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Veille & Documentation

Observatoire des territoires - Rapport complet - Les mobilités résidentielles... - 0 views

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    Quels sont les impacts territoriaux des mobilités résidentielles, en France ? Le rapport 2018 de l'Observatoire des territoires analyse ces mouvements et identifie certains enjeux qu'ils soulèvent pour la cohésion sociale et territoriale. Et nouveauté, cette année, le rapport - présenté à la presse, le 22 février, par Pierre Mirabaud, président du conseil d'orientation de l'Observatoire des territoires, et par l'équipe de l'Observatoire - s'accompagne d'un outil interactif de diagnostic territorial et d'une synthèse immersive pour permettre à tous de mieux appréhender les données de l'étude. Les mobilités résidentielles participent d'une lente transformation des territoires français et contribuent, notamment, à accentuer ou à atténuer leur dynamisme démographique. Aux échelles régionales et départementales, les disparités de dynamisme migratoire sont de plus en plus fortes. Au contraire, à l'échelle locale, les écarts se réduisent entre les différents types de territoires (pôles urbains, espaces périurbains ou communes rurales), sous l'effet d'un mouvement de desserrement de la population, mais leur spécialisation sociale s'accroît. Le rapport 2018 de l'Observatoire des territoires dévoile ainsi les différentes facettes des mobilités résidentielles dans notre pays. Une mobilité de proximité et des effets contrastés Le rapport révèle quelques caractéristiques de la mobilité en France. « Une idée reçue voudrait que les Français soient peu mobiles. C'est à la fois vrai et faux : chaque année, un peu plus d'un Français sur dix change de logement, mais ce taux de mobilité est supérieur à la moyenne européenne (11 % contre 9 % par an), expose l'équipe de l'Observatoire. Plus des deux tiers de ceux qui déménagent se réinstallent dans le même département. L'ancrage territorial reste bien le phénomène majoritaire. » Mais, à y regarder de plus près, l'étu
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CESE - Rapport complet - Se donner un nouveau cap : Rapport annuel sur l'état... - 0 views

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    En décembre 2019, une centaine d'habitant de la province chinoise du Hubei développe les symptômes d'un virus inconnu. À la stupeur générale, les premiers cas de ce qui deviendra la crise du « Covid-19 » se transforment en quelques semaines en une crise sanitaire d'échelle planétaire. Les mesures de confinement et de quarantaine se succèderont, entrainant une crise économique mondiale sans précédent. Dans ce contexte inédit, le rapport annuel sur l'état de la France 2020 devait se démarquer des éditions précédentes : les indicateurs de richesse complémentaires au PIB, utilisés habituellement pour analyser la société française, ne permettaient pas de saisir toutes les dimensions de cette crise. C'est donc un rapport au format nouveau qui est présenté ici : le regard de la société civile organisée sur cette crise, à travers les contributions de onze formations de travail et de six CESER. Il est important de rappeler que la propagation de ce virus en France est intervenue dans un contexte particulier. Comme le CESE l'avait souligné à de nombreuses reprises, le pays pâtissait de fragilités structurelles liées à notre système de santé, mais aussi de fragilités sociales, économiques, financières ou institutionnelles et affrontait des mouvements de contestation de plus en plus nombreux en raison d'une montée persistante des inégalités. La crise est venue jeter une lumière crue sur toutes ces faiblesses. Elle les a amplifiées. Le rapport du CESE a pour objectif de souligner les interrogations auxquelles cette pandémie a confronté notre société et les défis à surmonter pour sortir de la crise. Les préconisations contenues dans ce rapport annuel du CESE se veulent concrètes, articulées autour d'un projet collectif ambitieux, afin que la relance soit plus efficace, qu'elle favorise un projet de développement durable et solidaire, que la France soit mieux préparée pour affronter les prochaines crises
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Observatoire des territoires - Synthèse - Les mobilités résidentielles en Fra... - 0 views

