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Singapour incite les PME à utiliser les logiciels en tant que service Le 24 août 2012 s'est tenu la 15e Conférence sur le commerce à Singapour. Au cours de cette réunion, le gouvernement de Singapour a dévoilé son projet de soutien au développement des TIC dans les petites et moyennes entreprises (PME). Le projet se traduit par le renforcement financier du projet iSPRINT de l'autorité de Développement des Télécommunications à Singapour, IDA (Infocomm Development Authority). L'iSPRINT est un programme de l'IDA qui aide les PME de Singapour à adopter les nouveaux moyens de télécommunication et à mettre en place de nouveaux projets en TIC. Pour cela, elle propose un ensemble de solutions préconçues par l'IDA et répondant aux  besoins de chaque entreprise.

Aujourd'hui, dans les musées, les bibliothèques ou le monde scolaire, le modèle d'intégration des technologies de l'information et de la communication est encore trop souvent celui de la résistance. Pourtant, malgré les tentatives d'évitement de toute forme de remise en cause des organisations ou des habitudes, les TIC et les réseaux numériques font tomber une à une les frontières de ces institutions. Cet essai critique porte un regard sans concession sur les mutations des lieux de savoirs. Il analyse toute l'histoire du déploiement des TIC en leur sein depuis une vingtaine d'années, et explique en détail chacune des conditions nécessaires pour que le numérique soit au service du bien commun et de l'accès au savoir pour tous. Il donne à tous les acteurs institutionnels les clés et les informations indispensables pour qu'ils puissent véritablement mettre en place des stratégies de développement et que l'avenir des lieux de savoirs ne soit pas uniquement déterminé par les concepteurs ou promoteurs des technologies. Enfin, il fournit des propositions concrètes sur la manière d'introduire et d'utiliser les TIC pour un apprentissage tout au long de la vie.

Dans notre société du savoir, les technologies de l'information et des communications (TIC) prennent de plus en plus d'importance. Ils deviennent des outils de citoyenneté. Leur importance se fait sentir dans le monde de l'alphabétisation, tant dans ses aspects pédagogiques, socialisants, mobilisateurs que ludiques. Nous vous proposons un dossier sur l'alpha et les TIC en milieu communautaire, car cet enjeu est toujours majeur. Vous trouverez dans ce dossier des portraits de la situation, des actualités, des documents de réflexion, du matériel pédagogique et de formation, des ressources en ligne, des outils, des chercheur-e-s et des organismes qui s'intéresent à ces questions. 

Dans l'univers de l'éducation, les initiatives de formation à l'usage des TIC s'adressent surtout aux élèves. Le Brevet Informatique et Internet français (B2I), qui a été cité souvent dans nos pages, en est un exemple éloquent. Sur Internet, des serious games sont offerts aux jeunes pour qu'ils adoptent une attitude responsable dans leur communication en ligne. Face à cette profusion d'intiaitives ciblant les jeunes, il n'y a pas grand chose qui soit spécifiquement développé pour les enseignants. Du moins, du côté des applications ludiques.  Les simulations nord-américaines d'animation de classe dont nous vous avions parlé restent des initiatives rares. L'association des professeurs de l'état de Victoria en Australie a décidé de créer un serious game ciblant les enseignants, Playing4real, afin de comprendre comment utiliser les TIC en classe et inciter au partage des idées entre collègues. Après une inscription gratuite, le professeur se retrouve dans une école virtuelle. Il doit participer à deux types d'activités : des missions et des tâches.

Un groupe de chercheurs du Centre de recherche interuniversitaire sur la formation et la profession enseignante (CRIFPE) s'est penché sur l'utilisation des TIC par les étudiants du niveau collégial au Québec. Une enquête a permis de constater, entre autres, que les jeunes considèrent les TIC comme un moyen d'améliorer leur expérience en facilitant leurs travaux de recherche et en ayant un impact positif sur leurs relations interpersonnelles.

TECHNOCompétences est le Comité sectoriel de main d'œuvre en technologies de l'information et des communications (TIC). En tant qu'organisme de concertation, son rôle est de soutenir et de promouvoir le développement de la main-d'œuvre québécoise en TIC afin que son expertise soit reconnue mondialement.

