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Assemblée nationale - Délégation aux droits des femmes - Rapport d'informatio... - 0 views

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    SYNTHÈSE DES PROPOSITIONS Recommandation n° 1 : mettre en place une exonération généralisée d'avance de frais pour les femmes souhaitant recourir à une IVG. Recommandation n° 2 : clarifier la réglementation afin de garantir le droit à l'anonymat et à la confidentialité de l'IVG pour toutes les femmes en établissant des procédures spécifiques, que ce soit en établissement de santé ou en ville. Recommandation n° 3 : aménager un cadre réglementaire clair, précisant le rôle et les prérogatives du directeur d'établissement scolaire lorsqu'une élève mineure souhaite avorter sans en informer ses parents. Cette disposition devrait faire l'objet d'une circulaire du ministère de l'Éducation nationale et de la jeunesse adressée à l'ensemble des chefs d'établissement de l'enseignement secondaire (collèges et lycées). Elle pourrait utilement figurer dans le Guide du chef d'établissement édicté en février 2009 par le ministère, dans la fiche 34 relative à la surveillance, au sein du paragraphe consacré à la gestion des absences. Recommandation n° 4 : aménager un cadre réglementaire permettant aux infirmiers scolaires d'endosser le rôle de majeur accompagnant une mineure souhaitant avoir recours à une IVG dans le cadre de leur service et sans engager leur responsabilité personnelle. Recommandation n° 5 : imposer à l'ensemble des hôpitaux publics d'assurer une prise en charge des IVG et de ne pas refuser les patientes dont la grossesse se situe en fin de délai légal, celles-ci constituant une urgence absolue, afin d'assurer une offre de soins équitable sur l'ensemble du territoire. Recommandation n° 6 : pérenniser l'allongement du délai de recours à l'IVG médicamenteuse en ville de cinq à sept semaines de grossesse, conformément à ce qui est déjà autorisé pour l'IVG médicamenteuse réalisée en milieu hospitalier. Recommandation n° 7 : lutter contre la désinformation sur internet en p
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FSSPX - SSPX - La Porte Latine - Catholiques de Tradition - Mgr Lefebvre - Ci... - 0 views

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    "Cinq cardinaux préparent un livre en défense du Magistère traditionnel sur le mariage et la vie sacramentelle - 1er août 2014 Note de la rédaction de La Porte Latine : il est bien entendu que les commentaires repris dans la presse extérieure à la FSSPX ne sont en aucun cas une quelconque adhésion à ce qui y est écrit par ailleurs. "Cinq éminents Cardinaux préparent un livre en défense du Magistère traditionnel sur le mariage et la vie sacramentelle: soutenez le projet Le livre, intitulé "Demeurer dans la Vérité du Christ", sera publié en plusieurs langues et puisera abondamment aux sources premières du christianisme. "J'en connais un rayon sur ce livre. Les cinq Cardinaux mentionnés dans la présentation vous plairont, lorsque leurs noms seront révélés", assure Father Zuhlsdorf (1). Dans ce volume, cinq Cardinaux de l'Église et quatre autres universitaires répondent à l'appel lancé par le Cardinal Walter Kasper pour que l'Église 'harmonise' "la fidélité et la miséricorde dans sa pratique pastorale envers les personnes civilement divorcées et remariées". Après une brève introduction, la première partie du livre est consacrée aux textes bibliques relatifs au divorce et au remariage, et la seconde partie est une étude de l'enseignement et de la pratique de l'Église primitive. Dans aucun de ces deux domaines, biblique ou patristique, ces universitaires ne trouvent des éléments en faveur du type de "tolérance" prônée par le Cardinal Kasper pour les remariages civils suite à un divorce. Ce livre examine également la pratique orientale orthodoxe de l'oikonomia (comprise comme une "miséricorde" impliquant une "tolérance") pour des cas de remariage après un divorce et dans le contexte de la question épineuse de la Communion eucharistique. Il retrace l'histoire multiséculaire de la résistance catholique à cette convention, révélant de sérieuses difficultés théologiques et canoniques inhérentes à la prat
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Le silence du Synode sur la famille sur la contraception | La-Croix.com - Doc... - 1 views

