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hubert guillaud

Pourquoi tant d'hommes incompétents deviennent-ils des leaders ? - Harvard Bu... - 0 views

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    Il y a 3 explications populaires à la sous représentation des femmes dans le management, estime Thomas Chamorro-Premuzic : elles ne sont pas capables, elles ne sont pas intéressées, elles sont à la fois intéressées et capables, mais incapables de briser le plafond de verre des stéréotypes et préjugés qui empêchent les femmes d'accéder aux postes de décision. Pour Thomas CHamorro-Premuzic, la principale raison du déséquilibre des genres dans les fonctions de direction repose sur notre incapacité à distinguer la confiance de la compétence. C'est-à-dire que nous avons tendance à interpréter les signes de confiance comme des signes de compétences. Le charisme et le charme sont souvent confondus avec le potentiel à diriger. De plus, nous avons tendance à élire comme chef des personnes égocentriques, narcissiques et qui ont une grande confiance en elles, des traits de personnalités plus fréquents chez les hommes que les femmes. Freud soulignait déjà combien les disciples remplacent leurs propres tendances narcissiques par celles de leur chefs, de sorte que leur amour pour le leader est une forme déguisée de l'amour-propre, ou un substitut à leur incapacité à s'aimer eux-mêmes. Enfin, les hommes ont tendance à penser qu'ils sont plus intelligents que les femmes. Pourtant, l'arrogance et la suffisance sont inversement proportionnels aux talents de leadership. Quelque soit le domaine, les meilleurs leaders sont pourtant souvent des gens humbles... C'est ce qui explique que les incompétents soient plus souvent promus à des postes de management et de direction que des gens compétents. Pas étonnant qu'avec ces mauvais dirigeants, les sociétés, entreprises et organisations soient massivement mal gérées. Pourtant, certaines études ont montré que les femmes cadres sont plus susceptibles de susciter le respect et la fierté de leurs adeptes, communiquer leur vision, responsabiliser leurs subordonnés et résoudre des problèmes de f
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    Il y a 3 explications populaires à la sous représentation des femmes dans le management, estime Thomas Chamorro-Premuzic : elles ne sont pas capables, elles ne sont pas intéressées, elles sont à la fois intéressées et capables, mais incapables de briser le plafond de verre des stéréotypes et préjugés qui empêchent les femmes d'accéder aux postes de décision. Pour Thomas CHamorro-Premuzic, la principale raison du déséquilibre des genres dans les fonctions de direction repose sur notre incapacité à distinguer la confiance de la compétence. C'est-à-dire que nous avons tendance à interpréter les signes de confiance comme des signes de compétences. Le charisme et le charme sont souvent confondus avec le potentiel à diriger. De plus, nous avons tendance à élire comme chef des personnes égocentriques, narcissiques et qui ont une grande confiance en elles, des traits de personnalités plus fréquents chez les hommes que les femmes. Freud soulignait déjà combien les disciples remplacent leurs propres tendances narcissiques par celles de leur chefs, de sorte que leur amour pour le leader est une forme déguisée de l'amour-propre, ou un substitut à leur incapacité à s'aimer eux-mêmes. Enfin, les hommes ont tendance à penser qu'ils sont plus intelligents que les femmes. Pourtant, l'arrogance et la suffisance sont inversement proportionnels aux talents de leadership. Quelque soit le domaine, les meilleurs leaders sont pourtant souvent des gens humbles... C'est ce qui explique que les incompétents soient plus souvent promus à des postes de management et de direction que des gens compétents. Pas étonnant qu'avec ces mauvais dirigeants, les sociétés, entreprises et organisations soient massivement mal gérées. Pourtant, certaines études ont montré que les femmes cadres sont plus susceptibles de susciter le respect et la fierté de leurs adeptes, communiquer leur vision, responsabiliser leurs subordonnés et résoudre des problèmes de f
abrugiere

"La multiplication des chefs de projet est une catastrophe managériale majeur... - 1 views

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    l'exemple de ce qui est pour moi la catastrophe managériale majeure : la multiplication des chefs de projet, le fonctionnement "en mode projet" Pour les sciences sociales, avoir du pouvoir c'est contrôler quelque chose d'important pour les gens qui vont travailler ensemble. Comment voulez-vous que la personne nommée chef de projet ait une quelconque autorité si elle ne contrôle pas une ressource stratégique ? l'engagement est la deuxième valeur la plus citée dans les entreprises européennes. Cela fait quinze ans là aussi que les sociologues parlent de ces phénomènes. Bien sûr que l'engagement (défini comme mettre dans son travail un peu plus de soi que ce que prévoit le contrat de travail) est un facteur de productivité. Aujourd'hui, de plus en plus de salariés préfèrent mettre ce surplus ailleurs que dans l'entreprise, dans l'associatif, le non marchand... Ils se désintéressent du gain monétaire. Le désengagement va coûter très cher aux entreprises.
julien camacho

