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Aurialie Jublin

Carglass fait sourire ses salariés, Les nouveaux défis des DRH - 0 views

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    Le spécialiste de la réparation de pare-brise a développé en interne un module de formation de trois heures, développé en interne, visant à développer une attitude positive chez ses salariés. De bons résultats au final, avec une hausse de la satisfaction client, mais aussi de la satisfaction interne.
Aurialie Jublin

BYOD : pourquoi apportons-nous notre propre équipement ? - 1 views

  • Une étude iPass sur 1 100 salariés mobiles conclue notre propos: « Les employés qui utilisent un équipement mobile à la fois pour le travail et la vie personnelle travaillent 240 heures de plus que les autres. »
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    Strategy Analytics a récemment révélé que les employés achètent quatre tablettes sur dix à leurs propres frais... pour les utiliser au travail. Cette statistique vient confirmer le phénomène de consumérisation rapide de l'informatique d'entreprise. Elle suggère également que la tendance Bring Your Own Device (BYOD) repose sur des motivations très fortes. Mots clés : autonomie personnelle sur le lieu de travail ; amélioration de la satisfaction au travail ; réduction des coûts pour les entreprises
Aurialie Jublin

Cartographie du bonheur au travail par pays - 0 views

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    Cartographie limitée car elle n'indique de la pourcentage de satisfaction au travail des différents pays, sans en donner les raisons. Mais il serait intéressant de voir quels sont les particularités des conditions de travail dans ces pays, qui sont les habituels pays où il fait bon vivre : la Norvège, le Danemark, le Canada, la Suisse, ...
Aurialie Jublin

L'entreprise idéale de demain | Marque employeur et nouveaux enjeux RH - 2 views

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    Résultat d'une étude fait par Deloitte auprès de 1065 étudiants. - entreprise = lieu d'épanouissement personnel - valeurs prépondérantes : esprit d'équipe et de communauté, savoir-faire, qualité de service, satisfaction client. - plébiscitent : travail en équipe, autonomie/liberté, le management participatif - manager idéal : un organisateur (fiable, ordonné, efficace) et un promoteur (enthousiaste, communicatif); avec qualité relationnelles plutôt qu'organisationnelles - facteur d'actractivité : 1) intérêt du travail 2) développement des carrières 3) niveau de rémunération
Aurialie Jublin

L'open space n'est ni agréable... ni efficace | Slate.fr - 1 views

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    "«Nos résultats sont en contradiction catégorique avec la sagesse économique selon laquelle l'open space encourage la communication entre collègues et améliore la satisfaction globale dans l'environnement de travail», concluent-ils. «L'argument en faveur de l'open space selon lequel il favorise l'enthousiasme et la productivité semble n'avoir aucune base académique»."
julien camacho

Le télétravail, nouvelle culture managériale | Le nouvel Economiste - 0 views

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    Productivité et temps de travail accrus, bien-être et satisfaction au travail au beau fixe, fidélité renforcée : tels sont quelques-uns des bénéfices que les entreprises françaises pionnières en la matière retirent de la mise en place du télétravail au sein de leurs équipes. Si les outils numériques indispensables à cette organisation sont aujourd'hui matures, la conversion reste lente dans l'Hexagone, la faute à une culture de la hiérarchie pyramidale encore très ancrée dans les mœurs.
Aurialie Jublin

Trouvez votre job idéal grâce à une formule mathématique - Mode(s) d'emploi - 0 views

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    La formule du "confidence factor", le facteur de confiance : CF = 0.2x(Salaire) + 0.15x(Satisfaction) + 0.15x(Employabilité) + 0.1x(Temps personnel) + 0.1x(Culture de l'entreprise) + 0.1x(Santé financière de l'entreprise) + 0.05x(Localisation de l'entreprise) + 0.05x(Travail d'équipe) + 0.05x(Évolution professionnelle) + 0.05x(Interactions dans et hors de l'entreprise)
Aurialie Jublin