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    "La première session du Synode sur la famille terminée, Philippe Bacq, sj, s'interroge, dans un article daté du 1er février 2015, sur l'absence dans les débats - notamment de la part des médias qui ont particulièrement insisté sur l'homosexualité et les divorcés remariés -, d'une question pourtant universelle : la régulation des naissances. Un sujet qui a son importance, car il a conduit bien des couples chrétiens à prendre leur distance par rapport à la doctrine du Magistère depuis plus d'un demi-siècle. « Cet article voudrait contribuer à la recherche » sur cette question, explique Philippe Bacq. Ainsi, après avoir présenté les questions posées par l'Instrument de travail du Synode sur la famille, et exposé les arguments du rapport du Synode (la Relatio Synodi et les Lineamenta), le jésuite revisite l'histoire de la doctrine de l'Église concernant le mariage, la procréation et la régulation des naissances. Il effectue un retour sur les notions de « loi naturelle » et de « nature » développées par Thomas d'Aquin en théologie ; un rappel des propos du concile Vatican II sur les fins du mariage, l'amour conjugal et la procréation ; une présentation de l'interprétation et des choix effectués par le pape Paul VI dans son encyclique Humanae vitae - particulièrement sur la contraception - et des réflexions du pape Jean-Paul II à sa suite. Philippe Bacq, en fin de parcours, soulève trois questions qui émergent de l'ensemble de son article. Comment articuler les deux aspects du mariage que sont la relation entre les époux et la transmission de la vie ? Comment interpréter, à la lumière de la théorie de l'évolution et de la psychanalyse, la doctrine du Magistère sur la contraception, la création par Dieu de la nature physique de l'homme et de la femme (ainsi des rythmes biologiques féminins) et de leur non-transgression possible ? Que dire aujourd'hui de l'utilisation de
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Ministère des solidarités et de la santé - Stratégie nationale de soutien à l... - 0 views

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    La stratégie nationale de soutien à la parentalité a été présentée et débattue le 30 mai entre services de l'Etat, collectivités, organismes de protection sociale et associations. Avant son lancement officiel par la ministre des Solidarités et les annonces relatives à la prochaine convention d'objectifs et de gestion Etat-Cnaf, la rencontre visait à prolonger la mobilisation issue de la concertation et à stabiliser un peu plus les "termes du débat". Issue de près d'un an et demi de concertation entre services de l'Etat, collectivités, branche famille et secteur associatif, la stratégie nationale de soutien à la parentalité 2018-2022 a été présentée le 30 mai, lors d'une journée de réflexion et d'échange organisée par la direction générale de la cohésion sociale (ministère des Solidarités et de la Santé). En s'appuyant notamment sur des données scientifiques (sociologie, pédagogie, sciences cognitives), la concertation s'est attachée à "réinterroger les dispositifs de soutien à la parentalité pour leur donner une plus grande cohérence, une plus grande efficacité", mais aussi "une plus grande visibilité et une plus grande accessibilité", a présenté Jean-Philippe Vinquant, directeur général de la cohésion sociale, en préambule de la journée. "Cette stratégie est une politique de prévention précoce, généraliste, universelle, au carrefour d'autres politiques telles que la lutte contre le décrochage scolaire, la santé, le handicap, la prévention des ruptures, la prévention en matière de protection de l'enfance", a ajouté David Blin, chef du bureau des familles et de la parentalité à la DGCS. La stratégie nationale doit permettre aux acteurs de se mettre "d'accord sur les mots, sur les termes du débat", elle doit être "un cadre sur lequel vous appuyer pour le dépasser", a-t-il poursuivi. Invités ainsi à voter pour leurs mots préférés parmi cinq propositions, les participants ont plébiscité trois in
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VIS nouvelles - Salle-de-Presse du Saint-Siège: La mission universelle de la ... - 0 views

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    "Cité du Vatican, 16 septembre 2015 (VIS). Ce matin, à l'audience générale tenue Place St.Pierre, le Saint-Père a conclu le cycle de catéchèse consacré au mariage et à la famille, à la veille de la Rencontre mondiale des familles et du Synode des évêques. Ces deux événements, dont "la portée correspond à la dimension universelle du christianisme, sont de grande importance pour la famille, communauté humaine fondamentale et irremplaçable. Nous vivons les effets à long terme d'une société dominée par la dictature économique, où la morale est écrasée par la logique du profit qui dispose de moyens financiers et médiatiques énormes". Contre cela "une nouvelle alliance entre l'homme et la femme est non seulement nécessaire mais obligatoire pour libérer la société de la dictature de l'argent. Cette alliance devant à nouveau conditionner la politique, l'économie et la vie sociale. Il en va de la survivance du monde, de la transmission de la vie mais aussi du lien entre la mémoire et l'espérance. D'où l'importance du mariage et de la famille, de l'alliance génératrice entre hommes et femmes... Dieu n'a pas seulement confié à la famille le soin d'une intimité close sur elle même, mais le projet de domestiquer le monde. C'est pourquoi la famille est à la base d'une culture mondiale salvatrice. Elle nous protège de tant d'agressions, destructions et colonisations, de l'argent et des idéologies qui menacent le monde. La famille est la forteresse qui nous défendra"."
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France Stratégie - Le couple contribue-t-il encore à réduire les inégalités ? - 0 views

