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Harris Interactive - Millenials, génération X, séniors... : quelle importance... - 0 views

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    Plus de 90% des Français déclarent entretenir de bonnes relations aussi bien avec les personnes de leur âge qu'avec les représentants des générations précédentes et ceux des générations suivantes à la leur. Cette bonne entente intergénérationnelle s'avère même être « très bonne » pour 29% des Français avec les personnes plus jeunes qu'eux, et pour 37% avec les personnes de leur âge ou plus âgées qu'eux. Les Français s'accordent à dire qu'il est important qu'existent un lien et des échanges réguliers entre les personnes des différentes générations. 54% d'entre eux trouvent même qu'il s'agit d'un enjeu « très important ». Cette perception est partagée par la quasi-totalité des parents, qui estiment qu'il est essentiel de transmettre aux enfants l'attachement à un lien entre les personnes des différentes générations. Dans le détail, les Français attribuent globalement des adjectifs à connotation positive aussi bien aux personnes des générations précédentes qu'à celles des générations suivantes. Il semble notamment que la transmission de savoirs soit essentielle à leurs yeux puisque 91% des Français déclarent que leurs aînés ont des choses à leur apprendre, et 87% d'entre eux estiment pouvoir apprendre des choses à leurs cadets. Les Français semblent également s'accorder sur la sympathie qu'inspirent ces deux générations : 88% d'entre eux trouvent que ce qualificatif correspond bien aux générations de personnes plus âgées, et 79% trouvent qu'il correspond bien aux générations suivantes. Dans le même esprit, 9 Français sur 10 trouvent leurs aînés intéressants, et plus de 7 sur 10 (71%) attribuent la même qualité aux plus jeunes. Les plus de 50 ans ont d'ailleurs tendance à trouver les jeunes plus intéressants encore que la moyenne (79%). Toutefois, si seulement 37% des Français déclarent trouver les représentants des générations précédentes égoïste
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Assemblée nationale - Délégation aux droits des femmes - Rapport d'informatio... - 0 views

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    SYNTHÈSE DES PROPOSITIONS Recommandation n° 1 : mettre en place une exonération généralisée d'avance de frais pour les femmes souhaitant recourir à une IVG. Recommandation n° 2 : clarifier la réglementation afin de garantir le droit à l'anonymat et à la confidentialité de l'IVG pour toutes les femmes en établissant des procédures spécifiques, que ce soit en établissement de santé ou en ville. Recommandation n° 3 : aménager un cadre réglementaire clair, précisant le rôle et les prérogatives du directeur d'établissement scolaire lorsqu'une élève mineure souhaite avorter sans en informer ses parents. Cette disposition devrait faire l'objet d'une circulaire du ministère de l'Éducation nationale et de la jeunesse adressée à l'ensemble des chefs d'établissement de l'enseignement secondaire (collèges et lycées). Elle pourrait utilement figurer dans le Guide du chef d'établissement édicté en février 2009 par le ministère, dans la fiche 34 relative à la surveillance, au sein du paragraphe consacré à la gestion des absences. Recommandation n° 4 : aménager un cadre réglementaire permettant aux infirmiers scolaires d'endosser le rôle de majeur accompagnant une mineure souhaitant avoir recours à une IVG dans le cadre de leur service et sans engager leur responsabilité personnelle. Recommandation n° 5 : imposer à l'ensemble des hôpitaux publics d'assurer une prise en charge des IVG et de ne pas refuser les patientes dont la grossesse se situe en fin de délai légal, celles-ci constituant une urgence absolue, afin d'assurer une offre de soins équitable sur l'ensemble du territoire. Recommandation n° 6 : pérenniser l'allongement du délai de recours à l'IVG médicamenteuse en ville de cinq à sept semaines de grossesse, conformément à ce qui est déjà autorisé pour l'IVG médicamenteuse réalisée en milieu hospitalier. Recommandation n° 7 : lutter contre la désinformation sur internet en p
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DREES - Les valeurs des jeunes adultes, leur perception de l'avenir et de la protection... - 0 views

