"Famille, fin de vie, avortement : les questions de société ont été très présentes dans les discussions des évêques réunis à Lourdes cette semaine (5-10 novembre), à l'occasion de leur assemblée plénière. Entretien avec Mgr Bernard Podvin, porte-parole de la conférence des évêques de France"
"Le porte-parole des évêques de France, Mgr Bernard Podvin, a réagi aujourd'hui à l'annonce d'une modulation des allocations familiales à partir du 1er juillet 2015 en soulignant que "la famille n'a pas besoin de ça en ce moment". Les députés PS vont déposer "en accord avec le gouvernement" un amendement au projet de budget 2015 de la Sécurité sociale proposant une modulation des allocations familiales à partir du 1er juillet, a confirmé la ministre des Affaires sociales Marisol Touraine."
"Le cardinal André Vingt-Trois et Monseigneur Podvin sont marqués par une réaffirmation identitaire où les valeurs proposées, seraient affirmées avec force, sous la forme de «principes non-négociables». L'Église devrait plutôt s'accommoder à la modernité, prendre des positions nuancées, et se réconcilier avec le monde. "
Invité de France Info à l'occasion de Noël, Monseigneur Bernard Podvin a réaffirmé l'opposition de l'église catholique au mariage gay. Il a aussi évoqué le problème de la fin de vie et le rapport Sicard.
"e porte-parole de la conférence des des évêques de France était face à Arlette Chabot, Michèle Cotta et Philippe Gildas dans "Le Club de la Presse", pour parler du synode sur la famille qui vient de s'achever au Vatican."
"Ce sont les mots prononcés par Mgr Podvin, porte-parole des Evêques de France, au soir du dimanche 24 mars. Ces mots résonnent comme un avertissement solennel lancé au gouvernement et au Président de la République. Pourquoi ?
Comme prêtres, nous ne rêvons pas de mettre le pouvoir en difficulté : l'Eglise a toujours encouragé ses fidèles à reconnaître l'autorité légitime en place et à se comporter en citoyens exemplaires. Le Vendredi Saint, l'Eglise nous fait même prier solennellement pour ceux qui nous gouvernent. Mais comme prêtres, avec nos évêques, nous sommes inquiets pour notre pays."