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    Entre 1996 et 2015, la hausse de l'activité des femmes a fait chuter les inégalités de revenus entre femmes et hommes. Pour autant, les inégalités de niveaux de vie - celles qui tiennent compte de la structure des ménages et de la redistribution socio-fiscale - sont restées relativement stables. Pour comprendre pourquoi, France Stratégie met en lumière que la France a été marquée non par une mais par trois transformations sociales qui ont modifié la répartition des revenus en France. La Note d'analyse souligne en particulier l'utilité qu'il y a à s'intéresser à un mécanisme trop souvent négligé lorsque l'on cherche à comprendre les évolutions des inégalités en France, celui de la mise en commun des ressources au sein d'un ménage, la « redistribution privée ». France Stratégie montre ainsi que la progression de l'activité féminine a bien réduit les inégalités. Mais, dans le même temps, deux autres évolutions sociales ont joué en sens contraire : La modification des structures familiales induite par les nouveaux modes de vie, avec une mise en couple plus tardive et une hausse des désunions. En 2015, 69 % des 25-60 ans étaient en couple alors qu'ils étaient 78 % en 1996. En particulier, les familles monoparentales sont devenues 1,6 fois plus nombreuses sur la période. Le renforcement de l' « homogamie de revenu » : les hommes et les femmes sont de plus en plus souvent en couple avec une personne qui perçoit un revenu proche du leur. Cela se traduit par une diminution des inégalités au sein des couples mais par une augmentation des inégalités entre couples. L'impact de ces deux dernières évolutions sociales s'observe lors de la mise en commun des ressources au sein des ménages - une étape qui permet de réduire les inégalités entre individus tant que les écarts de rémunérations entre conjoints persistent. De fait, des couples moins nombreux, c'est moins d'individus susceptibles de
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Sur fond de polémique, la Conférence des évêques de France annule une formati... - 0 views

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    "Face à une levée de bouclier de certains catholiques, la Conférence des évêques de France préfère se passer d'une formation donnée par la philosophe Fabienne Brugère. La décision fait polémique. Faire le « choix de la patience et non pas de l'affrontement ». Décidément, les débats sociétaux autour de la famille ou de la dénommée théorie du genre n'ont pas encore retrouvé en France tout l'apaisement nécessaire au dialogue. Comme le relaye le journal La Croix, le Conseil Famille et société de la Conférence des évêques de France (CEF), présidé par Mgr Jean-Luc Brunin, devait organiser une conférence en compagnie de la philosophe Fabienne Brugère sur le thème Prendre soin de l'autre, un appel lancé à tous, dans le cadre de la journée nationale de formation des délégués diocésains à la pastorale familiale du 19 mars prochain. Pour certains cependant, la pensée de la philosophe pêcherait par une trop grande proximité avec celle de Judith Butler, une des grandes théoriciennes de la pensée du genre. Si cette affirmation est loin d'être vérifiée, et si la formation devait porter sur une tout autre thématique (celle du soin, un des sujets de prédilection de Fabienne Brugère), plusieurs évêques français ont reçu des courriers de plainte, alors que sur le site internet réputé très à droite Le salon beige, une « supplique à Mgr Pontier [président le la Conférence des Évêques de France ]» recevait 1100 signatures. Devant cette levée de boucliers, Mgr Brunin a préféré jouer l'apaisement en annulant cette rencontre, regrettant pourtant devoir prendre une telle décision. «Maintenir l'intervention aurait abouti à une crispation, qui aurait menacé la communion ecclésiale. » « Tous les chrétiens ne sont pas murs pour s'engager dans une éthique de la rencontre et du dialogue telle que le pape François nous le recommande pourtant », a-t-il expliqué sur le site du journal La Croix. « Où a
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Regarder la situation des divorcés « avec les yeux des petits enfants » | ZEN... - 1 views

