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FB et le bijoutier : coup de point | HoaxBuster - 0 views

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    Hoaxbuster revient sur la page Facebook de soutien au bijoutier de Nice et montre que la progression des likes sur la page est liée à deux facteurs : une action concertée par la mouvance "extrême droite" et deuxièmement, un emballement médiatique hors norme et sans précédent." Dans cette histoire, il ne faut pas se leurrer, le like sur Facebook est devenu un véritable outil de propagande massive.
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Les algorithmes d'autocomplétion de Google, les stéréotypes et les responsabi... - 0 views

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    Anna Jobin revient sur la campagne de sensibilisation de l'ONU sur le droit des femmes qui montrait des visages de femmes silencieux et les résultat d'une recherche Google listant des lieux communs et sexistes sur les femmes. La campagne de sensibilisation a été un succès pour prendre conscient du sexisme des requêtes... Mais nous ne savons rien de l'algorithme d'autocomplétion de Google qui affiche ces résultats. Combien de personnes ont tapés ces questions stéréotypées ? Représentent-ils une majorité de la population ou pas ? L'autocomplétion affiche sur les mots que vous commencez à inscrire les requêtes "utiles" des utilisateurs... mais que signifie le terme "utile" ? L'autocomplétion n'est pourtant pas totalement automatisé, mais au contraire est personnalisé et parfois censuré. "Google n'est pas le miroir objectif qu'il prétend être" et la campagne montre bien que la manière dont il affiche des résultats à un impact direct sur nous. Google n'est pas innocent, la responsabilité n'est pas une option binaire. Si nous, en tant que société, ne voulons pas que des stéréotypes négatifs (sexistes, racistes, discriminatoires...) l'emportent, comment pouvons-nous agir ? Quand les algorithmes ne sont pas responsables, qui l'est ?
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Pourquoi les monopoles rendent-ils l'espionnage plus facile ? - New Yorker - 0 views

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    La structure de l'industrie de l'information passe souvent inaperçue, mais elle a un effet énorme sur la facilité avec laquelle le gouvernement (et ces sociétés géantes) espionnent les citoyens, estime Tim Wu, professeur de droit à Columbia et ardent défenseur de la neutralité du net. En racontant l'histoire de la surveillance, Tim Wu pointe qu'elle est toujours plus facile dans les économies sous monopole. Quand une ou quelques entreprises dominantes détiennent un pouvoir sur une partie de l'industrie de l'information, les agences de renseignement ont tendance à leur demander une coopération ou un partenariat. "Si vous voulez moins de surveillance, la réponse alternative au contrôle politique est une plus grande concurrence dans les industries qui manipulent et stockent l'information". La volonté de surveillance et d'espionnage des Etats est une constante, mais c'est la structure et la conception des industries de l'information qui la rende plus ou moins possible. Ce qui signifie des lois contre la concentration plus vigoureuses et pour les utilisateurs, de favoriser la diversité des opérateurs.
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Le vrai problème de la confidentialité - Technology Review - 1 views

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    Faut-il répondre à la surveillance massive par de nouvelles lois pour protéger la confidentialité ou par des mécanismes de rétribution adaptés ? Nous avons besoin d'une solution civique, estime Evgeny Morozov, de stimuler la démocratie afin de rééquilibrer les lois et les mécanismes du marché. Car en fait, il s'agit de répondre à la convergence des entreprises de technologie et des intérêts politiques. Tout le monde souhaite prévenir les problèmes plutôt que de faire face à leur conséquences... Mouler et ajuster les comportements individuels à l'intérêt général devient la nouvelle norme. "Le traitement apparaît de plus en plus comme le moyen idéal pour adapter un individu à un comportement normalisé prédéterminé qui vise à le conformer au modèle idéal de consommateur, de contribuable, de salarié, de citoyen..." Plus nous révelons de données sur nous-mêmes, plus dense devient le fil de fer barbelé invisible de notre vie intellectuelle et sociale. Pour dépasser le paradoxe, nous devons comprendre que la vie privée ne peut plus être synonyme du droit à décider où et quand nos données doivent être accessibles. Le contrôle des données par les individus (via des lois plus sévères ou un régime de propriété plus affirmé) n'est pas une solution viable, estime Morozov. Pour résoudre le paradoxe, nous devons politiser le débat, nous devons aussi saboter le système et nous devons exiger des services numériques plus provocants, capables de nous montrer les dimensions cachées des effets du partage d'information"Nous avons besoin d'applications capables de nous dire combien de personnes vont perdre leur assurance maladie si l'industrie de l'assurance dispose d'autant de données que la NSA". Bien que toujours stimulant, pour une fois, Morozov ne me semble pas si clair...
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Quel niveau de surveillance la démocratie peut-elle endurer ? par Richard Sta... - 1 views

