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Chaque année, j'ai écrit une « lettre aux diocésains » pour rendre compte de mes découvertes, de mes questions et suggérer des points d'attention. Celle que je vous adresse en cette rentrée pastorale est plus consistante. Elle s'intitule « En chemin vers les ostensions » et veut s'inscrire dans le sillage de la belle lettre pastorale de mon prédécesseur, « Un peuple en marche », datée de la Toussaint 2014. Elle vise à donner quelques perspectives pour qu'ensemble, nous marchions vers l'achèvement du Royaume, puisque c'est pour cela qu'existe l'Église. Nous ne pouvons, en effet, avancer qu'ensemble, l'Église étant « dans le Christ, en quelque sorte le sacrement, c'est-àdire le signe et le moyen de l'union intime à Dieu et de l'unité de tout le genre humain ». Avancer ensemble, c'est un des axes majeurs du pontificat du Pape François, qui invite à une Église « synodale » c'est-à-dire soucieuse d'accueillir les dons et les charismes que l'Esprit Saint répand dans la communauté. Nos paroisses, mouvements et services, notre diocèse, ne manquent pas de lieux d'expression et de mise en œuvre de cette synodalité. Je souhaite que nous continuions de les favoriser. L'équipe d'éveil synodal initiée en septembre dernier vise à chercher des pistes concrètes pour faire vivre partout cette synodalité et rester ainsi à l'écoute du monde et des communautés de notre diocèse. C'est suite au travail de cette première année de l'équipe d'éveil synodal, croisé avec celui du conseil épiscopal, que j'écris ces lignes, à la lumière de nos échanges et de ce que je crois que le Seigneur m'inspire. Le but de cette lettre n'est ni d'indiquer des réformes de structures ni de proposer un modèle paroissial original ou d'instituer de nouveaux ministères. Certains en seront peut-être déçus. Je ne suis pas opposé aux réformes. Mais il me semble que les structures pastorales issu

En la fête de saint Jean XXIII, dimanche 11 octobre 2020, Mgr Yves Le Saux s'est adressé de manière officielle aux chrétiens de l'Eglise catholique de la Sarthe en leur donnant une lettre pastorale intitulée « Témoins de l'Espérance. » Mgr Le Saux en a déjà publié deux depuis le début de son épiscopat (25 janvier 2009) : une en 2010 intitulée « Je vous donnerai un avenir, une espérance » et une autre en 2013 « Que votre bonté soit connue de tous les hommes ». Pourquoi une lettre pastorale aujourd'hui ? « J'ai souhaité revenir sur la mise en œuvre du synode qui posait la question de l'avenir des paroisses et aussi m'arrêter sur l'épidémie que nous connaissons. Elle nous interroge sur notre vulnérabilité, la nécessité d'une proximité, d'une fraternité locale. De plus dans un monde tenté par une inquiétude terrible face à l'avenir, je voudrais inviter les baptisés à prendre conscience qu'ils sont appelés autour d'eux, dans leur quartier, à porter l'Espérance chrétienne. Le chrétien regarde le monde et ses situations à partir de la mort et de la résurrection du Christ ! Cette lettre pastorale est là pour encourager et mobiliser tous les baptisés à l'exigence de la vie chrétienne. »

"Lors de la journée « tous réseaux » du SNEJV le 26 mars 2020, Mgr Luc Ravel, archevêque de Strasbourg et membre du conseil pour la pastorale des enfants et des jeunes (CPEJ) est intervenu sur le thème « L'écologie intégrale, chemin d'une conversion pastorale ». Retrouvez ci-dessous le texte de son intervention ainsi que le podcast à réécouter."

Lorsque nous lisons les Actes des Apôtres, nous remarquons que la première communauté chrétienne vivait cinq dimensions essentielles de la foi, liées à la condition de disciple du Christ : la fraternité, l'annonce de l'Évangile (évangélisation), le service des frères, la prière, l'enseignement (formation). On peut parler des cinq essentiels vécus par toutes les communautés chrétiennes, à toutes les époques. Ces cinq essentiels sont unis et se développent ensemble. Si l'un est oublié les autres sont affaiblis. Par exemple : si un groupe de prière oublie le service et l'enseignement, sa prière perd sa force. Si le Secours Catholique oublie la prière et l'annonce de l'Évangile, il risque de ne plus voir le Christ en toute personne rencontrée. Si celui qui enseigne n'est plus attentif à l'autre et ne prie plus, son enseignement se coupe de la communauté et de ce qu'elle vit. Si l'équipe « Laudato-Savoie » oublie l'un de ses cinq essentiels, son action ne sera qu'une adaptation plus ou moins réussie, plus ou moins rapide, à la société qui évolue vers plus de respect de l'environnement. Il est donc important qu'une spécialisation des tâches n'entraîne jamais une sorte de séparation des groupes qui peut aller jusqu'à l'explosion de la communauté. Dans cet esprit le conseil diocésain de pastorale a réfléchi, à partir de l'encyclique du Pape François « Laudato Si », afin que notre souci de l'environnement et de l'écologie intégrale n'ignore pas les cinq essentiels. Après une présentation très claire de l'encyclique et des défis qu'elle invite à relever, par Alain Ricault, le conseil diocésain de pastorale a énoncé quelques orientations et préconisations.