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    "Le pape François invite les chrétiens à « développer » « un accueil réel » des personnes divorcées et remariées. Il les appelle à « imiter » le Christ et à « encourager » les familles « blessées » à vivre « leur appartenance » à l'Église. Rome, 5 août 2015 (ZENIT.org) Marina Droujinina | 569 clics Le pape François a appelé les chrétiens à regarder la situation des personnes divorcées et remariées « avec les yeux des petits enfants » « qui souffrent le plus » dans ces circonstances. Il est intervenu sur ce thème délicat ce mercredi 5 août dans la Salle Paul VI, lors de la première audience générale après la pause de cinq semaines de la période estivale. Le pape a invité à regarder la situation « de ceux qui, à la suite d'un échec irréversible de leur lien matrimonial, ont commencé une nouvelle union » « avec les yeux des tout-petits ». Ce regard permettra de voir « l'urgence de développer dans nos communautés un accueil réel » envers ces personnes, estime le pape. « C'est pourquoi il est important que le style de la communauté, son langage, ses comportements soient toujours attentifs aux personnes, à partir des petits ». Le pape François est convaincu que « ce sont eux qui souffrent le plus, dans ces situations ». Il a appelé à être miséricordieux et à « ne pas ajouter d'autres poids en plus de ceux que les enfants, dans ces situations, ont déjà à porter ! » « Il est important qu'ils sentent que l'Église est une mère attentive à tous, toujours disposée à écouter et à les rencontrer », a-t-il ajouté. Le pape a expliqué que l'Église savait « bien » que la situation des personnes divorcées et remariées « contredit le sacrement chrétien ». « Toutefois, son regard de maîtresse vient toujours d'un cœur de mère, a-t-il affirmé, un cœur qui, animé par l'Esprit Saint, cherche toujours le bien et le salut des personnes ». Le pape a dit fermement que
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"La société moderne souhaite une mort inaperçue", l'entretien de Mgr Couture ... - 0 views

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    "Le 11 mai 2016, Mgr Maurice Couture, sv, archevêque émérite de Québec (Canada), prenait la parole pour un entretien qui était aussi vidéo-diffusé sur la webTV du diocèse de Québec. Il s'interroge sur le sens chrétien de la souffrance, alors que le Canada, un mois plus tard, le 6 juin 2016, a rendu légale l'euthanasie. Il s'est attaché, dans un premier temps, à rappeler les nuances qui distinguent les mots « douleur » et « souffrance ». Dans un long développement, il a ensuite abordé le thème de son entretien, le sens chrétien de la souffrance. Faisant la différence entre la mortification et le masochisme, Mgr Couture note que « l'Église catholique s'est longtemps appesantie sur la douleur, soit pour inviter à la résignation, soit pour la glorifier ou lui donner une valeur rédemptrice mal perçue ». Il en est résulté, ajoute-t-il, « une spiritualité de justification et du culte de la douleur ». Il pose ensuite son regard sur la personne de Jésus qui « n'a rien d'un doloriste, au sens où il ne se réjouit pas de la souffrance, qu'il ne la considère pas comme un châtiment divin, qu'il ne se résigne pas ni n'exhorte à se résigner. Il fait preuve d'une compassion universelle, mais d'une compassion active ». Mgr Couture aborde enfin la question de l'oubli de la mort dans nos sociétés occidentales et constate que : « C'est le fait d'une humanité qui n'accepte pas sa mort et qui, paradoxalement, l'anticipe pour ne pas avoir à la subir. Or, contrairement à la souffrance, la mort n'est pas un problème médical, c'est un problème intime existentiel de société. Et ce n'est pas le rôle de la loi de régler le problème de la mort. »"
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La philosophe Fabienne Brugère persona non grata à la réunion de la pastorale... - 0 views

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    "La philosophe Fabienne Brugère persona non grata à la réunion de la pastorale familiale 18 mars 2014 Par La Rédaction Fabienne Brugère La philosophe Fabienne Brugère persona non grata à la réunion de la pastorale familiale Fabienne Brugère ©Isabelle Camus La journée de formation des délégués diocésains à la pastorale familiale, organisée par le Conseil Famille et société de la Conférence des évêques de France (CEF) autour du thème « Prendre soin de l'autre, un appel lancé à tous », n'accueillera finalement pas ce 19 mars, à Paris, la philosophe Fabienne Brugère (par ailleurs, n°20 sur la liste de Vincent Feltesse). Une décision qui fait suite à un article du blog Le Salon Beige, réputé proche de l'extrême-droite, qui avait lancé une pétition adressée à Mgr Georges Pontier, président de la CEF, pour demander le retrait de l'invitation de celle qu'ils présentent comme une « adepte de l'idéologie de Judith Butler », la pasionaria de la théorie du genre. « Cette invitation constitue un coup de poignard dans le dos », peut-on lire sur le blog connu pour ses prises de position anti-avortement et anti-mariage pour tous. Interrogé par le journal La Croix (article du 13 mars dernier), Mgr Jean-Luc Brunin, l'évêque du Havre qui préside le Conseil Famille et société de la Conférence des évêques de France, a semble-t-il voulu jouer la carte de l'apaisement. « Les conditions du dialogue ne sont pas réunies, comme l'ont montré les tensions et les remous qui ont entouré cette venue. Maintenir l'intervention aurait abouti à une crispation, qui aurait menacé la communion ecclésiale ». Ou quand des responsables catholiques plient face à un groupuscule classé à l'extrême-droite… feltesse La philosophe Fabienne Brugère persona non grata à la réunion de la pastorale familialeDe son côté, sur Twitter, le candidat socialiste aux municipales Vincent Feltesse, s'est dit « atterré » p
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Synode sur la famille : la voie de l'ordo paenitentium - 0 views

