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INJEP / Crédoc - Baromètre DJEPVA sur la jeunesse 2017 - 1 views

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    a seconde vague du baromètre DJEPVA sur la jeunesse s'inscrit dans la volonté de proposer aux pouvoirs publics, aux corps associatifs, et plus généralement à tous les acteurs mobilisés par la jeunesse, des indicateurs récurrents sur les conditions de vie, les modes de vie, aspirations et attentes des jeunes. Descriptif À la demande de la direction de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative (DJEPVA) et avec l'appui de l'Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire (INJEP) le Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (CRÉDOC) a réalisé la seconde édition du baromètre DJEPVA sur la jeunesse, une enquête nationale auprès de 4 500 jeunes âgés de 18 à 30 ans . En 2017, le dispositif d'enquête a été étendu aux territoires ultramarins (La Réunion, la Guadeloupe, la Guyane et la Martinique). Ce dispositif est adossé à l'enquête permanente du CRÉDOC sur les Conditions de vie et aspirations des Français, qui existe depuis 1978 et permet de resituer les analyses portant sur les jeunes sur des données de contexte général, et de comparer certains des résultats à ceux observés dans d'autres tranches d'âge. Parmi les thèmes abordés dans cette étude, plusieurs avaient déjà fait l'objet de mesure en 2016, permettant des comparaisons dans le temps : * Les aspirations : l'état d'esprit actuel, la satisfaction vis-à-vis de la vie actuelle et les perspectives futures. * La participation citoyenne (nouvelle thématique introduite en 2017) : la forme de participation à la vie publique jugée la plus efficace pour que les choses bougent, participation à une manifestation ou à une grève, signature d'une pétition, l'intention de vote au premier tour des prochaines élections présidentielles, les raisons du vote et de l'abstention à ce premier tour, l'opinion quant à différentes pistes de renouvellement du système politique fran
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Injep - Compte-rendu : Etudes, galères et réussites. Conditions de vie et par... - 0 views

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    "Avec plus de 50 % d'une classe d'âge inscrite dans l'enseignement supérieur, l'université accueille désormais une grande diversité sociale d'étudiants dont les parcours sont également très variés. Dans ce contexte, que sait-on aujourd'hui des conditions de vie et de réussite des étudiants ? Qu'apprend-on de l'influence des rythmes universitaires, des ressources financières, de l'effet d'un site délocalisé, ou encore, des conséquences d'une activité salariée étudiante ? Le 26 avril 2017, l'INJEP invitait à débattre de ces questions au cours d'une conférence-débat, « Etudes, galères et réussites. Conditions de vie et parcours à l'université », titre éponyme d'un ouvrage publié par l'INJEP à La Documentation française. Le livre croise des données locales de différentes universités (Dijon, Montpellier, Rennes, Strasbourg, Toulouse, Tours...). Cette conférence-débat qui se tenait à la Maison des initiatives étudiantes de Paris, réunissait à la table d'animation Philippe Cordazzo, professeur des universités à la faculté de Strasbourg, Bénédicte Froment, directrice de la vie étudiante, responsable de l'Observatoire et du Bureau de la vie étudiante à l'université de Tours, Jean-François Giret, professeur de sciences de l'éducation à l'université de Franche-Comté, président du collège scientifique de l'Observatoire national de la vie étudiante, Séverine Landrier, responsable de l'animation scientifique de l'Observatoire régional emploi-formation de la région PACA à Marseille et Florian Prussak, adjoint au sous-directeur de la vie étudiante du CNOUS, en charge de la politique de site et de la vie de campus."
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Observatoire de la vie étudiante - Synthèse globale - La vie étudiante au tem... - 0 views

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    L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à mo
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Observatoire de la vie étudiante - Situation financière - La vie d'étudiant c... - 0 views

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    L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à modifier, pour certain·e·s, leurs projets d'
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Observatoire de la vie étudiante - Logement - La vie d'étudiant confiné - 0 views

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    L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à modifier, pour certain·e·s, leurs projets d'
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Observatoire de la vie étudiante - Santé - La vie d'étudiant confiné - 0 views

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    L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à modifier, pour certain·e·s, leurs projets d'
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Observatoire de la vie étudiante - Continuité pédagogique - La vie d'étudiant... - 0 views

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    L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à mo
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Sénat - Mission d'information - Synthèse - Conditions de la vie étudiante en ... - 0 views

