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"ien sûr, il importe de se préoccuper de l'accès ou non aux sacrements [réconciliation et eucharistie] pour les personnes divorcées remariées [les participants à ce débat sont nombreux]. Cela nécessite certainement de mener des réflexions théologiques sur la notion de « sacrement », sur la réconciliation, sur l'eucharistie et sur le mariage… sans oublier le baptême, de façon à ouvrir un dialogue pastoral pour envisager une réponse qui respecte « la doctrine » dans son ensemble [et pas simplement quelques règles]."

"Les enfants de 8 à 11 ans catéchisés de notre diocèse sont cordialement invités à participer à une journée festive et ludique animée par notre diocèse et la Pastorale des Jeunes pour découvrir et vivre à travers des ateliers de liturgie; de jeux; de prière et de chants le sacrement de Réconciliation."

"Le pape François a tenu une audience « jubilaire » samedi, 30 avril, place Saint-Pierre, comme il le fait, une fois par mois, pendant l'Année sainte de la miséricorde, et il a consacré sa catéchèse à la réconciliation."

Blogs Légalité et réconciliation Point de vue juridique sur le mariage homosexuel (initialement paru en février 2010) CS - Vu le 09/07/2012

Autre source Egalite et Réconciliation NON au "mariage" homosexuel ACY - Vu le 10/09/2012

Autres Sources Egalité et réconciliation Vers un nouveau désordre familial ACY - vu le 17/09/2012

"Une vraie réconciliation est l'échange de deux pardons explique Marie Vautherin, animatrice en préparation au mariage dans le diocèse de Reims. Pardonner, une condition pour vivre en vérité."

"Pendant le jubilé de la miséricorde, le pape François accorde un pouvoir spécial à tous les prêtres catholiques pour pardonner, dans le sacrement de la réconciliation, qui a une responsabilité dans un avortement. Un pouvoir habituellement réservé aux évêques. « J'ai décidé, nonobstant toute chose contraire, d'accorder à tous les prêtres, pour l'Année jubilaire, la faculté d'absoudre du péché d'avortement tous ceux qui l'ont provoqué et qui, le cœur repenti, en demandent pardon. » Le pape demande aux prêtres de se préparer pour cette œuvre de miséricorde qui demande beaucoup de tact : « Que les prêtres se préparent à cette tâche importante en sachant unir des paroles d'authentique accueil à une réflexion qui aide à comprendre le péché commis, et indiquer un itinéraire de conversion authentique pour pouvoir obtenir le pardon véritable et généreux du Père qui renouvelle tout par sa présence. »"

"Le cardinal André Vingt-Trois et Monseigneur Podvin sont marqués par une réaffirmation identitaire où les valeurs proposées, seraient affirmées avec force, sous la forme de «principes non-négociables». L'Église devrait plutôt s'accommoder à la modernité, prendre des positions nuancées, et se réconcilier avec le monde. "

"La transformation de la société passe par la famille et l'apprentissage de la fraternité, explique Thérèse Nyrabukeye, qui témoignage de la réconciliation promue par un couple martyr du génocide rwandais, Cyprien et Daphrose. Thérèse Nyrabukeye, laïque consacrée, formatrice à la Fédération africaine d'action familiale et auditrice au synode a donné son témoignage lors du point presse quotidien en la salle de presse du Saint-Siège ce mardi 13 octobre."

"a journée a débuté par une 1ère intervention du père Marc Bonningues, vicaire épiscopal, sur le thème choisi et sur la Miséricorde, en cette fin d'année de la Miséricorde qui, en fait se poursuit dans le temps et n'aura été qu'une manière de plus de se rapprocher, sans crainte, aucune, de Dieu, toujours prêt au Pardon ( grâce au sacrement de la Réconciliation par exemple, proposé pour l'occasion, à l'ouverture des portes de la Miséricorde à Viviers et dans de nombreuses paroisses). Les personnes présentes ont ensuite été invitées à se réunir en 4 ateliers pour essayer de répondre aux questions suivantes à travers différentes évocations du mot "Pardon""

