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Aurialie Jublin

Le Nouveau Monde du Travail (NMT) par Kluwer Formations - 2 views

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    "Si je vous dit « Nouveau Monde du Travail ». A quoi pensez-vous ? Flexibilité, nomadisme, plus de productivité ? Vous voyez juste. Mais où en sommes-nous ? Assez loin, selon l'enquête annuelle de Kluwer Formations (le 3ème di genre) même si on assiste à quelques frémissements et qu'on se fait de plus en plus à l'idée qu'il est possible et intéressant de travailler en dehors du bureau. Les mentalités évoluent, doucement mais sûrement. Plus de 6000 professionnels des RH, des collaborateurs et des supérieurs hiérarchiques (en Belgique ?) ont été interrogés, ce qui donne un bon panel."
Aurialie Jublin

L'ouvre-boîtes | Ouvre-Boîtes CFDT - 0 views

  • Les 9 types d'annonces d'une offre Ouvre-Boîtes J'aide un jeune à trouver du travail ou un stage Je parle de mon métier et de mon expérience Je parle de mon entreprise ou de mon administration J'aide à bâtir un projet professionnel Je diffuse un CV ou une candidature autour de moi         Je publie une offre d'emploi, de stage ou de mobilité Je mets en relation auprès de mes contacts J'aide à trouver la bonne formation J'aide à préparer un concours public
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    "L'Ouvre-Boîtes est le premier site de petites annonces sur les questions professionnelles, le travail et l'emploi. Il est gratuit et ouvert aux adhérents CFDT. Quel que soit votre parcours, celui-ci est utile à d'autres."
abrugiere

Le CDI ne fait plus le bonheur | Le Cercle Les Echos - 2 views

  • Premièrement, le CDI ne protège plus les salariés : dans un environnement économique où la durée de vie des entreprises ne cesse de raccourcir (75 ans dans les années 1930, 15 ans à l’aube des années 2000), détenir un contrat permanent ne garantit plus un emploi à vie. En Italie, 50% des CDI sont interrompus au bout de deux ans. Pire, l’emploi salarié est trop souvent associé à de la souffrance au travail : cadences extrêmes, management par le stress, logique de résultats inatteignables.
  • Deuxièmement, la relation de subordination incarnée par le CDI ne correspond plus à notre système productif. En se tertiarisant, l’économie exige prise d’initiative, agilité et adaptabilité. Il n’est plus demandé au salarié d’effectuer des tâches standardisées et répétitives, mais de mettre à la disposition de son employeur sa créativité, sa réactivité et sa personnalité. A l’heure du travail dématérialisé, le lien de subordination fait d’obéissance et de contrôles est devenu contre-productif et tend de plus en plus à être remplacé par du management collaboratif, où l’autonomie et la responsabilisation prévalent.
  • Troisièmement, le salariat, conçu au départ comme un système de redistribution de revenus, de droits et protections, a perdu nombre de ses avantages : la hausse des cotisations sociales s’accompagne d’une baisse des prestations sociales (retraites, sécurité sociale, indemnités chômage). La répartition des profits se fait de plus en plus en faveur des actionnaires, au détriment des travailleurs. Les carrières ne sont plus ascensionnelles, la rémunération ne suit plus l’ancienneté.
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  • L’essor de nouvelles formes de travail, telles que portage salarial, auto-entrepreneurs, groupements d’employeurs ou multi-activité, témoigne des mutations en cours et bouleverse la séparation stricte qui existait entre salariat et travail indépendant.
  • Cette nouvelle réalité du travail correspond aussi à la montée de l’individualisation de la relation d’emploi. Les gens ne veulent plus appartenir, ils veulent choisir. Le travailleur veut désormais consommer le travail comme il consomme biens et services.
  • Aujourd’hui, l’individu veut également pouvoir définir le cadre de sa relation d’emploi et personnaliser ses conditions de travail. A titre d’exemple, 52% des Français voudraient pouvoir travailler de chez eux et 68% des salariés à temps partiel déclarent avoir choisi ce mode de travail, le plus souvent pour concilier vie familiale et professionnelle.
  • Services publics de l’emploi, entreprises de travail temporaire, cabinets de recrutement, associations sociales... De nouveaux havres de stabilité sont nécessaires pour accompagner des travailleurs au parcours de plus en plus chaotique et un emploi fragmenté, individualisé et à la carte. Parions que l’avenir verra la résurgence des guildes professionnelles, à la fois garantes de la formation de leurs travailleurs, négociateurs de leurs conditions de travail, fournisseurs d’avantages sociaux et sources d’offres d’emploi.
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    "Et si le salariat n'était plus synonyme d'épanouissement au travail ? Cette question (tout comme le titre provocateur de cet article) vise à remettre en cause notre vision monolithique mais obsolète du marché du travail : seul le CDI à temps plein protège les travailleurs et leur apporte sécurité et stabilité professionnelles."
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    - Premièrement, le CDI ne protège plus les salariés : dans un environnement économique où la durée de vie des entreprises ne cesse de raccourcir (75 ans dans les années 1930, 15 ans à l'aube des années 2000), détenir un contrat permanent ne garantit plus un emploi à vie 2) Deuxièmement, la relation de subordination incarnée par le CDI ne correspond plus à notre système productif. En se tertiarisant, l'économie exige prise d'initiative, agilité et adaptabilité 3) Troisièmement, le salariat, conçu au départ comme un système de redistribution de revenus, de droits et protections, a perdu nombre de ses avantages : la hausse des cotisations sociales s'accompagne d'une baisse des prestations sociales (retraites, sécurité sociale, indemnités chômage). La répartition des profits se fait de plus en plus en faveur des actionnaires, au détriment des travailleurs. Les carrières ne sont plus ascensionnelles, la rémunération ne suit plus l'ancienneté.
abrugiere

