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Assemblée nationale - Délégation aux droits des femmes - Rapport d'informatio... - 0 views

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    SYNTHÈSE DES PROPOSITIONS Recommandation n° 1 : mettre en place une exonération généralisée d'avance de frais pour les femmes souhaitant recourir à une IVG. Recommandation n° 2 : clarifier la réglementation afin de garantir le droit à l'anonymat et à la confidentialité de l'IVG pour toutes les femmes en établissant des procédures spécifiques, que ce soit en établissement de santé ou en ville. Recommandation n° 3 : aménager un cadre réglementaire clair, précisant le rôle et les prérogatives du directeur d'établissement scolaire lorsqu'une élève mineure souhaite avorter sans en informer ses parents. Cette disposition devrait faire l'objet d'une circulaire du ministère de l'Éducation nationale et de la jeunesse adressée à l'ensemble des chefs d'établissement de l'enseignement secondaire (collèges et lycées). Elle pourrait utilement figurer dans le Guide du chef d'établissement édicté en février 2009 par le ministère, dans la fiche 34 relative à la surveillance, au sein du paragraphe consacré à la gestion des absences. Recommandation n° 4 : aménager un cadre réglementaire permettant aux infirmiers scolaires d'endosser le rôle de majeur accompagnant une mineure souhaitant avoir recours à une IVG dans le cadre de leur service et sans engager leur responsabilité personnelle. Recommandation n° 5 : imposer à l'ensemble des hôpitaux publics d'assurer une prise en charge des IVG et de ne pas refuser les patientes dont la grossesse se situe en fin de délai légal, celles-ci constituant une urgence absolue, afin d'assurer une offre de soins équitable sur l'ensemble du territoire. Recommandation n° 6 : pérenniser l'allongement du délai de recours à l'IVG médicamenteuse en ville de cinq à sept semaines de grossesse, conformément à ce qui est déjà autorisé pour l'IVG médicamenteuse réalisée en milieu hospitalier. Recommandation n° 7 : lutter contre la désinformation sur internet en p
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CAIRN - Recherches familiales - S'approprier les codes. Mise en scène et sign... - 0 views

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    "L'ouverture du mariage aux couples de même sexe en France pose de nouveaux enjeux scientifiques, jamais étudiés jusqu'à ce jour dans la mesure où il s'agit d'une possibilité récente. Si le mariage a longtemps été critiqué pour sa dimension « hétérosexiste » [1] [1] On se réfère ici à une définition du terme « hétérosexiste »…, instituant une hiérarchie entre les relations, comment les couples de même sexe s'approprient-ils un modèle dont ils étaient historiquement exclus, et plus précisément quelles sont les différentes fonctions des codes associés de manière sous-jacente à la cérémonie ? Les codes représentent en effet un « mode d'emploi pour agir avec les autres, et aussi avec soi-même » [2] [2] Martine SEGALEN, Rites et rituels contemporains, Armand Colin,…. En d'autres termes, les codes fonctionnent comme un ensemble de conventions collectivement admises qui permettent d'interpréter le rituel en l'inscrivant dans une « récurrence des formes, nécessaire pour fournir un cadre à l'expérience, pour donner à force de répétitivité les allures d'un langage dont chacun partage les symboles » [3] [3] Ibid., pp. 93-94.. Même si la cérémonie du mariage est loin d'être homogène et connaît de nombreuses variations en fonction des périodes historiques, des régions, mais aussi des milieux sociaux [4] [4] Michel BOZON, « Sociologie du rituel du mariage », Population,…, un certain nombre de règles relativement ancrées et structurantes fonctionnent comme un cadre de référence. On peut d'ailleurs tenter de les objectiver grâce aux nombreux guides visant à faciliter l'organisation rituelle. Le Guide Blanc du Mariage recense en ligne les établissements spécialisés par région, et les classe ainsi par thématique : lieux de réception, traiteurs et pâtissiers, robes de mariée, costumes, coiffeurs et bijoutiers, orchestres, fleuristes, faire-part et menus, repo
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L'aide et l'action sociales en France - édition 2017 - Panoramas de la DREES ... - 0 views