L'année 2011 restera peut-être comme celle où le monde a perdu son centre, du moins dans le domaine des technologies de l'information et de la communication (TIC). La Silicon Valley californienne demeure le lieu où les innovations fleurissent le plus facilement. Mais sa position dominante est menacée. La planète innovante devient multipolaire, ou distribuée, selon le vocabulaire qu'on préfère.

"Le Colloque international présentera en primeur les résultats de la première enquête sur l'innovation par les TIC. Menée auprès de 2500 entreprises et organismes du Québec et du Canada, cette enquête examine de façon inédite les liens entre les TIC et l'innovation en vue de mesurer le capital numérique des organisations."

Le Congrès mondial sur les technologies de l'information (WCIT 2012) est une conférence de trois jours autour du thème « UNE vision pour une société numérique mondiale ». Il mettra en vedette plus de 100 conférenciers de renom et attirera jusqu'à 3 000 délégués de plus de 80 pays, y compris des représentants de l'industrie, de gouvernements, du monde universitaire et de la société civile. Les volets suivants en feront partie : Un World Tech Jam où des milliers de délégués du congrès et de participants en ligne collaboreront et partageront leurs idées, leur passion et leurs points de vue dans une véritable approche ascendante de création d'un plan d'action pour une société numérique mondiale. Un panorama avant-gardiste sur les promesses de la révolution numérique, présenté par un éventail de conférenciers d'honneur inspirants, de véritables gourous dans le domaine numérique. Des tables rondes d'experts composés de maîtres à penser de renommée internationale des secteurs gouvernemental, industriel et universitaire discuteront de ce que font les innovateurs de premier rang et les pays les plus avant-gardistes, puis réfléchiront à la façon dont la collaboration numérique entre les parties intéressées permettrait de réaliser les promesses de l'ère numérique. Des séances intensives en ateliers, où les délégués, les modérateurs, les représentants de l'industrie des TIC et les parties intéressées classeront par ordre de priorités les suggestions du World Tech Jam. Des vitrines de présentations où des innovateurs canadiens et de jeunes innovateurs de la planète exposeront leurs idées qui transforment le monde et répondront aux questions de l'auditoire. Des séances de réunion interentreprises structurées (B2B) visant à renouveler des contacts ou établir des partenariats multinationaux et intersectoriels avec des cadres supérieurs d'entreprises provenant de pays développés et d'éco

Cet ouvrage est le fruit de 3 années de recherche au sein du projet RAUDIN : Recherches Aquitaines sur les Usages pour le Développement des Dispositifs Numériques. Il est coécrit par une douzaine d'enseignants-chercheurs et coordonné par Aurélie Laborde, maître de conférences en sciences de l'information et de la communication à l'université de Bordeaux 3.   Une première partie est consacrée à l'histoire de « l'agriculture numérisée », ses enjeux et ses perspectives. Puis les auteurs analysent les équipements et les usages des agriculteurs. Enfin, la dernière partie est consacrée à la viticulture à l'ère du numérique. Les textes des auteurs sont complétés par des échanges avec sept experts ou consultants spécialisés dans le domaine des TIC.

A l'occasion de la « journée de la compétitivité numérique », organisée hier par l'Observatoire Régional des TIC ( ORETIC) dans les locaux du Conseil régional de Haute-Normandie, ont été remis les « web trophées » 2012. Une récompense destinée à valoriser les bonnes pratiques mais également à promouvoir l'usage des TIC en région.

