les modalités de collecte des réponses n'ont pas permis de réaliser une présentation statistique des résultats. Les réponses devaient rester confidentielles. Cependant certains épiscopats, en particulier ceux des pays de langue allemande, Allemagne Autriche, Suisse, les ont rendues publiques, ce qui a mis en évidence le fait que, dans ces pays, il existe une grande distance entre, d'une part, l'enseignement de l'Église en matière de morale et, d'autre part, l'opinion et le comportement de très nombreux fidèles. Le secrétariat du synode est en train de préparer un rapport général à propos des réponses données au questionnaire. Mais, en attendant la publication de ce rapport, il peut être utile de parcourir les résultats d'une enquête scientifique qui a été menée dans 40 pays des cinq continents par celui des centres de recherche sur les religions qui fait le plus autorité, le Pew Research Center, dont le siège se trouve à Washington"
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Diocèse de Saint-Étienne - Un synode sur la famille lancé par le Pape Françoi... - 0 views

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    "Le Pape François a décidé un synode sur la famille qui aura lieu en deux sessions en 2014 et 2015. Pour le préparer, tous les diocèses du monde ont reçu un questionnaire pour mieux connaitre la situation des familles. À l'échelle du diocèse de Saint-Étienne, nous venons de réunir en décembre une centaine de personnes (en deux réunions), envoyées par les paroisses et les mouvements d'Église, pour « obtenir une contribution de la base ». Début janvier, nous devrons en envoyer la synthèse à la Conférence des évêques de France qui transmettra à Rome. Une conclusion rapide montre plusieurs éléments : Une satisfaction des chrétiens d'être, pour la première fois à cette échelle, consultés sur ces questions. Une méconnaissance assez générale chez les chrétiens des enseignements de l'Église sur la famille. Le ressenti d'un fort décalage entre le chemin proposé par l'Église et la réalité de vie des familles du diocèse sur certains aspects. Une forte attente de « réponse » de la part du prochain synode des évêques. Si vous souhaitez répondre succinctement à quelques questions qui vous tiennent à cœur ou pour lesquelles vous avez une compétence particulière, n'hésitez pas à le faire rapidement à partir du questionnaire ci-dessous. Merci de vous soucier de la pastorale des familles !"
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Assemblée nationale - Proposition de loi nº 3163 favorisant l'émergence d'un ... - 0 views

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    En France le recours à la résidence alternée est de plus en plus fréquent. Selon une étude de l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) de janvier 2019 : « La proportion d'enfants de moins de 18 ans en résidence alternée a doublé entre 2010 et 2016, et atteint 2,7 % en 2016. Ainsi, 400 000 enfants vivent la moitié du temps chez chacun de leurs parents séparés ». (…) Les français aspirent à l'émergence d'un nouveau modèle de parentalité permettant aux parents d'entretenir des liens forts et réguliers avec leur enfant afin qu'il reçoive les soins, l'éducation, l'instruction et l'assistance morale de chacun d'eux. Il est évident que l'entretien de ces liens est dans l'intérêt de l'enfant et cet intérêt commande l'émergence de ce modèle de coparentalité. (…) L'émergence d'un modèle de coparentalité dans l'intérêt supérieur de l'enfant commande l'établissement d'une présomption légale de résidence alternée. Cette présomption présente deux bénéfices : la détermination de la charge de la preuve et la réduction des contentieux.
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Assemblée nationale - Proposition de loi nº 3161 visant à réformer l'adoption - 0 views

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    En France le recours à la résidence alternée est de plus en plus fréquent. Selon une étude de l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) de janvier 2019 : « La proportion d'enfants de moins de 18 ans en résidence alternée a doublé entre 2010 et 2016, et atteint 2,7 % en 2016. Ainsi, 400 000 enfants vivent la moitié du temps chez chacun de leurs parents séparés ». (…) Les français aspirent à l'émergence d'un nouveau modèle de parentalité permettant aux parents d'entretenir des liens forts et réguliers avec leur enfant afin qu'il reçoive les soins, l'éducation, l'instruction et l'assistance morale de chacun d'eux. Il est évident que l'entretien de ces liens est dans l'intérêt de l'enfant et cet intérêt commande l'émergence de ce modèle de coparentalité. (…) L'émergence d'un modèle de coparentalité dans l'intérêt supérieur de l'enfant commande l'établissement d'une présomption légale de résidence alternée. Cette présomption présente deux bénéfices : la détermination de la charge de la preuve et la réduction des contentieux.
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Fréjus - Vivons la 2e Journée mondiale des grands-parents et des personnes âg... - 0 views