"Voilà enfin cette Exhortation apostolique que tout le monde attendait, et que le pape a appelé La Joie de l'Amour, Amoris Laetitia. J'ai été heureuse de lire ce texte magnifique, qui m'a ramenée en Argentine, quand Mgr Bergoglio, alors archevêque de Buenos Aires, défrayait la chronique en partant à pied dans ses bonnes vieilles chaussures vers les favellas et les banlieues les plus pauvres, ou se déplaçait en métro. Je l'ai revu lorsqu'il s'avançait vers les hommes et les femmes dont il devinait la souffrance, et qu'il les prenait dans ses bras pour leur proposer de lui parler, voire de se confesser - cette confession qu'il entendait comme leur réconciliation avec l'Eglise, autant dire, avec l'assemblée des hommes de bonne volonté, au coeur miséricordieux. C'est cet esprit que j'ai retrouvé en lisant ces lignes : ce souffle pastoral, cette présence d'un pasteur à côté de chacune de ses brebis."

"L'exhortation apostolique "La joie de l'amour" du pape François Vendredi 18 Novembre 2016, 20:00 - 22:00 Ce texte riche et abordable est un document remarquable sur l'amour vécu au sein de la famille. Il s'appuie sur le long travail synodal qui a exploré toutes les facettes des réalités familiales largement en crise. Affligées par de multiples conflits, les sociétés ont besoin de réconciliation, à commencer par leur cellule de base qu'est la famille. « Amoris laetitia », publié en plein Jubilé, est une excellente nouvelle pour les familles du monde entier et plus encore pour celles qui sont blessées ou humiliées. Nous proposons une approche à trois voix qui donne le goût d'approfondir tel ou tel point fort de l'ouvrage"

"Des laïcs et des prêtres multiplient camps et stages pour aider les hommes à se réconcilier avec leur masculinité, jugeant que la société et l'Eglise sont dominées par des valeurs féminines."

"Faisons un premier bilan de la réception d'Amoris laetitia. Deux lignes interprétatives s'opposent : la première est représentée par les évêques argentins de la province de Buenos-Aires. Dans leur texte daté du 5 septembre 2016, la discipline de Familiaris consortio (la continence complète lorsque, pour de graves raisons, les concubins ne peuvent se séparer) est rappelée mais elle n'est présentée que comme une proposition possible et non comme une exigence. Le texte continue: « En d'autres circonstances plus complexes, et lorsqu'il n'a pas été possible d'obtenir une déclaration de nullité, l'option évoquée peut ne pas être mise en oeuvre dans les faits. Nonobstant, un chemin de discernement est également possible. Si on en arrive à reconnaître que, dans un cas concret, il y a des limitations qui atténuent la responsabilité et la culpabilité, particulièrement lorsqu'une personne estime qu'elle tomberait dans une nouvelle faute en faisant du tort aux enfants de la nouvelle union, Amoris laetitia ouvre la possibilité de l'accès aux sacrements de la réconciliation et de l'eucharistie. Ceux-ci à leur tour disposent la personne à continuer de mûrir et de croître avec la force de la grâce. » Remarquons ici l'étrange argument pointant un soi-disant conflit de devoirs déjà utilisé pour court-circuiter la norme d'Humanae vitae: en quoi, en effet, la continence entre les concubins pourrait-elle mettre en danger leurs enfants?"

"« Il reste beaucoup à faire pour promouvoir les droits des femmes », a rappelé le représentant du Saint-Siège, en s'appuyant sur l'exhortation apostolique du Pape François Amoris Laetitia. Mais il a aussi mis en valeur la réalité positive des femmes qui agissent souvent comme « des agents vitaux de changement, réconciliation et reconstruction », dans le cadre de leurs familles, des communautés locales, de leurs pays d'appartenance, en évitant aux sociétés de retomber « dans l'agressivité et dans le conflit armé »."