"Jeudi 16 septembre, c'est au sanctuaire Notre-Dame de Laghet, à La Trinité, que la Pastorale du monde scolaire (PMS) du diocèse de Nice a vécu sa rentrée. Responsables d'aumôneries de l'enseignement public (AEP), adjoints en pastorale scolaire (APS) et chefs d'établissements de l'enseignement catholique, prêtres accompagnateurs, équipe diocésaine de la PMS: environ quatre-vingts personnes ont pris part à la journée en présence de leur évêque, Mgr André Marceau. En présence aussi de Sophie et Loïc Veillet-Lavallée, responsables de La Bougie, la communauté catholique des étudiants de Nice, et de Marie Isnard- Salviati, coordinatrice du pôle Solidarités. Une journée pour vivre ensemble la dimension humaine et sociale de l'écologie intégrale proposée en 2015 par le pape François dans son encyclique Laudato si'."

"Ce sont les enfants de l'Archiprêtré de Vigy (Communautés de paroisses Jean Martin Moyë, Anne de Méjanes et Notre Dame du Chemin de l'Amitié) qui ont répondu présents à l'invitation de leur IER qui se sont retrouvés dès 9h30 à Saint Hubert. Ils étaient accompagnés de l'archiprêtre Martin Pyza, de Sandrine (animatrice laïque en pastorale des jeunes), de Nathalie (animatrice laïque en pastorale de l'enfance), d' IER de l'Archiprêtré Clotilde, Michelle et Valérie mais également de jeunes impliqués dans la vie pastorale, Laure, Emma, Alice, Pauline et de certains parents."

"Suite au succès de la première journée diocésaine organisée à l'Abbaye de Bassac en mai 2022, la Pastorale Familiale et la Pastorale des Jeunes organisent pour les jeunes et toutes les familles un grand rassemblement diocésain sur le thème LAUDATO SI le 13 mai 2023, une nouvelle fois à Bassac.  La journée démarrera par une introduction à l'Encyclique puis différents stands et activités seront proposés au service de notre "Soeur la Terre" dans l'enceinte du Parc de l'Abbaye de Bassac. Une messe célébrée par Mgr Gosselin conclura cette après-midi. Celle-ci sera animée par le groupe de Pop Louange HOPEN pour une veillée-Concert unique dans le cloitre de l'Abbaye. "

"Ce 10 mai, au Centre Culturel Saint Thomas se tenait la rencontre annuelle des coopérateurs pastoraux. Dominique Lang (photo 1), prêtre assomptionniste, biologiste et journaliste au Pèlerin a captivé son auditoire autour du sujet : Quand pastorale, foi et écologie se rencontrent…Après Laudato Si, existe-t-il une pastorale écologique ?"

"Lettre pastorale aux Catholiques de Guyane et à toute personne de bonne volonté Sur la protection de la création en Guyane"