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    Article de Thomas Michelet, op, sur les divorcés remariés « Ils ne sont plus deux, mais une seule chair. Donc, ce que Dieu a uni, que l'homme ne le sépare pas ! » (Mt 19, 6). La famille fondée sur le mariage, alliance matrimoniale féconde, unique, stable et définitive, est une réalité précieuse aux yeux de Dieu, mais aussi une affaire ô combien délicate. Après avoir été fragilisée par l'individualisme, le libéralisme et la mutation profonde des structures socio-économiques, parfois contestée en tant qu'usage bourgeois, elle demeure pour la plupart de nos contemporains une valeur universelle des plus désirables, mais aussi un idéal difficile à atteindre et à maintenir dans toutes ses exigences : « Si telle est la situation de l'homme par rapport à sa femme, mieux vaut ne pas se marier » (Mt 19, 10). Pour un sujet d'une telle importance, dont on a vu qu'il suscitait l'intérêt de l'opinion publique et du monde médiatique plus qu'aucune autre question ecclésiale ces dernières années, et devant la gravité de la situation présente, le pape François a voulu établir pour le synode des évêques un itinéraire spécial en deux étapes : une première année pour faire l'état des lieux, initiée par une vaste consultation du peuple de Dieu recueillie dans l'Instrumentum laboris et conclue par l'Assemblée Générale Extraordinaire des 5-19 octobre 2014 ; une seconde année d'approfondissement sur la base de la relatio synodi présentée aux conférences épiscopales en tant que lineamenta pour l'Assemblée Générale Ordinaire d'octobre 2015 ; en faisant appel d'ici là aux contributions des théologiens, en particulier pour les points litigieux qui n'ont pas obtenu à mi-parcours le consensus des pères synodaux, comme la question de la communion sacramentelle des divorcés remariés, celle de leur communion spirituelle ou la loi de gradualité. S'il ne faudrait pas réduire l'évangile de la famil
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N° 3084 - Proposition de loi de M. Bruno Le Roux relative à la modification d... - 0 views

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    "Aujourd'hui, en France, plusieurs dizaines de milliers de personnes éprouvent la conviction d'être nées dans le mauvais corps, le sexe leur ayant été biologiquement assigné à la naissance ne correspondant pas à l'expérience intime de leur propre identité sexuelle. Le décalage entre le sexe biologique et l'identité ressentie conduit la majorité de ces personnes à souhaiter vivre socialement dans le genre du sexe opposé à leur sexe biologique et à en adopter l'apparence grâce à un parcours médical, fait notamment d'hormonothérapies et d'opérations chirurgicales, en tout état de cause variable en fonction des individus. On estime entre dix mille et quinze mille personnes actuellement engagées ou ayant accompli un parcours de transition. Le plus souvent profondément ancrée dès l'enfance, la transidentité peut s'affirmer à tout âge et génère dans la plupart des cas de profondes souffrances psychologiques, notamment traduites par un taux de tentatives de suicide estimé à 34 % par une enquête associative en France. À la difficulté d'accepter sa transidentité s'ajoute le malaise social, la personne concernée ne pouvant se reconnaître dans les rôles et apparences culturellement attribués aux hommes et aux femmes. Dans bien des cas, enfin, elle subit l'isolement et le rejet par son entourage, ainsi que de nombreuses discriminations, violences physiques ou sexuelles. Le 8 février 2010, le ministère de la santé établit le décret n° 2010-125 dans lequel les troubles de l'identité de genre (ou transsexualisme) sont supprimés des critères d'admission des affections longue durée (A.L.D. n° 23), dites psychiatriques. Le 6 août 2012, conformément aux engagements du Président de la République, la France a officiellement reconnu la transphobie en ajoutant « l'identité sexuelle » parmi les motifs de discrimination inscrits à l'article 225-1 du code pénal à l'occasion de la loi sur le harcèlement sexuel. La
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HCFEA - Note de synthèse - Lutter contre la pauvreté des familles et des enfants - 0 views