Communication externe ou réseau : les chefs d'entreprises encouragés à tweete... - 1 views

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    Faut-il s'inscrire sur Twitter quand on est patron d'une entreprise ? Et quels sont les enjeux et les bénéfices derrière ? Autant de questions que les chefs d'entreprises français commencent à se poser.
hubert guillaud

Nos chefs sont nuls - Slate.fr - 1 views

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    En France, comme dans les autres pays méditerranéens, la majorité des managers envisagent la direction de manière coercitive, c'est-à-dire dans le but d'obtenir un acquiescement immédiat des salariés. Alors que dans les pays d'Europe du Nord, le chef est là pour faire émerger la décision collectivement. Pourquoi en sommes-nous là ? Les écoles de management ne forment pas à l'humain, mais aussi parce que les managers ne sont pas choisis pour leurs qualités humaines mais pour leurs compétences métiers. L'évolution du management avec le développement du reporting (les indicateurs de résultats) remet en cause les métiers, mais pas l'autocratie.
abrugiere

Chez Gore-Tex, chaque salarié est son propre manager - Capital.fr - 0 views

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    Ici, pas de chefs ni de postes figés. Mais des équipes-projets 28autodirigées, dont les initiatives font le succès du groupe. Tous les salariés sont des associés et bénéficient du même degré d'autonomie. Dans ce groupe américain de 10.000 salariés, pas de n +1, de n -1, de petits chefs ni d'horaires fixes La société est organisée en une multitude de petites équipes. Chacune réunit autour d'un projet des individus de tous les services (marketing, R&D, RH, fabrication…). Et aucun de ces services n'a d'ascendant sur les autres. Bref, l'antithèse de la structure pyramidale adoptée par la majorité des sociétés de la planète. Les associés travaillent en parallèle sur deux ou trois projets qu'ils choisissent eux-mêmes en fonction de leurs compétences et… de leurs envies. La seule fonction managériale existante est celle de «leader». Chez Gore, tous les leaders sont en effet élus par les salariés. Jusqu'à l'actuelle PDG, Terri Kelly, qui a été désignée par une centaine de leaders mondiaux en 2005 Gore est une entreprise assez atypique, où un associé sur quatre affiche plus de vingt années d'ancienneté 
marinealbarede

Chefdentreprise.com - Le télétravail, un sujet qui divise les chefs d'entreprise - 0 views

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    Selon une étude réalisée par Mobilitis, 48 % des chefs d'entreprise se déclarent plutôt opposés au télétravail alors que 45 % se disent plutôt favorables à cette organisation. Pourtant, une majorité considère qu'il n'influe en rien sur la qualité du travail.
Aurialie Jublin

Le BYOD régresse en Europe de l'Ouest ! - ZDNet - 0 views

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    "C'est la surprise du chef dévoilée il y a peu pas Strategy Analytics. Alors que le BYOD explose en Amérique et en Asie, la chanson est bien différence en Europe de l'Ouest selon l'institut."
Aurialie Jublin

Favi, l'usine qui tourne sans chefs - Capital.fr - 2 views

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    Depuis près de trente ans, ce sous- traitant picard pour l'industrie automobile pousse ses 400 ouvriers à élire leurs responsables et à travailler sans hiérarchie. Et le succès de son modèle fait réfléchir.
Aurialie Jublin