Tous serviteurs pour mettre en œuvre les objectifs de l'année pastorale. Le diocèse compte s'appuyer sur les atouts, les qualités et le potentiel dont dispose l'Église de Meuse. Ces qualités sont parlantes pour l'ensemble des Meusiens puisqu'elles sont une partie de leur identité. Des personnes motivées, la solidarité, la richesse de l'environnement naturel et rural sont des opportunités et des ressources précieuses pour porter ces deux objectifs et trois points d'attention ci-dessous cités : Deux objectifs : A Poursuivre notre réflexion sur l'avenir de notre Église diocésaine : « Quelle Église voulons-nous être ensemble à l'horizon 2024 ? » B Vivre une année Laudato Si' « Quelle Église voulons-nous être ensemble à l'horizon 2024 ? » Nous entrons dans la deuxième étape, celle des préconisations pastorales. Cette réflexion ecclésiale est l'effort de tout le Peuple de Dieu et de chaque membre de ce peuple. Cet effort de transformation ecclésiale devra conduire chacune et chacun à dépasser ses intérêts propres, ses besoins particuliers pour PENSER ÉGLISE. Je voudrais insister pour dire que ce changement ne pourra s'accomplir sans une conversion personnelle et communautaire qui nous permettra d'avancer au cœur même de nos engagements. Une année « Laudato Si' », du 24 mai 2020 au 24 mai 2021. Une année pour apporter quelques réponses à la pandémie et nous projeter dans l'après-pandémie : « J'invite toutes les personnes de bonne volonté à y adhérer, à prendre soin de notre Maison commune et de nos frères et sœurs les plus fragiles » (Pape François). Plus que jamais il y a urgence pour notre Terre. Chacun de nous porte la responsabilité d'être artisan d'humanité et porte également la responsabilité d'être artisan de l'avenir de notre Église diocésaine, Corps du Christ.

En ce Carême 2021, Mgr André Marceau invite à une véritable conversion écologique, dans la perspective ouverte par Laudato Si' et Fratelli Tutti. Aux côtés des six fiches pratiques déjà disponibles, voici maintenant la lettre pastorale de l'évêque de Nice en version numérique.

En ce dimanche de Pentecôte, les chrétiens peuvent à nouveau se rassembler dans leurs églises et célébrer en communauté le don de l'Esprit-Saint que le Christ envoie d'auprès du Père. C'est une grande joie de pouvoir être à nouveau une ekklesia (du grec ἐκκλησία), une assemblée convoquée par le Seigneur. Nous pouvons redevenir ensemble un signe de l'invitation permanente du Christ venu pour rassembler les hommes dans l'amour du Père. Nos rassemblements liturgiques sont l'expression sociale de l'œuvre continue de Dieu qui veut réunir les disciples de Son Fils, mais aussi rassembler l'humanité entière dans une même famille. Cette universalité du salut qui se manifeste avec éclat au jour de la Pentecôte. Je m'adresse à vous, chers frères et sœurs en Christ, qui êtes l'Eglise du Christ au Havre et dans le Pays de Caux. La situation que nous connaissons nous requiert comme disciples du Christ et comme Eglise présente dans cette région de la Normandie. Cette Lettre Pastorale veut fournir des éléments de réflexion, des pistes de dialogue entre nous et avec les autres, pour progresser toujours davantage dans la mission pour laquelle l'Esprit de Pentecôte nous est donné. Nous pouvons considérer qu'il s'agit d'une proposition en vue d'une étape nouvelle dans la démarche Synodos engagée depuis deux ans.

"Le Conseil Pontifical pour la Pastorale des Migrants et des Personnes en Déplacement a publié ce jeudi le message pour la Journée Mondiale du Tourisme qui sera célébrée le 27 septembre prochain. Son thème : « Le tourisme et l'eau : protéger notre futur commun »."

"A la rentrée de Septembre, l'Equipe Pastorale, à l'initiative d'un groupe de chrétiens, nous a proposé un « Fil rouge » pour notre année 2020-2021. Nous avons été invités à entrer dans une démarche de conversion écologique, suite à l'appel du Pape François, qui a déclaré l'année pastorale,  'l'année « Laudato Si »'"

"Les 21, 22 et 23 janvier la pastorale familiale et la pastorale de l'enseignement catholique du Gard vous propose une formation «Grammaire de la vie… pour une écologie humaine». Elle se déroulera à la Maison diocésaine de Nîmes. Compte tenue de la situation sanitaire actuelle, une actualité sera mise à la une du site internet du diocèse le dimanche 10 janvier pour confirmer celle-ci et donner plus d'information en lien avec la période."

"Voici deux propositions de la Pastorale des jeunes et du Service Église Verte à venir"

"Une plaquette avec les propositions de formations dans le diocèse est en cours de diffusion dans les paroisses et à la maison diocésaine. Chacun pourra ainsi prendre le temps de choisir la ou les formations qui le concernent davantage cette année. L'accent est notamment mis sur l'approfondissement de l'encyclique Laudato'Si, pour la sauvegarde de la maison commune, avec une découverte de ce qu'est l'écologie intégrale. Par ailleurs, des personnes du diocèse sont envoyées pour mission d'études universitaires à Toulouse afin d'acquérir une réelle formation théologique et pastorale."