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    l s'agit d'une part d'identifier les caractéristiques des familles pauvres ou en risque d'exclusion sociale, et les difficultés auxquelles elles sont confrontées ainsi que leurs enfants, et d'autre part d'interroger les politiques publiques conduites pour lutter contre la pauvreté et le risque d'exclusion sociale et contre leurs conséquences. Le Président de la République a décidé, le 17 octobre 2017, d'engager l'élaboration d'une stratégie nationale de lutte contre la pauvreté. Cette stratégie est actuellement portée Olivier NOBLECOURT, nommé Délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes. L'objectif des travaux du Conseil de la famille est d'apporter une contribution à cette stratégie et aux débats sur la lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale et de soumettre des pistes pour améliorer la situation des familles pauvres ou en risque d'exclusion sociale. Deux raisons principales motivent le choix de ce thème de travail : d'abord l'importance du taux de pauvreté des enfants : si, en 2014, 14 % de la population métropolitaine, soit 8,6 millions de personnes, vit en dessous du seuil de pauvreté, la pauvreté des enfants est sensiblement supérieure à celle de l'ensemble de la population puisqu'elle atteint 19,8 % ; deux types de familles sont particulièrement concernés, les familles monoparentales et les familles nombreuses ; ensuite l'importance des phénomènes de reproduction sociale en la matière : l'enfant d'une famille pauvre a beaucoup plus de risques de se retrouver lui aussi dans une position disqualifiée socialement lorsqu'il atteint l'âge adulte, parce qu'il ne dispose pas des ressources économiques, sociales, ou relationnelles nécessaires ; lutter contre les conséquences de la pauvreté pour les enfants, en termes de risque accru d'exclusion sociale, est donc particulièrement important. Pour le H
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GPA : Contribution de No Maternity Traffic à la Conférence de la Haye | Allia... - 0 views

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    "Des représentantes de No Maternity Traffic ont été reçues par le Secrétariat de la Conférence de la Haye de droit international privé le 4 septembre 2015 ; elles ont transmis une contribution écrite qui alerte des graves atteintes aux droits des femmes et des enfants que provoque la pratique de la gestation pour autrui. La Conférence de la Haye de droit international privé (HCCH) est une organisation intergouvernementale mondiale chargée de la coopération juridique, spécialement en ce qui concerne la famille et le droit des enfants. La HCCH a été mandatée pour travailler sur la question de la maternité de substitution depuis 2011, en raison des enjeux humains, éthiques et juridiques que cette pratique soulève au niveau international, notamment concernant l'établissement de la filiation des enfants. Dans sa contribution écrite, No Maternity Traffic a souligné qu'une convention internationale régissant les effets de la maternité de substitution présupposerait d'en accepter le principe, alors que la maternité de substitution viole gravement les droits et la dignité des femmes et des enfants. No Maternity Traffic invite donc la Conférence - et les 79 Etats membres qui en font partie - à s'interroger d'abord sur la pratique de la maternité de substitution en elle-même au regard de la dignité des enfants et des femmes, mais aussi au regard du droit international en vigueur. No Maternity Traffic, qui regroupe des associations internationales et dont Alliance VITA est un membre actif, demande par ailleurs au Conseil de l'Europe de s'engager pour l'interdiction effective de toute forme de GPA. Pour signer la pétition : www.nomaternitytraffic.eu ."
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DREES - L'enquête Modes de garde et d'accueil des jeunes enfants - Famille, e... - 0 views

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    "L'enquête « Modes de garde et d'accueil des jeunes enfants » a pour objectif de dresser, tous les 6-7 ans environ, un panorama complet des solutions de garde adoptées par les parents pour leurs jeunes enfants, au regard de leurs contraintes professionnelles. Elle vise, notamment, à reconstituer de façon très précise, sur une semaine type, le calendrier d'accueil des enfants, incluant les périodes passées avec leurs parents, et à identifier l'ensemble des intervenants qui se succèdent pour assurer leur garde pendant la période considérée. Trois vagues d'enquête ont, à l'heure actuelle, été collectées : en 2002 (ménages avec au moins un enfant de moins de 7 ans, né en 1995 ou après), en 2007 (ménages avec au moins un enfant de moins de 7 ans et demi né le 1er mai 2000 ou après) et en 2013 (ménages ayant au moins un enfant âgé de moins de 6 ans né à partir du 1er septembre 2013). En 2002, la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) réalise l'enquête « Modes de garde et d'accueil des jeunes enfants » en partenariat avec le Conseil de l'Emploi, des Revenus et de la Cohésion sociale (CERC), la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF) et l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Il s'agissait d'appréhender les différents modes d'accueil auxquels les parents ont recours, de les caractériser (formels ou informels, réguliers ou occasionnels) ; de voir comment ils se combinent selon les différentes contraintes auxquelles sont soumis les parents (horaires de travail décalés, travail de nuit, etc.) et les caractéristiques des parents et des enfants (profession exercée, âge de l'enfant, place dans la fratrie, etc.) ; de comprendre comment ces modes de garde relaient la prise en charge parentale ; de mesurer leurs coûts de chaque solution d'accueil adoptée par les parents et, enfin, d'interroger le degré de sat
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VIS nouvelles - Salle-de-Presse du Saint-Siège: Thème de la VII Rencontre mon... - 0 views

