Skip to main content

Home/ InternetActu/ Group items tagged livre

Rss Feed Group items tagged

hubert guillaud

Est-ce que Google brise notre mémoire ? - Slate - 0 views

  •  
    Slate publie un extrait du dernier livre de l'éditorialiste Clive Thompson "Plus intelligent que vous pensez : comment la technologie change notre esprit pour le meilleur" et démonte le mème selon lequel la technologie ruinerait notre capacité à nous souvenirs de faits. En fait, notre mémoire transactive, qui consiste à stocker des informations dans des objets autour de nous n'est pas liée à la technologie. Nous le faisons depuis longtemps avec nos proches pour compenser notre manque de capacité à nous souvenir de détails. Car nos cerveaux ont du mal à mémoriser des détails. Si nous savons retenir l'essentiel de l'information que nous rencontrons, nous avons du mal avec les faits précis (sauf si vous êtes obsédé par un sujet, auquel cas vous retiendrez très bien les anecdotes. C'est pour cela que les amateurs de foot retiennent plein de détails et sont incapables de se souvenirs de l'anniversaire de leurs enfants par exemple). Mais nous avons toujours compté sur nos capacités d'adaptation pour nous souvenir. Nous avons stocké nos connaissance dans du papier, des post-its et plus encore chez nos proches. Les couples sont très forts pour se partager les tâches de mémoire : l'un se souvenant d'où est rangé les ampoules, l'autre des dates d'anniversaires. Cela est du au fait que nous sommes conscients des limites de nos capacités mentales. En partageant notre mémoire de travail, nous nous rendons collectivement intelligents, estime le psychologue Daniel Wegner. Les couples se googlent l'un l'autre pour se souvenir de quelque chose. Les groupes transactifs se souviennent mieux et analysent les problèmes plus profondément. Pour bien se souvenir, il faut assurément compter sur les autres.
hubert guillaud

Stationnement, champ de bataille : quelle place pour l'auto-immobile ? - Demain La Ville - 0 views

  •  
    Une voiture individuelle n'est utilisée que 5% de son temps et occupe 20m² d'espace le plus souvent public. Comment "Reconquérir les rues", comme le clame l'architecte urbaniste Nicolas Soulier dans un livre récent ? En diminuant la place de la voiture au profit d'une pluralité de transports.
hubert guillaud

Propriété numérique et génération insupportable - Affordance - 0 views

  •  
    Olivier Ertzscheid revient sur la mise en nuage de nos pratiques connectés. Nous voilà dépossédés de tout, exposés et soumis aux modifications des conditions d'usages de ce qui ne nous appartient plus. Il est devenu plus rentable de nous allouer des accès temporaires que de nous vendre des contenus. Nous assistons à un hold-up planétaire, qui nous prive des logiques de transmission, partage, médiation et appropriation. Avec l'arrivée de la connexion de nos vêtements eux-mêmes et de l'identification biométrique, "des opérations aussi simples que celle permettant de donner à un ami une place de cinéma dont on ne se sert pas, un blouson dont on n'a plus d'utilité, un livre que l'on n'a plus envie de lire, deviendront impossibles ou seront soumises à une identification préalable." "Ce média profondément disruptif que fut internet, dont les bases reposaient sur la possibilité d'un partage, d'une publication et d'une dissémination instantanée, plurielle et à large spectre, se mue en son exact inverse. Nous devons y prêter attention non pour le condamner mais pour mettre en place les règles qui à l'échelle d'une société connectée, doivent permettre à chacun de rester maître de son horizon culturel, et de la manière dont il choisira ou non de le transmettre à d'autres."
hubert guillaud

17 boulots que les robots étaient censés avoir volé - PaleoFuture - 0 views

  •  
    Matt Novak se plonge dans un livre de 1982 qui pointait vers 17 emplois que la technologie devait rendre obsolète au XXIe siècle... mais les caissières sont toujours et les agriculteurs peinent à trouver suffisamment de main d'oeuvre pour ramasser les récoltes... En fait, on surestime souvent la capacité des machines à prendre totalement des emplois. En fait, la plus grande perturbation qu'introduisent les machines est dans la diminution du montant auquel on paye les gens qui travaillent.
hubert guillaud

