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Jean-Marie Cognet

Pourquoi utiliser la vidéo en formation ? - Service de soutien à la formation... - 2 views

  • Des enseignants «inversent» leurs classes par la vidéo. Quelle est la source de cet engouement pour l’image ? Pourquoi un chargé de cours, une professeure devraient-ils faire de la place à la vidéo dans leur enseignement? Parce que les images vidéo sont devenues omniprésentes La compagnie Cisco publie chaque année des statistiques concernant le trafic Internet. Bien sûr ces chiffres favorisent l’industrie de la réseautique, mais il reste que certains frappent l’imagination. D’ici 2016, Cisco prévoit que… le trafic vidéo constituera 54 % du trafic Internet mondial; 20 000 heures de contenus vidéo traverseront les réseaux chaque seconde; l’équivalent en gigaoctets de tous les films réalisés à ce jour passera par les réseaux IP toutes les trois minutes.
  • e journaliste Hervé Guillaud (2009), qui considère que l’on assiste à une «transformation culturelle forte», fait cette observation troublante : «Les plus jeunes ont tendance à utiliser YouTube comme moteur de recherche, c’est-à-dire à regarder les contenus du web seulement sous l’angle vidéo, comme si les contenus textuels n’existaient pas ou plus. Pour eux, une grande partie de leur expérience du web s’arrête aux vidéos qu’ils y trouvent.»
  • Pourquoi utiliser la vidéo en formation? – Service de soutien à la formation – Université de Sherbrooke
lauraschmitz1992

Comparée à la France, l'Allemagne utilise peu le e-learning (Webconférence du... - 2 views

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    "Comparée à la France, l'Allemagne utilise peu le e-learning (Webconférence du Fffod) "
Jean-Marie Cognet

L'école inversée ou comment la technologie produit sa disparition | InternetActu - 0 views

  • "Utiliser la technologie pour humaniser la classe",
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    "Utiliser la technologie pour humaniser la classe"
Jean-Marie Cognet

La formation des salariés : toujours un défi dans l'intégration des outils de... - 0 views

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    les entreprises engageraient la totalité des investissements dans l'approvisionnement et l'installation de ces nouveaux outils, mais pas dans la formation des employés à leur utilisation
Jean-Marie Cognet

Quelques news sur la E-Formation: Savoir utiliser des procédés du petit écran... - 0 views

  • Bonjour à tous, je suis heureux de vous retrouver pour ce nouveau numéro de... La phrase nous projette davantage devant le Journal de 13h qu’en situation de formation. Et pourtant. Les ficelles de la télévision sont de plus utilisées dans le e-learning : un générique entraînant, des reportages, des interviews, un présentateur, voire même des dessins-animés (des films d’animation).
Jean-Marie Cognet

Utiliser les caméras de vidéosurveillance pour mieux se repérer en ville ? - 0 views

  • Donner aux usagers urbains accès à des vidéos en temps réel des rues jouxtant celle où ils se trouvent pourrait leur permettre de se repérer plus aisément.
Jean-Marie Cognet

Seulement un quart des managers utilise un réseau social d'entreprise au quot... - 0 views

  • « Les managers ont maintenant compris les enjeux de la transformation numérique et que le collaboratif est une réponse à ces enjeux, c’est un changement par rapport aux études précédentes, relève Arnaud Rayrole, le directeur général de Lecko, en revanche la mise en pratique n’est pas toujours à la hauteur ».
  • Ils sont 72 % à se dire d’accord avec les phrases « les réseaux sociaux d’entreprise facilitent l’entraide entre les équipes » et « les réseaux sociaux d’entreprise favorisent l’émergence d’idées originales et de projets novateurs ». Mais seulement 25 % d’entre eux s’y connectent chaque jour pour profiter de ces vertus identifiées, selon un panel représentatif constitué par OpinionWay.
Jean-Marie Cognet