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    Alertée par l'ampleur d'un malaise étudiant apparu en pleine lumière du fait de la crise sanitaire, la mission d'information du Sénat sur les conditions de la vie étudiante s'est constituée en février 2021. Entre le 11 mars 2021 et le 6 juillet 2021, elle a entendu de nombreux acteurs de l'enseignement supérieur, représentants d'associations étudiantes et experts de la vie étudiante. Ces auditions ont confirmé l'importance de tout ce qui, dans l'environnement de l'étudiant (logement, santé, alimentation, vie sociale...), contribue à la réussite des études parallèlement au cursus académique. À partir des témoignages et expertises recueillis au cours de ses travaux, la mission d'information présente un bilan de la condition étudiante après deux années universitaires marquées par la pandémie et met en évidence des difficultés qui, déjà présentes avant la crise, ont été amplifiées par celle-ci. Son analyse du parcours des étudiants - de leur entrée dans l'enseignement supérieur à la préparation de leur insertion professionnelle - souligne, à chaque étape, la nécessité d'un accompagnement personnalisé. Son rapport, adopté à l'unanimité le 7 juillet 2021, insiste sur la nécessité d'inscrire l'enseignement supérieur au coeur des politiques d'aménagement du territoire et montre l'importance d'une offre diversifiée d'établissements d'enseignement supérieur. Dans cet esprit, il relève l'intérêt que présentent les petites structures universitaires de proximité, non seulement en termes de qualité de vie mais aussi pour encourager l'accès à l'enseignement supérieur des jeunes éloignés des grandes métropoles et constituer pour les étudiants un tremplin vers la réussite. Les conclusions de ce rapport plaident en faveur d'un ancrage renforcé de l'enseignement supérieur dans les territoires et appellent à tirer les conséquences de la crise sanitaire pour améliorer la condition étudiante, à mieux accompa
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Sénat - Rapport d'information - Conditions de la vie étudiante en France - 0 views

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    "Alertée par l'ampleur d'un malaise étudiant apparu en pleine lumière du fait de la crise sanitaire, la mission d'information du Sénat sur les conditions de la vie étudiante s'est constituée en février 2021. Entre le 11 mars 2021 et le 6 juillet 2021, elle a entendu de nombreux acteurs de l'enseignement supérieur, représentants d'associations étudiantes et experts de la vie étudiante. Ces auditions ont confirmé l'importance de tout ce qui, dans l'environnement de l'étudiant (logement, santé, alimentation, vie sociale...), contribue à la réussite des études parallèlement au cursus académique. À partir des témoignages et expertises recueillis au cours de ses travaux, la mission d'information présente un bilan de la condition étudiante après deux années universitaires marquées par la pandémie et met en évidence des difficultés qui, déjà présentes avant la crise, ont été amplifiées par celle-ci. Son analyse du parcours des étudiants - de leur entrée dans l'enseignement supérieur à la préparation de leur insertion professionnelle - souligne, à chaque étape, la nécessité d'un accompagnement personnalisé. Son rapport, adopté à l'unanimité le 7 juillet 2021, insiste sur la nécessité d'inscrire l'enseignement supérieur au coeur des politiques d'aménagement du territoire et montre l'importance d'une offre diversifiée d'établissements d'enseignement supérieur. Dans cet esprit, il relève l'intérêt que présentent les petites structures universitaires de proximité, non seulement en termes de qualité de vie mais aussi pour encourager l'accès à l'enseignement supérieur des jeunes éloignés des grandes métropoles et constituer pour les étudiants un tremplin vers la réussite. Les conclusions de ce rapport plaident en faveur d'un ancrage renforcé de l'enseignement supérieur dans les territoires et appellent à tirer les conséquences de la crise sanitaire pour améliorer la condition étudiante, à mieux accomp
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France Stratégie - Rapport - L'insertion professionnelle des jeunes - 0 views