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    "L'aide et l'action sociales représentent 10 % des dépenses de la protection sociale et 3,2 % du produit intérieur brut. Ces aides et actions sont délivrées principalement par les départements. Fin 2015, ces derniers octroient 4,3 millions de prestations d'aide sociale, pour une dépense annuelle nette de 33 milliards d'euros. Au cours des cinq dernières années, ces dépenses augmentent de 2 % par an en moyenne. Après un premier éclairage sur le périmètre de l'aide et de l'action sociales et sur le financement de l'aide sociale départementale, celle-ci est décrite dans le détail : pour les personnes âgées dépendantes, pour les personnes handicapées, pour la protection de l'enfance et pour l'insertion. L'ouvrage s'attache à exposer les caractéristiques des bénéficiaires de l'aide sociale et la répartition des dépenses associées. Des rétrospectives sont proposées, et les disparités territoriales de l'aide sociale sont analysées." Ouvrage complet ou fiches séparées à télécharger Analyses transversales Fiche 01 - Le périmètre et les acteurs de l'aide et de l'action sociales en France Fiche 02 - Le financement des dépenses départementales d'aide sociale Fiche 03 - L'opinion des Français envers les politiques publiques d'aide sociale L'aide sociale aux personnes âgées Fiche 04 - Les dispositifs d'aide sociale aux personnes âgées Fiche 05 - L'aide sociale départementale aux personnes âgées Fiche 06 - Les bénéficiaires et les dépenses de l'allocation personnalisée d'autonomie Fiche 07 - L'aide sociale à l'hébergement des personnes âgées Fiche 08 - Les caractéristiques des bénéficiaires d'une aide sociale aux personnes âgées L'aide sociale aux personnes handicapées Fiche 09 - Les dispositifs d'aide sociale aux personnes handicapées Fiche 10 - L'aide sociale départementale aux personnes handicapées Fiche 11 - La prestation de compensation du hand
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Eurostat - La vie des femmes et des hommes en Europe - 0 views

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    À la maison, au travail, à l'école … … il existe de grandes différences entre les vies des femmes et des hommes en Europe, mais il y a également des similitudes. Cette publication numérique « La vie des femmes et des hommes en Europe - un portrait statistique » se propose de comparer les femmes et les hommes dans leurs vies de tous les jours. Elle montre également comment la vie quotidienne des femmes et des hommes peut être semblable ou différente dans les pays européens. Cette publication comporte trois chapitres : Vivre, grandir, vieillir... : ce chapitre est consacré à la démographie et à la santé, avec par exemple des données sur l'espérance de vie, les mères et les pères célibataires, la perception que nous avons de notre santé, etc. Il montre également qu'en Europe, malgré nos différences, les femmes et les hommes sont satisfaits de leur vie au même niveau. Apprendre, travailler, gagner sa vie... : ce chapitre présente des données sur le niveau d'éducation, la conciliation entre les vies professionnelle et familiale, le travail à temps plein et à temps partiel, les écarts de rémunération entre les sexes, les cadres supérieurs féminins et masculins, etc. Il souligne non seulement les différences structurelles, mais aussi les inégalités entre les femmes et les hommes. Manger, acheter, surfer, avoir une vie sociale... : ce chapitre se concentre sur les habitudes alimentaires et les comportements sociaux, les activités de loisirs et les pratiques sur Internet, avec par exemple des données sur la consommation de tabac et d'alcool, l'indice de masse corporelle, la fréquentation du cinéma, l'utilisation des réseaux sociaux, et les achats en ligne. Une dernière partie est consacrée à la garde et à l'éducation des enfants et aux tâches ménagères. Cette publication numérique contenant des textes courts, des graphiques interactifs, des photos, a été développée par Eurostat en collaboration
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Le rusé jésuite | Témoignage Chrétien - 0 views