« Voice picking » : dans le casque, mon chef cette machine | Rue89 Eco - 0 views

  • L’homme-robot dirigé par la machine ? On n’en est peut-être pas loin. Même si Gilles Chasson estime que cette technologie est plus une aide qu’autre chose – puisqu’elle réduirait le risque de faire une erreur et le taux d’accidents du travail –, ce système pose question car il s’étend en France.
  • C’est vrai que je travaille plus vite depuis que j’ai le casque et que je suis plus concentré. Mais j’ai moins de contact avec les collègues et ça me demande beaucoup d’énergie. Après sept heures de boulot, je suis beaucoup plus crevé qu’avant. 
  • Outre un rythme de travail accru ne permettant aucune relâche, ainsi qu’une diminution de l’attention portée sur son environnement, ce sont les risques psychosociaux qui interpellent : « une dépendance à la machine  : développement d’un sentiment de déshumanisation du travail (voix synthétique), diminution de la conscience de l’effort (fatigue, risque de troubles musculo-squelettiques (TMS)), suppression de l’autonomie dans l’organisation du travail malgré la possibilité d’arrêter le système à tout moment [...] ; une modification des relations du travail  : la limitation des communications entre collègues et avec la hiérarchie, et la réduction du nombre de passages au bureau préparateur participent à la diminution du lien social et collectif de travail ; une diminution des aptitudes attendues  : l’appauvrissement des tâches, l’absence de visibilité globale de la commande pour construire une palette et la disparition de l’autocontrôle rendent le métier moins attrayant. »
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    Cette technologie, c'est celle du « voice picking ». « Voice » renvoyant à la voix, « picking » exprimant le déplacement, d'une zone de stockage à l'autre, du préparateur de commandes.  En plus de libérer les mains de l'opérateur, cette technologie a deux avantages importants : elle permet d'abord d'augmenter la productivité des travailleurs : ceci évite à l'employeur d'avoir à engager du personnel supplémentaire à des périodes où le nombre de commandes explose. Comme à Noël ; ce système supprime les "ruptures de charge" : ces moments où l'employé cesse de travailler pour regarder un code-barres, une étiquette ou son scanner. »
Aurialie Jublin

Ces patrons qui osent "libérer" leurs salariés - 1 views

  • L'exercice d'un contrôle autoritaire s'accompagne d'une multitude de coûts cachés qui ne pèsent pas seulement sur les bénéfices, mais sur la santé des employés [...] La grave erreur des bureaucrates est de s'imaginer que, parce qu'une chose s'appelle règle, elle est préférable à un arrangement moins formel. D'autant que la plupart de ces règles ne se bornent pas à saper le moral des salariés : elles empêchent la grande majorité d'entre eux de faire ce qui conviendrait.
  • « Lâcher prise » ? C'est la clé de ces transformations menées par ces patrons. En supprimant toute surveillance au profit de l'auto-organisation du personnel, ils ont décuplé la motivation au prix d'un intense effort sur leur rapport au pouvoir.
  • Au final, l'agilité d'une entreprise est déterminée par son leadership : « Pour atteindre la performance forte et durable qu'ils visaient, ces patrons ont renoncé à agir sur l'homme (à le contrôler, le motiver, le manager) et préféré agir sur son environnement pour que ce dernier le nourrisse », résume Isaac Getz. Mais avec deux cartes maîtresses, la transparence et la confiance, dans un jeu qui implique les salariés. Cela leur inspire une automotivation qu'aucun chèque ne produira jamais.
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    Persuadés que le meilleur moyen pour rester compétitifs est de responsabiliser leurs troupes, certains chefs d'entreprise ont fait le pari de lâcher la bride à leur personnel. Visite guidée dans ces laboratoires de ressources humaines qui affichent des performances très convaincantes. Pas d'échelon hiérarchique, ni grade; regroupement des collaborateurs par client et non pas service / organisation en mini-usine; pas d'emploi du temps; infos sur l'entreprise libres pour prendre les décisions en toute connaissance de cause; ...
Aurialie Jublin

Dans cette entreprise française, les salaires sont publics et les employés le... - 0 views

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    "Pour déterminer sa paye, l'employé de Lucca ne se défend pas simplement en entretien individuel de fin d'année face à son chef. Non, il doit argumenter en sa faveur lors de deux réunions auxquelles participent tous les salariés de plus de trois ans d'ancienneté ainsi que les dix membres du comité de direction. Lors de la première réunion, chacun de ces salarié argumente pour sa propre augmentation. Chacun d'entre eux glisse dans une enveloppe un papier contenant son nom et le montant souhaité. Les enveloppes sont ensuite ouvertes une par une et tour à tour, les salariés doivent expliquer pourquoi ils méritent ce salaire. Chacun peut émettre ses objections, y compris le patron. "Quand je pense que c'est trop élevé je n'hésite pas à le dire", affirme-t-il. Ceux qui n'osent pas donner leur avis peuvent le faire anonymement par la suite. A l'issue de ces réflexions, toutes les remarques sont transmises au salarié concerné."
Aurialie Jublin

Numérique au travail: une transformation jugée positive mais seulement en app... - 0 views