Filmer les cours en amphi : quel intérêt pour les étudiants ? - 1 views

  • Au cours du second semestre de l’année scolaire 2017-2018, des étudiants de l’Université Paris Est Créteil inscrits en première année de licence de sciences ont pu suivre un enseignement de biochimie structurale dans lequel les cours magistraux étaient également filmés et mis à leur disposition le soir même sur une plate-forme numérique.
  • Ce projet est né d’une part de considérations pratiques : il s’agissait de répondre à l’augmentation du nombre d’étudiants, qui a entraîné ces dernières années une pression sur les personnels, en nombre quasi-constant, et les locaux, notamment pour la réalisation de travaux pratiques (TP) où l’on doit respecter des règles de sécurités strictes. D’autre part, nous souhaitions explorer des solutions innovantes pour améliorer l’enseignement.
  • Notre idée première était d’organiser la captation vidéo du cours dans un amphithéâtre, afin de mettre rapidement cette ressource à la disposition de tous les étudiants de première année, et de se passer de la réalisation d’un second créneau de cours. Contrairement à ce qui peut se faire dans certains départements, en médecine par exemple, il ne s’agissait pas de retransmettre le cours en direct dans une autre salle, mais de le mettre en ligne, sans montage, sur une plate-forme dédiée.
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  • Les cours magistraux sont dédoublés, à la fois pour des questions de pédagogie et de place – le grand amphithéâtre étant très peu disponible. Chaque cours au programme est donc assuré deux fois, face à deux parties distinctes de la promotion, tout en s’efforçant de délivrer exactement le même contenu (ce qui est bien entendu une utopie).
  • L’avantage escompté était de diviser par deux le temps d’occupation des amphithéâtres, de libérer du temps aux enseignants pour d’autres missions, comme le suivi des étudiants, et de délivrer le même contenu à tous les étudiants.
  • une grande majorité des étudiants (61 %) favorables à ce suivi à distance n’étaient pas prêts à renoncer aux cours en présentiel, mais souhaitaient au contraire associer les deux modalités. 24 % de leurs camarades comptaient maintenir un travail présentiel classique, sans utilisation des vidéos, et seuls 14 % des étudiants semblaient réellement intéressés par un enseignement exclusivement à distance.
  • En effet, en comparaison avec les taux de présence des dernières années, il s’avère que le dispositif n’a finalement pas découragé les étudiants d’assister aux cours.
  • Interrogés à la fin du semestre, près de 85 % des étudiants déclarent avoir trouvé ces captations de cours utiles à leurs apprentissages. Étant donné que 10 % d’entre eux se sont déclarés sans opinion à ce propos, il n’y a qu’environ 5 % de la promotion seulement qui n’y a pas vu de bénéfices. Par ailleurs, 81 % des étudiants souhaiteraient que ce type de dispositif pédagogique soit généralisé en licence.
  • 39 % des étudiants déclarent s’être appuyés sur les vidéos pour travailler ce module de biochimie. Parmi ceux-ci, 90 % déclarent avoir à la fois suivi les cours en présentiel et en vidéo. Seulement 10 % ont donc utilisé la vidéo pour compenser leur absence au cours magistral. À signaler, une courte majorité des étudiants (53 %) indique avoir révisé sans les vidéos.
  • À travers une enquête menée par une étudiante dans le cadre d’un stage, nous avons pu affiner les informations sur l’utilisation des vidéos. La grande majorité des étudiants en a profité pour compléter ses notes de cours et revenir sur des notions mal comprises. D’après eux, l’avantage est de pouvoir cibler les passages à reprendre, et de faire des pauses dans le déroulé du cours si nécessaire.
  • beaucoup d’utilisateurs ont exprimé leur satisfaction d’avoir pu bénéficier des captations du cours pendant leur phase de révision, les dernières semaines avant l’examen terminal. Enfin, d’autres étudiants, plus rares, assument utiliser les cours en format vidéo pour parer à une absence subie ou voulue aux cours magistraux
  • Les résultats et pratiques observés les ont confortés dans la stratégie de mise en place d’un serveur d’hébergement de vidéos, assorti de nouveaux services : mise à disposition de médias aux étudiants, enrichissement des vidéos, streaming en direct… Ces services seront donc proposés pour de prochaines interventions et sur d’autres sites de l’université.
  • L’outil de « gestion » est devenu un réel outil pédagogique, rassurant et bienveillant, puisqu’il permet de réentendre les explications de l’enseignant sans limite d’heure, de temps, de lieu… D’autre part, ces vidéos, de manière assez surprenante, rendent ainsi les étudiants plus actifs dans leurs apprentissages ! Elles permettent de compléter les notes de cours, les fiches, principalement par le re-visionnage des séquences choisies. Voilà qui ouvre aussi de nouvelles perspectives pour l’accueil d’étudiants ayant besoin d’un accompagnement particulier. Cet article a été écrit en collaboration avec Denis Moueza et Pascal Gosset de la Direction des systèmes d’information de l’UPEC.
Jean-Marie Cognet