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    "Et voilà que François dribble tout le monde, motu proprio au pied. Normal pour un passionné de foot. Il déplace la question du champ théologique au champ juridique. Il est vrai que lorsque François était encore Mgr Bergoglio, il considérait que la moitié au moins des mariages étaient invalides, les époux ne sachant en fait pas bien ce qu'ils faisaient au moment où ils s'engageaient. Les nouveaux textes ouvrent largement les causes de nullité : défaut de foi, ou enfants nés avant le mariage... Là où l'identité de jugement de deux juges était nécessaire, un seul juge va suffire. L'évêque peut même, si les circonstances sont claires, juger lui-même en moins de 45 jours. Les parties seront considérées comme de bonne foi et leur seule déclaration pourra être prise en compte. Une procédure simplifiée, rapide et gratuite... Les conservateurs hurlent : « C'est un divorce catholique. » Les libéraux sont déçus : cette idée de nulité les rebute. À raison : comment dire que des années de vie commune sont annihilées... Surtout quand des enfants sont nés ? Mais le jésuite est rusé et il sait que de bonnes pratiques valent mieux qu'une grande dispute théologique. Qui osera prétendre qu'au jour de leur mariage, les deux époux étaient pleinement, totalement, conscients de l'engagement qu'ils prenaient... Rien moins qu'être l'image de l'amour de Dieu pour son peuple. Allons, qui oserait ! Le pape a ouvert une petite porte, mais le courant d'air va s'engouffrer. Bien vite, on prendra l'habitude de divorcer au civil et, si l'on est assez croyant et motivé, de faire conctater la nullité de l'engagement religieux. Sans doute n'est-ce pas idéal mais, ne nous y trompons pas, le pape François sait où il va et il vient de sérieusement déminer les débats du Synode qui commence le 3 octobre."
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Délai de réflexion et IVG | Net-iris 2015 - 0 views

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    "Le délai de réflexion d'une semaine avant de pratiquer une IVG, pouvant ne pas être respecté en cas d'urgence, pourrait être supprimé par la loi Santé. Le projet de loi Santé (1) en cours d'examen par l'Assemblée Nationale prévoit de modifier le régime juridique applicable à l'IVG (2). Un amendement a en effet été adopté selon lequel le délai de réflexion actuellement imposé aux femmes d'une durée de 7 jours, sauf en cas d'urgence (lorsque la femme enceinte risque de dépasser le délai légal de 12 semaines lui permettant d'interrompre se grossesse), serait supprimé. Rappelons en effet qu'actuellement, la loi autorise qu'il soit mis fin à une grossesse avant la fin de la 14ème semaine après le début des dernières règles (12 semaines de grossesse). Notons également que la femme majeure dispose du droit d'apprécier elle-même la situation sans que son conjoint ou le père de l'enfant ait à être consulté (3). La patiente, lors d'un premier entretien avec le médecin, est informée des méthodes médicales et chirurgicales utilisées, et des risques présentés par une telle intervention (4). La femme majeure se voit alors proposer une seconde consultation au cours de laquelle des conseils et une assistance peuvent lui être apportés, et peut choisir de l'accepter ou non. La femme mineure, en revanche, ne peut pas refuser d'en bénéficier. A l'issue du premier entretien, un délai de réflexion (5) d'une semaine est accordé avant de recueillir une conformation écrite de sa volonté de recourir à l'IVG. Ce délai de réflexion peut ne pas être respecté si l'urgence de la situation l'impose (c'est à dire si la femme risque de dépasser le délai légal pour pratiquer l'IVG). En outre, si la seconde consultation a eu lieu, un délai de 2 jours doit être respecté à son issue (ce délai de 2 jours pouvant être compris dans le délai de 7 jours susvisé). Ce délai d'une semaine, ne paraissant toutefois pas déraisonnable com
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IVG : supprimer le délai de réflexion, c'est supprimer le libre-choix - 0 views

