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Aurialie Jublin

Autoentrepreneurs : « Pour moi, ce statut a été une révolution » | Rue89 Eco - 0 views

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    Témoignages sur les avantages du statut d'autoentrepreneur : - Se créer un travail à défaut d'en trouver - Eviter le RSA - Avoir des horaires flexibles - Ne pas subir les contraintes imposées par un employeur - Compléter sa retraite - Arrondir ses fins de mois - Ne plus travailler au noir - Apprendre de nouvelles compétences - Payer ses charges après avoir encaissé ses recettes - Créer ou maintenir une activité Mais - Effet pervers : une concurrence déloyale pour les intermittents, pas forcement pour les artisans
Aurialie Jublin

Quand la DRH a le titre de « directrice du bonheur » | Cadres et Dirigeants M... - 0 views

  • Comme elle l’explique dans son blog intitulé Miss Philomène, les DRH se doivent d’évoluer « d’un rôle de gestionnaire de capital humain vers un rôle de développeur de patrimoine humain […]. Cette évolution passera notamment par le développement d’une culture positive, de confiance et responsabilisante qui met l’humain et la notion d’équipe au centre des préoccupations de l’organisation; le développement d’une nouvelle génération de leaders, et le démantèlement des usines à gaz RH (SIRH, gestion des compétences, gestion des connaissances…) ».
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    "On pourrait penser à une blague belge, mais ce n'est pas le cas. Laurence Vanhée, DHR du Service public fédéral (SPF) belge de Sécurité sociale, a décidé de remplacer son titre de DRH (directrice des ressources humaines) par celui de « Chief Happiness Officer ». Avec un crédo : gérer des êtres humains (et non des ressources) et les rendre heureux au travail."
Aurialie Jublin

Matthieu ou la chronique de la disparition du travail - Metis - 1 views

  • C'est « le mécanisme de production de la valeur économique (qui) a ainsi été inversé : ce n'est plus le travail qui produit un profit pour alimenter le patrimoine des rentiers, c'est la promesse faite aux rentiers qui fait pression sur les profits des entreprises, qui elles-mêmes, ajustent le travail à la réalisation de cette exigence »
  • C'est entendu, la rente est l'avenir, le travail est damnation. Mais avec le travail, disparaît le sujet, le projet, le sens. Ils ne restent alors que des opérateurs, des « ressources » fussent-elles humaines, des ETP (équivalents temps pleins), par exemple mis sous pression d'indicateurs objectifs du type « nombre de contrats signés en 100 heures de travail ». Qu'importe les heures, les contrats et la manière de les signer...
  • Il n'y a que le travail qui produit de la valeur, sous estimant peut-être qu'une part de l'invisibilité du travail vient aussi, à la même période, de sa mutation. Ce travail est devenu intellectuel au profit d'une production ni mesurable, ni dénombrable, une production servicielle et de plus en plus immatérielle. Il reste que, « dans la vraie vie, le travail est vivant. (...), il est une triple expérience : expérience subjective valorisée par la reconnaissance, expérience objective par la performance et expérience collective par la solidarité »
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    "Matthieu expérimente l'emploi en même temps que l'invisibilité de son travail. Le travail a disparu. Comme dans la publicité, les tâches qui lui sont demandées en ont la forme, la couleur mais n'en sont pas. Il en a les obligations, les allers retours quotidiens, les horaires, la subordination, l'ambiance morose, mais il n'en a pas les opportunités. Il n'en rencontre pas les dimensions expressives que revendiquent même des salariés plus modestes des caisses de grande distribution (Isabelle Ferreras, Gouverner le capitalisme, PUF 2012). Il n'arrive pas à se sentir utile, il ne participe pas à un collectif, il n'est pas autonome et il ne voit rien d'intéressant dans ce qu'il a à faire."
Aurialie Jublin

Travail : quand le miroir numérique se substitue au réel - Union europeenne C... - 0 views