[Newsletter #145] Silence, ça tourne ! La vidéo fait sa star en formation - 2 views

  • Avant tout, la vidéo n’est pas un média miraculeux. Elle ne doit pas et ne peut pas se substituer à tous les médias et supports utilisés jusqu’à présent en formation. Son succès repose cependant sur de solides arguments : elle est en phase avec nos penchants sensoriels naturels ; entre « voir » et « faire », les neurosciences nous ont appris que la différence est faible ; elle nous donne de petits moments de repos dans nos journées intenses en nous mettant dans une posture relativement passive ; elle apporte une quantité importante d’informations en peu de temps et, quand elle combine parole + pictogramme + 1 mot, facilite grandement la compréhension des informations clés ; elle permet d’incarner le propos quand un personnage, un expert, un narrateur, est à l’écran ; elle peut être accélérée, zappée, rejouée, en toute facilité.   Ses usages en formation sont multiples : inciter, donner envie, surprendre, étonner, intriguer : par une séquence courte et rythmée, souvent appelée « teaser », qui s’apparente aux bandes-annonces du cinéma ; exposer, expliquer, démontrer, argumenter : par un expert, une animation (aussi appelée motion design), une simple présentation PowerPoint commentée ; faire réfléchir : en scénarisant un exercice sous forme d’énigme racontée ; convaincre : par des propos structurés et incarnés (et le biais cognitif de simple exposition) ; distraire : pour diminuer la charge mentale pendant quelques minutes et permettre de reconstituer ses capacités d’attention, de réflexion et de mémorisation ; surprendre : par une dose d’humour, un décalage, une mise en scène et provoquer des émotions qui renforcent l’attention et la motivation ; captiver : en incarnant et mettant en scène le sujet, d’autant plus en utilisant les techniques de Storytelling.
  • Les plus connues pour le stockage et la diffusion de vidéos sont : YouTube : simple, gratuit, très performant, mais parfois bloqué par les services informatiques, Vimeo : l’alternative Pro à YouTube, Microsoft Streem : quand on est condamné à ne pas avoir le choix…, DailyMotion : quand on est audacieux et un tantinet chauvin, Momindum ou Inwicast : pour mettre en place votre propre espace privé. Cependant, la vidéo peut aussi être diffusée en « live » pour retransmettre une conférence, un atelier, une session en ligne. Là encore des solutions existent : Google Hangout live : simple, rapide, gratuit, Périscope : pour profiter des audiences de Twitter, Facebook Live : l’incontournable, Instagram : le challenger de la famille Facebook (en surveillant iGTV), ou les solutions Pro comme VeoLabs, UbiCast.
Jean-Marie Cognet

Les MOOC au coeur de la transformation des enseignements de l'Institut Mines ... - 2 views