Les  technologies de l'information et de la communication sont arrivées. En moins  de 20 ans, elles se sont immiscées dans la plupart de nos activités. Les ordinateurs, puis les  téléphones cellulaires et les tablettes ont pris leur place familière dans nos villes et nos  maisons.   Ces outils sont arrivés dans les écoles et universités... avec leurs utilisateurs, bien plus que  par la grâce d'une décision réfléchie de la part de ceux qui pilotent les systèmes.  Les établissements éducatifs sont désormais peuplés de jeunes filles et garçons qui, dans leur immense majorité,  utilisent au moins un appareil numérique pour communiquer,  se distraire  et s'informer. Un nombre significatif d'enseignants a vu en ces outils des opportunités  pour renouveler leurs pratiques, les enrichir. Ils ont donc expérimenté, testé, réfléchi, formalisé leurs pratiques, dans une perspective de rénovation de l'enseignement et des apprentissages. A l'extérieur des établissements aussi, les Tice ont stimulé les propositions alternatives  d'éducation, surtout dans les pays où l'éducation pour tous n'est pas encore devenu une  réalité. Dispositifs d'autoformation, apprentissage en réseau, formation professionnelle, alphabétisation des groupes vulnérables... Les propositions ont vu le jour par milliers et  forment désormais le niveau le plus avancé de l'éducation alternative aux dispositifs de  masse gérés par les autorités politiques et administratives.  Cette coïncidence entre la numérisation de la société et le renouveau de la mise en cause  des systèmes éducatifs formels dominants ne relève pas du hasard : les TIC ont stimulé et  donné de nouvelles idées à tous ceux qui rêvent d'améliorer l'enseignement et l'apprentissage.   Alors, comment tirer le meilleur parti des TIC au service de l'éducation, qu'il s'agisse de  faciliter la mise en place de stratégies alternatives con

Les TIC sont souvent traitées comme de simples équipements pour les dirigeants d'entreprises, alors que leur utilisation change la manière même de travailler, et devraient donc s'intégrer dans les pratiques de gestion : sans aller jusqu'à parler du télétravail, le simple fait d'avoir mis les ordinateurs en réseau change les pratiques collaboratives ; la relation entre les technologies et les conditions de travail présente ici un enjeu organisationnel, mais aussi économique, car le gain d'efficacité apporté par le système d'information d'une entreprise dépend avant tout des usages qui en sont faits.

Des responsables des technologies, des dirigeants d'entreprises de l'industrie des TIC et des observateurs répondent à trois questions liées à notre dossier sur la recherche et le développement.

"Pour les enseignants francophones du Canada, les ressources pédagogiques en français, disponibles gratuitement en ligne, s'avèrent essentielles afin de les aider à atteindre les objectifs et les compétences des programmes d'études. En contexte minoritaire francophone, de telles ressources s'avèrent encore plus importantes puisqu'elles pallient à un manque de disponibilité. Si les ressources pédagogiques en ligne peuvent s'avérer utiles, tant en contexte francophone minoritaire que majoritaire, elles posent toutefois de grands défis aux enseignants, soit d'intégrer leur utilisation à la pratique enseignante. Dans cet esprit, une recherche a été menée, de 2007 à 2010, auprès de 404 enseignants francophones répartis dans dix provinces et deux territoires canadiens. Celle-ci visait à mieux connaître et comprendre les enjeux touchant la manière dont les enseignants intègrent l'utilisation des ressources virtuelles aux différentes matières du curriculum, à l'élémentaire et au secondaire au Canada français."

"Le développement rapide des TIC rend de fiers services à la formation à distance. Cependant, il entraine aussi des défis. C'est ce qu'explore un nouveau mémoire publié par le REFAD, dont une portion s'intéresse plus précisément au niveau secondaire."

L'utilisation des TIC en éducation ne peut être rendue efficace que par la transformation des façon de faire c'est à dire d'enseigner et d'apprendre. Le projet OLPC (One Laptop Per Child) a sous estimé cette condition en considérant que la technologie est suffisante en elle même et va nécessairement être un moteur de changement. Une étude réalisée 5 ans après l'implantation du programme dans 319 écoles publiques du Pérou ne peut identifier d'impacts significatifs sur les apprentissages par les élèves, exception faite des compétences en écriture. Faible résultat considérant que le projet OLPC a vendu ou facilité le don de 2,5 ordinateurs portables à 200$ à travers le monde.

ant dans le secteur privé que dans le secteur public, de nombreuses organisations recourent à l'impartition dans l'espoir, notamment, de réaliser des économies de coûts lors de la réalisation de grands projets dans le secteur des technologies de l'information et de la communication (TIC). Malheureusement, les économies attendues ne sont pas toujours au rendez-vous. Comment peut-on corriger ce problème?