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    "Du 15 au 18 septembre, le sanctuaire de Notre-Dame de Grâce organisera un pèlerinage des grands-parents sur le même thème que la journée du 24 juillet. 3 journées riches de prières, de rencontres et d'enseignements, encadrées par Jean-Noël Dumont, philosophe français et maintes fois grand-père. https://nd-de-graces.com/temps-forts/?oaq%5Buid%5D=60886771   Projet "Roulez Jeunesse". C'est l'histoire de deux jeunes de 26 ans, Vianney et Foucault, originaires de Bretagne et du Nord, qui ont décidé de parcourir 2500 km dans toute la France à la rencontre des aînés du pays. Sur les 32 étapes de leur chemin (dont une à Toulon), des rencontres programmées, certaines providentielles, avec des personnes âgées portant une mémoire à transmettre. De ces échanges riches naîtra un livre prochainement, pour faire le lien entre les génération et que les jeunes retrouvent des repères par leurs aînés."
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Le chômage retarde l'arrivée du premier enfant en France | Alliance Vita - 0 views

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    "L'Institut national d'études démographiques (Ined) a publié ce 10 décembre 2015 une étude dans sa rubrique « Population et Sociétés » intitulée « Le chômage retarde l'arrivée du premier enfant en France ». Cette publication fait suite à l'enquête Érfi réalisée par l'Ined et l'Insee en France métropolitaine pour laquelle 10 079 hommes et femmes âgés de 18 à 79 ans ont été interrogés fin 2005, puis trois et six ans plus tard (fin 2008 et fin 2011). Les auteurs rapportent que les hommes et les femmes ont moins l'intention d'avoir un premier enfant dans un avenir proche lorsqu'ils sont au chômage. En outre pour ceux qui souhaitent devenir parents, ce projet est retardé lorsqu'ils connaissent un épisode de chômage. Ce retard s'explique par un report de la mise en couple pour les hommes, et par l'attente d'une situation professionnelle stable pour les femmes. En revanche, le chômage n'affecte pas la réalisation des projets d'enfant pour ceux qui sont déjà parents. L'étude conclut que le contexte actuel de crise questionne les effets de long terme du chômage sur la fécondité. Les travaux menés sur des périodes antérieures montrent que le déclin de la fécondité observé en période de hausse du chômage est temporaire et souvent suivi d'une reprise des naissances au retour de la prospérité. Dans un contexte de forte prégnance du modèle de la famille à deux enfants et d'une politique sociale qui amortit les risques, les auteurs estiment que l'effet du chômage sur la descendance finale reste limité."
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Qu'attendre du Synode ? - France Catholique - 0 views

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    "Il convient de remercier le cardinal André Vingt-Trois pour la mise au point fort utile qu'il a faite à propos de la querelle autour des propositions du cardinal Walter Kasper sur les divorcés-remariés (La Croix, 3 octobre 2014). On sait que ces propositions sont à l'origine d'un débat que nous avons évoqué dans ce journal. Mais il faut en circonscrire les conséquences pratiques qui n'ont rien à voir avec le bouleversement de la discipline de l'Église, évoqué par certains : « Je ne suis pas sûr, explique l'archevêque de Paris, que cela justifiait un tel bruit… Il suffit de dire que les divorcés-remariés relèvent de réponses personnalisées et par définition, les réponses particulières ne font pas l'objet d'une loi universelle, mais d'un accompagnement ajusté à chaque cas. » En tout état de cause, les conditions mises par le cardinal Kasper à un accueil eucharistique ne concernent qu'une faible minorité de personnes. Contrairement à ce qu'affirment bon nombre de médias, il ne s'agit nullement de remettre en cause la doctrine catholique du sacrement de mariage. Et si l'exemple orthodoxe est pris à témoin, il ne s'agit pour personne, à ce jour, de reprendre les règles de bénédiction de nouvelles unions, qui pourraient dissoudre l'union sacramentelle."
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Une crise possible ? - France Catholique - 0 views

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    "Le synode sur la Famille, qui a tenu sa dernière session le samedi 24 octobre à Rome, ouvre-t-il une période de crise pour l'Église ? On peut légitimement poser la question, ne serait-ce que pour tenter de la conjurer dans les meilleures conditions, c'est-à-dire en examinant soigneusement les causes de désaccord, pour leur apporter les réponses les mieux fondées. Le Pape, en voulant que l'Église aborde résolument les difficultés actuelles de la famille, s'est exposé à susciter des conflits au sein même du collège épiscopal. Ce n'est pas une nouveauté dans l'histoire du christianisme. Au cours de Vatican II, on a suffisamment parlé des désaccords entre la majorité conciliaire et une opposition tenace, avec des moments de forte tension. On ne voit pas pourquoi l'institution échapperait à des turbulences provoquées par de rudes explications. N'était-ce pas déjà le cas au moment du premier concile de Jérusalem, tel qu'il est rapporté par les Actes des apôtres et où l'on voit s'opposer « les colonnes de l'Église », Pierre, Paul et Jacques, sur un sujet qui conditionnait l'essor de la prédication évangélique dans tout le bassin méditerranéen ? Et ce qui concerne la tête n'est nullement indifférent aux membres. L'association américaine Voice of the Family n'a-t-elle pas prévenu que le Pape devrait affronter une telle crise ?"
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Le pape François a une odeur de brebis | Koztoujours - 0 views