Un nouveau paradigme pour planifier les horaires... - A lire ailleurs - 0 views

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    "Pourtant les technologies de la planification peuvent tout à fait être programmées pour proposer des horaires stables, prévisibles, adaptés et efficaces, qui ne sont pas seulement bons pour les employés, mais aussi pour les ventes et la satisfaction de la clientèle. Mais pour cela, plus que de nouveaux outils, il faut adopter un nouveau paradigme. C'est ce à quoi s'attache l'initiative Fair Work Week qui a travaillé avec plusieurs entreprises, comme Starbucks pour construire un système de planification efficace tant pour les employés que pour les employeurs. Certes ce n'est pas si simple, explique la chercheuse en évoquant plusieurs grandes entreprises avec lesquelles elle travaille, montrant que quand on rééquilibre une chose, on en déséquilibre une autre… Pour que cela fonctionne, estime Carrie Gleason, il faut écouter les employés. "Pour réussir à identifier les bonnes pratiques qui devraient passer à l'échelle, les employés doivent avoir un rôle significatif dans l'évaluation des pratiques de leur entreprise et dans l'élaboration des politiques de planification horaires de leur entreprise""
Aurialie Jublin

Présentéisme : l'autre visage (inquiétant) de l'absentéisme - 0 views

  • Crainte de perdre son emploi, angoisse de la précarité, difficulté à boucler les fins de mois, pression galopante au bureau, fermeture de sites, fusions et restructurations, tout concourt aujourd'hui à considérer son travail plus pour sa feuille de paye que pour une satisfaction personnelle. Et l'on craint désormais plus de se faire remarquer par son absence et de perdre le fil de l'information interne qui permettra en cas de coup dur de se repositionner. En clair : perdre du terrain. D'autant que nombre de consultants en ressources humaines conseillent aujourd'hui aux salariés de soigner leur « visibilité ».
  • Des études américaines ont ainsi montré que le présentéisme peut coûter cher aux organisations : on impute environ 60% des coûts du stress au présentéisme et 40% à l'absentéisme. En Europe le présentéisme coûterait en moyenne 20 milliards d'euros par an. Et une enquête de l'Université de Fribourg estime à près de 15% le taux d'employés en « démission intérieure ». Une moyenne plus faible dans les PME mais supérieure dans les administrations, les banques, et les compagnies d'assurance.
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    "Présent mais...totalement absent. Voilà le paradoxe que traduit le présentéisme. Envers de l'absentéisme, il illustre à bas bruit souvent une situation de « burn out » ou de démission intérieure. Le salarié est présent physiquement mais psychiquement absent. "
Aurialie Jublin

​The Future of Robot Labor Is the Future of Capitalism | Motherboard - 0 views

  • According to Marx, automation that displaces workers in favour of machines that can produce more goods in less time is part and parcel of how capitalism operates. By developing fixed capital (machines), bosses can do away with much of the variable capital (workers) that saps their bottom line with pesky things like wages and short work days.
  • Capital itself is the moving contradiction, [in] that it presses to reduce labour time to a minimum, while it posits labour time, on the other side, as sole measure and source of wealth.
  • In Marxist theory, capitalists create profit by extracting what’s called surplus value from workers—paying them less than what their time is worth and gaining the difference as profit after the commodity has been sold at market price, arrived at by metrics abstracted from the act of labour itself. So what happens when humans aren’t the ones working anymore? Curiously, Marx finds himself among the contemporary robotic utopianists in this regard. Once robots take over society’s productive forces, people will have more free time than ever before, which will “redound to the benefit of emancipated labour, and is the condition of its emancipation,” Marx wrote. Humans, once freed from the bonds of soul-crushing capitalist labour, will develop new means of social thought and cooperation outside of the wage relation that frames most of our interactions under capitalism. In short, Marx claimed that automation would bring about the end of capitalism
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  • “Not immediately productive” is the key phrase here. Just think of all the forms of work that have popped up since automation began to really take hold during the Industrial Revolution: service sector work, online work, part-time and otherwise low-paid work. You’re not producing anything while working haphazard hours as a cashier at Walmart, but you are creating value by selling what has already been built, often by machines. In the automated world, precarious labour reigns. Jobs that offer no stability, no satisfaction, no acceptable standard of living, and seem to take up all of our time by occupying so many scattered parcels of it are the norm.
  • A radically different form of work is that of providing personal data for profit. This online data work is particularly insidious for two main reasons. First, because it is often not recognized as work at all. You might not think that messaging a pal about your new pair of headphones is work, but labour theorists like Maurizio Lazzarato disagree. Second, because workers are completely cut out of the data profit loop, although that may be changing.
  • Some people are already working toward this. The basic income movement, which calls for a minimum salary to be paid out to every living human regardless of employment status, is a good start, because it implies a significant departure from the purely economic language of austerity in political thought and argues for a basic income for the salient reason that we’re human and we deserve to live. However, if we really want to change the way things are headed, more will be needed.
Thierry Nabeth