Et si les bibliothèques municipales devenaient des incubateurs de petites entreprises? | SmartPlanet.fr - 1 views

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    La bibliothèque : un bon lieu d'incubation des start-ups ?  Les bibliothèques « regroupent à peu près tout ce dont un innovateur du 21e siècle peut avoir besoin: un accès à internet, un espace de travail, des documents de référence et une aide professionnelle », observe Emily Badger dans The Atlantic. Dans une étude auprès de 730 directeurs de bibliothèque que j'ai aidé à réaliser conjointement avec Library Resource Guide, nous avons découvert que beaucoup considèrent leur institution comme un pôle qui contribuera à réduire l'écart entre chômage et pénuries de compétences parmi les employeurs. Sept sur dix signalent une hausse de la demande pour l'accès à internet, et plus d'un tiers indiquent que le public est plus nombreux à rechercher des formations et informations techniques ou des informations sur le développement de carrière et la recherche d'emploi. Certaines bibliothèques sont déjà en train de se renouveler en tant que centres d'impression 3D ou laboratoires dédiés aux bidouilleurs informatiques. En 2011, la bibliothèque Fayetteville Free Library de Fayetteville, dans l'État de New York, a endossé une nouvelle mission dans le but d'offrir à ses utilisateurs des équipements d'impression 3D: le « FFL Fab Lab » est un espace à part doté de technologies d'impression 3D, qui cherche à encourager l'innovation et l'apprentissage du concept.
Aurialie Jublin

Bernard Friot « Un capitalisme rentier qui n'assume plus d'être employeur » | L'Humanité - 0 views

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    "Le compte personnel d'activité est-il un progrès en ce sens ? Bernard Friot Sûrement pas, c'est au contraire une régression. Un compte personnel, à commencer par le plus ancien d'entre eux, le compte personnel de retraite Arrco-Agirc, construit contre le régime général, asservit les travailleurs au marché du travail puisque c'est la performance dans l'emploi qui alimente le compte. Plus j'ai d'emplois, et de bons emplois, plus j'additionne des droits à des jours de repos ou de chômage, à la formation, à la retraite, à la complémentaire santé, etc. Ainsi, alors que le régime général permet de prolonger dans la pension les meilleurs salaires, le compte personnel tient compte de toute la carrière, y compris les années très mal payées. Le CPA n'est donc pas attaché à la personne, mais à son parcours professionnel, ce qui n'a rien à voir."
Aurialie Jublin

Les Français travaillent plus qu'on ne le croit - 0 views

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    "Dans le pays des 35 heures, les salariés travaillent habituellement… 39,5 heures par semaine. C'est du moins ce qui ressort d'une analyse relative à l'année 2011 et publiée vendredi par la Dares, la Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques du ministère du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social."
abrugiere

Livre blanc "la démarche ePortfolio dans l'enseignement supérieur français" - ESR : enseignementsup-recherche.gouv.fr - 1 views

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    Les dispositifs ePortfolio visent à rassembler, dans un environnement numérique, un ensemble de documents et de ressources électroniques qui décrit et illustre l'apprentissage ou la carrière d'une personne, ses expériences, ses travaux et ses compétences. Ils intéressent très directement l'enseignement supérieur pour la formation initiale et tout au long de la vie (formalisation des parcours et des référentiels, nouvelles modalités d'acquisition et de repérage des compétences, ...) et pour l'insertion professionnelle (valorisation des acquis et expériences).
Aurialie Jublin

Les 7 compétences clés du travail de demain - Le blog de la formation professionnelle et continue - 2 views

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    Collaboration à distance communication au travers du numérique agilité et adaptation créativité et sens de l'innovation esprit d'initiative et d'entreprise s'organiser efficacement apprendre à apprendre
Aurialie Jublin