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    "e 19 mars dernier, les députés ont voté l'amendement au projet de loi santé qui demande la suppression des 7 jours de réflexion obligatoire jusque-là en vigueur pour les femmes demandant une Interruption Volontaire de Grossesse (IVG). Après le remboursement à 100% de l'IVG en 2013, la suppression de la condition de détresse et la prétendue reconnaissance d'un « droit fondamental » en 2014, ce rapport encourage à faire de l'IVG une réponse impulsive à une situation imprévue sans laisser aux femmes le temps de la réflexion et donc du libre choix. Il est plus que paradoxal, voire inquiétant, que la Loi Hamon de mars 2014 ait porté à 14 jours le délai de réflexion minimum pour des montants bien plus faibles qu'un achat immobilier, et que pour le devenir de l'être humain (celui de la mère comme celui de l'enfant), on veuille retirer cette prérogative... L'éthique et les droits de l'homme n'auraient-ils plus cours en France ? Par ailleurs, une fois encore, cet amendement a fait l'objet d'un vote nocturne. Est-ce le meilleur moment pour débattre, lorsque la vie d'êtres humains est en jeu ? Ou bien est-ce encore une stratégie gouvernementale pour faire passer « de force » une loi dont il sait qu'elle suscitera polémique et désapprobation ? Le procédé et les méthodes employées sont, une fois de plus, mesquins et condamnables. Ce vote reflète cette volonté mortifère qui prévaut dans notre pays, qui, avec 210 000 avortements annuels et des mesures répétées pour favoriser les IVG, se montre incapable de protéger la vie des plus faibles de ses membres et d'éviter le recours systématique à l'IVG. Les AFC appellent une nouvelle fois et avec insistance à une action politique qui mette tout en œuvre pour chercher des solutions de prévention, et proposer aussi des alternatives et d'aides efficaces afin de résoudre le drame de l'avortement, qui arrête la vie d'un enfant à naître et blesse profondément la femme. Elles inter
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Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X - FSSPX - SSPX - La Porte Latine - Catholi... - 0 views

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    "Dans quelques jours s'ouvrira le Synode sur la famille. Les orientations de la 1ère session, les déclarations de certains participants et le document préparatoire de cette 2e session nous font craindre un grand péril pour l'Eglise. Après la ruine de la foi consécutive au concile Vatican II et aux réformes qui l'ont suivi, voici que se profile une remise en cause de la morale que l'Eglise a toujours enseignée. Un certain nombre d'évêques et de cardinaux ont eux-mêmes tiré la sonnette d'alarme ces derniers mois. Devant un tel péril pour nos âmes et pour la société, nous ne pouvons rester passifs. Il nous faut supplier Dieu qu'il ait pitié de la sainte Eglise. Aussi, durant la semaine du 26 septembre au 3 octobre, j'invite les fidèles et les membres de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X du district de France : - à réciter le chapelet en famille ou dans nos églises et chapelles afin de supplier la Vierge Marie de protéger l'Eglise d'un tel désastre. - de plus, que dans chaque lieu où cela sera possible, un jour de cette semaine, soit organisée une Heure sainte ou une veillée de prière devant le Très Saint- Sacrement exposé. - que durant cette semaine (1), soient ajoutées aux oraisons de la messe du jour celles « pro quacumque tribulatione ». - à ces prières, joignons la pénitence afin que Notre-Seigneur veille sur son Vicaire pour qu'il ne tombe pas au pouvoir des ennemis de l'Eglise. En bons fils de l'Eglise, soyons généreux à répondre à cet appel afin que le Saint-Esprit éclaire les membres du synode et fortifie le Pape dans la foi. « Ut Domnum Apostólicum et omnes ecclesiásticos órdines in sancta religióne conserváre dignéris, te rogámus, audi nos (2).» Abbé Christian BOUCHACOURT, Supérieur du District de France de la FSSPX, le 17 septembre2015 en la fête de l'impression des Stigmates de saint François"
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Synode. Une voix à contre-courant qui vient d'Argentine - 0 views

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    "Toutefois ces interventions du pape ont été très peu reprises par les médias. Ceux-ci ont agi comme si elles n'avaient pas existé et ils les ont passées sous silence. Tandis que, dans le même temps, les évêques et le clergé d'Allemagne - mais pas seulement eux - continuent à aller imperturbablement de l'avant, comme si le feu vert pour l'accès des divorcés remariés à la communion était déjà un point acquis. Dans le texte ci-dessous un juriste catholique argentin analyse cet état de fait avec précision, en partant de l'événement qui en est le point de départ, c'est-à-dire le rapport présenté par le cardinal Kasper au consistoire du mois de février 2014. Ce rapport, bien qu'il n'ait pas été formellement approuvé par le synode qui s'est tenu au mois d'octobre dernier, a tout de même eu comme résultat qu'il est devenu, en de nombreux endroits, la manière concrète d'agir. L'auteur du texte, José E. Durand Mendioroz, 59 ans, vit dans le diocèse de Salta, au nord-est de l'Argentine. Avocat de profession, il enseigne la philosophie du droit à l'Universidad Católica de ce diocèse (photo : la basilique San Francisco, à Salta). Il est père de 14 enfants. Depuis trois ans, lui et son épouse Inès animent à Salta, avec la bénédiction de l'archevêque local, Mgr Mario Antonio Cargnello, un centre pro-vie qui vient en aide aux femmes tentées d'avorter. Il est membre, pour le secteur nord-est, du département des laïcs au sein de la conférence des évêques d'Argentine. Son archevêque a lu et apprécié cette analyse, qu'il a considérée "comme une preuve de la liberté des enfants de Dieu dans le débat qui a lieu actuellement à propos de ces questions". L'extrait que l'on peut lire ci-dessous ne constitue qu'une petite partie de cette analyse. Le texte intégral en sera publié dans quelques jours, en espagnol et en anglais, dans "Catholic World Report", le magazine en ligne dont
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"Une bonne éducation familiale est la colonne vertébrale de l'humanisme", exp... - 0 views