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    Quels sont les impacts territoriaux des mobilités résidentielles, en France ? Le rapport 2018 de l'Observatoire des territoires analyse ces mouvements et identifie certains enjeux qu'ils soulèvent pour la cohésion sociale et territoriale. Et nouveauté, cette année, le rapport - présenté à la presse, le 22 février, par Pierre Mirabaud, président du conseil d'orientation de l'Observatoire des territoires, et par l'équipe de l'Observatoire - s'accompagne d'un outil interactif de diagnostic territorial et d'une synthèse immersive pour permettre à tous de mieux appréhender les données de l'étude. Les mobilités résidentielles participent d'une lente transformation des territoires français et contribuent, notamment, à accentuer ou à atténuer leur dynamisme démographique. Aux échelles régionales et départementales, les disparités de dynamisme migratoire sont de plus en plus fortes. Au contraire, à l'échelle locale, les écarts se réduisent entre les différents types de territoires (pôles urbains, espaces périurbains ou communes rurales), sous l'effet d'un mouvement de desserrement de la population, mais leur spécialisation sociale s'accroît. Le rapport 2018 de l'Observatoire des territoires dévoile ainsi les différentes facettes des mobilités résidentielles dans notre pays. Une mobilité de proximité et des effets contrastés Le rapport révèle quelques caractéristiques de la mobilité en France. « Une idée reçue voudrait que les Français soient peu mobiles. C'est à la fois vrai et faux : chaque année, un peu plus d'un Français sur dix change de logement, mais ce taux de mobilité est supérieur à la moyenne européenne (11 % contre 9 % par an), expose l'équipe de l'Observatoire. Plus des deux tiers de ceux qui déménagent se réinstallent dans le même département. L'ancrage territorial reste bien le phénomène majoritaire. » Mais, à y regarder de plus près, l'étu
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CESE - Synthèse - Se donner un nouveau cap : Rapport annuel sur l'état de la ... - 0 views

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    En décembre 2019, une centaine d'habitant de la province chinoise du Hubei développe les symptômes d'un virus inconnu. À la stupeur générale, les premiers cas de ce qui deviendra la crise du « Covid-19 » se transforment en quelques semaines en une crise sanitaire d'échelle planétaire. Les mesures de confinement et de quarantaine se succèderont, entrainant une crise économique mondiale sans précédent. Dans ce contexte inédit, le rapport annuel sur l'état de la France 2020 devait se démarquer des éditions précédentes : les indicateurs de richesse complémentaires au PIB, utilisés habituellement pour analyser la société française, ne permettaient pas de saisir toutes les dimensions de cette crise. C'est donc un rapport au format nouveau qui est présenté ici : le regard de la société civile organisée sur cette crise, à travers les contributions de onze formations de travail et de six CESER. Il est important de rappeler que la propagation de ce virus en France est intervenue dans un contexte particulier. Comme le CESE l'avait souligné à de nombreuses reprises, le pays pâtissait de fragilités structurelles liées à notre système de santé, mais aussi de fragilités sociales, économiques, financières ou institutionnelles et affrontait des mouvements de contestation de plus en plus nombreux en raison d'une montée persistante des inégalités. La crise est venue jeter une lumière crue sur toutes ces faiblesses. Elle les a amplifiées. Le rapport du CESE a pour objectif de souligner les interrogations auxquelles cette pandémie a confronté notre société et les défis à surmonter pour sortir de la crise. Les préconisations contenues dans ce rapport annuel du CESE se veulent concrètes, articulées autour d'un projet collectif ambitieux, afin que la relance soit plus efficace, qu'elle favorise un projet de développement durable et solidaire, que la France soit mieux préparée pour affronter les prochaines crises, qu'elles soi
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CESE - Résolution - Accord de Paris et neutralité carbone en 2050 : comment r... - 0 views