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    La Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) publie trois études sur les valeurs, jugements et opinions des jeunes en France et en Europe, dans la collection « Les Dossiers de la DREES ». Elle mobilise pour cela dix années de son Baromètre d'opinion sur la protection sociale, et s'appuie sur les réponses de près de 8 000 jeunes de 18 à 29 ans, interrogés entre 2004 et 2014. À l'encontre des idées reçues, les jeunes Français sont globalement optimistes pour leur avenir, et dans des proportions bien plus fortes que leurs ainés : 65 % des moins de 25 ans contre 46 % des 50-54 ans. De même, si 44 % des jeunes Français de moins de 25 ans pensent avoir une moins bonne situation que leurs parents au même âge (tendance en hausse depuis la crise économique), ce sentiment de « déclassement intergénérationnel » est plus faible que chez les 25-50 ans. Les jeunes Français sont néanmoins toujours bons derniers au palmarès des optimistes en Europe, dépassés même par les jeunes des pays les plus touchés par la crise (Espagne, Portugal). Des clivages apparaissent en outre avec, d'un côté, les jeunes en cours d'études ou en emploi et diplômés du supérieur, les plus optimistes pour leur avenir, et de l'autre, les jeunes les moins diplômés et les précaires, qui le sont le moins. Famille, genre, immigration : les jeunes défendent des valeurs d'ouverture Les jeunes Français sont plus favorables que leurs aînés à l'égalité des rôles entre les femmes et les hommes, plus tolérants aux nouvelles formes de couples et de familles et rejettent globalement l'ensemble des stéréotypes de genre, à l'opposé des plus de 65 ans dont les opinions diffèrent très fortement. Neuf jeunes sur dix sont en désaccord avec le modèle traditionnel de la femme au foyer s'occupant des enfants, et tout autant avec l'idée de privilégier l'emploi des hommes à celui des femmes. De mêm
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Regarder la situation des divorcés « avec les yeux des petits enfants » | ZEN... - 1 views

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    "Le pape François invite les chrétiens à « développer » « un accueil réel » des personnes divorcées et remariées. Il les appelle à « imiter » le Christ et à « encourager » les familles « blessées » à vivre « leur appartenance » à l'Église. Rome, 5 août 2015 (ZENIT.org) Marina Droujinina | 569 clics Le pape François a appelé les chrétiens à regarder la situation des personnes divorcées et remariées « avec les yeux des petits enfants » « qui souffrent le plus » dans ces circonstances. Il est intervenu sur ce thème délicat ce mercredi 5 août dans la Salle Paul VI, lors de la première audience générale après la pause de cinq semaines de la période estivale. Le pape a invité à regarder la situation « de ceux qui, à la suite d'un échec irréversible de leur lien matrimonial, ont commencé une nouvelle union » « avec les yeux des tout-petits ». Ce regard permettra de voir « l'urgence de développer dans nos communautés un accueil réel » envers ces personnes, estime le pape. « C'est pourquoi il est important que le style de la communauté, son langage, ses comportements soient toujours attentifs aux personnes, à partir des petits ». Le pape François est convaincu que « ce sont eux qui souffrent le plus, dans ces situations ». Il a appelé à être miséricordieux et à « ne pas ajouter d'autres poids en plus de ceux que les enfants, dans ces situations, ont déjà à porter ! » « Il est important qu'ils sentent que l'Église est une mère attentive à tous, toujours disposée à écouter et à les rencontrer », a-t-il ajouté. Le pape a expliqué que l'Église savait « bien » que la situation des personnes divorcées et remariées « contredit le sacrement chrétien ». « Toutefois, son regard de maîtresse vient toujours d'un cœur de mère, a-t-il affirmé, un cœur qui, animé par l'Esprit Saint, cherche toujours le bien et le salut des personnes ». Le pape a dit fermement que
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IFOP - Les parents face à l'orientation scolaire des lycéens et des étudiants - 0 views

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    A l'occasion de la première édition du Salon de l'Etudiant Spécial Parents organisé ce samedi 8 octobre porte de la Villette à Paris, l'Etudiant a commandé à l'Ifop une enquête auprès des parents de lycéens et d'étudiants qui met en lumière leurs craintes quant à l'orientation scolaire et l'avenir professionnel de leurs progénitures. Les principaux enseignements de l'enquête : Un portail APB considéré comme " flou" par une majorité de parents "Plutôt flou". C'est ainsi qu'une majorité (61 %) de parents de lycéens et d'étudiants connaissant APB décrivent le système d'affectation dans le supérieur. Or, durant l'année du bac, tous les élèves de terminale ont l'obligation de classer sur ce portail, par ordre de préférence, les formations dans lesquelles ils souhaitent poursuivre leurs études. Des chiffres qui témoignent des limites de cette procédure mais également de l'appréhension qu'elle suscite : plus d'un utilisateur sur deux exprime un sentiment de malaise avec cet outil (54%). Et qui s'explique en partie par les polémiques récurrentes dont elle est l'objet. Depuis plusieurs années, en effet, l'association Droit des lycéens dénonce l'opacité d'APB et se bat pour que le ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche publie l'algorithme utilisé. Une demande pour l'instant restée sans suite… Autre enseignement : la forte corrélation entre la notoriété du portail et la catégorie socioprofessionnelle. En effet, 66 % des parents ouvriers en ont déjà entendu parler contre 100 % des cadres supérieurs. En moyenne, 85 % des parents interrogés connaissent APB. Un degré d'information sur ces questions qui varient beaucoup en fonction du niveau social des parents … Deux parents sur trois (64%) se sentent bien informés pour aider leur enfant. De manière plus générale, on constate également une forte relation entre le sentiment d'être bien informé pour aider son enfan
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Unicef - La situation des enfants dans le monde 2017 : Les enfants dans un mo... - 0 views