Working From Home: Awesome or Awful? - The Atlantic - 0 views

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    Telecommuting can increase employee satisfaction and decrease turnover. It can also be lonely.
Aurialie Jublin

Avec Uber et Airbnb, les travailleurs indépendants sont heureux, mais… | Fren... - 0 views

  • Les 4 profils d’indépendants Les «free agents», qui ont volontairement choisi de se mettre à leur compte et pour qui le travail indépendant est la première source de revenu, qui représentent 30% des cas.  Les «casual earners», qui ont recours au travail indépendant pour compléter leurs revenus, qui pèsent pour 40% du total. C'est le profil le plus répandu.  Les «reluctants», qui tirent la plus grosse part de leurs revenus du travail indépendant mais qui préfèreraient avoir un poste salarié, 14% des cas.  Et enfin les «financially strapped», contraints d'avoir recours à du travail indépendant en plus d'un autre emploi pour faire face à leurs charges, qui représentent 16% des cas. 
  • le digital et plus particulièrement l'avènement des plateformes ont profondément modifié la façon dont les travailleurs indépendants s'organisent. Accès à une base de clients potentiels bien plus importante, information accessible en temps réel, mises en relation plus pertinentes: les avantages de ces plateformes ont déjà convaincu près de 15% des indépendants, et ce n'est que le début si l'on en croit McKinsey. 
  • En terme de satisfaction au travail, sans surprise les indépendants ayant choisi leur statut volontairement (la majorité des cas donc) sont bien plus satisfaits de leurs conditions de travail que les autres. Parmi les éléments qui poussent les «casual earners» à avoir recours à du travail indépendant en parallèle de leur emploi, on trouve l'autonomie, l'atmosphère de travail, le fait d'être son propre patron, les horaires de travail adaptables et la possibilité de travailler où on le souhaite. 
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  • A l'inverse, les travailleurs indépendants qui n'ont pas choisi leur statut déplorent le manque de sécurité des revenus, et un niveau de rémunération qu'ils considèrent comme faible. Ils apprécient en revanche le contenu de leurs missions, leur autonomie, l'atmosphère de travail, ainsi que la flexibilité qui caractérise le travail indépendant (horaires et lieu de travail). 
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    "Près de 162 millions de travailleurs aux Etats-Unis et en Europe ont aujourd'hui un statut d'indépendant, soit 20 à 30% de la population active dans ces deux zones gégographiques, selon l'étude «Independant work: Choice, necessity, and the gig economy» réalisée par McKinsey. "
Aurialie Jublin

