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Le réseau québécois de télésanté (RQT) est un regroupement de passionnés de télésanté qui a pour mission la promotion et l'utilisation optimale de la télésanté à des fins cliniques, éducatives et de recherche aux fins d'amélioration de la santé des populations. Il se veut un carrefour d'échange et de partage de connaissance pour l'ensemble des acteurs de la télésanté au Québec : patients, professionnels de la santé, gestionnaires, enseignants, experts et chercheurs et évaluateurs dans divers domaines, comme : les télésoins, la télépsychiatrie, la téléréadaptation, la formation et l'E-learning, les évidences pour la prise de décision, le plan d'affaires, la technologie et les équipements, la gestion de changement, la recherche et l'évaluation.

Inforoute Santé du Canada (Inforoute) a chargé Praxia Information Intelligence et Gartner Consulting de faire une étude, à l'échelle pancanadienne, visant à connaître l'utilisation de la technologie en télésanté et les avantages obtenus jusqu'à présent. Comme le rapport Avantages et adoption de la télésanté : Lier les patients et les prestateurs dans l'ensemble du Canada, la télésanté a apporté un certain nombre d'avantages en matière d'accès, de qualité et de productivité aux cliniciens, aux patients et au réseau de santé.

Un site pour nous aider à gérer au mieux nos dépenses de santé, des exercices pour faire travailler notre cerveau et obtenir de l'aide sur Internet quand on est malade… C'est l'actualité insolite de la santé sur le Net, par Emma Strack.

Le Dr. Patrick Archambault[1] a présenté le 24 janvier dernier dans le cadre des séminaires de l'Axe Internet et Santé, les premiers résultats des recherches qu'il mène avec une équipe de collègues[2] sur : «L'usage des wikis pour améliorer la pratique en médecine d'urgence et en traumatologie».

L'Association des Gestionnaires Informatique du Réseau de la Santé au Québec regroupe les intervenants impliqués dans les technologies de l'information, des systèmes d'information et des ressources informationnelles en support aux activités cliniques, médico-administratives et administratives.

Deux fois par semaine, le patient, à son domicile, prend sa tension, se pèse, enregistre ses pulsations... Cela grâce un matériel d'automesure conçu par la société H2AD, plate-forme de télémédecine. Ces boîtiers, appelés Twitoo, collectent et envoient les données à une interface Web sécurisée. Elles peuvent être consultées par le patient et les professionnels de santé qui le suivent.

NTIC, robotique et e-santé - développement de n/compétences... accrocs

e site ledocteur.fr propose aux internautes de poser, anonymement et gratuitement, des questions à des professionnels de santé. L'objectif de ce site est de mettre en relation directe, gratuite et anonyme, les internautes avec des médecins - généralistes et spécialistes - diplômés et inscrits au conseil de l'Ordre.

"Qu'Internet soit là pour rester n'est plus une nouveauté mais bien une réalité indiscutable. En ce sens, les entreprises et les institutions doivent elles-mêmes profiter de l'occasion pour communiquer de façon plus humaine, transparente et proche avec ses prospects. Les secteurs de la consommation, du commerce et du tourisme évoluent avec confiance, monopolisant tous les regards dans le grand bal du 2.0. Toutefois, les organismes liés à la santé restent dans l'expectative, attendant le bon moment pour entrer en scène."

La résistance aux technologies d'e-santé semble bien réelle en France. Pour autant les initiatives nationales qui visent à garantir un socle technique commun s'enracinent progressivement. Mais pour que cela aille plus vite, il faudrait que tout le marché s'entende et qu'une certaine cohérence se dégage de la part des acteurs médicaux, politiques, administratifs et informatiques.

Les médias sociaux et la mobilité s'immiscent désormais dans les pratiques médicales : investigation; prise en charge ; suivi des patients, et imposent un nouveau rythme. Le milieu de la santé, encore frileux face à ces changements, s'en trouve bousculé. Que ce soient les propos d'un patient frustré qui circulent sur la Toile, portant atteinte à la réputation du médecin ou de l'établissement, une information confidentielle échappée par mégarde sur la page Facebook d'un employé, enfreignant les règles déontologiques de sa profession, ou encore l'annonce d'un traitement révolutionnaire qui se répand à vitesse grand V à travers les réseaux sociaux créant tout un émoi, comme le cas Zamboni pour le traitement de la sclérose en plaques, chaque jour, sans cesse, de tels exemples s'accumulent à travers la planète.