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    Malgré la présence en ligne massive des enfants - un internaute sur trois dans le monde est un enfant - trop peu de mesures sont prises pour les protéger des dangers du monde numérique et pour augmenter leur accès à un contenu en ligne sûr, selon un rapport du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) publié lundi. Le rapport intitulé 'La situation des enfants dans le monde en 2017 : les enfants dans un monde numérique' présente le premier regard de l'UNICEF sur les différentes façons dont la technologie numérique affecte la vie des enfants, en identifiant les dangers et les opportunités. Il affirme que les gouvernements et le secteur privé n'ont pas suivi le rythme du changement, exposant les enfants à de nouveaux risques et laissant de côté des millions d'enfants défavorisés. « Pour le meilleur et pour le pire, la technologie numérique est maintenant un fait irréversible de nos vies », a déclaré le Directeur exécutif de l'UNICEF, Anthony Lake. « Dans un monde numérique, notre double défi est de savoir comment atténuer les inconvénients tout en maximisant les avantages d'Internet pour chaque enfant ». Le rapport explore les avantages que la technologie numérique peut offrir aux enfants les plus défavorisés, y compris ceux qui grandissent dans la pauvreté ou qui sont affectés par des crises humanitaires. Cela inclut augmenter leur accès à l'information, renforcer leurs compétences numériques pour le monde du travail, et leur donner une plate-forme pour se connecter et s'exprimer. Mais environ un tiers des jeunes dans le monde - 346 millions - ne sont pas en ligne, ce qui exacerbe les inégalités et réduit la capacité des enfants à participer à une économie de plus en plus numérique. Le rapport examine également comment Internet accroît la vulnérabilité des enfants aux risques, y compris l'utilisation abusive de leurs renseignements personnels, l'accès à du contenu préjudiciable et la cyberintimidat
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IFOP - Les Français et la scolarisation des enfants de moins de 3 ans - 0 views

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    A l'occasion de la rentrée des classes, Femme actuelle a souhaité faire le point sur l'état de l'opinion à l'égard de la scolarisation des enfants dès deux ans en école maternelle, l'une des promesses de campagne de François Hollande lors de la campagne de l'élection présidentielle de 2012. Alors que le ministère de l'Education nationale s'est fixé comme objectif de parvenir à un taux de scolarisation de 30% des enfants de moins de trois ans dans les zones défavorisées d'ici 2017, certaines voix laissent entendre une insuffisance des moyens mis en œuvre, voire le caractère néfaste d'une scolarisation trop précoce. Mais qu'en pensent les Français ? Sont-ils pour ou contre l'entrée des enfants de deux ans en maternelle ? Estiment-ils qu'elle permet de mieux se familiariser avec la vie en société et le langage ? Est-elle un levier pour faire reculer l'échec scolaire ? Pour répondre à ces interrogations, l'Ifop a donc réalisé une enquête auprès d'un échantillon de 2 000 Français dont il ressort les enseignements suivants : - La majorité des Français (63%) se déclare favorable au principe de scolarisation des enfants de moins de 3 ans, dont 23% se disent même « tout à fait favorables ». - Les premiers concernés, c'est-à-dire les parents d'enfants de moins de 3 ans, sont encore plus favorables à cette mesure : 74% la soutiennent, dont 32% s'y déclarant « tout à faire favorables ». Dans le détail, on observe que les jeunes (78%), les plus diplômés (69%) et les catégories pauvres (67%) sont les segments de population les plus favorables à cette scolarisation. - Pour les deux tiers des Français (65%), mettre un enfant de deux ans à la maternelle est « une bonne chose pour améliorer la socialisation et l'acquisition du langage des plus petits ». Aussi, seule une minorité (46%) estime que cela revient à « le scolariser à une âge trop précoce », soit des résultats qui conf
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IFOP - Les Français, l'homoparentalité et la question des droits des homosexu... - 0 views