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    "mercredi 10 décembre 2014 Thème de la VII Rencontre mondiale des familles Cité du Vatican, 10 décembre 2014 (VIS). Le Saint-Père a écrit à Mgr.Vincenzo Paglia, Président du Conseil pontifical pour la famille, lui communiquant le thème choisi pour la prochaine Rencontre mondiale des familles (Philadelphia, USA, 22 - 27 septembre 2015): "L'amour est notre mission, une famille pleinement vivante": "Aujourd'hui comme hier, la mission de la famille chrétienne est d'annoncer au monde l'amour de Dieu contenu dans le sacrement du mariage. C'est sur cela que naît et grandit tout famille mettant l'amour au coeur l'amour, qu'elle alimente son dynamisme et sa spiritualité. Comme le disait déjà saint Irénée, une famille qui vit sa vocation et sa mission rend gloire à Dieu... On ne peut qualifier de conservatrice ou de progressiste une famille, avec des critères idéologiques car la famille est famille un point c'est tout. Ses valeurs et ses vertus sont la force d'un noyau familial qui ne peut être mis en discussion... En revoyant son style de vie, il faut éviter de la soumettre aux mentalités mondaines que sont l'individualisme, le consumérisme et l'hédonisme. Elle doit suivre la voie traditionnelle afin de vivre et de proposer la grandeur mais aussi la beauté du mariage et la joie d'être famille". En vue du Synode des évêques d'octobre 2015, "j'invite à aller de l'avant dans l'annonce de l'Evangile du mariage et de la famille et la recherche de propositions pastorales adaptées au contexte social. Ces enjeux nous encouragent à diffuser l'amour fidèle et ouvert à la vie, à la communion et à la miséricorde, au partage et à la solidarité... Laissons nous guider par la Parole sur laquelle est fondée l'édifice sacré de la famille, Eglise domestique et famille de Dieu". "
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Délai de réflexion et IVG | Net-iris 2015 - 0 views

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    "Le délai de réflexion d'une semaine avant de pratiquer une IVG, pouvant ne pas être respecté en cas d'urgence, pourrait être supprimé par la loi Santé. Le projet de loi Santé (1) en cours d'examen par l'Assemblée Nationale prévoit de modifier le régime juridique applicable à l'IVG (2). Un amendement a en effet été adopté selon lequel le délai de réflexion actuellement imposé aux femmes d'une durée de 7 jours, sauf en cas d'urgence (lorsque la femme enceinte risque de dépasser le délai légal de 12 semaines lui permettant d'interrompre se grossesse), serait supprimé. Rappelons en effet qu'actuellement, la loi autorise qu'il soit mis fin à une grossesse avant la fin de la 14ème semaine après le début des dernières règles (12 semaines de grossesse). Notons également que la femme majeure dispose du droit d'apprécier elle-même la situation sans que son conjoint ou le père de l'enfant ait à être consulté (3). La patiente, lors d'un premier entretien avec le médecin, est informée des méthodes médicales et chirurgicales utilisées, et des risques présentés par une telle intervention (4). La femme majeure se voit alors proposer une seconde consultation au cours de laquelle des conseils et une assistance peuvent lui être apportés, et peut choisir de l'accepter ou non. La femme mineure, en revanche, ne peut pas refuser d'en bénéficier. A l'issue du premier entretien, un délai de réflexion (5) d'une semaine est accordé avant de recueillir une conformation écrite de sa volonté de recourir à l'IVG. Ce délai de réflexion peut ne pas être respecté si l'urgence de la situation l'impose (c'est à dire si la femme risque de dépasser le délai légal pour pratiquer l'IVG). En outre, si la seconde consultation a eu lieu, un délai de 2 jours doit être respecté à son issue (ce délai de 2 jours pouvant être compris dans le délai de 7 jours susvisé). Ce délai d'une semaine, ne paraissant toutefois pas déraisonnable com
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La fécondité en France résiste à la crise - 0 views