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    Le Haut conseil pour le climat (HCC), institution indépendante récemment mise en place par le Gouvernement pour renforcer les politiques climatiques de la France et en évaluer la cohérence, a publié en juin 2019 son premier rapport annuel Agir en cohérence avec les ambitions. Il porte sur le respect de la trajectoire de baisse des émissions de GES. Conformément au décret de création du HCC, le Gouvernement a indiqué, dans un rapport du 10 janvier 2020, au Parlement et au CESE, les suites qu'il entend donner au rapport du HCC. C'est dans un exercice inédit, que le CESE analyse, à travers le projet de résolution préparée par la section de l'environnement, la réponse du gouvernement au rapport du HCC.
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Actu Environnement - Les « oublis » de la Convention citoyenne pour le climat - 0 views

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    "Commandé pour réfléchir à l'opportunité d'abandonner ou non la hausse de la taxe carbone, qui avait tant exaspéré les gilets jaunes, le rapport de la Convention citoyenne pour le climat a tout simplement décidé… de ne pas traiter le sujet. C'est ainsi que le rapport ne comporte aucune référence à cette taxe carbone, à l'exception d'un rappel assez mou d'un vieux serpent de mer : la faire au niveau européen plutôt que français, ce qui revient à ne rien dire. La taxe carbone n'est pas le seul oubli volontaire de ce rapport : en réalité la quasi-totalité des sujets qui fâchent a été mise de côté. C'est ainsi que le rapport, consacré au climat et à l'énergie en France, réussit le tour de force de ne jamais parler de nucléaire. Pas un mot sur cette énergie qui représente pourtant une large part de notre production d'électricité et dont le coût pèse déjà sur le budget consacré à la transition énergétique. De même, la question des freins administratifs au développement des économies d'énergie ou des énergies renouvelables a soigneusement été éludée au profit de quelques considérations générales sur l'intérêt d'associer les citoyens à la production d'énergie. Pas un mot non plus sur la fiscalité qui continue d'encourager la vente des énergies fossiles au profit de quelques considérations sur l'usage de l'avion ou la vitesse des voitures sur autoroute, dont on sait d'avance qu'aucun responsable politique ne les reprendra à quelques mois de l'élection présidentielle."
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Médiaterre - Rapport de l'AEE sur l'état de l'environnement en Europe en 2020 - 0 views

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    "L'Agence européenne pour l'environnement (AEE) a publié son rapport "L'environnement en Europe - état et perspectives 2020" (SOER 2020). Le SOER 2020 est le sixième rapport publié par l'Agence européenne depuis 1995. Il offre des informations scientifiques pour nous éclairer sur la façon dont nous devons répondre aux défis auxquels notre civilisation est confrontée: le changement climatique, l'appauvrissement de la biodiversité, la pollution de l'air et de l'eau, en autres. Le rapport précise que l'Europe doit faire face à des défis environnementaux d'une ampleur et d'une urgence sans précédent. Mais il précise aussi qu'il existe des raisons d'espèrer à l'heure où des initiatives communautaires se développent et que l'action de l'Union européenne se renforce avec le Pacte vert pour l'Europe. "
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The Shift Projet - Rapport - Mobiliser l'enseignement supérieur pour le climat - 0 views

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    Le contexte Les enjeux soulevés par le changement climatique n'ont jamais été aussi prégnants. Ils sont étroitement liés à l'énergie - d'origine fossile à 80 % aujourd'hui - qui alimente depuis près de 150 ans le développement économique mondial. Qu'il s'agisse d'atténuer notre impact, de réduire notre dépendance ou de nous adapter aux bouleversements à venir, les répercussions sur l'économie et la société seront d'une ampleur sans précédent. Ces perspectives sont à la fois profondément inquiétantes et éminemment complexes. Y faire face exige une population certes sensibilisée, mais aussi informée et formée - notamment en tant que futurs élus, électeurs, parents et professionnels de tous les secteurs (de la santé à l'industrie, en passant par la culture et la fonction publique). Il ne s'agit pas de former uniquement aux métiers dits « verts ». En effet, bien qu'à des degrés divers, tous les métiers sont concernés. Et la compréhension des faits est vitale. Le défi : former les étudiants pour décarboner la société Or, les enjeux climat-énergie sont encore peu enseignés, et a fortiori dans la formation post-bac, qui accueille chaque année 6,5 % de la population « en âge de travailler » (15-64 ans). L'enseignement supérieur doit donc former tous les étudiants aux enjeux climat-énergie. Partant de ce constat, The Shift Project propose un état des lieux de la manière dont ces sujets sont abordés, et identifie des pistes d'actions concrètes autour desquelles mobiliser la communauté du supérieur. Ces actions visent à permettre le développement massif et rapide de l'enseignement des enjeux climat-énergie, donc à doter la France des moyens humains nécessaires à ses objectifs climatiques. La demande est forte, mais l'offre est limitée La demande est forte chez les étudiants et lycéens. Leur mobilisation, massive et inédite, appelle à une réponse académique profon
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IFOP - Les Français et la place de la biodiversité dans la campagne président... - 0 views