  • Je prêche donc, après en avoir été un apôtre et un acteur, pour limiter la projection numérique, en particulier en ce qui concerne le temps réel. Cela ne veut pas dire qu'il faut renoncer aux bénéfices apportés par la numérisation, mais simplement qu'il faut savoir s'arrêter pour laisser la part de jeu indispensable au bon fonctionnement. Un peu de numérisation est bénéfique, beaucoup peut être efficace, mais la numérisation totale est contre-productive parce qu'elle enlève au système la flexibilité et la capacité de jugement apportées par l'humain.
  • L'expertise tend à se sédimenter dans les systèmes informatiques et les progiciels ; le professionnalisme consiste de plus en plus à bien savoir utiliser ces dispositifs. Seul ou en collaboration, le travail consiste à nourrir ces dispositifs, à les enrichir avec des données de qualité, à les maintenir aux conditions opérationnelles et à les faire évoluer. La tendance est déjà à la mise à jour automatique de cette image. Bientôt, partout, la position et l'état de ces objets seront actualisés en temps réel.
  • Avant, les données numériques étaient le miroir de la réalité, elles suivaient son évolution. Avec ce retournement, c'est la réalité qui doit suivre et se conformer aux prévisions et aux simulations réalisées dans l'image numérique de l'entreprise. C'est bien l'image numérique qui devient l'instrument de travail, de prévision, de décision, de pilotage du réel : on doit atteindre les objectifs calculés par le tableur..., et d'ailleurs on en rend compte sur le même tableur.
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    "D'ici une dizaine d'années au plus, presque tous les « objets » d'une organisation (les hommes, les machines, les transactions...) auront leur image dans le système d'information (SI), en temps réel. C'est déjà le cas pour la plupart des objets : chaque agent, chaque objet important « existe » dans nos SI sous forme de fichier ou dans une base de données."
Aurialie Jublin

Site meilleures-entreprises.com - Faites la réputation de votre entreprise - 1 views

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    Message pour inciter les entreprises Vos collaborateurs sont vos meilleurs ambassadeurs ! Analysez les ressentis de vos équipes. Boostez ensemble votre attractivité. Développez votre visibilité dans un espace participatif."
Aurialie Jublin

What If Technology Is Destroying Jobs Faster Than It Creates Them? | TechCrunch - 1 views

Aurialie Jublin

After Your Job Is Gone | TechCrunch - 1 views

  • If this scenario plays out, the world will divide into a dwindling minority of the very rich — tech workers, finance barons, and those who inherited their wealth, mostly — living in a handful of idyllic cities dripping with wealth, and/or their summer homes on nearby beaches, lakes, and mountains … and the majority who barely get by, doing occasional contract work or odd jobs for a little extra money, too poor to even visit the places where the rich live, work, and play. Aside from those few with government jobs, there’ll be hardly any middle class at all between those two groups.
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    Article complet sur la disparition des emplois, sur la question "la technologie détruit-elle plus d'emploi qu'elle en créé?" et sur la mise en place d'un revenu minimum
abrugiere

Paul Jorion : "Le travail disparaît" CSOJ - YouTube - 0 views

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    le travail disparaît : tout individu dont le travail est remplacé par une machine devrait avoir un salaire à vie
Aurialie Jublin

"Une idée, un boulot" : le garagiste qui apprend à ses clients à réparer leur... - 1 views

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    Yann Raguenes, un jeune mécanicien automobile de 27 ans, a ouvert "Un garage et vous ", à Les Sorinières, près de Nantes, où il met à la disposition de ses clients, ses conseils et son matériel.
Aurialie Jublin

Inside Facebook's Internal Innovation Culture - Reena Jana - Harvard Business Review - 2 views

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    3 règles: 1. Encourage everyone - even those in the C-suite +(top executives)- to learn by making : it's important that top management weigh in directly on prototypes themselves before approving any project. 2- . A winning mobile strategy: ask what's essential and contextual. "Our attention span is different when we're using a phone. We need to give users something interesting, relevant, and create an experience where they can take action very quickly," 3. Physically mix up your work environment on a regular basis. "Your physical environment influences how you think and feel. If you want to build openness and collaboration, then the office must reflect that," Aronowitz said.
abrugiere

Innover, c'est désobéir - 4 views

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    culture qui encourage tout le monde à innover et à prendre des risques intelligents ». D'où l'idée que « l'innovation est l'affaire de tous » et pas simplement des labos ou des directions de l'innovation ». Pour les auteurs, « les dirigeants de haut niveau [...] doivent mener la lutte pour l'innovation en comprenant comment elle fonctionne en améliorant leurs propres capacités à découvrir et en affutant leur habilité à encourager les innovations des autres. » C'est pour ça que les entreprises dans lesquelles la hiérarchie est sacro-sainte ont tant de mal à innover. Ce qu'un étudiant assistant à une de mes conférences à parfaitement compris dans ce résumé lapidaire : « Mais dans le fond, innover, n'est-ce pas désobéir » ?
Aurialie Jublin

How Sensors and Social Data Can Improve the Office | MIT Technology Review - 2 views