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    A l'heure où La Manif pour Tous présente ses 40 propositions en vue de la campagne présidentielle, l'Association des Familles Homoparentales (https://adfh.net/) publie les résultats d'une enquête permettant de mesurer l'évolution des positions des Français sur les questions d'homoparentalité (mariage « gay », PMA, GPA…), leurs attentes à l'égard des candidats à l'élection présidentielle sur ces sujets et le candidat politiquement le plus « Gay-friendly » à leurs yeux. Les positions des Français sur les questions d'homoparentalité - Près des deux Français sur trois (62%) se disent opposés à l'abrogation de la loi Taubira - Les Français s'avèrent de plus en plus favorables (59%) à l'ouverture de la PMA aux couples de lesbiennes - L'idée d'autoriser la GPA aux couples gays reste minoritaire (44%) mais progresse lentement dans l'opinion - Pour une large majorité de Français (64%), les services de l'Etat doivent reconnaitre les enfants nés à l'étranger par GPA dans les pays où cette pratique est légale Les attentes des Français à l'égard des candidats à l'élection présidentielle sur ces sujets A l'issue de l'élection présidentielle, les électeurs souhaitent que le candidat qui sera élu Président prenne certaines mesures favorables aux familles homoparentales. - C'est particulièrement le cas du maintien de la loi Taubira, soutenue par 65% des potentiels électeurs à l'élection présidentielle. - Mais la même proportion d'électeurs, à savoir les deux tiers (65%), souhaite aussi que le futur Président de la République « veille à ce que les services de l'Etat délivrent un livret de famille aux parents français dont les enfants sont nés d'une GPA à l'étranger ». - Enfin, ils sont une nette majorité (56%) à souhaiter que le futur hôte de l'Elysée « accorde aux couples de femmes homosexuelles le droit de recourir aux techniques de procréation médicalement a
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CAIRN - Recherches familiales - S'approprier les codes. Mise en scène et sign... - 0 views

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    "L'ouverture du mariage aux couples de même sexe en France pose de nouveaux enjeux scientifiques, jamais étudiés jusqu'à ce jour dans la mesure où il s'agit d'une possibilité récente. Si le mariage a longtemps été critiqué pour sa dimension « hétérosexiste » [1] [1] On se réfère ici à une définition du terme « hétérosexiste »…, instituant une hiérarchie entre les relations, comment les couples de même sexe s'approprient-ils un modèle dont ils étaient historiquement exclus, et plus précisément quelles sont les différentes fonctions des codes associés de manière sous-jacente à la cérémonie ? Les codes représentent en effet un « mode d'emploi pour agir avec les autres, et aussi avec soi-même » [2] [2] Martine SEGALEN, Rites et rituels contemporains, Armand Colin,…. En d'autres termes, les codes fonctionnent comme un ensemble de conventions collectivement admises qui permettent d'interpréter le rituel en l'inscrivant dans une « récurrence des formes, nécessaire pour fournir un cadre à l'expérience, pour donner à force de répétitivité les allures d'un langage dont chacun partage les symboles » [3] [3] Ibid., pp. 93-94.. Même si la cérémonie du mariage est loin d'être homogène et connaît de nombreuses variations en fonction des périodes historiques, des régions, mais aussi des milieux sociaux [4] [4] Michel BOZON, « Sociologie du rituel du mariage », Population,…, un certain nombre de règles relativement ancrées et structurantes fonctionnent comme un cadre de référence. On peut d'ailleurs tenter de les objectiver grâce aux nombreux guides visant à faciliter l'organisation rituelle. Le Guide Blanc du Mariage recense en ligne les établissements spécialisés par région, et les classe ainsi par thématique : lieux de réception, traiteurs et pâtissiers, robes de mariée, costumes, coiffeurs et bijoutiers, orchestres, fleuristes, faire-part et menus, repo
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CESE - Avis Complet - Vers sun service public d'accueil de la petite enfance - 0 views

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    Le CESE formule 15 préconisations pour poser les jalons d'un service public d'accueil de la petite enfance, parmi lesquelles : - Attribuer aux communes et aux intercommunalités la compétence d'accueil du jeune enfant : Le CESE appelle à renforcer le rôle central que jouent d'ores et déjà en pratique les communes. Cette compétence devra être assortie de moyens financiers suffisants pour garantir la qualité et l'accessibilité de l'accueil et être mise en oeuvre en concertation avec tous les acteurs de la petite enfance. - Renforcer les Relais Petite Enfance pour en faire un guichet unique, présent sur tout le territoire : Pour rendre plus lisible et incarner le service public de l'accueil, les Relais Petite Enfance doivent devenir le guichet unique sur tout le territoire. Leur rôle doit être élargi pour permettre l'accès à une information complète et lisible sur l'offre d'accueil disponible. - Soutenir le développement des structures d'accueil par la revalorisation des métiers de la petite enfance : Le CESE a conscience que le développement d'une plus large offre d'accueil pour les enfants nécessite de pouvoir recruter des profils qui disposent des compétences nécessaires. Or, on observe une crise importante des vocations dans les métiers de la petite enfance. Le CESE appelle donc à revaloriser les métiers de la petite enfance notamment au travers des formations et des salaires et à faciliter la reconversion vers ces métiers tout au long de la vie via la formation continue. - Réduire le reste à charge des familles pour permettre aux parents de bénéficier du libre choix du mode d'accueil : Le CESE souhaite que les parents puissent librement choisir le mode d'accueil de leurs enfants, peu importe leur situation ou leur revenu. En ce sens, le CESE appelle à repenser le mode de calcul du complément mode de garde afin de diminuer le reste à charge en matière d'accueil individuel, en particulier pour les familles modestes
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CESE - Synthèse - Vers sun service public d'accueil de la petite enfance - 0 views