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    Quatre Français sur cinq (81%) souhaiteraient que la question de la protection de la nature soit abordée pendant la campagne présidentielle d'après un sondage Ifop pour la LPO (Ligue de Protection des Oiseaux). Ils sont même 29% « tout à fait favorables » à sa présence dans les débats entre les candidats. Les jeunes se révèlent les plus demandeurs de débats sur la biodiversité : 35% des jeunes âgés de moins de 35 ans se déclarent ainsi tout à fait favorables à ce que les candidats abordent ces questions (soit +6 points de différence par rapport à l'ensemble de la population). Par ailleurs, 42% des travailleurs indépendants souhaiteraient « tout à fait » que la protection de la faune et de la flore soit présente lors de la campagne. Cette catégorie, composée notamment des agriculteurs, est particulièrement intéressée par les propositions des candidats sur ces questions (+13 points par rapport à l'ensemble). La ruralité est elle aussi directement concernée par la protection de la nature. Un tiers des habitants de communes rurales (34%) se dit ainsi tout à fait favorable à ce que les débats abordent les questions de biodiversité, contre 27 dans les communes urbaines de province et 31% en région parisienne. Enfin, au regard de la proximité politique des interviewés, les Français se déclarant proches d'Europe Ecologie les Verts sont ceux qui se sentent les plus concernés par la protection de l'environnement : 66% d'entre eux attendent de la campagne qu'elle se focalise sur ces questions. A droite, seulement 22% des sympathisants du Front National ou de Les Républicains y sont tout à fait favorables (-7 points par rapport à l'ensemble).
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Rapport - Mobiliser les financements pour le climat - 0 views

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    Rapport - Mobiliser les financements pour le climat : Une feuille de route pour financer une économie décarbonée Rapport remis à F. Hollande le 18/06/2015
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La fertilité des sols part en poussière, Sciences & Prospectives - 0 views

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    "Moins productives et moins nombreuses, les terres arables ne suffiront bientôt plus à nourrir l'humanité. Un nouveau rapport des Nations unies donne l'alarme. Au cours des cent dernières années, un milliard d'hectares de terres fertiles, l'équivalent de la surface des Etats-Unis, se sont littéralement volatilisés. Et l'organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) s'inquiète de de l'avenir des surfaces restantes. Dans un rapport de 650 pages, publié en décembre à l'occasion de la clôture de l'Année internationale des sols, elle constate qu'un tiers des terres arables de la planète sont plus ou moins menacées de disparaître. « Si rien n'est fait, explique son directeur José Graziano da Silva, c'est la production vivrière et la sécurité alimentaire de l'humanité qui pourraient être compromises. » A l'instar du Giec pour le climat, le rapport compile les travaux de plus de 200 scientifiques spécialisés de 60 pays. Leur constat est accablant : entre 25 et 40 milliards de tonnes de l'épiderme de la planète sont emportés chaque année à cause de l'érosion, du tassement, de la perte de nutriments et de biodiversité, de l'acidification, des pollutions, de l'engorgement ou encore de la salinisation."
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Renouvelables : Derrière les chiffres, quelle géopolitique énergétique mondia... - 0 views