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    C'était une des onze mesures pour la jeunesse promises par le gouvernement au printemps 2016. La concertation en faveur de l'insertion professionnelle des jeunes, lancée en septembre dernier, s'est conclue mardi 24 janvier 2017 par la remise d'un rapport de diagnostic à la ministre du Travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social. Auteur(s) Marine Boisson-Cohen, Hélène Garner, Philippe Zamora Il s'agissait, selon les termes de la ministre, « d'un exercice exigeant » de dialogue avec la jeunesse. Piloté par France Stratégie et la DARES jusqu'à sa conclusion en décembre, la concertation en faveur de l'insertion professionnelle des jeunes a réuni les représentants des huit organisations patronales et syndicales ainsi que de quatre organisations de jeunesse (UNEF, FAGE, JOC, MRJC) lors de six séances de travail thématiques. Il ressort de l'exercice un diagnostic largement partagé autour de trois grands constats. Une jeunesse hétérogène C'est un fait, la situation des jeunes sur le marché du travail s'est dégradée. Multiplié par 3,5 en 40 ans, le taux de chômage des jeunes atteint aujourd'hui 24 %. Un trait commun à toute l'Europe mais particulièrement marqué en France où le taux d'activité des jeunes est inférieur de 4,5 points à la moyenne européenne. Attention à ne pas faire d'amalgame (statistique) pour autant ! Si leur taux d'activité est faible c'est d'abord parce que 50 % des 18-24 ans sont encore en étude. Le « vrai » point noir pour la France, ce sont les 13,8 % des 20-24 ans au chômage - un sur-chômage qui persiste encore dix ans après leur entrée sur le marché du travail - et les 15 % des 15-29 qui ne sont ni en emploi, ni en études, ni en formation (les NEETs). Cette précision souligne l'importance qu'il y a à parler des jeunesses au pluriel. Et c'est là le premier constat partagé par les parties prenantes. S'ils ont bien des diffic
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A la rentrée je m'inscris à l'école de Vie missionnaire (pour les 18-22 ans),... - 0 views

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    "Une année pour bâtir ma vie sur le roc : être un chrétien ouvert, solide, responsable. Au Centre Missionnaire de la Vie (Trie Château). Le Centre Missionnaire de la Vie offre une formule originale post-bac : une Ecole de Vie pour murir affectivement, socialement, intellectuellement et spirituellement. Formation, vie de prière, accompagnement perso, vie de groupe et actions diverse"
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The Conversation - L'équilibre vie privée-vie professionnelle au cœur des att... - 0 views

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    "Les entreprises doivent mieux s'intéresser à la vie personnelle de leurs collaborateurs : 83 % des jeunes actifs considèrent en effet que l'employeur doit la prendre en compte. C'est ce qui ressort d'une enquête menée début 2020 en partenariat avec la société DOMPLUS Groupe auprès de 6 500 jeunes actifs. En outre, 40 % estimaient, au moment où ils étaient interrogés, que leur employeur ne prenait pas suffisamment en compte cette donnée. Ce que les jeunes actifs nous disent, c'est donc que pour eux, l'entreprise doit oser sortir des frontières établies pour leur proposer des services, des solutions qui les aident concrètement à mieux gérer cette conciliation. Et que cela implique donc de mieux prendre en considération leur vie personnelle, que le sujet n'est plus tabou - dans certaines limites bien sûr. Notre enquête révèle également que 66 % des jeunes actifs se sentent engagés au sein de leur entreprise. Et ils sont 72 % à se dire engagés (+6 points) parmi les jeunes actifs qui concilient de manière satisfaisante leur vie privée et leur vie professionnelle. Cette conciliation est donc une source essentielle de leur engagement."
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Communauté de l'Emmanuel - Emmanuel Campus, l'évangélisation des étudiants pa... - 0 views

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    "Depuis Sept 2019, des étudiants évangélisent d'autres étudiants, sur les campus. Des jeunes de la communauté (ou très proches) donnent 1 an (année de césure dans leurs études ou juste après leur diplôme), pour être à temps plein disponibles pour la mission. Une vie de prière forte, une formation solide et adaptée à leurs besoins sur le terrain (validation d'un semestre en théologie), une vie missionnaire permanente, et une vie fraternelle (entre eux, avec les jeunes suivis après les avoir rencontrés en évangélisation, avec l'équipe locale - 1 ou 2 couples, 1 prêtre) constituent les 4 piliers de cette année. Chaque jour ils en vivent, bien ancrés dans la vie réelle, au contact des étudiants. La mission est faite d'évangélisation sur les campus et cité U, de déjeuners missionnaires, de foot missionnaire, de service avec une épicerie solidaire… puis de divers parcours selon les besoins des jeunes rencontrés. Ce sont les jeunes eux-mêmes qui construisent leur pastorale, tout en ayant la possibilité de la relire avec des frères et sœurs de Communauté. Les jeunes vont aussi à la rencontre de lycéens, à la demande des aumôniers ou participent de temps en temps aux missions du Rocher. Une belle créativité missionnaire, au service du Seigneur, avec toujours la personne rencontrée au centre !"
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OPECST - Les équilibres psychosociaux à l'épreuve de la Covid-19 - 0 views