Politique de l'emploi : vers la "société fluide" ? - 1 views

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    Les réformes de l'assurance chômage et de la formation professionnelle dessinent une ligne politique, où la frontière entre les différentes formes de l'emploi et entre l'activité et le chômage tendent à s'estomper. S'achemine-t-on vers une société fluide ?
Aurialie Jublin

Les espaces de coworking sont-ils les salles de classes du futur ? | Deskmag | Coworking - 0 views

  • Certaines universités comme le H4 en Caroline du Nord, ou le Kosilab à Siegen ont créé leurs espaces de coworking d’été pour étudiants au sein même de l’université. Les deux espaces mettent l’accent sur l’interaction entre étudiants. Le H4 de par des évènements et l’organisation de formation par des professionnelles, le Kosilab en prônant l’entraide. L’objectif est bien la réussite des étudiant car dans les deux cas, ce sont les services d’orientation professionnel qui ont permis ces initiatives.
  • Les avantages pour les étudiants sont en effet multiples : - Travailler dans des espaces moins surpeuplés que les cafés ou les bibliothèques. - Pouvoir travailler pendant des plages horaires plus étendues - Pouvoir se familiariser avec l’entreprenariat - Apprendre auprès d’une communauté d’experts - Confronter la théorie à la pratique - Réaliser des projets personnels dans un environnement de travail motivant - Accéder à des opportunités de stages et d’emploi
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    "Avez-vous remarqué combien il peut être difficile de trouver des entrepreneurs célèbres étant diplômés? D´autre part, dans certains domaines tels que Webdesign ou la programmation, les nouvelles technologies évoluent si vite que les étudiants peuvent ressortir des salles de cours avec des connaissances déjà obsolètes. Malheureusement, même à l´heure d'internet et du partage de connaissances, il est encore difficile d´imaginer toute une génération d'autodidactes. Bonne nouvelle, le coworking pourrait être l'une des solutions. Il attire de plus en plus d'étudiants et pourrait bien être l'espace privilégié d'une nouvelle éducation pour les entrepreneurs de demain. En fait, certains voient même le coworking remplacer des universités désormais dites dépassées."
Aurialie Jublin