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    "Le dernier rapport de l'UNEP [1], Global Trend in Renewable Energy Investment, illustre une étape importante du développement des énergies renouvelables (ENR) dans le monde. En effet, en 2015, malgré un effondrement des prix des énergies fossiles et particulièrement de ceux du pétrole (une baisse de 47 % en moyenne annuelle par rapport à 2014), les investissements dans les ENR ont enregistré un nouveau record à près de 286 milliards de dollars [2]. Ce chiffre, en hausse de 5 % par rapport à 2014, dissimule de nombreuses tendances qu'il convient d'expliciter."
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The Conversation - À quoi va servir le prochain rapport spécial du GIEC ? - 0 views

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    "Adopté en 2015, l'Accord de Paris propose de « Contenir l'élévation de la température moyenne de la planète nettement en dessous de 2 °C par rapport aux niveaux préindustriels et de poursuivre l'action menée pour limiter l'élévation des températures à 1,5 °C. » À ce titre, les États ont demandé aux spécialistes du GIEC de « produire en 2018 un rapport spécial sur l'impact d'un réchauffement global de 1,5 °C ». Ce document est attendu pour octobre 2018. À quoi va-t-il servir ?"
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Réseau pour la transition énergétique - Vers des villes 100% énergies renouve... - 0 views

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    Le Cler (Réseau pour la transition énergétique), Energy Cities et le Réseau Action Climat ont présenté le 26 septembre, à l'occasion du sommet Climate Chance à Nantes, un rapport intitulé "Vers des villes 100% énergies renouvelables". Le document présente des études de cas de cinq villes européennes pionnières en la matière - Barcelone, qui vise l'autosuffisance énergétique à l'horizon 2050, Francfort, l'une des premières villes allemandes engagée vers les objectifs 100% énergies renouvelables et 50% d'économies d'énergie au milieu de ce siècle, la ville suédoise de Malmö qui compte atteindre ces deux objectifs dès 2030, Frederickshavn, au nord du Danemark, qui vise également les 100% d'énergies renouvelables en 2030 et Genève qui prévoit de chauffer ses bâtiments communaux avec des énergies renouvelables à l'horizon 2050. En France aussi, des villes ont pris des engagements pour un futur énergétique 100% renouvelables. Les associations qui ont réalisé le rapport citent plusieurs exemples. La métropole de Bordeaux a ainsi acté en février dernier l'objectif d'être l'une des premières métropoles françaises à énergie positive en 2050. Saint-Etienne a engagé des actions concrètes avec un territoire rural voisin, le parc naturel régional du Pilat, pour le développement conjoint des énergies renouvelables - avec un objectif de 70% en 2050 - et de l'efficacité énergétique. Nantes lance un grand débat public sur la transition énergétique avec la volonté de faire participer tous les acteurs locaux. Grenoble contribue aux investissements dans les énergies renouvelables locales, notamment au travers d'une SAS pour des projets de photovoltaïque sur toiture. Paris entend pour sa part se positionner en "leader mondial de la lutte contre les changements climatiques", rappelle le rapport.
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Sénat - Commission de l'aménagement du territoire et du développement durable... - 1 views