Pourquoi la technologie gouvernementale est-elle si pauvre ? - WSJ.com - 1 views

  •  
    Pour le Wall Street Journal, Farhad Manjoo revient sur les fiascos technologiques de l'administration américaine. Apple a dépensé 150 millions de dollars pour développer l'iPhone. L'assurance maladie américaine a dépensé 360 millions de dollars pour développer healthcare.gov... Et pourtant, les résultats sont loin d'être comparables ! Pour Farhad Manjoo, la raison est certainement à trouver dans le manque de responsabilité, dans la complexité des processus administratifs et notamment de passer des appels d'offres... Quand est-ce que nos démarchent en lignes deviendront-elles aussi indolores que d'acheter un livre sur Amazon ?
hubert guillaud

Pourquoi je classe mes amis... - The Kernel - 0 views

  •  
    Pour Milo Yiannopoulos qui tient une base de données de ses relations sociales classée selon leurs attributs physiques, professionnels et financiers, et qui prépare un livre sur "Les sociopathes de la Silicon Valley", ces métriques de nos relations préfigure la façon dont nous gérerons nos relations dans le futur. Bienvenue au Quantified Us.
hubert guillaud

Entre les révolutions violentes et non violentes, qui gagne ? - Psychology Today - 1 views

  •  
    Au cours de sa formation de politologue, comme tant d'autres, la chercheuse Erica Chenoweth - http://www.ericachenoweth.com (blog : http://rationalinsurgent.com ) - a appris que l'outil le plus efficace pour atteindre ses objectifs en politique était la violence. Dans le cadre d'un atelier sur les origines de la violence qui se tenait à l'université d'Etat de l'Arizona, elle a pourtant démontré le contraire. En étudiant plusieurs centaines de manifestations politiques depuis 1900, elle a montré que les campagnes non-violentes avaient un taux de réussite de 53%, alors que les campagnes violentes ne parvenaient à leur fin que 23% du temps. Dans son livre "Pourquoi la résistance civile marche" elle explique que les campagnes non violentes attirent plus de participants, que la répression d'un mouvement non violent est plus difficile. Quand un gouvernement est renversé sans violence, son successeur est plus susceptible d'être démocratique et moins susceptible d'être renversé. Des résultats qui posent la question du soutien armé à ceux qui luttent contre des gouvernements violents et tyranniques...
hubert guillaud

Vive l'ennui ! - New Yorker - 0 views

  •  
    L'impitoyable Evgeny Morozov nous rappelle que le seul antidote aux distractions constantes et à l'énergie frénétique de la vie moderne est l'ennui radical ! Et que celui-ci n'est pas sans vertu ! Or, la connectivité permanente nous empêche de ne jamais nous ennuyer... "La surcharge d'information peut tout autant nous ennuyer que la sous-charge d'information... Mais cette forme d'ennui nous donne juste envie d'accéder à encore plus d'information afin de supprimer ce sentiment d'ennui" explique Morozov en expliquant que c'est un ennui très difficile à distinguer, car il est masqué par la rhétorique de la nouveauté permanente. Or, la rêverie stimule la créativité et nous conduit à approfondir notre pensée et prendre du recul sur nos existences. Et de faire référence au livre de l'urbaniste Malcolm McCullough "Ambient Commons: Attention in the Age of Embodied Information" qui en appelle à un urbanisme responsable soutenant que l'information dessert l'environnement en créant des espaces urbains sans connexions. Faudra-t-il envisager de créer des spécialistes de l'information environnementale dans nos villes, comme le suggère David Levy, chargés de réguler les distractions et surcharges d'information des espaces publics ? Assurément, les espaces de déconnexion vont se multiplier à mesure que l'information va nous envahir parie Morozov.
hubert guillaud

Roms, fraudes au RSA, montant des aides sociales... Dix clichés sur les pauvr... - 0 views

  •  
    Youphil, s'inspirant du livre publié par ATD Quart Monde "En finir avec les idées fausses sur les pauvres et la pauvreté" dégomme 10 clichés sur la pauvreté... Non, les pauvres ne coûtent pas chers, non, ils ne sont pas les plus fraudeurs, non, en proportion, les pauvres paient plus d'impôts que les riches, etc. Une lecture qui rafraichit les neurones !
hubert guillaud