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    "Le niveau de surveillance actuel dans nos sociétés est incompatible avec les droits de l'homme. Pour retrouver notre liberté et rétablir la démocratie, nous devons ramener la surveillance à un niveau qui permette à tout lanceur d'alerte de discuter avec des journalistes sans risquer d'être repéré. Pour y arriver de manière fiable, il nous faut réduire la capacité de surveillance des systèmes que nous utilisons", estime Richard Stallman, qui compare la surveillance à une pollution de la société. Qui rappelle qu'une protection solide de la vie privée doit être d'abord technique, mais pas seulement. Tous nos systèmes doivent intégrer ce respect de la vie privée... dès leur conception. Et pour cela, il faut intégrer deux paramètres à leurs conception : garder les données dispersées et rendre la consultation malaisée...
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Neuro-pédagogie - LeTemps.ch - 0 views

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    Les polémiques sur les méthodes pédagogiques s'arrêteront-elles un jour ? Difficile à croire, tant l'éducation a toujours été la cible des idéologies et fantasmes. Désormais, elles s'étendent aux "recherches sur le cerveau" qui légitimeraient ou disqualifieraient telle ou telle approche pédagogique. Mais là encore, on assiste surtout à des dérives proche de l'imposture, estime le neuroscientifique Sebastian Dieguez. Dans un pamphlet rafraichissant Normand Baillargeon dresse le panorama des "Légendes pédagogiques", où il démonte nombre de mythes se revendiquant des neurosciences : non, la musique classique n'aide pas au développement cérébral, non, nous n'utilisons pas 10% de nos cerveaux, non, l'hémisphère droit n'est pas le créatif et le gauche l'analytique... L'auteur s'en prend aussi aux promesses marchandes plus qu'éducatives des nouvelles technologies. Les incohérences et les polémiques sur les neurosciences et l'éducation ont encore un bel avenir !
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Zappos dit byebye à son encadrement - Washington Post - 0 views

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    Le commerçant en ligne Zappos a toujours été original dans son management, mais il vient de décider d'en finir avec la hiérarchie afin de mettre fin avec la croissance de la bureaucratie interne (la société compte 1500 employés). La hiérarchie est remplacée par des chaines de commandement en cercles de personnes baptisée "halocratie" afin d'organiser la société autour de ce qui doit être fait, plutôt que de l'organiser autour des gens. Chaque employé a plusieurs rôles, appartient à plusieurs cercles... Certains ont la capacité d'affecter les employés à des cercles ou de les révoquer de ces cercles de travail mais n'ont pas le droit de dire aux gens quoi faire. Si on comprend l'intérêt de supprimer les frictions et concurrences interne, estime le professeur de management Bob Sutton, il est difficile de gérer des situations où plus personne n'a le pouvoir de décision.
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Imprimantes 3D : la bataille contre la copie d'objets a commencé - 0 views

