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"En réponse à l'appel du Pape François et à la suite du jeu-concours de la miséricorde de l'an dernier, la Direction Diocésaine de l'Enseignement Catholique du Vaucluse et la Pastorale des Jeunes du diocèse d'Avignon organisent un Jeu-Concours pour tous les élèves des écoles, collèges et lycées du département."

"Ce jeu fait fureur chez les ados et se propage par internet. Il s'agit de faire parler le démon Charlie … Spiritisme, diablerie, blague d'ado, canular, lard ou cochon ? Les éclairages du Père Ange, exorciste du diocèse de Lyon"

"Dans un essai percutant, Jean Matos décrypte les ravages de la « culture jeune » pour qui la sexualité est un jeu. Il propose d'y remédier en misant sur une éducation à la relation."

Presse Le Monde des religions Dans le jeu vidéo, violence et religion se conjuguent ACY - vu le19/03/2012

"Après trois jours de disparition, Emma, 13 ans, est finalement rentrée chez elle. La jeune fille a expliqué à sa mère avoir participé au "jeu des 72 heures", dont les règles circuleraient sur internet. "

Saint-Etienne Fête du Jeu - ACE Vu le 20/05/2011

"Tu es collégien, lycéen ? Tu veux gagner des VTT, trottinettes, voyages à Rome ou en Pologne ? Rien de plus simple : dis-nous ce qu'est la miséricorde pour toi ! En réponse à l'appel du Pape François en cette année du Jubilé de la Miséricorde, la Direction Diocésaine de l'Enseignement Catholique du Vaucluse et la Pastorale des Jeunes du diocèse d'Avignon organisent un Jeu-Concours pour tous les élèves des écoles, collèges et lycées du département."

Quel est le point commun entre des cartes, un patchwork, des dessins et un jeu de l'oie ? Ils peuvent tous servir à apprendre les fondements du judaïsme, du christianisme et de l'islam aux 5-11 ans en s'amusant. C'est Marine Quenin (voir encadré) qui a eu l'idée de ce type d'atelier en écoutant sa fille de 8 ans lui parler des « vacances de la Poussin » !

La 9e édition de l'enquête ESCAPAD a interrogé en mars 2017 plus de 13 000 garçons et filles âgés de 17 ans sur leurs éventuelles pratiques de jeux d'argent et de hasard (JAH). La présente note présente les résultats de cette étude. Qu'il s'agisse de jeux de tirage ou de grattage, de pronostics sportifs ou des jeux dits de casino, l'offre de ces jeux est interdite aux mineurs. Près de quatre jeunes sur 10 (39 %) déclarent toutefois avoir joué à un JAH dans l'année et un sur 10 (10 %) au cours de la semaine écoulée. Les garçons sont près d'un sur deux (47 %) à déclarer avoir joué dans l'année. Les jeux de tirage et de grattage sont les plus pratiqués (31 %) devant les pronostics et paris sportifs (17 %) et les jeux de casino (3,6 %). C'est la deuxième catégorie de jeux qui progresse le plus, notamment compte tenu de leur développement sur Internet. Là encore les garçons sont davantage concernés : un quart d'entre eux a joué en ligne dans l'année (vs 7 % des filles). Afin de détecter les difficultés suscitées le jeu, les adolescents interrogés ont répondu à un questionnaire de repérage sur les problèmes et conséquences léventuellement rencontrés (perception de l'entourage, montant des mises, stress et angoisses, etc.). Au total, en 2017, moins de 1 % de la population adolescente de 17 ans serait en grande difficulté par rapport à sa pratique des jeux d'argent et de hasard. Chez les jeunes de 17 ans ayant joué au cours de la semaine précédant l'enquête, plus de la moitié présenteraient un risque, même faible (53 % et 63 % parmi les garçons), 3,4 % des jeunes présentant un risque élevé.

"L'équipe diocésaine pour l'œcuménisme vient de créer trois jeux pour les enfants et les ados. Une belle initiative pour éveiller les plus jeunes à l'unité des chrétiens. Téléchargez-les et jouez !"

"Évangéliser la jeune génération sur Roblox"

"Le scénario est familier. Deux adolescents s'éprennent l'un de l'autre, se draguent, échangent des sextos. La jeune fille est sollicitée par son amoureux pour lui envoyer une photo intime. Elle se prête au jeu, lui aussi peut-être. Quelques jours, semaines ou mois plus tard, les amoureux sont en froid. La séparation est houleuse. Par esprit de vengeance, le jeune homme décide de publier sur les réseaux sociaux une photo intime (ou une vidéo) de son ancienne copine, qu'il a toujours en sa possession. On parle de revenge porn. Les conséquences d'une telle diffusion sont majeures. Pour la jeune fille concernée, elles consistent en insultes, humiliation (slut shaming), menaces diverses dont la diffusion aux parents. Il s'agit d'une grave atteinte à sa réputation. Il en va autrement pour le jeune homme.Telle est l'explication donnée par l'un des 400 collégiens rencontrés dans le cadre d'une étude sur le cybersexisme réalisée par l'OUIEP et financée par le Centre Hubertine Auclert"

"Premier grand temps fort diocésain pour les élèves des aumôneries parisiennes, le rassemblement des 6e a réuni quelque 650 collégiens dans les rues de Paris, samedi dernier, pour un temps de louange et un grand jeu. Reportage."