Pourquoi le travail est-il devenu absurde ? | InternetActu.net - 0 views

  • Dan Lyons ne mâche pas ses mots. « Pourquoi le lieu de travail est-il devenu un mixte de jardin d’enfants et de centre de tests de personnalité pour scientologue ? » Nos bureaux sont devenus un cabinet de psychologie dirigé par une « bande de charlatans », dont nous sommes les nouveaux cobayes. Et la Silicon Valley est largement responsable de nos malheurs. D’abord parce que « c’est là que sont développées ces méthodes et technologies, c’est là que sont testées bon nombre de ces idées épouvantables qui visent à changer radicalement l’entreprise ».
  • « Le travail ressemble de plus en plus à une boîte de Skinner », en faisant référence aux chambres de conditionnement visant à altérer le comportement des rats à coups de récompenses et de décharges électriques, disait déjà en 2008 le neuropsychologue Gregory Berns dans le New York Times. Partout, l’implication et la satisfaction sont en bernes. Stress, dépression, burn-out, brown-out, suicides… s’étendent et s’intensifient. L’intimidation, les violences verbales, les menaces, les humiliations, le harcèlement… semblent devenus courants. Le monde du travail est malade. Mais pour Lyons, l’épidémie a un patient zéro : la Silicon Valley !
  • Tous ont des caractéristiques communes : outre leur richesse, ils adhèrent massivement à une vision du monde hostile aux travailleurs. Bezos a bâti sa fortune sans grande considération pour ses magasiniers, payés à des salaires si faibles qu’ils sont nombreux à bénéficier de l’aide sociale, contraints de vivre nomades, comme le montrait la journaliste Jessica Bruder dans le poignant Nomadland. Les usines de Musk ne sont guère plus reluisantes : les accidents y sont deux fois plus fréquents que dans les usines du secteur de l’automobile. Dans le capitalisme sans capital, « l’exploitation des travailleurs est fructueuse ».
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  • Reid Hoffman (@reidhoffman), ancien de PayPal, fondateur de Linkedin et désormais capital-risqueur, souvent pompeusement présenté comme le « philosophe des entrepreneurs », auteur de Blitzscaling, est également l’architecte du nouveau pacte entre les entreprises et les salariés (The Alliance, Harvard Business Review, 2014, non traduit). Cette « alliance » considère le travail comme une simple transaction. Les entreprises ne doivent aucune loyauté envers leurs employés et encouragent les travailleurs à se considérer comme des indépendants, à être La startup de soi-même !
  • Pourtant, selon des psychologues des organisations, l’insécurité de l’emploi est corrélée à la diminution de la créativité, à la baisse du rendement et de la productivité… et au harcèlement. Pour Lyons, la vision du monde des entrepreneurs d’aujourd’hui relève du pur cynisme, n’assumant aucune de leurs responsabilités autres que leur enrichissement personnel. Quel contraste avec le discours d’Henry Ford – « Mon ambition est d’employer de plus en plus d’hommes afin qu’ils puissent bénéficier de la révolution industrielle. Nous voulons aider les gens à se construire une vie » ! Et Ford dirigeait des entreprises bien plus grandes et importantes que Netflix ou Linkedin !
  • « Les licornes ne possèdent aucun secret de management éclairé. La plupart des startups sont des entreprises très mal gérées, à moitié bancales, dirigées par des bouffons, des abrutis et des copains de confréries étudiantes, et financées par des investisseurs sans aucune morale qui espèrent seulement que leur entreprise sera introduite en Bourse pour gagner de l’argent rapidement. Ils n’ont aucune expertise opérationnelle ni aucun talent spécial pour le comportement organisationnel ». Leur modèle d’affaires n’est pas très novateur. Il consiste à vendre moins cher que les autres en payant moins cher.
  • Depuis, la méthode agile est devenue une religion, « un élixir miracle ayant le pouvoir de tout faire », même transformer des organisations. Mais pour Lyons, la méthode n’a que pour fonction d’en imposer une nouvelle, diminuer les salaires et virer les seniors ! Taylor avec son chronomètre poussait les gens à l’épuisement physique, la méthode agile, elle, épuise psychologiquement. Lyons estime que la plupart des implémentations de ces méthodes ne marchent pas, en tout cas les évaluations sur son efficacité semblent inexistantes (hormis pour ceux qui la promeuvent).
  • Pour Matthew Stewart, l’auteur du Mythe du management : « cette idée moderne du management nous a projeté dans une quête erronée pour trouver des réponses scientifiques à des questions non scientifiques. C’est proposer de prétendues solutions technologiques à ce qui n’est, au fond, qu’un problème éthique et politique ».
  • Pour accroître la productivité, il faut mettre les gens en confiance, éliminer la crainte de se faire licencier à tout moment, les former, les rémunérer correctement, leur offrir une bonne couverture sociale… Or, on ne trouve rien là dessus dans la méthode agile comme dans le lean !
  • Sur le même ton, Lyons règle son sort à l’holacratie (« L’holacratie c’est comme si toutes ces choses avaient été mises dans un mixeur avec du LSD, et emballées par le psychopathe Charles Manson »). Zappos a fait fuir 30 % de ses employés en adoptant cette méthode et a disparu de la liste Best Places to Work où elle figurait en haut du classement depuis des années. Derrière son discours dégoulinant de bonnes intentions sur l’autonomisation et la liberté, l’holacratie est doctrinaire et autoritaire. « Les humains ne sont pas conçus pour fonctionner comme des logiciels », rappelle Aimee Groth de Quartz.
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    Very Intresting and informative. i like that
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