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    À la suite de la crise économique débutée en 2008, la fécondité recule dans la plupart de pays européens. La France semble faire figure d'exception : elle est le seul pays d'Europe à avoir une fécondité stable et élevée depuis 2006. Elle est en 2013 le pays européen où la fécondité est la plus élevée. La fécondité des pays plus durement frappés par la crise,l'Espagne, la Grèce et le Portugal, a récemment baissé. Cette baisse résulte notamment du report des projets de parentalité:l'âge à la première maternité y a augmenté plus rapidement qu'auparavant. Pour les autres pays européens, la tendance à la hausse de la fécondité observée avant la crise ne s'est pas poursuivie. Si la baisse du revenu a pu jouer un rôle dans l'évolution de la fécondité, c'est surtout la hausse du chômage qui semble l'influencer. Cet effet reste cependant modeste : un impact n'est perceptible qu'en cas de forte dégradation du marché du travail. Les politiques familiales, malgré leur importance pour expliquer les différences de niveau de fécondité entre pays, ne semblent guère avoir amorti les effets de la crise sur la fécondité"
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France Stratégie / HCFEA - Tome II : Orientations - L'accueil des enfants de ... - 0 views

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    Le développement des modes d'accueil de la petite enfance est une des priorités de la politique familiale. Permettant aux parents une meilleure articulation entre vie familiale et vie professionnelle, ils sont souvent mis en exergue pour expliquer la réussite du modèle français en termes de natalité et de taux d'emploi des femmes. La France se caractérise en effet, par rapport à la plupart de ses voisins européens, par une offre développée et diversifiée de solutions d'accueil, qu'il s'agisse de places en crèches (établissements d'accueil de jeunes enfants - EAJE), de possibilités de faire garder son enfant par une assistante maternelle[1] au domicile de celle-ci, ou au domicile des parents, par la préscolarisation dès l'âge de deux ans dans des écoles maternelles, ou par le recours des parents à un congé parental d'éducation (CPE) à temps plein ou partiel, accompagné ou non d'une indemnisation au travers de la prestation partagée d'éducation de l'enfant (PreParE). Le recours effectif des familles aux différents modes d'accueil résulte de choix sous contraintes multiples et complexes : l'offre de modes d'accueil disponible localement et les manques éventuels de celle-ci, l'accessibilité financière à ces modes d'accueil, la complexité des situations familiales et professionnelles (contraintes horaires, possibilité d'aide familiale…). Mais il vise avant tout à trouver une solution qui réponde au mieux aux besoins spécifiques des très jeunes enfants sur tous les plans : physique, affectif, cognitif, émotionnel et social, en offrant la meilleure qualité de service possible sur ces différents plans. Malgré une politique volontariste, et des attentes encore importantes exprimées par les familles, le développement de l'offre semble se tarir ces dernières années. Les résultats observés durant la période 2013-2017, couverte par la dernière convention d'objectifs et de gestion (COG)
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France Stratégie / HCFEA - Synthèse - L'accueil des enfants de moins de trois... - 0 views

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    Le développement des modes d'accueil de la petite enfance est une des priorités de la politique familiale. Permettant aux parents une meilleure articulation entre vie familiale et vie professionnelle, ils sont souvent mis en exergue pour expliquer la réussite du modèle français en termes de natalité et de taux d'emploi des femmes. La France se caractérise en effet, par rapport à la plupart de ses voisins européens, par une offre développée et diversifiée de solutions d'accueil, qu'il s'agisse de places en crèches (établissements d'accueil de jeunes enfants - EAJE), de possibilités de faire garder son enfant par une assistante maternelle[1] au domicile de celle-ci, ou au domicile des parents, par la préscolarisation dès l'âge de deux ans dans des écoles maternelles, ou par le recours des parents à un congé parental d'éducation (CPE) à temps plein ou partiel, accompagné ou non d'une indemnisation au travers de la prestation partagée d'éducation de l'enfant (PreParE). Le recours effectif des familles aux différents modes d'accueil résulte de choix sous contraintes multiples et complexes : l'offre de modes d'accueil disponible localement et les manques éventuels de celle-ci, l'accessibilité financière à ces modes d'accueil, la complexité des situations familiales et professionnelles (contraintes horaires, possibilité d'aide familiale…). Mais il vise avant tout à trouver une solution qui réponde au mieux aux besoins spécifiques des très jeunes enfants sur tous les plans : physique, affectif, cognitif, émotionnel et social, en offrant la meilleure qualité de service possible sur ces différents plans. Malgré une politique volontariste, et des attentes encore importantes exprimées par les familles, le développement de l'offre semble se tarir ces dernières années. Les résultats observés durant la période 2013-2017, couverte par la dernière convention d'objectifs et de gestion (COG)
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