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    "Ce n'est pas en peignant la doctrine, en lui faisant des frisettes et des dentelles, que l'Eglise « réintégrera tous les hommes dans la famille de Dieu ». Car, bien sûr, faisons concret : sur un axe qui va de Rambouillet à Paris VII, en passant par Versailles et par chez moi1, des réserves se feraient jour. Eh oui. On passerait notre temps à essayer d'être des parfaits, et le pape passerait le sien à sortir du campement. Le synode sur la famille avive des inquiétudes : le pape va-t-il bazarder la doctrine ? De fait, le pape est parti dans le désert chercher 99 brebis et la démarche est risquée : je crains fort que la moindre ouverture scandalise les uns, et que ceux qui espèrent une libéralisation ne se leurrent sur le synode et ne soient tristement déçus à sa conclusion. La tournée du Cardinal Sarah en France est là pour nous rappeler à raison que l'Eglise n'est pas l'affaire des Européens. Elle n'est pas davantage l'affaire de quelques cardinaux Allemands ou Autrichiens. Elle est aussi l'affaire de l'Afrique, où les enjeux relèvent davantage du refus de la polygamie que des divorcés-remariés. Cette équation est complexe, et François prend un vrai risque en ne laissant pas la poussière sous le tapis mais au moins, il essaie d'ouvrir les portes et les fenêtres et de faire entrer de l'air !"
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INSEE - Un premier enfant à 28,5 ans en 2015 : 4,5 ans plus tard qu'en 1974 - 0 views

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    "En 2015, en France, les femmes donnent naissance à leur premier enfant à 28,5 ans en moyenne, soit quatre ans et demi plus tard qu'en 1974. L'âge à la première maternité ne cesse d'augmenter depuis cette date. Sa hausse est toutefois moins rapide depuis une quinzaine d'années. Les femmes sont aussi plus âgées qu'auparavant à la naissance de leur deuxième ou troisième enfant, qu'elles ont en moyenne à 31,0 ans et 32,6 ans. Au total, tous rangs de naissance confondus, les femmes accouchent en moyenne à 30,4 ans. En 2012, les femmes les moins diplômées ont leur premier enfant quatre ans plus tôt que les plus diplômées. L'écart selon le niveau de diplôme s'est resserré de deux mois entre 2006 et 2012 du fait de l'augmentation plus rapide de l'âge au premier accouchement des mères les moins diplômées. En 2012, les femmes immigrées deviennent mères six mois plus tôt que l'ensemble des femmes à leur première maternité, avec de fortes disparités selon leur pays de naissance. Les femmes nées en Turquie accouchent de leur premier enfant à 24,3 ans et celles nées en Espagne ou en Italie deviennent mères à 31,4 ans en moyenne. Ces écarts reflètent en partie des différences de niveau de diplôme. Ils peuvent s'expliquer aussi par des facteurs culturels comme la fécondité des pays d'origine. Dans l'Union européenne, en 2014, l'âge au premier enfant est le plus faible en Bulgarie (25,8 ans) et le plus élevé en Italie (30,7 ans). Entre 2010 et 2014, il augmente dans presque tous les pays. "
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Synode : L'Église au XXIe siècle - France Catholique - 0 views

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    "Le synode qui s'achève à Rome cette semaine débouchera sans doute sur plus d'interrogations ouvertes que de réponses certaines. C'est le Pape lui-même qui a voulu une sorte d'état de tension au sein même de l'épiscopat, afin d'affronter les difficultés de l'évangélisation dans le monde d'aujourd'hui. Sa confiance irréductible dans l'indéfectibilité de la mission de l'Église explique cette forme d'audace qui sait calculer les risques mais n'hésite pas à provoquer les antagonismes. Ainsi, il y avait un risque à investir une sorte de cellule de pilotage du synode qui n'hésitait pas à contrer l'opinion majoritaire des évêques, en imposant des propositions qui n'avaient même pas été discutées par l'assemblée. Du coup, les médias reprenaient en chœur le slogan ressassé d'un épiscopat conservateur, refusant les réformes progressistes de l'avant-garde. Cette traduction idéologique à forte consonance politique, ne rendait aucunement compte de la complexité et de la profondeur des débats. Elle ne correspondait pas aux intentions véritables du Pape, qui n'apparaissaient pas toujours avec évidence."
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