  • Fin avril l’Institut Mines Télécom publiait son premier rapport d’activité sur le développement des Massive Open Online Courses (MOOC) depuis son démarrage en 2013 jusqu’à fin 2016. Un rapport très complet, téléchargeable depuis ce lien
  • Vous avez produit 26 MOOC dont 10 sur les 12 derniers mois. Comment gérez vous l’industrialisation de cette production ? Je vais peut-être vous étonner, mais on pourrait dire qu’en pratique, chacun de nos MOOC est un prototype, une nouvelle aventure pédagogique. Nous avons assez peu d’industrialisation mais plutôt du partage d’expérience.
  • Il n’y a pas de processus organisé sur la production des vidéos comme peut le faire le  CNAM. La plupart des écoles ont un studio, et il en existe un au niveau de la direction générale de L’Institut.
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  • Cette industrialisation a-t-elle permis de réduire fortement les coûts de production ? Non, car chaque MOOC est différent. Les MOOC  construits avec des activités relativement standards sont globalement moins coûteux à produire que la moyenne
  • Je constate des différences d’appétences personnelles des enseignants vis à vis du format MOOC. Je distinguerais trois grandes catégories de motivation, un enseignant pouvant avoir les trois.   Il y a d’abord l’enseignant sur le campus qui pense à ses élèves et veut introduire le numérique dans sa pédagogie. Il raisonne au fond sur un cours numérique, mais pas vraiment sur un cours ouvert à tous et massif. Une deuxième catégorie conçoit les MOOC comme un outil de promotion pour leur matière et éventuellement pour eux-mêmes. Enfin, une troisième aborde ce format comme  une nouvelle pédagogie et s’interroge sur comment s’adresser à une communauté qui n’est pas celle des étudiants habituels des écoles, et de ce fait sur la façon de transmettre.
  • Et concernant les activités proposées ? Quelle est la bonne activité pour faire acquérir la connaissance ou la compétence ?  Les concepteurs de MOOC ont un tropisme vers la vidéo, mais nous avons constaté, parfois de manière très factuelle, que pour certains grains de connaissance elle n’est pas le médium le plus adapté.  Il faudrait se poser la question de comment utiliser au mieux la vidéo ?  Ainsi, pour le MOOC “S’initier à la fabrication numérique”, des vidéos de reportage dans des fab lab montrent des exercices pratiques, c’est très démonstratif. Le MOOC “Introduction à la mécanique des fluides” inclut des vidéos de terrain.
  • Certains enseignants ont-ils du mal à passer de l’autre côté de la caméra ?   Oui évidemment cela arrive, mais je trouve aussi très intéressant qu’un enseignant chercheur ne souhaite pas passer devant la caméra. Si vous prenez l’exemple du cinéma, on peut avoir envie d’aller voir un film réalisé par Steven Spielberg sans forcément s’attendre à le voir à l’écran. Pour moi, la valeur ajoutée unique de l’enseignant chercheur, c’est le contenu et la façon de le transmettre, c’est à dire la pédagogie. C’est le coeur de son métier.
  • Le portrait type d’un incrit à vos MOOC est un homme (75%) entre 25 et 44 ans (58 %) avec un niveau d’étude au moins égal à Bac +5 (53 %). Allez vous élargir cette cible ?
  • Exploitez vous cette base d’inscrits ? La base d’inscrits ne nous est en pratique pas facilement accessible. Avec edX, nous y avons en principe accès, mais nous n’avons pas encore d’interlocuteur en matière de données à qui edX transmettrait les fichiers
  • En 2015-2016, sur les 10 000 étudiants de nos campus, le nombre d’inscriptions d’étudiants à un MOOC a été de 5 000, dont un peu moins de 2 000 sur des MOOC externes. Les trois écoles qui les utilisent le plus dans leur pédagogie sont : IMT Atlantique (école résultant de la fusion de Télécom Bretagne et Mines Nancy), Télécom SudParis et IMT Lille-Douai
  • Par ailleurs, pour l’appel à projet “Nouveaux cursus à l’université”, l’Institut  a proposé un projet de collection de formations en ligne incluant un parcours diplômant. Nous étudions la possibilité d’en développer d’autres ciblant plus spécifiquement l’Afrique francophon
  • Fondamentalement cela nous a beaucoup apporté. Nous constatons une grande similitude de valeur et de fonctionnement entre Fun et Edx ce qui est logique car toutes deux ont été créées par des acteurs académiques. Même si Coursera a été fondée par d’anciens enseignants de Stanford, en pratique la plateforme est financée par des fonds d’investissement de la Silicon Valley. Coursera est donc plus une start-up du numérique. Si un but de Coursera est l’accès à l’enseignement pour le plus grand nombre, nous constatons aussi que  l’entreprise est très active dans la  recherche d’un modèle économique
  • Quel bilan faites vous de l’utilisation des MOOC en formation continue ? On est encore au début de l’histoire. Notre MOOC “Innover et entreprendre dans un monde numérique” a déjà  été utilisé par un acteur du secteur de l’énergie pour former  2 500 salariés.
Jean-Marie Cognet