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    Le CESE formule 15 préconisations pour poser les jalons d'un service public d'accueil de la petite enfance, parmi lesquelles : - Attribuer aux communes et aux intercommunalités la compétence d'accueil du jeune enfant : Le CESE appelle à renforcer le rôle central que jouent d'ores et déjà en pratique les communes. Cette compétence devra être assortie de moyens financiers suffisants pour garantir la qualité et l'accessibilité de l'accueil et être mise en oeuvre en concertation avec tous les acteurs de la petite enfance. - Renforcer les Relais Petite Enfance pour en faire un guichet unique, présent sur tout le territoire : Pour rendre plus lisible et incarner le service public de l'accueil, les Relais Petite Enfance doivent devenir le guichet unique sur tout le territoire. Leur rôle doit être élargi pour permettre l'accès à une information complète et lisible sur l'offre d'accueil disponible. - Soutenir le développement des structures d'accueil par la revalorisation des métiers de la petite enfance : Le CESE a conscience que le développement d'une plus large offre d'accueil pour les enfants nécessite de pouvoir recruter des profils qui disposent des compétences nécessaires. Or, on observe une crise importante des vocations dans les métiers de la petite enfance. Le CESE appelle donc à revaloriser les métiers de la petite enfance notamment au travers des formations et des salaires et à faciliter la reconversion vers ces métiers tout au long de la vie via la formation continue. - Réduire le reste à charge des familles pour permettre aux parents de bénéficier du libre choix du mode d'accueil : Le CESE souhaite que les parents puissent librement choisir le mode d'accueil de leurs enfants, peu importe leur situation ou leur revenu. En ce sens, le CESE appelle à repenser le mode de calcul du complément mode de garde afin de diminuer le reste à charge en matière d'accueil individuel, en particulier pour les familles modestes
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DARES - A quels moments les inégalités professionnelles entre les femmes et l... - 0 views

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    Un large pan de la littérature économique et sociologique attribue à la parentalité un rôle important dans la formation et la persistance des inégalités professionnelles entre les femmes et les hommes. Les périodes de vie où se créent ces inégalités ne sont en revanche pas clairement identifiées. Se forment-elles davantage avant ou après la naissance du premier enfant ? Les inégalités diminuent-elles lorsque les enfants grandissent ? À partir de modèles de durée, nous évaluons au fil des naissances, pour des personnes ayant au moins 50 ans en 2007, l'évolution de la probabilité d'atteindre une position socioprofessionnelle adéquate au regard du niveau d'études, c'est-à-dire de ne pas être déclassé en termes de catégorie socioprofessionnelle, et mesurons les différences entre les femmes et les hommes. L'enquête Santé et itinéraire professionnel (SIP) est mobilisée pour retracer les parcours professionnels et familiaux année après année. Il s'agit de l'une des rares sources de données françaises à le permettre. Les générations étudiées - 1932 à 1957 - ont connu de profonds changements économiques et sociétaux, parmi lesquels une forte augmentation de l'activité féminine et le délaissement progressif du modèle traditionnel de l'homme « gagne-pain ». L'analyse des évolutions socioprofessionnelles des femmes et des hommes de ces générations témoigne de fortes inégalités à la défaveur des femmes avec enfants qui sont croissantes avec le nombre d'enfants. Bien qu'elles s'accroissent par la suite, ces inégalités se forment avant l'arrivée des enfants, surtout pour les non-diplômées du baccalauréat. Plus souvent que les femmes, les hommes atteignent une position socioprofessionnelle adéquate avant de devenir parents. Quel que soit le nombre final d'enfants, c'est au moment de la première naissance que les inégalités augmentent le plus. Les inégalités continuent de s
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Ifop - Regards franco-allemands sur les défis démographiques de l'Europe - 0 views

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    A quelques semaines des élections européennes du mai 2019, Alliance Vita a souhaité connaitre l'opinion des Français et des Allemands sur les grands enjeux démographiques. Cette enquête révèle des conceptions convergentes quant aux solutions à apporter au vieillissement des populations, mais divergentes sur les questions liées à la natalité. Face à la problématique de l'isolement des personnes âgées, les Français et les Allemands retiennent la même hiérarchie entre les solutions proposées dans l'enquête en privilégiant largement des logiques de solidarité (plus de 50% des citations pour « développer des modes d'accompagnement de la dépendance » et « valoriser la solidarité entre les générations »), à des logiques d'ajustement des équilibres démographiques (moins de 30% des citations pour « accroître le recours à l'euthanasie pour les personnes âgées qui le demandent » ; moins de 20% pour « favoriser la venue de populations extra-européennes plus jeunes » et « encourager la natalité »). Si le rapport des Français et des Allemands au vieillissement de la population est assez proche malgré quelques nuances, leurs regards respectifs sur les enjeux liés à la natalité sont en revanche très différents. Les Français retiennent ainsi à égalité « les conditions de vie difficiles pour les familles » (52% des citations) et « la peur de l'avenir » (52%) comme les principales raisons expliquant le décalage entre le désir d'enfant et les naissances effectives. Si les Allemands mettent également « les conditions de vie difficiles pour les familles » en haut de classement (46%), c'est cette fois-ci à égalité avec « la faiblesse des politiques familiales, l'insuffisance des aides accordées aux familles avec enfants » (46% contre 16% seulement en France). On observe enfin que, malgré des situations économiques et sociales très différentes (3,2% de chômage en Allemagne, 8,8% e
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Défenseur des droits - Droit fondamental à l'éducation : une école pour tous,... - 0 views