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    "L'enquête pointe notamment le "management collaboratif" avec "un réel décalage" entre la perception des chefs d'entreprises et celle des salariés: chez les premiers, ils sont 47% à estimer que le numérique a eu des conséquences positives sur la possibilité pour les salariés de donner leur avis sur le management et participer aux prises de décisions ; les seconds ne sont que 27% à le penser. Si "l'arrivée du numérique au travail a permis une grande souplesse dans l'emploi du temps (...), la circulation instantanée de l'information a favorisé l'avènement d'une culture de l'urgence et de l'immédiateté qui conduit à la fois à une intensification du travail (plus de tâches dans un laps de temps identique), à sa densification (assimilation de plus d'informations) et à sa fragmentation (l'individu perd ses repères avec l'éclatement des tâches dans le temps et l'espace)", relève l'enquête."
abrugiere

Refonder l'entreprise : entretien avec Armand Hatchuel et Blanche Ségrestin -... - 1 views

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    entretien vidéo
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    Notes brutes sur la vidéo USA : gouvernance actionnariale/rachat d'action (équivalent au budget R&D) / gestion des capitaux au lieu de gestion de l'entreprise / Création et innovation collective sous-évaluée Pas de modèle de l'entreprise (ni juridique, ni théorique), d'où importance de la corporate gouvernance // pas de droit de l'entreprise en tant que tel (droit du travail, droit des contrats, droit commercial ...) Entreprise différent de société commerciale : 1874-Valras-"entrepreneur"-loue des territoires, des services, .../1932-Mills-"modern cooperation", "manager"/1880-1910, luttes syndicales, 1898 "chef d'entreprise" responsable en cas d'accident du travail, contrat de travail apparait 1881-business school apparait 3 caractéristiques de l'entreprise : 1) dynamique de création collective (domestiquer l'innovation)-> subordnation/contrat de travail/nouveaux métiers/figure du chef d'entreprise, manager différent du propriétaire et du créateur // 2) collectif organisé // 3) figure de gestion Théorie de l'agence : focalisation de la shareholder value / mangement par objectif / décomposition du collectif / surveillance des dirigeants / stockoptions interdits jusqu'au début des années 80 Perspectives (refonder l'entreprise qd responsabilité sociale des entreprises inssufisante et shareholder value prépondérante) : 1) refonder l'entreprise autour de l'idée de la création collective : nouveaux usages des ressources mobilisées pour créer qq chose de nouveau / parler de potentiel plutôt que de capital 2) nécessité d'une personne pour inventer ces nouveaux usages (ne représentant aucune entité ou groupe) / parler d'habilitation plutôt que de mandat / renoncer à biaiser leur jugement (par ex avec des stock options) 3) céder son autonomie de gestion : les salariés aussi assument des risques (pas que les actionnaires) puisqu'ils renoncent à une partie de leur autonomie 4) règle de solidari
Aurialie Jublin

Etre géolocalisé par son employeur ? « Je m'en fiche, je n'ai rien à cacher »... - 1 views

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    "Comme la géolocalisation permet de connaître les consommations de carburant des véhicules, plusieurs entreprises utilisent ces données pour mettre en place une compétition entre les commerciaux. Selon Claire Alleaume, le salarié qui consomme le moins d'essence obtient une prime. L'économie se met au service de l'écologie. La volonté de contrôler l'absentéisme et les attitudes des commerciaux n'est, elle, pas mise en avant. Ni par les équipementiers de balises de géolocalisation, ni par les chefs d'entreprise. Stéphane, le commercial, n'est pas dupe de ce qu'il y a derrière les arguments marketing : « L'écoconduite ? Oui, on y était sensibilisés. Mais pour moi, ce n'est pas la raison principale. Même s'ils ne s'en vantent pas, et c'est normal, ils ont surtout utilisé la géolocalisation pour diminuer les abus. »"
Aurialie Jublin

"Le travail à distance, levier de transformation des entreprises " | Zevillag... - 1 views

  • Elle va aussi se propager par communautés d’intérêt ; mais plus forcément à l’intérieur des « frontières » de l’entreprise. Les salariés vont trouver des échos à l’extérieur de l’entreprise, dans un écosystème beaucoup plus large. D’ailleurs intérieur et extérieur se fondent plus ou moins aujourd’hui : les frontières de l’entreprise deviennent poreuses.
  • Le nomadisme va obliger les entreprises à s’orienter vers des modes de coopétition, vers des logiques qui intègrent cette ouverture vers l’extérieur. Gérer cette évolution inéluctable de manière constructive est un des enjeux RH majeurs des années à venir.
  • Le nomadisme va obliger les entreprises à repenser la « culture du sens », et par conséquent à repenser leur projet. Le travail à distance, le nomadisme, ne peut réussir, être un succès que si chacun trouve le sens qui va animer son autonomie quotidienne. Les managers ne pourront faire autrement, pour faire vivre ce nouveau mode d’organisation, que d’interroger le projet, voire de le redéfinir et le faire évoluer. Ils vont devoir apporter des réponses à ceux qui colportent partout leur entreprise avec eux, et la pression va remonter dans la hiérarchie… jusqu’à la direction générale où il va bien falloir se poser la question de la cohérence.
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    "Patrick Bouvard et Patrick Storhaye viennent de publier Le travail à distance, une analyse originale sur la manière dont le nomadisme et le télétravail bouleversent l'organisation des entreprises. Tout en constituant un terreau fertile pour « réinventer le management et améliorer la performance ». Entretien avec Patrick Bouvard, l'un des deux auteurs et rédacteur en chef de RH Info."
Aurialie Jublin