Libérer le travail de l'emprise du marché total | Témoignage Chrétien - 0 views

  • Prenons par exemple le modèle allemand : il valorise les communautés de travail, au niveau de l’entreprise comme à celui des branches professionnelles. À la différence de leurs homologues français, les dirigeants des grandes entreprises allemandes en ont souvent gravi les échelons. Ils ont la même culture professionnelle que les travailleurs, qui sont de leur côté associés au contrôle de la direction. En revanche, ce système accorde une moindre place aux droits des individus, ce qui explique que les réformes Hartz de 2004, créant des contrats de travail sous-payés pour une population sans emploi, n’ont pendant longtemps pas suscité de fortes réactions syndicales. Ce n’est que dix ans après, au regard de la forte croissance des inégalités qu’elles avaient générées, que le gouvernement allemand de coalition s’est résolu à instaurer le salaire minimum. 
  • Dans les conditions actuelles, il est rare qu’un autoentrepreneur puisse maintenir longtemps son activité sans s’insérer dans des réseaux de dépendance économique, soit qu’il doive diriger le travail d’autrui, soit que son travail soit dirigé par autrui. C’est l’une des leçons qui peut être tirée de la crise du modèle industriel que l’on a mis en oeuvre en agriculture dans les années 1960. La plupart des éleveurs ont été intégrés dans des liens de dépendance économique à l’égard des grandes firmes agroalimentaires, de l’Union européenne et des banques. Ils ont ainsi perdu tout contrôle sur ce qu’ils produisaient, sur la façon dont ils le produisaient et sur la fixation des prix de leurs produits. C’est particulièrement vrai des éleveurs «hors-sol» qui sont en fait des travailleurs subordonnés mais demeurent en droit des entrepreneurs indépendants.
  • Dans l’économie actuelle, beaucoup d’entreprises petites ou moyennes sont ainsi les maillons de chaînes de production où ce sont les entités les plus puissantes, celles qui contrôlent non pas les moyens de production mais les systèmes d’information, qui disposent du pouvoir et captent la majeure partie de la valeur ajoutée. Sans avoir à répondre de la sécurité économique des travailleurs. Un chauffeur remercié par Uber n’est pas licencié, il est « déconnecté ».
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  • La réalisation de la justice sociale ne dépend pas principalement du droit du travail, mais bien davantage des règles qui régissent la sphère monétaire, le commerce international et le fonctionnement des grandes entreprises. C’est là que se situent les vraies « réformes structurelles » dont nous avons besoin. Il faut sortir de la schizophrénie actuelle qui fait que d’un côté l’Europe oblige les pays les plus pauvres à démanteler leurs barrières douanières et que de l’autre elle déplore l’émigration en masse de leur jeunesse ; que d’un côté on autorise le rachat par les sociétés de leurs propres actions, c’est-à-dire l’enrichissement des actionnaires aux dépens des ressources vives de l’entreprise, et que de l’autre on déplore la chute de l’investissement ; que d’un côté on autorise le dumping social et fiscal en Europe, et que de l’autre on s’inquiète de l’endettement des États et du délabrement des services publics.
  • La mutation que vous évoquez est celle de l’ubérisation, du self-employment. Elle transforme des formes de la dépendance économique qui affecte aussi bien les salariés que les entrepreneurs. Le travail n’est plus organisé sur le modèle taylorien du travail à la chaîne, c’est-à-dire d’une obéissance mécanique aux ordres, mais sur celui de la direction par objectifs, de la programmation du travailleur. La subordination ne disparaît pas mais change de forme. Ce n’est plus le moindre de ses gestes qui est dicté et mesuré, mais sa « performance ». L’obéissance fait place à l’allégeance du travailleur à l’égard d’un donneur d’ordre qui lui assigne une tâche qu’il peut organiser avec une certaine marge d’autonomie, pourvu qu’il remplisse ses « objectifs ».
  • Le cercle vertueux de la libération dans le travail et de la créativité ne peut être tracé que si ceux qui le réalisent ne vivent pas dans la peur du chômage et peuvent peser collectivement sur son contenu et son organisation.
  • La logique des droits de tirage sociaux est d’assurer une solidarité dans l’exercice d’une liberté individuelle ; par exemple, prendre un congé sabbatique, prendre soin de ses parents malades, acquérir des connaissances ou une formation nouvelle, créer une entreprise, élever ses jeunes enfants, etc. La personne qui ferait ce choix bénéficierait de dispositifs finançant la rémunération de ces différentes activités.
  • Les droits de tirage sociaux donneraient à chacun la possibilité de combiner diverses formes de travail dans une vie et de passer de l’une à l’autre sans mettre en péril ses revenus et ses droits. Cette proposition complète la Sécurité sociale, qui assure une solidarité face aux risques indépendants de la volonté, comme la maladie, l’accident ou la vieillesse.
  • Sans réduction des inégalités, notamment entre les revenus du travail et ceux du capital, et sans interdiction du dumping social et fiscal, le « compte personnel d’activité » prévu dans la loi el-Khomri risque de devenir un moyen de renvoyer chacun à une épargne individuelle qui renforcera encore le poids de la « bancassurance ». C’est seulement sur la base d’une plus juste distribution des revenus et des charges que de nouveaux dispositifs de solidarité pourront voir le jour, qui mettront les progrès de la productivité au service du plus grand nombre et permettront à chacun de faire ainsi plus de place à des tâches librement choisies.
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    "La loi Travail de Myriam El Khomri soulève des débats passionnés. Professeur au Collège de France, Alain Supiot pose un regard aiguisé sur ce qu'ils révèlent."
Aurialie Jublin