Busyness : vous n'êtes pas aussi occupé que vous le dites - Slate.com - 0 views

  •  
    Etes-vous trop occupés ? Si ce n'est pas le cas, vous devriez, conseille la journaliste Hanna Rosin à Slate.com. L'art du busyness - un jeu de mot formé du mot travail (business) et busy (occupé) - consiste à transmettre une inquiétude sur son rythme de vie et une résignation feinte. Mais n'est-ce pas avant tout une manière de frimer ? C'est ce que suppose la journliste Brigid Schulte dans son dernier livre "Submerger : travailler, aimer et jouer quand personne n'a le temps". Etre sur-occupé n'est-il pas devenue une vertu dans un monde où avoir du temps libre est devenu terrifiant, comme si cela signifiait que vous étiez devenu obsolète ? Etre submergé survient non pas quand vous faites trop de choses, mais quand vous faites beaucoup de choses différentes. Les chercheurs parlent de "temps contaminés", et les femmes y seraient plus sensibles que les hommes. Pourtant, pour l'anthropologue Ann Burnett, ce phénomène n'est pas si contemporain qu'on le croit. Déjà dans les cartes postales des années 60, l'essentiel des messages devaient signifier combien nos vies étaient trépidantes et actives. Pour elle, notre sur-occupation est avant tout une marque de statut social : si vous êtes occupés, c'est que vous êtes importants ! Qu'importe si cette course à l'occupation nous stresse. Et qu'importe, si en réalité, ce n'est jamais vraiment le cas.
hubert guillaud

De l'expérimentation aléatoire pour le développement économique - Slate.com - 1 views

  •  
    Joshua Keating s'interroge : peut-on faire de la pauvreté une science expérimentale ? Dans les années 90, l'économiste de Harvard, Michael Kremer a fait l'une des premières expérimentation aléatoire au Kenya en choisissant 25 écoles aléatoirement pour leur fournir des manuels et regarder si cela avait un impact sur les résultats scolaires de ces écoles comparées aux autres (non, cela a seulement amélioré les résultats des meilleurs élèves de ces classes). Les gouvernements et les organisations humanitaires ont mis du temps à adopter ces approches d'expérimentation aléatoires car l'idée de conduire des expériences sur les pauvres rend les gens nerveux, pour de bonnes raisons. Mais pour Chris Blattman de la Columbia University (qui tient un blog populaire sur le développement international : http://chrisblattman.com ), la plupart des programmes de développement ne sont que des expérimentations et la plupart du temps, des expérimentations bien peu transparentes. Abhijit Banerjee et Esther Duflo ont été les grands évangélistes de ce type d'expériences (cf. leur livre "Repenser la pauvreté"). Ils ont montré par exemple que fournir des uniformes aux collégiennes avait plus d'effet pour réduire les grossesses adolescentes que les programmes d'éducation sexuelle. Les études aléatoires ont montré que malgré son succès, la microfinance aidait les entreprises au démarrage, mais avait peu d'impact sur la pauvreté ou l'autonomisation des femmes. L'économiste de Princeton Angus Deaton demeure critique face à ces expériences aléatoires, dont les enseignements sont peu reproductibles d'un pays à un autre et que médias et politiques exagèrent les conclusions de ces études. Reste que les études aléatoires ont au moins eu le mérite de montrer qu'il fallait plus de rigueur méthodologique dans la mesure des interventions dans les pays en développement. Mais le fait qu'elles puissent répondre à la réduction de la pauvreté mondia
hubert guillaud

Plus vite une nouvelle technologie décolle, plus vite elle disparaît - Wired.com - 0 views

  •  
    Larry Downes et Paul Nunes, à l'occasion de la sortie de leur livre "Big Bang Disruption" se sont intéressés à la courbe de l'adoption des technologies, le fameux modèle de la courbe en cloche popularisée par le sociologue Everett Rogers. Une courbe en cloche qui a perdu de sa valeur comme outil de planification du succès des technologies. Désormais, les marchés prennent soudainement ou ne décollent pas du tout et la concurrence est si sévère que de nouveaux perturbateurs viennent prendre le marché d'anciens. Et les auteurs de parler désormais des Big Bang Perturbateurs, avec une courbe qui n'est plus en cloche, mais en falaise, en "nageoire de requin". Et les auteurs de disséquer ainsi le succès de la Kinect de Microsoft, qui a vendu 8 millions d'unités en 60 jours. En un an, 24 millions de kinect auront été vendues. Mais de tels succès saturent rapidement le marché. Elle est désormais utilisée pour des miliers d'autres choses que pour jouer, notamment parce que Microsoft a libéré le code de ce produit. Alors que les entreprises ont longtemps dirigé le développement de leurs produits, elles ont désormais besoin de comprendre d'où viennent les perturbateurs.
hubert guillaud