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    Rapport 2016 - Synthèse Si tous les enfants bénéficient théoriquement du droit à l'éducation, force est de constater que "l'accès à l'école aujourd'hui en France n'est pas un droit effectif pour de nombreux enfants", notamment les plus vulnérables, souligne le défenseur des droits qui consacre son rapport annuel à cette thématique et interpelle à ce titre très directement les collectivités locales. Enfants de familles vivant dans des squats ou des campements, enfants mal logés, itinérants (issus des familles des gens du voyage), allophones (ayant une langue maternelle autre que le français), mineurs migrants non accompagnés, enfants handicapés, hospitalisés, à haut potentiel intellectuel ou encore "en conflit avec la loi"... Autant de cas de figure où les jeunes sont trop souvent "empêchés d'aller à l'école", selon Jacques Toubon, le défenseur des droits. Pour l'ex-ministre, il y a "un hiatus entre le droit proclamé à l'éducation et l'effectivité de ce droit". Dans le rapport annuel publié ce vendredi 18 novembre, il énumère, avec Geneviève Avenard, défenseure des enfants, 30 recommandations pour améliorer la situation. "Notre combat peut apparaître sans fin" mais "notre organisme a été créé pour intervenir chaque fois que la société se laisse aller", a déclaré le défenseur des droits lors d'une conférence de presse. "La scolarisation doit être un critère au centre des préoccupations des pouvoirs publics", a abondé Geneviève Avenard. Tous deux soulignent que ce rapport n'a pas pour but d'évaluer le système scolaire français, mais de pointer les barrières auxquelles se heurtent des milliers d'enfants chaque année. Le rapport met également l'accent sur les inégalités territoriales : entre les zones les plus défavorisées socialement et les autres, entre campagnes et zones urbaines, entre des départements d'outre-mer et la métropole… Parmi les recommandations figure le rappel aux maires de "l'obligati
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Défenseur des droits - Droit fondamental à l'éducation : une école pour tous,... - 0 views

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    Rapport 2016 - Document Complet Si tous les enfants bénéficient théoriquement du droit à l'éducation, force est de constater que "l'accès à l'école aujourd'hui en France n'est pas un droit effectif pour de nombreux enfants", notamment les plus vulnérables, souligne le défenseur des droits qui consacre son rapport annuel à cette thématique et interpelle à ce titre très directement les collectivités locales. Enfants de familles vivant dans des squats ou des campements, enfants mal logés, itinérants (issus des familles des gens du voyage), allophones (ayant une langue maternelle autre que le français), mineurs migrants non accompagnés, enfants handicapés, hospitalisés, à haut potentiel intellectuel ou encore "en conflit avec la loi"... Autant de cas de figure où les jeunes sont trop souvent "empêchés d'aller à l'école", selon Jacques Toubon, le défenseur des droits. Pour l'ex-ministre, il y a "un hiatus entre le droit proclamé à l'éducation et l'effectivité de ce droit". Dans le rapport annuel publié ce vendredi 18 novembre, il énumère, avec Geneviève Avenard, défenseure des enfants, 30 recommandations pour améliorer la situation. "Notre combat peut apparaître sans fin" mais "notre organisme a été créé pour intervenir chaque fois que la société se laisse aller", a déclaré le défenseur des droits lors d'une conférence de presse. "La scolarisation doit être un critère au centre des préoccupations des pouvoirs publics", a abondé Geneviève Avenard. Tous deux soulignent que ce rapport n'a pas pour but d'évaluer le système scolaire français, mais de pointer les barrières auxquelles se heurtent des milliers d'enfants chaque année. Le rapport met également l'accent sur les inégalités territoriales : entre les zones les plus défavorisées socialement et les autres, entre campagnes et zones urbaines, entre des départements d'outre-mer et la métropole… Parmi les recommandations figure le rappel aux maires de "l'
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L'aide et l'action sociales en France - édition 2017 - Panoramas de la DREES ... - 0 views