Que devient le travail dans l'économie digitale ? - Metis - 1 views

  • Cette économie ne peut se définir uniquement par les technologies digitales elles-mêmes mais par un ensemble de propriétés radicalement nouvelles. On en citera quelques unes qui montrent que l'on aborde des rivages nouveaux :- le rendement croissant des innovations et le coût marginal zéro. Le principe des rendements croissants, lié aux externalités de réseaux positives, fait que la valeur d'un bien ou d'un service digital est d'autant plus élevée qu'il bénéficie d'un réseau étendu. La conséquence est que les coûts de production et de distribution, quasiment indépendants du volume produit, doivent être payés dès l'investissement initial. Jusqu'ici nous avions vécu dans une économie de rendements décroissants !- des nouveaux modèles d'affaire se développent autour des plateformes en ligne générant une nouvelle forme de marché appelée marché « à deux versants ou bifaces ». Cela concerne des produits ou des services qui sont proposés simultanément à deux catégories d'utilisateurs via internet. Ces marchés induisent des types de concurrence en rupture avec les marchés traditionnels où plusieurs concurrents coexistent et sont en compétition. Là, le gagnant prend tout (the winner takes all).
  • Concernant l'impact des ruptures technologiques sur les environnements de travail, les auteurs, après avoir recensé six nouveaux champs (le cloud, les données massives, les applications mobiles, la géolocalisation, l'internet des objets, les machines apprenantes et la robotique mobile) notent bien des potentiels de transformation du travail notamment par un déplacement de la frontière entre les capacités des humains et des machines.
  • Les auteurs distinguent les nouvelles formes de travail ou d'emploi suivantes plus spécifiquement liés au développement de l'économie digitale:- les « nomades numériques » qui peuvent être des travailleurs salariés ou des indépendants. Leur activité est réalisée à l'extérieur des locaux de l'employeur ou du client. Cette forme de travail repose sur une grande autonomie et permet à des personnes exclues habituellement des emplois classiques de travailler. Mais qu'en est-il de la prise en charge de la santé et de la sécurité de ces nomades numériques ?- l' « externalisation ouverte » (crowd working) qui désigne le travail réalisé à partir de plates-formes en ligne permettant à des organisations ou des individus d'accéder, via internet, à un groupe indéfini et inconnu d'autres organisations ou individus pour résoudre des problèmes spécifiques ou fournir des services ou des produits spécifiques en échange de paiement. Ceci se traduit par le développement d'un marché orienté sur la tâche plutôt que sur l'emploi et une baisse de la qualité du travail ; on constate souvent un détournement des normes d'emploi. Certains parlent de «cybertariat » (cyber-prolétariat). D'une certaine manière, cela s'apparente à une formalisation de l'économie informelle.- le travail sur appel organisé par des plateformes. Il consiste en une relation d'emploi continu formalisée par un contrat de travail sans travail continu. Ce type de contrat repose sur le principe du travail sur appel, en fonction de la demande : c'est un travail occasionnel intermittent, une nouvelle forme d'intermédiation entre une demande de travail et des réserves de travailleurs en attente de tâches et de missions. Ces emplois sont caractérisés par un temps de travail très flexible, un salaire très variable et une disponibilité étendue : ils matérialisent un découplage entre le contrat de travail et le temps de travail, et soumettent la vie quotidienne à des horaires imprévisibles.
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  • Ces nouvelles formes de travail se caractérisent par un brouillage des frontières : recouvrement entre vie professionnelle et vie privée, ambivalence entre le statut de salarié et d'indépendant, ou parfois de collaborateur bénévole, difficultés à distinguer le producteur du consommateur, etc. D'où la conclusion provisoire : « si ces formes de travail ne sont pas entièrement neuves et si elles sont en partie porteuses d'éléments positifs pour les travailleurs, elles sont aussi accompagnées de nombreux effets qui suscitent l'inquiétude, qui bousculent les systèmes de relations sociales et qui requièrent des formes de régulation appropriées ».
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    "Le document de travail de Patricia Vendramin et Gérard Valenduc à l'origine de cet article est publié par l'Institut syndical européen (European Trade Unions Institute), un centre de recherche et de formation de la Confédération Européenne des syndicats (CES). L'Institut a demandé à deux professeurs-chercheurs de faire le point sur l'impact des technologies digitales sur le travail."
Aurialie Jublin

Ces « entreprises partagées » où s'invente une nouvelle forme de travail - Basta ! - 2 views

  • « Les CAE ne devraient pourtant pas créer des salariés très pauvres », convient Henri Cachau. Certes, en milieu rural en particulier, il n’est pas rare que les entrepreneurs aient plusieurs activités, y compris à l’extérieur de la CAE. Mais c’est surtout en jouant sur le collectif que les CAE répondent à la précarité de leurs salariés. A travers le partage d’expérience et du savoir-faire de chacun – ateliers de démarchages, de référencement internet ou de marketing sont régulièrement organisés dans toutes les CAE – mais aussi la constitution de groupes de travail autour de projets communs.
  • Comme Fatima Lamyne, beaucoup de cadres en recherche d’autonomie s’adressent chaque année à une CAE. « C’est un profil plutôt courant : des personnes de 40 à 50 ans qui veulent redonner du sens à leur travail et se lancent comme consultants », confirme Anne-Laure Desgris, co-directrice de l’antenne bretonne d’Oxalis, une CAE de 180 entrepreneurs. La plupart des nouveaux entrants dans une CAE – 70% disent les statistiques [1] – pointent à Pôle emploi, après avoir connu une rupture dans leur parcours professionnel. Pour les autres, surtout ces dernières années, il s’agit en partie de jeunes diplômés très compétents qui choisissent l’indépendance parce qu’ils ne peuvent exercer leur métier en tant que salarié.
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    "Nombreux sont ceux qui rêvent de lancer leur propre activité économique et de redonner du sens à leur travail. Beaucoup moins sont prêts à devenir entrepreneurs. En France, 5 000 salariés ont choisi la solution de la Coopérative d'activité et d'emploi (CAE), une « entreprise partagée » où se côtoient télé-secrétaires, menuisiers, designers, et même boulangers. Elle appartient à ses entrepreneurs-salariés, et mutualise services administratifs ou formations. Une alternative à l'auto-entrepreneuriat et ses possibles dérives ? Reportage au sein de ces structures peu connues, laboratoires d'un nouveau rapport au travail, que la future loi du gouvernement sur l'Économie sociale et solidaire prévoit de développer."
Aurialie Jublin