"Chers diocésains, Il y a cinq ans, le 18 juin 2015, le pape François publiait son encyclique Laudato si'. Qu'en est-il aujourd'hui de l'engagement écologique des chrétiens ? Depuis des décennies, des chrétiens alertent et agissent, sont aux avant-postes de la conversion écologique. Mais nos manières de penser et d'agir ontelles vraiment changé ? La crise du coronavirus a montré comme une évidence que l'encyclique du pape est un texte d'actualité. Il nous faut regarder comment nous pouvons passer de cet éclairage moral à des démarches concrètes, à des choix précis au sujet de nos modes de vie ou de notre consommation. La crise économique et sociale qui vient s'ajouter à la crise sanitaire plonge les entreprises et les familles dans l'inquiétude pour l'avenir. Comment tirer les leçons de ce que nous avons vécu ? Le rôle de l'Église est d'inviter à l'espérance. Il faut que nous donnions des propositions concrètes, imaginions des pistes d'action, suggérions de bonnes pratiques, encouragions des initiatives locales. Parmi les catholiques, il existe encore quelques résistances à Laudato si'. Certains sont inquiets de l'implication sociale de l'Église et trouvent que l'Église ferait mieux de s'investir dans d'autres actions qui semblent plus urgentes. D'autres pensent que l'écologie est à la mode et très colorée politiquement et craignent qu'elle devienne une autre religion. D'autres enfin voient un défi majeur à relever et ont redécouvert pendant la crise du coronavirus la dimension de contemplation, l'écologie humaine intégrale. Entrer dans l'engagement personnel et communautaire La question est de passer aux actes. On ne peut pas se contenter de citer Laudato si', ou de faire référence à François d'Assise. Il faut aussi des réalisations concrètes, même si elles paraissent bien petites par rapport à de grandes décisions économiques. Qu'en est-il vraiment de l

"En ce dimanche de Pentecôte, les chrétiens peuvent à nouveau se rassembler dans leurs églises et célébrer en communauté le don de l'Esprit-Saint que le Christ envoie d'auprès du Père. C'est une grande joie de pouvoir être à nouveau une ekklesia (du grec ἐκκλησία), une assemblée convoquée par le Seigneur. Nous pouvons redevenir ensemble un signe de l'invitation permanente du Christ venu pour rassembler les hommes dans l'amour du Père. Nos rassemblements liturgiques sont l'expression sociale de l'œuvre continue de Dieu qui veut réunir les disciples de Son Fils, mais aussi rassembler l'humanité entière dans une même famille. Cette universalité du salut qui se manifeste avec éclat au jour de la Pentecôte. Nous pouvons redevenir ensemble un signe de l'invitation permanente du Christ venu pour rassembler les hommes dans l'amour du Père Je m'adresse à vous, chers frères et sœurs en Christ, qui êtes l'Église du Christ au Havre et dans le Pays de Caux. La situation que nous connaissons nous requiert comme disciples du Christ et comme Église présente dans cette région de la Normandie. Cette Lettre Pastorale veut fournir des éléments de réflexion, des pistes de dialogue entre nous et avec les autres,  pour progresser toujours davantage dans la mission pour laquelle l'Esprit de Pentecôte nous est donné. Nous pouvons considérer qu'il s'agit d'une proposition en vue d'une étape nouvelle dans la démarche Synodos engagée depuis deux ans."

"Dans la lettre que j'ai envoyée aux prêtres le jeudi saint, j'ai attiré l'attention sur quatre points notamment sur le fait que l'Eglise peut et doit accompagner le mouvement de la "sobriété heureuse". C'est ce thème que j'ai souhaité développer dans la lettre que je vous adresse aujourd'hui, alors que nous approchons d'une période de déconfinement et que la Semaine Laudato Si, célébrée du 16 au 24 mai doit nous encourager à développer les initiatives en faveur de la "Sauvegarde de la maison commune", selon la formule du pape François dans son encyclique. Cette semaine spéciale, parrainée par le Dicastère pour le service du développement humain intégral, marque le 5e anniversaire de la publication de l'encyclique. La lettre que je vous envoie aujourd'hui se fonde sur une conviction : le changement de notre rapport à la création ne pourra être effectif qu'à la condition que nous entrions dans un chemin de conversion de notre rapport au réel qui nous fasse passer d'une société de l'avoir à une société de l'être, d'une société de consommation effrénée à une société ayant le souci du respect de notre planète, d'une société d'égoïsme et de chacun pour soi à une société du don, de la présence à l'autre, particulièrement au plus fragile, bref d'une société qui s'inspire de l'évangile."