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    "Après le premier procès en contrefaçon intervenu l'an dernier, voici le premier DRM proposé aux industriels qui veulent vendre sur Internet des fichiers de modèles 3D à imprimer chez soi, ou à faire imprimer par un prestataire." La Technology Review rapporte que des chercheurs ont déposé un brevet portant sur des DRM applicables aux fichiers des modèles 3D utilisés pour créer des objets physiques : http://www.technologyreview.com/view/429566/nathan-myhrvolds-cunning-plan-to-prevent-3-d/ La guerre de l'impression 3D ne fait que commencer !
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Pour en finir avec les mythes prégnants du copyright et de l'argent - Framablog - 0 views

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    "Le mythe selon lequel le monopole du copyright serait nécessaire pour que n'importe quelle sorte d'art rapporte de l'argent, ou tout simplement pour que cet art existe, est un mythe obscène perpétué par ceux qui ont quelque chose à gagner en écrémant les 90% de l'argent des artistes, les privant du même coup de l'accès a un public par un racket à l'ancienne. Pouvons-nous, s'il vous plaît, passer à autre chose maintenant ?"
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Nous devons empêcher la privatisation du domaine public - Communs / Commons - 0 views

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    Philippe Aigrain réagit à l'annonce par le ministère de la Culture d'un accord entre la BNF et des partenaires privés donnant exploitation commerciale exclusive pendant 10 ans d'oeuvres du domaines publics que ces partenaires numériseront pour la BNF. Or, ces oeuvres sont dans le domaine public, notre bien commun, rappelle Philippe Aigrain. Si nous laissons faire, il n'y aura plus qu'une source d'accès au patrimoine librement réutilisable, celle des projets sociétaux (internetachive, wikisource, Gutenberg...) et les réseaux de partage de fichiers entre individus. L'Etat peut-il exproprier chacun d'entre nous pour attribuer un privilège d'exploitation sous prétexte qu'il n'a pas d'argent ?
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Ce que je veux que Tim Berners-Lee comprenne à propos des DRM - Guardian - 0 views

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    Cory Doctorow réagit à l'annonce faire par Tim Berners Lee d'ajouter les DRM au standard HTML 5. Mais Doctorow rappelle que les DRM jusqu'à présent n'ont pas fonctionné. "Si Berners-Lee pense qu'ajouter des secrets aux navigateurs web auxquels les propriétaires d'ordinateurs ne pourront accéder va permettre aux marchés de l'industrie du divertissement de trouver de nouveaux modèles d'affaires, il se trompe." Les restrictions logicielles n'aident pas à vendre, au contraire. Jusqu'à présent, les DRM ont juste empêché l'innovation. L'avenir du web est l'avenir du monde, clame Cory Doctorow. Ne laissons pas brader la confiance au motif que les Grand fournisseurs de contenus vont protéger leurs contenus avec Flash plutôt qu'HTML5 s'ils n'obtiennent pas leurs DRM. Les studios avaient promis de boycotter la télévision numérique si elle n'intégrait pas de DRM. Elle n'en a pas et aujourd'hui, tous l'utilisent.
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L'exception pédagogique mérite un véritable débat parlementaire ! - SavoirsCom1 - 0 views

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    Le collectif Savoirs Communs en appelle à l'élargissement de l'exception pédagogique dans le code de la propriété intellectuelle afin d'élargir l'usage d'extraits d'oeuvres dans les cours.
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Intellectual Ventures : l'épouvantail de la Silicon Valley - LeMonde.fr - 0 views

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    Intellectual Ventures achète des brevets pour les revendre aux entreprises souhaitant les utiliser ou attaquer des entreprises... Les trolls ne sont pas que dans les commentaires, certains ont trouvé des moyens pour que cela leur rapporte. Des troll au carré !
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"Face à la gouvernementalité algorithmique, repenser le sujet de droit " par ... - 0 views