Le vertigineux filon de LinkedIn - 0 views

  • Quant aux recruteurs, ils continuent de voir dans «la plus grande base mondiale de données professionnelles» un outil unique pour toucher non seulement les 20% de personnes en recherche active d'emploi mais aussi les autres 80%. Alors que LinkedIn visait au départ les PME, les grandes entreprises se sont empressées de rappliquer dès le cap des 2 millions de membres franchi.
  • «Ce qui est formidable par rapport à mes boulots précédents, c'est que les articles sont ici le début d'une conversation et suscitent de fortes réactions de la communauté.» Nicolas Gueugnier, le cofondateur de Big Moustache, peut en témoigner. Après avoir lancé un appel à l'aide sur LinkedIn pour trouver les financements nécessaires à la survie de ce petit concurrent de Gillette, il a enregistré plusieurs milliers de commandes lui permettant de faire face à ses échéances et de poursuivre son activité. Un autre contributeur, jeune diplômé de Berkeley, a été embauché par Apple à la suite de ses articles particulièrement malins sur le marketing de compagnies comme Starbucks. «Publier peut se révéler le meilleur des CV», se félicite un Dan Roth visiblement enchanté de sa réorientation.
  • Et fourmille d'idées. Alors que vous travaillez sur un dossier, votre flux d'actualités LinkedIn pourrait à l'avenir s'enrichir d'articles en rapport avec votre sujet, tandis que la suite Office vous suggérerait des experts. Vos e-mails entrants dans Outlook mentionneraient le profil de l'expéditeur, sa carrière et ses relations. Avant toute réunion inscrite à votre agenda électronique, le système vous renseignerait sur vos interlocuteurs. Le CV que vous venez de terminer sur Word basculerait automatiquement sur LinkedIn, instantanément visible des recruteurs.
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    "Si Microsoft a déboursé il y a un an 26 milliards de dollars pour mettre la main sur le réseau social des «pros», c'est que LinkedIn recèle un potentiel gigantesque. Ses utilisateurs, très attentifs, lui confient des informations très précieuses... Les perspectives d'avenir sont vertigineuses." Services aux entreprises (outils de recrutement, offres publicitaires, abo premium, outil de prospection commerciale, formation)
Aurialie Jublin

« Le risque d'un chômage technologique de masse peut être écarté » - Rue89 - L'Obs - 1 views

  • Stefano Scarpetta résume en chiffres : « Ce serait plutôt 9% en moyenne des emplois aux Etats-Unis et dans les pays de l’OCDE qui seraient automatisables, avec plus de 70% de tâches substituables par des machines. C’est beaucoup moins que les 47% ! »
  • Mais l’OCDE nuance : « les travailleurs peuvent s’adapter en changeant leurs tâches », d’où la nécessité de la formation continue tout au long de la vie professionnelle, et « le changement technologique génère aussi des emplois supplémentaires », même si ces derniers ne remplacent pas les emplois perdus, car les compétences ne sont pas les mêmes. Ce sont les effets indirects : « Selon certaines estimations, chaque emploi créé par le secteur de la haute technologie entraîne la création d’environ cinq emplois complémentaires. » Pas d’angélisme pour autant : l’OCDE reconnaît qu’il y aura bien des suppressions d’emplois et « les travailleurs moins instruits sont ceux qui courent le plus de risques de voir leur emploi supprimé ».
  • Citant les exemples du Turc mécanique d’Amazon, des plateformes TaskRabbit ou Youpijob pour les tâches du quotidien, l’OCDE ne cache pas son inquiétude sur l’émergence d’emplois de faible qualité et le « risque de pauvreté dans l’emploi ». Et dresse une conclusion éminemment politique à l’attention des dirigeants des pays riches : « Dans ce contexte, il faudra adapter les systèmes de prélèvements et de prestations (sociales) afin de garantir que le travail, même faiblement rémunéré, apporte un revenu suffisant pour échapper à la pauvreté. »
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    "Selon les économistes de l'OCDE, le taux d'emplois automatisables serait plus proche de 9%. Le moindre besoin de main d'œuvre dû à l'automatisation et au numérique pourrait se traduire plutôt par… la baisse du temps de travail."
Aurialie Jublin

Note de lecture de "Travail au singulier" de Patricia Vandramin- Cairn.info - 2 views