HealthyShare propose un jeu sur Facebook avec des défis de célébrités et des récompenses lorsqu'on soutien ses amis. L'application gratuite utilise le graphe social pour encourager un changement de mode de vie pour une amélioration durable de la santé.

extrait: Québec International soutient la mise en œuvre de projets structurants pour le développement des créneaux d'excellence de l'économie régionale. L'agence s'appuie sur la démarche ACCORD (Action concertée de coopération régionale de développement) initiée par le gouvernement du Québec. Québec International est le coordonnateur désigné de cette démarche pour la région de la Capitale-Nationale. Le Consortium Télésanté et Mobilité clinique est issu de cette démarche de concertation. À l'instar du dynamisme de l'industrie des technologies médicales, il regroupe des entreprises de la région métropolitaine de Québec offrant des produits et solutions novatrices permettant la réduction de coûts et l'amélioration de l'accessibilité aux soins. Un projet de démonstration technologique d'efficience clinique est actuellement en cours dans le réseau de la santé du Québec.

Les appareils mobiles sont très populaire dans le milieu médical. en France, près de la moitié des médecins (47%) en possède et l'utilisent pour principalement 1) Consulter sa messagerie (73%), naviguer sur Internet (75%), et accéder à des bases de données médicales (59%) et rechercher les coordonnées d'un confrère (59%).

Extrait: Cinq entreprises spécialisées dans des technologies différentes (Almerys, Fujitsu, Domedic, Hospitalis et Mirego) ont allié leurs expertises pour mettre sur pied un système de suivi des soins de santé à domicile qui permet de s'assurer à distance de la bonne condition des patients et d'optimiser les visites rendues à ce patient.

« Vous reprendrez bien un peu de compote ? ». Face à un hôpital vieillissant et malgré les prouesses réalisées par la recherche médicale, la chambre d'hôpital reste un lieu peu convivial. Depuis septembre dernier, 30 des 150 entreprises membres du « Clubster Santé Nord-Pas-de-Calais » planchent sur le prototype de la chambre d'hôpital du futur. Au menu : de l'innovation au service de la revalidation du patient.

Depuis l'implantation des Réseaux universitaires intégrés de santé (RUIS), le CHUS dessert le Centre-du-Québec et une partie de la Montérégie pour les soins surspécialisés, notamment en cardiologie, en neurochirurgie, en oncologie médicale et chirurgicale ainsi qu'en néonatologie. Pour tout savoir sur le RUIS et le volet académique, consultez les liens ci-dessous.

Le Centre spécialisé de technologie physique du Québec (CSTPQ) est un organisme à but non lucratif reconnu comme centre collégial de transfert de technologie depuis 1983. Grâce à son équipe multidisciplinaire et à son infrastructure de recherche constamment actualisée, il complète efficacement les expertises de ses partenaires industriels, travaillant avec ceux-ci à l'amélioration de leur compétitivité. Les domaines d'intervention du CSTPQ comprennent la conception de produits mécaniques, électriques, électroniques et électromécaniques la conception de procédés et d'équipements de production le développement de solutions logicielles les essais avec acquisition de données les procédés industriels laser utilisant des lasers de haute puissance (soudage laser, rechargement laser, etc.). Une importance toute particulière est donnée à l'application de ces expertises dans trois axes précis, soient : la mise au point d'équipements pour le domaine de la santé  l'efficacité énergétique appliquée aux produits, aux procédés et aux bâtiments les procédés industriels utilisant des lasers de haute puissance. Disposant de laboratoires dotés des plus récentes technologies, le CSTPQ investit continuellement dans les connaissances et dans les compétences de son équipe, ce qui lui permet de rester à l'avant-garde des besoins industriels.