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    "Le gouvernement algorithmique est un mode de gouvernement nourri essentiellement de données brutes, signaux infra-personnels et a-signifiants mais quantifiables, opérant par configuration anticipative des possibles plutôt que par règlementation des conduites, et ne s'adressant aux individus que par voie d'alertes provoquant des réflexes plutôt qu'en s'appuyant sur leurs capacités d'entendement et de volonté. La reconfiguration constante, en temps réel, des environnements informationnels et physiques des individus en fonction de « l'intelligence des données » - qu'on l'appelle « personnalisation » ou « métabolisme de sécurité » - est un mode de gouvernement inédit. Le type de « savoir » qui le nourrit et qu'il façonne, les modalités suivant lesquelles il affecte effectivement les conduites individuelles et collectives, les modes d'individuation qui peuvent l'infléchir ou lui résister méritent d'être très soigneusement étudiés." C'est précisément l'enjeu de cet ouvrage d'Antoinette Rouvroy dont une version de travail est librement accessible en ligne. 
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InaGlobal - Qui veut gouverner l'internet ? - 0 views

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    Retour sur la récente conférence mondiale de l'IUT qui a mis en évidence les tensions dans la gouvernance de l'internet. La résolution de l'IUT qui visait à imposer une autorité réglementaire sur l'internet par le biais de l'agence onusienne visait à nuire au développement de l'internet ouvert, n'a pas été approuvée par 55 pays.
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Le dernier blog » - Faut-il faire taire l'insupportable ? - 0 views

  • ur que le droit d’expression le plus important reste garanti : celui de contredire, de rectifier, de discuter, d’argumenter, de raisonner. Twitter est un espace social, un espace de co
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    Jean-Noël Lafargue revient sur la polémique Twitter autour du hastag #simonfilsestgay... Et souligne que le traçage des propos fait agir la "magie" de la pression sociale. "Le surveillance sociale fonctionne et dans le bon sens : : ceux qui ont sorti des horreurs se font faire les gros yeux et doivent tenter de regagner les faveurs du groupe à coup d'excuses telles que « je rigolais ». Je ne vois pas ce qu'une censure - la suppression de tweets et les poursuites judiciaires de leurs auteurs - apporterait de positif à un mécanisme qui fonctionne plutôt bien ici. Si on supprimait les quelques horreurs véritables qui ont été publiées, la réponse qui leur est faite deviendrait incompréhensible. Or ce qui compte ce n'est pas l'erreur, c'est la rectification, la réprimande, la rédemption. Et si l'on inquiétait les auteurs de messages douteux sur un plan judiciaire, ils ne pourraient plus s'en tirer en disant « je rigolais » mais seraient contraints à les assumer et à les revendiquer."
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La page Facebook « n'est pas un lieu public », juge la Cour de cassation - Le... - 0 views

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    Les propos que chacun publie sur des réseaux sociaux ne sont pas des propos tenus en public et ne sont donc pas susceptibles de faire l'objet de poursuites pour diffamation ou injure publiques. A la condition toutefois, explique la Cour de cassation, "que les termes employés ne soient accessibles qu'à des personnes agréées par le titulaire du compte et fort peu nombreuses". Facebook est donc bien dans le clair-obscur de Dominique Cardon.
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Pourquoi une chimiothérapie qui coûte 70 000$ aux Etats-Unis ne coûte-t-elle ... - 0 views

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    La raison principale : le coût des brevets, mais la contrepartie est l'accès limité au traitement dans les pays en développement.
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A qui appartient cette vidéo sur YouTube ? Ou la démonstration de l'inanité d... - 0 views

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    Très belle démonstration de Cyroul de la difficulté de dire à qui appartient une vidéo, qui souligne combien internet est un système technologique qui favorise la propagation des oeuvres de l'esprit.
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Move commons, les creative commons pour les projets et les organisations - SavoirsCom1 - 0 views

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    Move Commons - www.movecommons.org - est un système de marqueurs pour permettre à toute initiative, collectif ou organisation non gouvernementale de déclarer simplement les principes auxquels elle adhère et de les afficher. C'est un peu le principe de Creative Commons appliqué non pas aux œuvres, mais aux projets, aux organisations et à toutes sortes d'initiatives.
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