  • En sorte que le nomadisme coopératif ainsi enrichi va désigner « cette volonté et ce besoin constants de s’associer aux autres, à la fois pour réaliser l’activité professionnelle, mais aussi pour porter un projet personnel » (p. 11). Pour montrer qu’une telle façon d’envisager son rapport aux autres et au travail devient un trait majeur des sociétés occidentales contemporaines, l’auteur va chercher à identifier les formes de solidarité dominantes dans le secteur des TIC, secteur qu’elle considère comme précurseur des entreprises de demain.
  • Enfin, l’auteur précise que toute cette réflexion autour d’un nouveau type de lien social au travail (et plus généralement dans la société) se veut une aide au service des organisations syndicales, apparemment incapables de prendre l’exacte mesure des transformations à l’œuvre chez les salariés et notamment, les appartenances multiples, vécues comme librement consenties et permettant de préserver son quant-à-soi. En ce sens, le nomadisme coopératif, en rappelant que les individus ont dorénavant un sens du collectif et de l’engagement différent, constitue une aide précieuse pour réorienter l’activité syndicale : les « nouveaux salariés » aspirent autant qu’autrefois à la solidarité, mais ils l’envisagent sur le modèle du projet (partager des objectifs limités à court terme), dans lequel ils sont prêts à s’engager en sujets – sans délégation –, avec des groupes provisoires composés de salariés appartenant à des métiers et des entreprises divers (réseaux).
  • De façon complémentaire, on pourrait chercher à apprécier les proximités avec l’émergence du compagnonnage, au début du XIXe siècle en France.
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  • Comme le rappellent G. Noiriel et A. Dewerpe[3] [3] NOIRIEL, 1986 ; DEWERPE, 1989. ...suite, le compagnonnage s’est développé surtout dans les métiers artisanaux urbains ; ses membres doivent faire le tour de France pour parfaire leur formation ; ils ont à lutter contre les tendances délétères de l’individualisme, valeur prônée par la société postrévolutionnaire ; les associations qui se créent sur cette base sont ouvertes aux ouvriers de différentes professions. Ajoutons que le compagnonnage a donné naissance à des sociétés de secours mutuel cherchant, notamment, à donner des ressources aux ouvriers pour résister aux baisses de salaire.
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    Développe le concept du "nomade coopératif"/"nomadisme coopératif"
Amadou Lo

Compétences indispensables dans l'économie actuelle - 0 views

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    Un billet très intéressant où l'auteur identifie trois différentes nature de compétences : - Les "hard skills" : compétences tangibles qui peuvent être enseignées (diplômes, formation, etc.) - Les "soft skills" : compétences liées à l'intelligence émotionnelle. On s'intéresse aux caractères des individus, leur capacité à communiquer, à développer des relations, etc. - L'influence professionnelle en ligne : le réseau que possède un individus. Cela peut être représenté, par exemple, en terme de diffusion, de communication, par les personnes et le nombre de personnes qu'un individu peut atteindre en émettant un message.
Aurialie Jublin

CR de conférence "Croissance et emplois de l'avenir" - 0 views

  • Les TIC vont avoir un deuxième effet qui est d’organiser la mise à disposition temporaire de tous les consommateurs sur tous leurs lieux de vie des biens et des personnes utiles pour satisfaire leur besoin du moment. Les TIC permettent donc de satisfaire les besoins des consommateurs tout autrement, plus finement et donc mieux que n’avaient pu faire les technologies de la mécanisation.
  • si tous les Français consommaient 1 heure de service sur leurs lieux de vie par semaine, cela permettrait de créer 2 millions d’emplois non délocalisables.
    • Aurialie Jublin
       
      La mise a disposition temporaire résout 3 pb structurels: - le sous-emploi (du fait de l'automatisation et la délocalisation) - la concurrence des pays à bas coût de main d'oeuvre (on ne consomme plus des bien, mais un usage // consommation de pays nanti) - la destruction de la biosphère
    • Aurialie Jublin
       
      Conséquences en terme d'organisation : - Nouvelle organisation du travail, car travail itinérant, selon les besoins sur les lieux de vie - Réorganisation de la formation pour avoir de vrais professionnels - nouvel législation : nous ne serons plus dans un système de propriété, mais dans un système d'usage - nouvel stratégie des entreprises, qui ne sont plus seulement fabriquant de bien, mais fabriquant de l'offre constitutive de ce bien - nouvelles infrastructures pour rendre inter-opérable les différents maillons de la chaine de distribution et développer les services quaternaires.
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    Conférence menée par Michèle Debonneuil, à l'origine du concept d'économie quartenaire
Aurialie Jublin