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    "Au cours de l'audience générale, du 20 mai 2015 place Saint-Pierre, le pape François a poursuivi sa réflexion sur la famille en s'arrêtant « sur sa vocation naturelle à éduquer ses enfants ». Pourtant, du fait des divers problèmes rencontrés par les familles, il semble évident « que les difficultés ne manquent pas de nos jours » pour remplir cette tâche, a-t-il constaté. Cependant la question demeure : « Comment éduquer ? Quelles valeurs avons-nous aujourd'hui à transmettre à nos enfants ? » « Des intellectuels "critiques" en tout genre ont fait taire les parents de mille manières afin de défendre les jeunes générations des dommages - réels ou supposés - de l'éducation familiale », a expliqué le pape François. La famille a alors été accusée « d'autoritarisme, de favoritisme, de conformisme, de chantage affectif… » Et, de fait, « une fracture s'est ouverte entre la famille et la société, entre la famille et l'école ». « Le pacte éducatif est aujourd'hui rompu ; et ainsi, l'alliance de la société avec la famille qui prévalait en matière d'éducation est entrée en crise, car la confiance réciproque a disparu », a regretté le pape François. « Il ne fait aucun doute que les parents, ou disons plutôt certains modèles éducatifs du passé, présentaient certaines limites, c'est certain, a-t-il continué. Mais il est vrai aussi qu'il y a des erreurs que seuls les parents ont le droit de commettre, car ils peuvent les rectifier d'une manière qu'ils sont les seuls à pouvoir utiliser. » « Les communautés chrétiennes sont appelées à offrir leur soutien dans la mission éducative des familles, a rappelé le pape François. Elles le font avant tout à la lumière de la Parole de Dieu. » "
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Le Salon Beige - blog quotidien d'actualité par des laïcs catholiques: Il y a... - 0 views

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    "Il y a 16 ans jour pour jour, les députés socialistes défendaient le droit de l'enfant à avoir un père et une mère Comme le prouve la retranscription écrite officielle des débats (cf. ci-dessous), Elisabeth Guigou qui était alors Ministre de la justice, avait été applaudie par le groupe socialiste quand elle avait affirmé le 3 novembre 1998 : « Mon refus de l'adoption pour des couples homosexuels est fondé sur l'intérêt de l'enfant et sur ses droits à avoir un milieu familial où il puisse épanouir sa personnalité "
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Le cardinal qui s'oppose à la cour suprême - 0 views

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    "Cinq jours après la décision explosive de la cour suprême des États-Unis qui contredit la différence de sexe entre hommes et femmes inscrite dans la création, le pasteur suprême de l'Église catholique n'a pas encore dit un seul mot à ce sujet. Il est encore possible qu'il le fasse après-demain, au cours de l'audience publique hebdomadaire du mercredi, ou à un autre moment par la suite. Toutefois, étant donnée la réserve personnelle dont il a fait preuve sur ce sujet et sur d'autres du même genre pendant les cent premiers jours de son pontificat, il semble bien que, d'une manière générale, le pape François préfère que ce soient les évêques de chaque pays qui s'expriment à propos de ces questions. En premier lieu, dans le cas présent, les évêques des États-Unis, qui sont notoirement parmi les plus combatifs, comme ils l'ont montré dès les premières réactions à la décision de la cour suprême. Mais que cette ligne soit celle de l'actuel pontificat, à propos de principes que Benoît XVI qualifiait de "non négociables" parce qu'inscrits dans la nature même de l'homme, c'est pour le moment davantage une hypothèse qu'une certitude. Aujourd'hui, en tout cas, devant le silence persistant de la chaire de Pierre, certains évêques et cardinaux se sentent encore plus tentés que par le passé de prendre leurs distances - par exemple en s'exprimant en faveur de la légalisation des unions entre homosexuels - par rapport au magistère de l'Église à propos de ces questions, tel qu'il a été exprimé par les deux pontificats précédents"
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Sur les unions de personnes de même sexe. Diocèse d'Angoulême | Expression libre - 0 views