N'aidez pas vos enfants à faire leur devoir - The Atlantic - 0 views

  •  
    L'implication des parents dans les études de leur enfant n'a pas d'incidence sur leur réussite, au contraire, révèle une méta-étude américaine menée par les professeurs de sociologie Keith Robinson et Angel Harris et qu'ils ont publié dans un livre, "La boussole cassée" : http://www.hup.harvard.edu/catalog.php?isbn=9780674725102 . La plupart des formes mesurables de la participation des parents (aider les enfants à faire leur devoir, parler avec eux, faire du bénévolat à l'école...) ne semble pas apporter les résultats escomptés. Pire, à partir du collège, l'aide apporter aux enfants semble tirer les résultats scolaires des enfants vers le bas, et ce quel que soit la classe sociale, l'origine ethnique ou le niveau d'éducation des parents. Les ingérences des parents ont surtout pour résultat de rendre les enfants plus anxieux qu'enthousiastes à propos de l'école. Jusqu'à présent la théorie voulait que les parents les plus actifs et investis pouvaient combler l'écart de résultats entre les élèves de différentes origines sociales... Visiblement, il n'en est rien. Certaines habitudes font néanmoins une différence : la lecture à voix haute aux jeunes enfants et la discussion sur la planification (de son travail) au collège. Des interventions qui ont lieu surtout à la maison. Pour les sociologues, ce qui explique les différences de réussite tient plus de la diversité professionnelle et sociale à laquelle ils sont confrontés. Dans les années 90, la sociologue Annette Lareau avait montré une autre différence entre les enfants de différents milieux sociaux, alors que chez les plus défavorisés, les enfants étaient invité à faire preuve de déférence envers l'autorité, dans les milieux plus favoriser, on les invitait à être critiques. Autre différence, les parents plus aisés ont tendance à mettre leurs enfants chez les professeurs qui ont une meilleure réputation.
hubert guillaud

Nouvelles technologies : et si on se déconnectait ? - LeFigaro - 0 views

  •  
    Dans "Pause", Susan Maushart raconte la belle histoire de la déconnexion familiale et du retour à une famille structurée et idyllique. La déconnexion, ce nouveau paradis perdu.
hubert guillaud

Si mes données sont un livre ouvert, pourquoi ne puis-je pas les lire ?- NYTi... - 0 views

  •  
    Natasha Singer revient (après ce premier article : http://www.nytimes.com/2013/04/28/technology/personal-data-takes-a-winding-path-into-marketers-hands.html?ref=technology ) sur la non mise à disposition de ses propres données à l'utilisateur. Impossible en effet d'avoir accès à ses propres données de téléphonie mobile auxquels son opérateur accède. Pareil pour son fournisseur électrique ou son club de gym. Nous pouvons certes avec d'autres outils tenter de créer une redondance d'information pour en disposer... Mais les programmes de restitution des données personnelles commencent. San Diego Gas and Electric a mis au point un programme de gestion de l'énergie où les clients peuvent visualiser leur consommation énergétique de manière plus précise. Pour Jules Polonetsky, directeur du forum sur l'avenir de la vie privée - http://www.futureofprivacy.org -, les gens peuvent se sentir plus à l'aise avec l'extraction de données si les entreprises leur montrent les avantages qu'ils peuvent en retirer. Malgré cela, les entreprisent offrent rarement plus aux clients qu'un instantané de leurs activités. Intel a récemment lancé un programme intitulé "Data Economy" destiné à encourager les entreprises à réfléchir à prendre en compte les utilisateurs comme acteur de l'économie de l'information (voir : http://wethedata.org/about/why-we-are-doing-this/ ).
hubert guillaud

Gloria Origgi : « Internet déconstruit la notion d'auteur » - La-Croix.com - 0 views

  •  
    "Avec les nouvelles technologies, la créativité va changer, non parce que les artistes libèrent de l'espace dans leur cerveau, mais parce qu'ils changent la façon de gérer leur « métamémoire »."
hubert guillaud

Les financiers à haute fréquence cherchent à se restructurer - Financial Times - 0 views

  •  
    De nombreuses compagnies de trading à haute fréquence, dont l'activité a changé la nature des opérations de Bourse au cours des récentes années, sont en train de se restructurer en raison des faibles volumes et de la férocité de la concurrence nouvellement apparue. Paul Jorion avait raison - http://www.pauljorion.com/blog/?p=28687 - quand il expliquait que l'introduction des robots pour analyser et produire les cours de bourse risquait surtout d'étouffer le marché. La raison : face à la concurrence, il faut démultiplier les ressources pour générer des profits... Ce qui devient vite impossible ou trop cher...
« First ‹ Previous 141 - 157 of 157
Showing 20 items per page