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    "L'aide et l'action sociales représentent 10 % des dépenses de la protection sociale et 3,2 % du produit intérieur brut. Ces aides et actions sont délivrées principalement par les départements. Fin 2015, ces derniers octroient 4,3 millions de prestations d'aide sociale, pour une dépense annuelle nette de 33 milliards d'euros. Au cours des cinq dernières années, ces dépenses augmentent de 2 % par an en moyenne. Après un premier éclairage sur le périmètre de l'aide et de l'action sociales et sur le financement de l'aide sociale départementale, celle-ci est décrite dans le détail : pour les personnes âgées dépendantes, pour les personnes handicapées, pour la protection de l'enfance et pour l'insertion. L'ouvrage s'attache à exposer les caractéristiques des bénéficiaires de l'aide sociale et la répartition des dépenses associées. Des rétrospectives sont proposées, et les disparités territoriales de l'aide sociale sont analysées." Ouvrage complet ou fiches séparées à télécharger Analyses transversales Fiche 01 - Le périmètre et les acteurs de l'aide et de l'action sociales en France Fiche 02 - Le financement des dépenses départementales d'aide sociale Fiche 03 - L'opinion des Français envers les politiques publiques d'aide sociale L'aide sociale aux personnes âgées Fiche 04 - Les dispositifs d'aide sociale aux personnes âgées Fiche 05 - L'aide sociale départementale aux personnes âgées Fiche 06 - Les bénéficiaires et les dépenses de l'allocation personnalisée d'autonomie Fiche 07 - L'aide sociale à l'hébergement des personnes âgées Fiche 08 - Les caractéristiques des bénéficiaires d'une aide sociale aux personnes âgées L'aide sociale aux personnes handicapées Fiche 09 - Les dispositifs d'aide sociale aux personnes handicapées Fiche 10 - L'aide sociale départementale aux personnes handicapées Fiche 11 - La prestation de compensation du hand
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INSEE - Combien coûte un jeune adulte à ses parents ? - 0 views

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    "En 2014, les ménages de parents d'un jeune âgé de 18 à 24 ans déclarent l'aider dans huit cas sur dix, à hauteur de 3 670 euros en moyenne par an. Cela représente un effort global de 8 % du total de leurs revenus disponibles. L'effort des parents, tel qu'ils le déclarent, est le plus important (15 %) lorsque le jeune est un étudiant qui dispose d'un logement autonome mais revient régulièrement chez ses parents (semi-cohabitant). Il est à l'inverse le moins élevé (3 %) lorsque le jeune est cohabitant en emploi. L'aide parentale s'adapte dans une certaine mesure à la situation et aux ressources du jeune, mais les moyens dont disposent les parents pour soutenir leur jeune financièrement conditionnent aussi les choix de ces derniers en matière de logement ou de poursuite d'études. En valeur absolue, le montant de l'aide et des dépenses pour le jeune adulte augmente avec le niveau de vie des parents. Il est cinq fois plus élevé pour les 10 % des ménages de parents les plus aisés que pour les 10 % les plus modestes (7 050 euros, contre 1 310). Pour autant, le taux d'effort est relativement plus important pour les 10 % de parents les plus modestes (13 %) que pour les autres ménages (moins de 9 %, sans autre variation significative selon le niveau de vie). Même à revenu constant, il est plus élevé de moitié pour les ménages de parents cadres, signe de stratégies de reproduction sociale. Le fait que les parents du jeune adulte soient séparés ou aient d'autres enfants à charge a aussi un effet sur l'aide. D'une part, les ménages de parents séparés ont un taux d'effort similaire à ceux restés ensemble lorsqu'ils les aident, mais sont moins nombreux à les aider. Ils aident leur enfant pour des montants moins élevés (- 30 % pour les mères séparées), toutes choses égales par ailleurs. D'autre part, un nombre d'enfants plus élevé réduit la fréquence des aides comme l'effort des parents pou
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Haut Conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes - Rapport annuel sur ... - 0 views

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    Ce rapport présente le deuxième état des lieux du sexisme en France, élaboré annuellement par le Haut Conseil à l'Egalité, depuis son inscription dans la loi du 27 janvier 2017 relative à l'égalité et la citoyenneté. Jamais autant qu'en 2019, le mot sexisme et, plus largement, l'expression violences sexistes et sexuelles, n'ont été utilisés. Les causes en sont multiples. C'est d'abord l'ampleur du mouvement #MeToo, le décompte macabre des 149 féminicides - meurtres de femmes parce qu'elles sont des femmes - par conjoints ou ex-conjoints, recensés tout au long de l'année, les révélations de violences sexuelles dans de nombreux domaines comme les arts et la culture ou plus récemment le sport. C'est aussi la force du droit et la création de nouvelles infractions comme l'outrage sexiste et l'élargissement de la notion de harcèlement sexuel. Cet encadrement juridique trouve son fondement dans une définition fonctionnelle du sexisme, proposée par le HCE dans son premier rapport et reprise pour une bonne part par le Conseil de l'Europe : le sexisme est à la fois une idéologie qui repose sur l'infériorité d'un sexe par rapport à l'autre, mais aussi un ensemble de manifestations des plus anodines en apparence (remarques, plaisanteries, etc.) aux plus graves (viols, meurtres), qui ont pour objet de délégitimer, stigmatiser, humilier ou violenter les femmes et entrainent pour elles des effets en termes d'estime de soi, de santé psychique et physique et de modification des comportements. C'est également la mobilisation sans précédent de la société civile contre les violences sexistes et sexuelles et la culture du viol, qui a pu aller jusqu'au « burn out » militant, mais aussi de tous les acteurs et actrices publics lors du Grenelle des violences conjugales. C'est enfin l'émergence de nouveaux sujets dans lesquels sont rendus visibles des biais de sexe totalement occultés jusqu'alors, su
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Unicef - 14e rapport Innocenti : Construire l'avenir : les enfants et les obj... - 0 views