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    "Il existe dans notre diocèse deux groupes de chrétiens concernés par l'homosexualité : un groupe de partage tous les deux mois existe déjà à Angoulême pour les personnes homosexuelles (hommes et femmes) de notre région. Et un groupe de partage destiné aux parents ayant des enfants homosexuels. Ces deux groupes de paroles font partie de l'association Devenir Un en Christ Les prises de position de l'Église, ou du moins de certains évêques qui se sont exprimés et des fidèles qui les ont relayées au moment de la loi sur le mariage pour tous, sont souvent apparues comme violemment hostiles. Ces positions étaient-elles partagées par ceux qui sont restés silencieux? L'Église de France n'a pas toujours eu une parole suffisamment positive et constructive, et ses paroles négatives exprimées lors du Pacs sont restées dans les mémoires. Nombre de personnes homosexuelles que nous connaissons ont été tentées de quitter l'Église à ce moment, et certaines ne reviendront pas; la blessure est trop profonde. Ces situations restent aujourd'hui taboues, cachées, on n'en parle pas au grand jour. Une grande majorité de prêtres n'y est pas préparée, et la majorité des assemblées paroissiales (génération âgée le plus souvent) n'a pas reçu de l'Église les paroles d'accueil et d'attention nécessaires. Un grand nombre de personnes homosexuelles croyantes et engagées dans les paroisses cachent cette dimension de leur vie, de peur au mieux de ne pas être comprises et au pire d'être exclues de leur communauté. Il faut accueillir les personnes homosexuelles comme les autres et pour cela convertir le regard de la communauté et des pasteurs. À cette fin, il faut convertir le regard de chacun et certainement donner aux responsables une formation concrète sur cette réalité. Il faut diffuser largement le travail des moralistes qui, il y a trente ans déjà, travaillaient sur ce sujet. À partir de là, nous pourrons construire un vrai projet past
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http://toulouse.catholique.fr/Aimer-soutenir-nos-familles-7018 - 0 views

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    "Aimer, soutenir nos familles A Rome, le Synode suit son cours, non sans tensions. Sont présentes des reliques de sainte Thérése EF et de ses parents, Zélie et Louis Martin. Aussi celles d'époux romains. La sainteté est à la portée des familles ; elle en est même la source et le foyer, ce qui ne veut pas dire dans la facilité. Zélie est décédée trop tôt et Louis a fini avec une sorte d'Alzheimer. Je lisais dans mon journal hier qu'il n'est pas facile de trouver et de garder en famillle des moments de convivialité ou d'échanges véritables. Chacun est rivé à son écran. Comment favoriser la communion dans la vérité de l'écoute mutuelle ? La famille est aussi le lieu du pardon vrai dans la patience. Communiquer la vérité, annoncer la foi, proposer des raisons de vivre et de grandir ensemble, telle est la mission de la famille. Apprendre à connaître Dieu et à l'invoquer, c'est le rôle des parents, qui sont les premiers catéchistes. Cela se fait de façon très simple, par des habitudes à trouver. Il faut commencer très tôt dans le respect, la confiance et la simplicité. Il faut, en famille, apprendre à donner un espace à Dieu à la maison (croix, icônes, bougies, oratoire), un espace dans les coeurs. Katèchéô en grec, d'où vient le mot de "catéchese" signifie "faire retentir aux oreilles", "enseigner". Il convient de donner à la Parole un espace en soi, avant de disposer les autres à s'ouvrir à elle. Initier aux actes de service, d'oubli de soi comme source de la vraie joie. Nous devons tous grandir comme "disciples missionnaires" : c'est l'insistance du pape François : il faut d'abord recevoir pour être en mesure de donner. L'Eglise catechisée et cathéchisante, catéchisée pour être catéchisante, catéchiste. Tout n'est pas simple à Rome, où les points de vue se succèdent ou s'affrontent, comme dans les familles, ce qui est normal. Gardons tous à l'esprit et au coeur les r
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Synode sur la famille : un changement de programme révélateur - Vie de l'Égli... - 0 views