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    La lutte contre la pandémie de Covid-19 a bouleversé la vie sociale : proscription des contacts corporels, raréfaction des face-à-face, confinement, dématérialisation des échanges humains. S'il faut espérer que certains de ces changements vont disparaître avec elle, d'autres laisseront sans doute une empreinte plus profonde et plus durable. Trois domaines particuliers retiennent ici l'attention : le travail des soignants, la vie de la jeunesse (ainsi que, à la charnière des deux, la situation des étudiants en médecine), le monde de l'emploi tertiaire. Sans surprise, c'est là où des évolutions étaient déjà en cours que l'effet des mutations dues à la lutte sanitaire pourrait être pérenne. Malgré son caractère contraint, l'expérimentation à vaste échelle du télétravail a pu notamment modifier les rythmes de la vie sociale et réduire son décalage chronique avec l'horloge biologique individuelle. Mais l'augmentation de la sédentarité induite par le confinement reste un sujet de préoccupation.
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Paul Adrien d'Hardemare - ARRÊTER LE PORNO ? FAQ (feat. TANGUY LAFFORGUE & OL... - 0 views

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    Vidéo / Podcast de frère Paul Adrien avec Olivier Florant (sexologue) et Tanguy Lafforgue (thérapeute comportemental). De plus en plus d'hommes et de femmes, mais aussi d'adolescents, souffrent de comportements compulsifs liés à la sexualité: pornographie, masturbation, tchat, applis de rencontre... et la liste est plus longue qu'on ne l'imagine. Comment s'en sortir ? 80 % des garçons ont été exposés à la pornographie avant l'âge de quatorze ans, 50 % avant celui de douze : l'addiction au sexe virtuel est un enjeu majeur de santé publique. Comment l'obscénité, qui a remplacé l'érotisme, a-t-elle infesté nos vies et nos modes de vie ? Pourquoi des individus sombrent-ils dans sa dépendance ? Comment en sortir, se soigner et retrouver le véritable amour ? C'est à ces questions que répond ici un des premiers sexologues à s'être intéressé à cette pathologie. En neuf grandes séquences, Olivier Florant rappelle comment l'homme moderne est devenu un homme cochon : avènement d'Internet, diffusion massive d'images licencieuses, misère d'une société ultra-consumériste. Il aborde tous les sujets, sans tabou, avec franchise, pour nous délivrer de ce fléau. Il révèle le secret de sa thérapie : contrôler les mécanismes grâce auxquels notre cerveau prend les décisions, surmonter ses peurs et réapprendre à aimer l'autre. Et ce afin de retrouver notre pleine liberté ! Contre le règne de YouPorn, un ouvrage nécessaire, à lire et à partager. Sexologue, fondateur du Cabinet Saint-Paul, Olivier Florant est l'auteur, avec son épouse Marie-Noël, de nombreux livres ayant rencontré un grand succès, notamment Ne gâchez pas votre plaisir, il est sacré. Il est aussi l'auteur, aux Éditions du Cerf, de Aimer après la foudre et l'orage. Tanguy Lafforgue est diplômé de l'École spéciale militaire de Saint-Cyr, puis responsable de communication dans des structures chrétiennes pendant 10 ans. Depuis plusieurs an
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The Conversation - Précarité étudiante : de la difficulté d'une évaluation - 0 views

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    "La récente tragédie d'un étudiant s'immolant par le feu pour dénoncer la précarité de sa situation a conduit les médias à s'interroger sur la condition étudiante. Ce drame est-il le signe que les conditions de vie des étudiants, sous l'effet de la massification de l'accès aux études supérieures, se seraient dégradées au point de pouvoir conduire certains d'entre eux à de telles extrémités ? Nous avons aujourd'hui une bonne connaissance statistique des conditions de vie des étudiants grâce aux enquêtes réalisées sur un large échantillon par l'Observatoire de la vie étudiante (OVE), dont la dernière remonte à 2016 (et la précédente à 2013). Ces enquêtes montrent que la question est complexe et n'autorise pas de réponse simple."
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Avignon - Camp d'été NDV jeunes Breiz 2022 - 0 views