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    "Nous recevons, pour la première fois devant notre commission, Mme Corinne Le Quéré, présidente du Haut Conseil pour le climat (HCC). Le Haut Conseil pour le climat est une instance initialement créée par voie réglementaire ; elle a été installée par le Président de la République en novembre 2018 et ses missions ont été définies par un décret de mai 2019. Au moment où la loi du 8 novembre 2019 relative à l'énergie et au climat a élevé cette structure à un rang législatif, ses membres étaient donc déjà nommés et son premier rapport avait été rendu. Nous nous sommes interrogés, au sein de cette commission, lors de l'examen de ce projet de loi, dont notre collègue Pascale Bories était rapporteure, sur la pertinence et sur l'utilité de la création, dans la loi, d'un organisme consultatif existant déjà, relevant, selon toute vraisemblance, du champ réglementaire et empiétant potentiellement sur d'autres organismes travaillant à la transition énergétique. La principale mission de cette instance, qui consiste à apporter un éclairage indépendant sur la politique du Gouvernement en matière de climat, la conduit à rendre chaque année un rapport sur le respect de la trajectoire de baisse des émissions de gaz à effet de serre (GES), sur la bonne mise en oeuvre des politiques et mesures visant à réduire les émissions de tels gaz et à développer les puits de carbone. Vous devez également rendre un avis tous les cinq ans sur les projets de stratégie nationale bas-carbone et de budget carbone et sur la trajectoire de baisse des émissions de GES sur laquelle s'engage la France. Outre vous-même, madame la présidente, qui êtes une climatologue reconnue et qui avez lancé le « Global Carbon Budget » - synthèse annuelle des émissions mondiales -, le HCC comprend douze membres choisis pour leur expertise. Vous avez publié en juin 2019 votre premier rapport annuel intitulé Agir en cohérence avec les ambit
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The Shift Projet - Dossier de presse - Mobiliser l'enseignement supérieur pou... - 0 views

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    Le contexte Les enjeux soulevés par le changement climatique n'ont jamais été aussi prégnants. Ils sont étroitement liés à l'énergie - d'origine fossile à 80 % aujourd'hui - qui alimente depuis près de 150 ans le développement économique mondial. Qu'il s'agisse d'atténuer notre impact, de réduire notre dépendance ou de nous adapter aux bouleversements à venir, les répercussions sur l'économie et la société seront d'une ampleur sans précédent. Ces perspectives sont à la fois profondément inquiétantes et éminemment complexes. Y faire face exige une population certes sensibilisée, mais aussi informée et formée - notamment en tant que futurs élus, électeurs, parents et professionnels de tous les secteurs (de la santé à l'industrie, en passant par la culture et la fonction publique). Il ne s'agit pas de former uniquement aux métiers dits « verts ». En effet, bien qu'à des degrés divers, tous les métiers sont concernés. Et la compréhension des faits est vitale. Le défi : former les étudiants pour décarboner la société Or, les enjeux climat-énergie sont encore peu enseignés, et a fortiori dans la formation post-bac, qui accueille chaque année 6,5 % de la population « en âge de travailler » (15-64 ans). L'enseignement supérieur doit donc former tous les étudiants aux enjeux climat-énergie. Partant de ce constat, The Shift Project propose un état des lieux de la manière dont ces sujets sont abordés, et identifie des pistes d'actions concrètes autour desquelles mobiliser la communauté du supérieur. Ces actions visent à permettre le développement massif et rapide de l'enseignement des enjeux climat-énergie, donc à doter la France des moyens humains nécessaires à ses objectifs climatiques. La demande est forte, mais l'offre est limitée La demande est forte chez les étudiants et lycéens. Leur mobilisation, massive et inédite, appelle à une réponse académique profon
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The Shift Projet - Résumé - Mobiliser l'enseignement supérieur pour le climat - 0 views

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    Le contexte Les enjeux soulevés par le changement climatique n'ont jamais été aussi prégnants. Ils sont étroitement liés à l'énergie - d'origine fossile à 80 % aujourd'hui - qui alimente depuis près de 150 ans le développement économique mondial. Qu'il s'agisse d'atténuer notre impact, de réduire notre dépendance ou de nous adapter aux bouleversements à venir, les répercussions sur l'économie et la société seront d'une ampleur sans précédent. Ces perspectives sont à la fois profondément inquiétantes et éminemment complexes. Y faire face exige une population certes sensibilisée, mais aussi informée et formée - notamment en tant que futurs élus, électeurs, parents et professionnels de tous les secteurs (de la santé à l'industrie, en passant par la culture et la fonction publique). Il ne s'agit pas de former uniquement aux métiers dits « verts ». En effet, bien qu'à des degrés divers, tous les métiers sont concernés. Et la compréhension des faits est vitale. Le défi : former les étudiants pour décarboner la société Or, les enjeux climat-énergie sont encore peu enseignés, et a fortiori dans la formation post-bac, qui accueille chaque année 6,5 % de la population « en âge de travailler » (15-64 ans). L'enseignement supérieur doit donc former tous les étudiants aux enjeux climat-énergie. Partant de ce constat, The Shift Project propose un état des lieux de la manière dont ces sujets sont abordés, et identifie des pistes d'actions concrètes autour desquelles mobiliser la communauté du supérieur. Ces actions visent à permettre le développement massif et rapide de l'enseignement des enjeux climat-énergie, donc à doter la France des moyens humains nécessaires à ses objectifs climatiques. La demande est forte, mais l'offre est limitée La demande est forte chez les étudiants et lycéens. Leur mobilisation, massive et inédite, appelle à une réponse académique profon
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Haut Conseil pour le Climat - Rapport - Evaluer les lois en cohérence avec le... - 0 views