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    "Un changement léger - mais significatif - a été apporté au programme du Synode sur la famille qui se déroule actuellement au Vatican, jusqu'au 25 octobre. Du fait du nombre particulièrement important de demandes de prises de parole sur la 3e partie (qui contient notamment les passages les plus discutés sur la question des divorcés-remariés), les interventions des Pères - qui devaient ne débuter que le 14 octobre - ont déjà commencé dans la journée du samedi 10 octobre. Ce changement n'affecte pas le reste de l'organisation : les groupes de travail qui se réunissent aujourd'hui et demain portent eux, comme prévu, exclusivement sur la 2e partie du document de travail (« Le discernement de la vocation familiale »). À partir de mercredi 14, les interventions sur la 3e partie se poursuivront, tandis que les groupes de travail consacrés à cette même partie débuteront à compter du lundi 19 octobre. Ce changement confirme le désir d'un grand nombre de Pères synodaux de pouvoir exprimer devant l'ensemble du Synode leur position sur la question de l'accompagnement des personnes divorcées remariées, et sur la proposition du cardinal Walter Kasper que ceux-ci puissent accéder aux sacrements de l'eucharistie et de la pénitence, sous certaines conditions. Il est possible notamment que les 54 Pères synodaux venus d'Afrique, généralement opposés à toute évolution de la discipline des sacrements à l'égard des personnes qui se trouvent dans cette situation, aient souhaité prendre davantage la parole que l'an dernier. « J'espère qu'ils auront la force de dire ce qu'ils ont à dire », déclarait à leur sujet le cardinal André Vingt-Trois en conférence de presse, le 5 octobre dernier, ajoutant : « Cela ne suffit pas qu'ils aient bien préparé, encore faut-il qu'ils disent ce qu'ils ont préparé ». Si la relative sérénité des premiers jours pouvaient laisser croire que ce sujet était pass
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Institut des Politiques Publiques - La réforme des rythmes scolaires : un rév... - 0 views

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    "La réforme des rythmes scolaires de 2013, qui a réalloué une demi-journée de classe au mercredi matin pour les élèves scolarisés en maternelle et à l'école élémentaire, est une petite révolution dans l'organisation des temps sociaux. Cette note montre que les horaires à l'école n'ont pas seulement un impact sur le rythme d'apprentissage des enfants, mais influencent également les décisions d'offre de travail des femmes. L'organisation des temps scolaires est un révélateur de deux types d'inégalités présentes sur le marché du travail : inégalités entre femmes et hommes, et inégalités entre femmes diplômées et non diplômées. Avant l'introduction de la réforme des rythmes scolaires, les femmes dont le plus jeune enfant était en âge d'aller à l'école élémentaire étaient deux fois plus nombreuses que les hommes à ne pas travailler le mercredi, et donc à adapter leur activité professionnelle à la présence des enfants. Par ailleurs, la décision de travailler ou non le mercredi était corrélée au niveau de diplôme, les femmes diplômées du supérieur étant moins nombreuses à travailler le mercredi que les femmes non diplômées, alors même qu'elles travaillent plus d'heures en moyenne par semaine. La réorganisation des temps scolaires prévue par la réforme de 2013 a entraîné une réorganisation du temps de travail des femmes : si la réforme n'a pas eu pour effet à court terme d'accroître le nombre d'heures travaillées par semaine, elle a permis à un plus grand nombre de femmes de travailler le mercredi, entraînant, en moins de deux ans, une réduction de 15 % de leur différentiel de participation ce jour de la semaine par rapport aux hommes."
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Lettre ouverte aux «Pères» du synode | René Poujol - 0 views