Le numérique n'est pas - que - nuisible à l'emploi - 2 views

  • Pour certains, le fait que le numérique soit faiblement créateur d’emplois serait pourtant l’une de ses forces, car " il ne produirait que bien peu de valeur s’il devait générer autant de postes que les activités auxquelles il se substitue ", écrit Thibaut De Jaegher, directeur de la rédaction de L’Usine Nouvelle.
  • Mais le numérique, c’est de l’informatique en réseau. Et c’est à partir de sa capacité à connecter qu’il tire sa valeur et qu’il crée de nouvelles activités, de nouveaux potentiels, de nouveaux métiers, et finalement serait bon pour l’emploi.
  • Le numérique changerait aussi les critères de recrutement, et la manière de trouver la bonne personne pour un poste. Ce qui est important aujourd’hui, ce sont les compétences que les gens ont acquises et peuvent faire valoir, plus que leur diplôme. C’est ce qu’essaye de démontrer un site d’emploi comme Qapa
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  • Mais surtout, sans numérique point de séquençage ADN, de bio-informatique, d’impression 3D, de nanosciences, d’optimisation énergétique, de télésanté… Autant de nouveaux secteurs d’activité créateurs de valeur et d’emploi.
  • Certes, le numérique en lui-même n’a pour l’instant créé que quelques emplois très qualifiés (comme ces fameux data scientist, jobs de rêve, que l’on s’arracherait) et des emplois faiblement qualifiés de forçats du service client et de la logistique, voire demain d’ouvrier-développeur (les Américains formeraient des développeurs Rubi en 11 semaines pour produire du code à la chaîne !). "L’évaluation  du volume d’emplois créés par le numérique, sûrement négatif, est difficile", a déclaré Michel Sapin, ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social. Reconnaissant, de plus, que les seules enquêtes disponibles avaient été commandées par des acteurs de la filière.
  • Des jeunes qui rejetteraient la société proposée, pour tenter de créer la leur. "La cyberculture est aussi la fille de la contreculture", a tenu à rappeler Michel Sapin. "Pour le numérique comme pour le reste, la question n’est pas de chercher un emploi, mais de créer un emploi. Le numérique est un formidable gisement de création d'emploi.
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    "Le numérique détruit plus d'emplois qu'il n'en crée. Sûrement. Il n'est pas pour autant nuisible à l'emploi en général. Explications."
Aurialie Jublin

«Payer pour travailler», le nouveau paradigme du boulot sans limites | Slate.fr - 1 views

  • C'est que certains situations se sont banalisées: payer sa formation et sa qualification pour voler sous les couleurs de Ryanair; payer pour accéder à un stage de reconversion auprès d’une association après un licenciement; payer pour acquérir une franchise et rebondir lorsqu’on est un cadre au chômage. Mais aussi payer de sa personne en se déqualifiant lorsqu’on est jeune diplômé en additionnant les stages à des fractions de Smic pour être moins cher que son voisin et espérer pouvoir revendiquer un début d’expérience professionnelle sur son CV. Payer en acceptant aussi des rémunérations qui, dans les services d’aide à la personne, ne couvrent que 70% du travail effectif. Payer aussi, sur son temps, comme cadre en travaillant sans limite dans le système des forfaits jours et en accumulant les heures gratuites jusqu’au burn-out pour atteindre ses objectifs. Ou payer lorsqu’on est auto-entrepreneur et corvéable à merci, en faisant l’impasse sur la rentabilité pour obtenir des missions à un coût moins élevé qu’un salarié…
  • Et si l’accumulation de ces désillusions qui prennent leurs racines dans le travail low cost et la régression des droits fondamentaux liés au travail, alimentait l’effritement de notre capacité actuelle à vivre ensemble en minant «notre contrat social», s’interroge Valérie Segond ? La réponse est dans la question. Le problème posé par le low cost dans le travail va bien au-delà d’une simple réduction des coûts.
  • La journaliste a pris le temps d’analyser le mode de calcul du coût du travail établi par l’Insee… pour découvrir que les petites entreprises de moins de dix salariés où les salaires sont plus bas ne sont pas pris en compte à travers la méthodologie, que le coût de la main d’œuvre des travailleurs indépendants comme les auto-entrepreneurs n’étaient pas pris en compte dans ce coût… et bien d’autres aberrations parce que «les nouvelles formes d’emploi sont trop hétérogènes pour qu’on les comprenne dans le coût du travail», reconnait-on à l’institut.
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  • Même chose pour le temps de travail. Que veut dire aujourd’hui le procès fait aux 35 heures lorsque des fonctions autrefois dévolues à des salariés sont externalisées auprès de consultant hors de l’entreprises ou à des auto-entrepreneurs, hors de toute réglementation sociale pour s’affranchir de la durée légale du travail?
  • Le découpage des métiers en microtâches associé à la flexibilité permet aux employeurs de ne payer que les temps les plus productifs du travail, et d’employer gratuitement le salarié pour le reste du temps qui lui est néanmoins nécessaire pour accomplir l’ensemble de sa tâche, démontre Valérie Segond.
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    "Dans son livre «Va-t-on payer pour travailler?», la journaliste Valérie Segond enquête sur des dérives du travail low cost et de la flexibilité qui se généralisent."
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