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    "Un camp prière et randonnée pour jeunes, prévu en Bretagne, et organisé par Notre Dame de Vie jeunes L'esprit : Une route avec Notre-Dame de Vie c'est… Découvrir la force de la prière enseignée par les saints du Carmel et apprendre à en faire le cœur de chaque journée pour témoigner de Dieu dans notre vie ! Vivre dans une atmosphère fraternelle, simple et joyeuse ! Se retrouver avec quelques dizaines de jeunes de 18-28 ans enthousiastes, qui croquent la vie, et qui ont soif d'aventure et de voir Dieu ! L'organisation est portée par des consacrés de Notre-Dame de Vie et un trio de jeunes pêchus ! Thème du camp : « Pour le combat tu m'emplis de vaillance » Ps 17,40"
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Observatoire de la vie étudiante - Les discriminations perçues dans l'enseign... - 0 views

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    Pour la première fois, la dernière vague de l'enquête Conditions de vie des étudiants (CdV) lancée en 2016 par l'Observatoire national de la vie étudiante (OVE) permet de mesurer, à grande échelle, la perception qu'ont les étudiants de l'(in)égalité de traitement dans l'enseignement supérieur et d'éventuelles discriminations à leur encontre grâce à deux questions, inspirées de l'enquête «Trajectoires et origines» menée en 2008- 2009 par l'Institut national d'études démographiques. La première porte sur la différence de traitement perçue : «Personnellement, au cours de votre parcours dans l'enseignement supérieur, pensez-vous avoir été traité-e différemment des autres étudiants... [dans la notation / dans la manière dont les autres étudiants ou enseignants ou personnel administratif se sont adressés à vous ou comportés avec vous / lors de décisions d'orientation depuis votre entrée dans l'enseignement supérieur / lors de décisions d'orientation avant votre entrée dans l'enseignement supérieur 6 ] ?». La deuxième porte sur les motifs identifiés de ces différences de traitement. L'analyse combinée de ces deux questions permet d'identifier les discriminations perçues.
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Observatoire de la vie étudiante - Repères sur la santé des étudiants - 0 views

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    Pour la première fois en France, l'Observatoire national de la vie étudiante a réalisé une enquête sur la santé de la population étudiante. Conduite en 2016 auprès d'étudiant·e·s inscrit·e·s à l'université en France métropolitaine et outre-mer, cette enquête a pour objectif de décrire les conditions de santé des étudiant·e·s en s'attachant plus particulièrement à ce qui fait leur spécificité par rapport à la population générale française. Cette enquête aborde les thèmes suivants : la perception de l'état de santé, les pratiques en matière de soins (couverture maladie, ancienneté des dernières consultations médicales, renoncement aux soins), le handicap, la santé sexuelle (entrée dans la sexualité, contraception, dépistages), la santé psychique (dépression, suicide), la consommation de tabac, d'alcool, de cannabis ainsi que de stimulants et produits dopants, l'alimentation, la pratique sportive.
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Marianne - Sondage exclusif - Religion, caricatures, genre… Les jeunes en rup... - 0 views

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    "Ils avaient entre 13 et 25 ans au moment des attentats de Charlie Hebdo et de l'Hyper Cacher de la porte de Vincennes, il y a cinq ans. Cette funeste année 2015, l'onde de choc du massacre du Bataclan et des assassinats sur les terrasses parisiennes traversait la France entière. Ce sont également eux qui paient le prix fort de la crise sanitaire qui vient percuter leurs études ou leurs premiers pas dans la vie active. Que pensent-ils aujourd'hui ? Notre partenaire l'Ifop a constitué un large panel, 1 006 jeunes représentatifs de la population française âgés de 18 à 30 ans et questionnés du 13 au 18 novembre. Nous avons interrogé ces adultes encore en construction sur toute une série de sujets : leur vision de la religion, de l'égalité entre les hommes et les femmes, de la discrimination, de la lutte contre les inégalités sociales… Notre enquête met au jour un décalage béant avec le reste de la population sur la question de la laïcité et de la manière d'appréhender le fait religieux. Elle montre aussi à quel point cette classe d'âge est parcourue de profondes lézardes, dont une, principale, qui sépare les femmes et les hommes. Et enfin, elle dévoile, et ce sera un sujet de premier plan pour les candidats à la prochaine présidentielle, à quel point les 18-30 ans sont autant d'individus profondément insatisfaits du fonctionnement de la société. LAÏCITÉ La grande confusion "
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