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    Innocenti, le centre de recherche de l'Unicef basé à Florence, publie son quatorzième bilan intitulé "Construire l'avenir : les enfants et les objectifs de développement durable dans les pays riches". En effet, pour le rapport - qui porte sur 41 pays développés de l'Union européenne et de l'OCDE -, le signe le plus révélateur des progrès accomplis par une nation pour atteindre les objectifs de développement durable "est sans doute la façon dont elle répond aux besoins de ses enfants". L'étude s'appuie donc sur l'analyse de 9 objectifs et de 25 indicateurs de développement durable en lien avec la thématique des enfants. (...) La 19e place de la France sur les 41 pays étudiés recouvre bien sûr des écarts importants selon les objectifs de développement durable considérés. Côté positif : le 7e rang de la France sur l'objectif "Faim zéro" (éliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire et améliorer la nutrition). De même, le classement apparaît correct avec le 14e rang sur l'objectif "Education de qualité" et le 15e rang sur l'objectif "Pas de pauvreté", voire avec le 17e rang sur l'objectif "Bonne santé et bien-être". Deux autres critères se situent juste dans la moyenne de l'échantillon : la France figure ainsi au 20e rang sur l'objectif "Travail décent et croissance économique" et au 21e rang sur "Paix, justice et institutions efficaces". En revanche, la situation sur les autres objectifs est nettement moins favorable et pèse sur le classement final. La France figure ainsi au 23e rang sur l'objectif "Villes et communautés durables" et au 25e sur "Consommation et production responsables". Mais le plus mauvais résultat concerne l'objectif "Inégalités réduites", sur lequel la France se classe au 34e rang, tout juste devant les Etats-Unis (35e). Sur ce critère, tous les autres grands pays développés se trouvent classés devant la France. Ce critère combine trois indicateurs portant respectivement sur l'inégalité (ind
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IFOP - Saphisme et lesbianisme : du fantasme au passage à l'acte : Enquête su... - 0 views

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    Observant une progression soutenue et continue des recherches autour du sexe entre femmes (ex : « lesbian », « lesbiennes »,…), le site pour adultes Reference Sexe a commandé à l'Ifop une grande enquête visant à évaluer à la fois la proportion de Françaises ayant déjà été attirées sexuellement par une personne du même sexe et l'ampleur des fantasmes lesbiens chez les hommes. Réalisée auprès d'un échantillon de 2003 personnes âgées de 18 ans et plus, cette étude met en lumière les enseignements suivants : Une jeune fille sur quatre (24%) a déjà été attirée par une autre fille, soit une proportion qui a triplé en dix ans Une jeune fille sur dix (10%) a déjà couché avec une autre fille, soit un taux qui a doublé en dix ans Une jeune fille sur dix se dit soit bi (9%), soit lesbienne (1%), soit une proportion plus forte que chez l'ensemble des femmes (6%) Une femme sur quatre (24%) s'est déjà faite draguer par une autre femme, sachant que leur proportion est plus forte chez les jeunes de moins de 25 ans (27%) Une jeune fille sur deux (45%) a déjà embrassé une copine sur la bouche, contre un tiers des femmes de 25 à 34 ans (31%) et à peine 10% des femmes âgée 35 ans et plus Près d'une femme sur cinq (18%) aimerait bien avoir un rapport sexuel avec une autre femme au moins une fois dans sa vie Près d'une femme sur cinq (19%) aimerait bien se faire lécher le sexe par une autre femme, sachant que leur proportion est plus forte chez les jeunes de moins de 25 ans (22%) que chez celles âgées de 50 ans et plus (18%) Alors que les deux tiers des hommes (65%) rêvent de faire l'amour avec deux femmes en même temps, seule une femme sur dix (11%) s'imaginent aimeraient faire un plan à trois avec deux autres femmes De même, si deux hommes sur trois (66%) pourraient faire l'amour avec leur conjointe et une autre femme, seule 16% des femmes pourraient faire un plan à trois avec leur partenaire et une autre fe
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