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    Résumé IA : Ben Waber, auteur de "People Analytics: How Social Sensing Technology Will Transform Business", revient pour la Technology Review sur comment augmenter la réalité sociale sur nos lieux de travail. Que se passe-t-il quand l'espace de travail, les murs qui séparent les gens, voir même la machine à café sont déterminés par les données ? Il revient sur un vieux projet du MIT, Augmented Cubicle - http://fab.cba.mit.edu/classes/MIT/863.09/people/ben/project4.html - qui avait pour objet d'influencer la dynamique sociale dans le lieu de travail via une installation favorisant les échanges distants. A l'heure où les interactions sociales deviennent plus faciles à mesurer, le prochain défi est de trouver comment utiliser ce que nous apprenons des données comportementales pour influence ou améliorer les échanges entre collègues au travail. Ben Waber, à la tête de Sociometrics Solutions - http://www.sociometricsolutions.com - une spinoff du Medialab du MIT dont nous avons souvent parlé, utilise des badges pour monitorer les employés de sociétés clientes. Ces données ont ainsi montré que ceux qui mangent dans des groupes plus nombreux, ont tendance à être plus productifs. Le ton de la voix, la fluctuation de son volume, sa rapidité peut prédire combien une personne sera persuasive dans ce qu'elle dit. Sachant cela, le travail de Sociometric solutions est désormais de regarder comment peut-on indiquer à quelqu'un de moduler sa voix pour être plus persuasif ? Comment peut-on organiser des réunions afin quelles permettent de mieux mêler les gens ? Faudra-t-il imaginer demain des machine à café robot itinérantes pour permettre aux groupes de mieux se rencontrer ? Faudra-t-il imaginer demain des robots lents comme SlothBots - http://www.arch-os.com/projects/slothbots/ - qui viendront subtilement refermer une conversation d'un groupe des autres travailleurs ? Est-il éthique d'utiliser des technologies d
Aurialie Jublin

Dominique Depoortère (Quinte et sens) : "Les entrepreneurs peuvent utiliser n... - 0 views

  • On est en plein boom de l'open source dans le secteur informatique. Nous avons tenté d'exporter cet état d'esprit libre au monde de la vente, c'est pour ça que le projet décolle.
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    L'entrepreneur entend bousculer le secteur de la franchise, avec un nouveau concept : la freechise. Avec son entreprise Quinte et sens, fondée en 2002, Dominique Depoortère a conçu une marque totalement libre de droits... "L'entreprise qui porte le projet, Quinte et sens, commercialise des accessoires siglés du logo "Café" : gobelets en carton de différentes tailles, sachets de sucre... Tout ce qui permet de vendre des cafés à emporter. Les entrepreneurs peuvent les acheter chez nous, mais ils n'ont aucune obligation."
anonymous

L'adieu à la caisse - La Vie des idées - 1 views

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    "Banques, cinémas, administrations publiques : on ne compte plus les lieux destinés à accueillir un public ayant adopté les automates. En France, les débats sur l'automatisation des services se sont largement focalisés sur le commerce de détail soulevant des inquiétudes pour l'emploi des salariés. Tout en reconnaissant l'importance de cet aspect, l'ouvrage de Sophie Bernard étudie l'automatisation du point de vue du travail. Et du travail humain, il en demeure dans ces dispositifs qui n'ont d'« automatiques » que le nom. En cumulant des savoirs élaborés à partir de la sociologie du travail industriel et de la sociologie des services, l'auteure fait de l'implantation des caisses automatiques dans la grande distribution un sujet d'interrogation plus générale permettant d'étudier le travail, le rapport au travail et l'avenir des professions engagées dans des situations impliquant une interaction avec un public. "
Aurialie Jublin

Un très bon plan - XL Petit - ouvrage sur le compagnonnage - 0 views

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    "Les Compagnons gagnent bien leur vie, les Compagnons ne connaissent pas le chômage. Les Compagnons sélectionnent leurs employeurs !"
Aurialie Jublin

La DRH en 2020: 6 prédictions audacieuses | Le blog de Dokker - 1 views

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    1-La RH en interne va décroître et le recours à l'externalisation s'amplifier 2-La réflexion stratégique deviendra la nouvelle compétence de la DRH 3-Le pendule va revenir vers le spécialiste 4- La DRH utilisera de plus en plus le décisionnel et le Big Data pour accroître sa valeur dans l'entreprise 5- Gérer du personnel à distance deviendra la nouvelle norme 6- La DRH va devoir émuler le marketing Article original : http://new-talent-times.softwareadvice.com/the-hr-department-of-2020-413/
Aurialie Jublin

Chez les « intellos précaires », un travail qui prend tout le temps | Humanite - 5 views