Inscrire son enfant au centre de loisirs, en mini-camp ou en colo, choisir un séjour et un organisateur, tous ces choix découlent de décisions prises par les parents et les jeunes. L'enquête de l'Ovlej, réalisée en 2014, interroge les processus et les motivations qui conduisent les parents et les adolescents à choisir un mode d'accueil collectif pour les loisirs ou les vacances de ces derniers. Les résultats permettent ainsi de comprendre les différents facteurs qui entrent en jeu, la construction de parcours d'un accueil collectif à l'autre, les attentes éducatives des parents et le rôle des jeunes dans les processus de décisions.

Inscrire son enfant au centre de loisirs, en mini-camp ou en colo, choisir un séjour et un organisateur, tous ces choix découlent de décisions prises par les parents et les jeunes. L'enquête de l'Ovlej, réalisée en 2014, interroge les processus et les motivations qui conduisent les parents et les adolescents à choisir un mode d'accueil collectif pour les loisirs ou les vacances de ces derniers. Les résultats permettent ainsi de comprendre les différents facteurs qui entrent en jeu, la construction de parcours d'un accueil collectif à l'autre, les attentes éducatives des parents et le rôle des jeunes dans les processus de décisions.

"Comment faire de la paroisse, pour les enfants et les adolescents, un lieu de vie et de croissance à l'intérieur duquel la foi pourra être expérimentée, goûtée, partagée dans des activités de service, de jeu, de prière et dans la liturgie ?"

"Très souvent le numérique est vu comme le terrain de jeu des plus jeunes. Outre qu'il est difficile de définir ce qu'est « être jeune », la réalité est bien plus complexe."

"L'année 2013 a été fournie en débats sur ce sujet, le Gender2 a surgi dans les médias cathos ; la bête révèle enfin son visage, l'ennemi est démasqué : Le Gender. Cette théorie américaine3 , affirmant que les rôles sociaux de l'homme et de la femme ne sont pas définis par la nature, s'apprêterait à réduire en miette notre société. Heureusement certains ont pris le temps de calmer le jeu 4 en montrant que l'opposition anti / pro Gender a peu de sens. Derrière cette opposition, il y a en effet l'idée d'une opposition entre Nature et Abritraire : certains seraient du côté de la nature (nous autres les cathos) et d'autres du coté de l'arbitraire, du constructivisme (eux-autres les gauchistes individualistes)."

"Les jeunes sont particulièrement friands d'autoportraits. Mais derrière le jeu de se prendre régulièrement en photo avec son smartphone puis de diffuser ces clichés sur le Web se cache-t-il quelque chose de plus sérieux, voire de grave ? Les réponses du psychiatre Xavier Pommereau, de la sémiologue Pauline Escande Gauquié et du sociologue Ronan Chastellier."

"La polémique déclenchée après l'intervention de l'association Alliance Vita au lycée catholique Gerson soulève de façon inquiétante la question de la liberté d'enseignement de l'Église. À l'origine de la cabale menée contre ce lycée parisien, quelques parents qui ont dénoncé le soi-disant discours « intégriste » d'intervenants extérieurs sur des thématiques de bioéthique pendant un cours de catéchisme (dont un membre de la direction diocésaine de l'enseignement catholique de Paris aurait précisé, pour tenter d'apaiser les esprits, qu'il était « non obligatoire »). Des propos « obscurantistes » y auraient été tenus sur l'avortement et, pire, la pilule du lendemain aurait été assimilée à un « meurtre ». En diligentant dans la foulée une enquête et une inspection, la mairie de Paris et le ministère de l'Éducation nationale ont fait de la surenchère dans l'intimidation. Car ne nous y trompons pas, derrière cette affaire, c'est la possibilité même de continuer à transmettre la vérité qui est en jeu. Oui, l'avortement est un « crime abominable » selon l'expression même du concile Vatican II (Gaudium et spes, n. 51) qu'a reprise le pape François dans un discours très ferme le 11 avril dernier (1). Oui, la pilule du lendemain peut conduire, selon l'instruction Dignitas personae promulguée par Benoît XVI en 2008, à « l'avortement d'un embryon », et constitue dès lors « un meurtre direct » et « un acte gravement immoral » (Dignitas personae, n. 23 sur les produits interceptifs). "