"Mgr Jean-Paul Vesco op, évêque d'Oran (Algérie), a rédigé un long article à paraître dans la revue Concilium sur l'exhortation apostolique post-synodale du pape François, Amoris laetitia. La Documentation catholique publie un résumé de celui-ci, également rédigé par Mgr Vesco. Avec Amoris laetitia, explique l'évêque d'Oran, le pape François fait « œuvre de tradition ». Particulièrement en citant, à de nombreuses reprises, l'exhortation apostolique Familiaris consortio de saint Jean-Paul II, sur l'indissolubilité du mariage chrétien ou sur l'incitation à « bien discerner les diverses situations » dans lesquelles se trouvent couples et familles. Cet enseignement rappelé, poursuit Mgr Vesco, « un élément totalement novateur est apporté » : celui de la prise en compte « du caractère irréversible de situations matrimoniales et familiales qui ne permettent pas d'agir différemment et de prendre d'autres décisions sans une nouvelle faute ». Dès lors « que personne ne peut être condamné pour toujours parce que ce n'est pas la logique de l'Évangile », explique-t-il encore, le « caractère irréversible d'une situation ne peut plus être de facto un obstacle définitif au sacrement de réconciliation ». Le pape François, poursuit Mgr Vesco, réaffirme que l'Église « n'est pas d'abord doctrinale et cela change beaucoup dans son rapport au monde. Il appelle à une révolution du regard et nous invite à porter le regard que Jésus posait sur les personnes qu'il rencontrait ». « C'est aussi simple que cela. Et aussi exigeant », conclut-il."

"Alors, la suite, chers internautes, vous la connaissez plus ou moins, et nous aurons encore fort à faire, en 2014, pour réconcilier les familles et les personnes homosexuelles, que ce projet de « mariage pour tous » a profondément divisés. Ici est née une homophobie palpable, qui rejette en bloc ceux qui peuvent aussi trouver une fécondité dans la société, et à qui nous devons, en tant que chrétiens, témoigner de l'amour du Christ, pas seulement en vérité, mais aussi en actes."

"L'attitude de l'Église catholique envers les divorcés qui se remarient est un sujet douloureux depuis de nombreuses années. Douloureux pour les personnes qui, après un échec, ont un nouveau projet de couple qu'elles désirent confier à Dieu, et qui se voient refuser le sacrement de mariage, et parfois même une simple bénédiction Douloureux pour ces catholiques pratiquants « divorcés remariés », parfois engagés dans leur paroisse, qui, de plus, sont « interdits » d'eucharistie et de sacrement de réconciliation."

"Depuis que le pape François a annoncé la tenue de deux synodes sur la famille, l'Eglise connaît un vif débat sur la possibilité d'admettre aux sacrements de la réconciliation et de l'eucharistie les fidèles divorcés et remariés civilement. Mgr Jean-Paul Vesco offre une contribution à ce débat dans son ouvrage Tout amour véritable est indissoluble paru au Cerf en février 2015. Vatican II affirme que « les évêques sont les docteurs « authentiques », c'est-à-dire revêtus de l'autorité du Christ, qui prêchent au peuple qui leur est confié la foi qu'il doit croire et qu'il doit faire passer dans ses moeurs. » (Lumen gentium, §25) Or les positions de l'évêque d'Oran, fortement relayées par les médias catholiques français, sont de nature à jeter le trouble dans l'esprit des fidèles sur certains points de la doctrine et de la discipline de l'Eglise ainsi que sur la philosophie du mariage selon le droit naturel. Comme fidèle laïc marié et comme philosophe1, ses propos me sont apparus comme appelant une lecture critique. Pour cela, je m'appuierai sur la Parole de Dieu, transmise par l'Ecriture sainte et la Tradition et interprétée par le magistère (Dei Verbum, §10). Mais comme Mgr Vesco aborde ces questions en relevant leurs enjeux philosophiques et juridiques, l'usage de la simple raison sera également requis."