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    "Mes Pères, nous voici encore dans les premières aurores de cette année 2015 qui connaîtra l'aboutissement du synode sur la famille voulu par notre pape François. J'en ai applaudi l'intuition, heureux d'y retrouver la générosité de regard du concile Vatican II qui a marqué ma jeunesse. J'ai suivi de près les préparatifs puis les travaux de la première session, applaudi à la franchise des débats, frémi aux crispations suscitées par le rapport intermédiaire du Cardinal Peter Erdo, désespéré du repli frileux dont témoigne la rédaction finale des Lineamenta qui vous ont été adressés dans la perspective de la session d'octobre 2015. Je sais combien les mois à venir seront décisifs. Comme la Lettre du cardinal Baldisseri, secrétaire général du synode, y invite, je prends donc la liberté de vous adresser cette «lettre ouverte». Je suis né catholique, d'une famille très croyante, et le suis resté à ce jour, n'ayant jamais trouvé de raison suffisante pour remettre en cause cette appartenance. Que dire d'autre qui, sans me faire sombrer dans une forme d'exhibitionnisme, dise néanmoins mon engagement constant au sein de l'Eglise, depuis un demi-siècle (1) et précise donc le lieu d'où je vous parle ? Car c'est du cÅ“ur même de cet ancrage ecclésial que je voudrais vous dire, pour le passé immédiat, ma déception et pour l'avenir que vous tenez entre vos mains : ma confiance et mon espérance. J'ai aimé le souffle du «rapport intermédiaire» Du rapport intermédiaire, tellement critiqué, j'ai aimé, précisément ce souffle de liberté qui conduisait l'Eglise à se décentrer d'elle-même comme l'y invite le pape François. Assurée de la Bonne Nouvelle dont elle est porteuse, pour le couple et la famille, elle pouvait s'offrir, sur le monde, un regard optimiste et généreux. Le texte nous invitait à «percevoir les formes positives de la liberté individuelle» , à «rÃ
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Les députés suppriment le délai de réflexion pour l'IVG - Le fil - Actualité ... - 0 views

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    "Les députés ont voté jeudi 19 mars la suppression du délai de réflexion de sept jours obligatoire entre la première et la deuxième consultation pour obtenir un avortement, lors de l'examen en commission des affaires sociales du projet de loi sur la santé. Pour Catherine Coutelle (PS), présidente de la délégation aux droits aux femmes de l'Assemblée, « ce délai est infantilisant et stigmatisant » (sic). Autrement dit, le délai de réflexion qui est obligatoire dans le cadre du droit de la consommation, serait interdit quand il s'agit de supprimer une vie. Et la réflexion elle-même, qui jusqu'alors était la marque des esprits libres, sera réservée aux enfants… Mme Coutelle estime que ce délai entrave l'accès à l'IVG dans les régions ou il est difficile d'obtenir des rendez-vous. Il s'agissait d'une « concession » qu'avait dû accepter Simone Veil, lors du vote de la loi sur l'avortement de 1975. Le ministre de la Santé, Marisol Touraine, s'est toutefois opposé à la mesure, se déclarant favorable à un seul raccourcissement de la période de sept à deux jours, mais préférant éviter les risques de polémique. En revanche, l'amendement visant à supprimer la clause de conscience spécifique des médecins pour l'IVG, a été retiré. Pour Catherine Coutelle, cette clause spécifique n'est pas utile, puisqu'une clause de conscience générale existe pour les médecins. La mesure sera discutée par les députés lors de l'examen du projet de loi santé dans l'hémicycle, qui démarre le 31 mars."
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Les familles, des missionnaires dans la vie de tous les jours | ZENIT - Le monde vu de ... - 0 views

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    "« Les familles chrétiennes sont des familles missionnaires… elles sont missionnaires dans la vie de tous les jours, en faisant des choses de tous les jours, en mettant en tout le sel et le levain de la foi », souligne le pape François ce 27 octobre 2013."
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Neuvième jour du synode : les évêques disent au monde :"faut pas s'en faire".... - 0 views

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    "J'ai dit ici que lundi, le jour où le document connu officiellement comme la relatio post disceptionem (le rapport provisoire sur le synode) a été rendu public, a été le jour le plus étrange que j'ai jamais passé à Rome. Hier, la conférence de presse journalière du synode a rétracté beaucoup de ce qui a été dit lundi, et par conséquent des parties du document, sans toutefois aller jusqu'à l'avouer. C'est un virage à 180 degrés, du jamais vu en un si court délai sur le sol du Vatican. Jamais. Quelle que soit l'époque."
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