Amazon va embaucher des livreurs «à la tâche» - Libération - 0 views

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    "Le géant de la distribution Amazon a annoncé qu'il embaucherait des employés occasionnels à la tâche pour livrer ses colis dans plusieurs villes des Etats-Unis. Amazon a mis en ligne une plateforme baptisée Flex, proposant de devenir livreur contractuel pour une rémunération de 18 à 25 dollars par heure. «Devenez votre propre chef : livrez quand vous voulez, autant que vous voulez», promet le site, déjà disponible dans la ville d'origine d'Amazon, Seattle."
Aurialie Jublin

Emploi:Viadeo lance une nouvelle fonctionnalité - 2 views

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    "Viadeo, premier réseau social professionnel de France avec 8 millions de membres, lance une nouvelle fonctionnalité pour réunir autour d'un même métier recruteurs et salariés, afin d'aider ces derniers à mieux anticiper l'évolution de leur carrière. Lancée vendredi sur le site, après plusieurs jours en version bêta, la fonctionnalité "Face à Face" propose quelque 500 groupes de discussion autour d'un métier - d'artiste-plasticien à chef de projet informatique, en passant par directeur juridique ou kinésithérapeute."
Aurialie Jublin

« Le numérique détruit de l'emploi... au sein du numérique » - Rue89 - 2 views

  • Pourquoi un tel jeunisme ? Les compétences évoluent à toute allure, tout le monde est vite dépassé ? En partie. Les employeurs affirment aussi chercher chez les jeunes un état d’esprit, plus de flexibilité, de mobilité. Autre tendance : la constitution d’équipes très homogènes pour éviter les conflits générationnels. Mais la principale raison, c’est les salaires : les jeunes coûtent moins cher.
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    "Il y a deux fois plus d'informaticiens au chômage qu'il y a cinq ans. Vous avez bien lu : des informaticiens. Des gens qui, plus jeunes, ont écouté le conseiller d'orientation, et ont suivi le parcours qui devait les préserver du chômage. Selon les méthodes de comptage, ils sont entre 45 000 et 55 000. Au même moment, des chefs d'entreprise affirment en chercher, des informaticiens, et avoir du mal à en trouver. Alors quoi ? Régis Granarolo, président du Munci, une association d'informaticiens qui dissèque chaque mois les statistiques du secteur, nous aide à y voir plus clair."
Aurialie Jublin

Du lien de subordination au lien de sub-organisation - JM RAY | L'Observatoire - 1 views

  • Exemple concret du décalage entre règles actuelles du droit du travail et réalité du terrain, le télétravail : l’examen du carnet de logs d’un télétravailleur pose très vite au juriste deux problèmes : horaires de nuit et travail dominical.  Le code du travail traite le télétravaileur comme un travailleur comme un autre. Pour un juriste classique le télétravail ne passe pas. Mais le télétravail pose surtout un souci sociétal majeur. Selon l’INSEE, il y a 3 millions de travailleurs du savoir en France qui  travaillent le dimanche. Le plus souvent pour finir le travail qui ne l’a pas été pendant la semaine. Ce qui s’opposait autrefois à l’exportation du travail à la maison ce n’était pas le droit du travail, c’était la loi de la pesanteur : impossible pour un ouvrier de rapporter sa pièce à finir à la maison!
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    "Le fondement du droit du travail classique c'est la subordination. Tout repose sur « l'autorité qui tombe d'en-haut », le management « à la petit chef ». Il existe donc aujourd'hui un décalage réel entre les règles actuelles du droit du travail et la réalité du terrain." Notamment du fait de la collaboration, co-construction, du télétravail, ...
Aurialie Jublin

Pour recruter, plus besoin de chefs : il y a des programmes informatiques - L... - 0 views

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    Reprend bcp d'éléments d'IA sur le sujet (Petland, Sociometrics Solution, Evolv)
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