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    Dans son premier rapport annuel "Agir en cohérence avec les ambitions", le Haut conseil pour le climat faisait le constat que la France n'est pas sur la bonne trajectoire pour atteindre ses objectifs climatiques. Il recommandait que les politiques et mesures publiques fassent l'objet d'une évaluation systématique et ambitieuse de leurs impacts sur les émissions de gaz à effet de serre, en cohérence avec la stratégie nationale bas-carbone. En réponse à cette recommandation, le gouvernement a saisi le Haut conseil pour le climat afin qu'il détermine un cadrage préalable des méthodes d'évaluation des lois et projets de loi en regard du climat. Ce rapport vise à clarifier les enjeux de l'évaluation des lois en regard du climat. Il appuie ses recommandation sur les procédures mises en place en France et à l'international et sur l'expertise d'organisations françaises.
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Haut Conseil pour le climat - Rapport complet - Rapport annuel 2020 "Redresser le cap, ... - 0 views

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    Le Haut conseil pour le climat publie son second rapport Neutralité carbone 2020 « Redresser le cap, relancer la transition ». Ce rapport fait le point sur l'évolution des émissions de gaz à effet de serre en France et sur les politiques climatiques mises en place. Il constate des progrès dans la gouvernance, un accroissement des annonces mais pas d'avancée structurelle quant au rythme de baisse des émissions.
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Crédoc - Baromètre du numérique - édition 2023 - Rapport - 0 views

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    "Les résultats présentés sont des résultats redressés : ils sont donc représentatifs de la population de 12 ans et plus résidant en France métropolitaine et, à ce titre, mis en regard des précédents résultats, issus d'enquêtes menées en face-à-face. Les résultats sont présentés en trois parties : La première partie s'intéresse aux principaux taux d'équipements (en téléphone fixe, téléphone mobile, ordinateur à domicile, mais aussi smartphone, tablette, connexion internet à domicile et télévision) et présente la proportion d'internautes et d'internautes quotidiens dans la population française ainsi que les modes de connexion les plus couramment utilisés à domicile. D'autres équipements plus récents sont également passés en revue : enceinte connectée, objets connectés La seconde fait le point sur les usages, en distinguant les usages sur téléphone mobile (navigation sur internet et messageries instantanées) et, plus largement, en étudiant les usages sur internet (achat, réseaux sociaux, e-administration, recherche d'emploi …). Pour la première fois, des questions s'intéressent à la pratique de jeux en ligne. Un volet de l'enquête est dédié cette année à la satisfaction des usagers quant à la qualité de service sur les réseaux fixes et mobiles. Des questions sur le télétravail ont été reprises, et, pour la première fois on s'intéresse à l'usage radiophonique et télévisuel, en tentant de dresser les pratiques et les préférences des Français en la matière. La dernière partie évoque plus largement le numérique dans la vie quotidienne, que ce soit en termes de temps passé sur les écrans (dont le temps passer à jouer) ou de rapport au numérique et précautions prises, ou pas, dans l'usage d'internet : confiance, place donnée aux plateformes, protection de la vie personnelle, paramétrage des cookies, recours à la reconnaissance digitale ou faciale, recours aux fo
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