  • Dans cette enquête aux conclusions nuancées, les sociologues parlent, eux, d’« oxymore social » : les « intellos précaires » conjuguent un haut et un bas social. « Ils font se rencontrer deux mondes, celui des intellectuels et celui des précaires que beaucoup de choses éloignent a priori », écrivent-ils.
  • Dans certaines conditions, pointent-ils, ces travailleurs peuvent avoir un « rapport positif à l’instabilité de l’emploi » : le CDI n’est pas, loin s’en faut, systématiquement recherché – les statuts hybrides permettent d’échapper à l’emprise de l’entreprise perçue comme « violente », « contre-productive », voire « mortifère » ; les difficultés financières peuvent parfois être retournées en frugalité revendiquée ; certains « intellos précaires » évoquent le bonheur de travailler en pyjama ou de ne pas prendre des transports en commun bondés. Derrière un socle commun, il existe, parmi les « intellos précaires », une très grande hétérogénéité des situations objectives et des expériences personnelles.
  • Cumulant une dizaine d’activités différentes (pigiste, comédienne, scénariste, formatrice, consultante en marketing, etc.), Laura utilise une image très éloquente : « J’ai commencé à travailler vingt heures par jour. (...) Pendant trois ans, j’ai appuyé sur moi comme sur de la pâte dentifrice. » Les sociologues font observer : « Là où l’emploi stable se fonde sur une adéquation précise et stricte des temps de travail et des temps d’emploi, et désigne une frontière claire entre ces temps et les temps de “loisirs” voués au hors travail, le temps des travailleurs intellectuels précaires n’est que transgression de ces structures binaires. Le travail s’accumule, s’étend dans le temps, au-delà de l’emploi, mais aussi parfois au-delà de ce que le travailleur considère comme raisonnable. »
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    "Confrontés à la discontinuité des emplois et des activités, subissant pour l'écrasante majorité d'entre eux l'inconfort de rémunérations à la fois faibles et aléatoires, des dizaines de milliers de travailleurs dans les industries dites «créatives» sont contraints de rester disponibles en permanence."
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    Confrontés à la discontinuité des emplois et des activités, subissant pour l'écrasante majorité d'entre eux l'inconfort de rémunérations à la fois faibles et aléatoires, des dizaines de milliers de travailleurs dans les industries dites «créatives» sont contraints de rester disponibles en permanence.
Aurialie Jublin

Convention Syntec, nouvelle condition pour le forfait-jours - 1 views

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    pour recourir au forfait jour , il faut conclure une convention individuelle écrite et recueillir l'accord du salarié (Cass. Soc. 13 février 2013, n°11-27826), mais il faut que cette possibilité soit prévue (article L3121-39 du Code du travail) par un accord collectif d'entreprise, une convention collective ou un accord de banche. L'accord ou la convention doit garantir une protection de la santé des travailleurs.
Aurialie Jublin

Yann Bramoullé: "Les réseaux sont au coeur des activités humaines" - 1 views

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    Si l'on considère que l'appartenance à un réseau est un moyen pour un individu d'acquérir de l'information pour améliorer sa propre situation et que l'acquisition de cette information a un coût, il est possible, en modélisant la position de chaque individu dans un réseau, ainsi que la forme de ce réseau, de prédire le gain que les individus, mais aussi la société dans son ensemble, peuvent en tirer. Avec mes coauteurs, nous avons modélisé les réseaux auxquels des personnes en emploi ou sans emploi appartiennent, et nous avons pu mesurer les effets de l'isolement sur la recherche d'un travail, le rôle bénéfique joué par la mise en réseau de chômeurs entre eux, et surtout avec des personnes en emploi. Nous avons aussi pu décrire le fonctionnement du favoritisme, du "piston", en montrant que la captation de la rente par un groupe se fait aux dépens de la création de valeur pour tous.
Aurialie Jublin

What Value Creation Will Look Like in the Future - Jack Hughes - Harvard Business Review - 1 views

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    The value of products and services today is based more and more on creativity - the innovative ways that they take advantage of new materials, technologies, and processes. Value creation in the past was a function of economies of industrial scale: mass production and the high efficiency of repeatable tasks. Value creation in the future will be based on economies of creativity: mass customization and the high value of bringing a new product or service improvement to market; the ability to find a solution to a vexing customer problem; or, the way a new product or service is sold and delivered. Organizational structure will have to change to meet the new reality of creativity as a core component of value and continuous innovation as the mechanism to sustain it. The new organization will include structures that support innovation 24/7/365 and at increasing scale. They will be more like organisms than machines. They'll be structurally fluid - bringing individuals together in creative networks designed to adapt to an ever changing landscape of customer needs and desires, often at a moment's notice. Management will be the job of those who oversee creative economies, ecosystems, and communities; it will be the job of managing innovation on a continuous basis where scale is used to create differentiated products and services to solve problems and meet needs on a customer by customer basis - all in real or near real time.
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