L'intensité d'utilisation des TIC influe sur la capacité d'une entreprise à i... - 0 views

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    plus une entreprise fait usage d'une TIC, plus elle est innovante
Jean-Marie Cognet

Quand toute surface devient tactile et propice au travail collaboratif - 0 views

  • L'Extended Multitouch utilise la Kinect pour rendre toute interface tactile. Il est également capable de reconnaître la présence de plusieurs personnes, afin de permettre des actions différenciées.
Jean-Marie Cognet

Newsletter #71 MOOC & SPOC, vraiment différents du e-learning ? - 4 views

  • Répartir les efforts et imposer un rythme de travail dans le temps. Le « Quand on veut » de l’e-learning était bien souvent « au dernier moment ». Que ceux qui n’ont jamais fait la sourde oreille aux relances par email pour se retrouver finalement obligés d’engloutir toute la série de modules un vendredi après-midi lèvent la main, on leur décerne une médaille !
  • Les experts se montrent, incarnent la formation, et parfois même « font le cours » au travers de vidéos. C’est cette utilisation importante de la vidéo qui donne de la vie et de la proximité avec les apprenants. On ne doit pas uniquement lire et travailler, on nous parle !
  • ce format attractif et engageant a un dernier avantage, et pas des moindres, le prix ! Il est possible de produire un MOOC pour 50.000 €. Certes ce n’est pas une paille, mais cela reste inférieur à bien des parcours e-learning.
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  • il reste encore quelques points à améliorer.
  • Diminuer le taux d’abandon :
  • Trouver un bon business modèle
  • Éduquer les utilisateurs :
  • Anticiper la lassitude :
Jean-Marie Cognet

Vidéo : rupture dans la formation - 0 views

  • Plébiscitées par les utilisateurs, jouées sur PC ou smartphone, les vidéos de formation sont appelées à prendre beaucoup d’importance - ce qui n'est pas sans poser de mutiples questions… Celle en particulier de la capacité des systèmes et des acteurs à affronter cette rupture…
  • YouTube : 2ème moteur de recherche le plus utilisé au monde (après Google, dont il est une division). Vidéos lues sur PC, tablette, smartphone (2 milliards d’utilisateurs disposent d’un mobile capable de lire des vidéos)
  • Au moins, si la question se résumait à la consommation de vidéos, et aux aspects techniques de sa diffusion ! Il s’en faut de loin, car ces vidéos sont produites par les utilisateurs de smartphones eux-mêmes (vous et moi), c’est-à-dire, demain, les apprenants (user content generation). L’enjeu, c’est aussi celui de l’intégration des savoirs directement produits par les utilisateurs, les experts de terrain, dans les dispositifs formels ou 70.20.10 de l’entreprise. Enjeux multiples : techniques (ce sont pas les plus délicats), culturels et organisationnel : de l’alignement hiérarchique aux distributions transverses.
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  • oncrètement : doivent-elles utiliser leur LMS ou créer une chaîne privée sur YouTube (après tout, c’est ainsi que les MOOC ont commencé, avec la Khan Academy)… ou les deux ? Comment s’assurer alors de la mise en cohérence ? Nombre de fournisseurs, parmi les leaders (Skillsoft) ou les nouveaux venus (Udacity), investissent massivement dans les vidéos de formation pour se hisser au sommet d’un marché très prometteur.  Parmi les nouveaux acteurs, on n’oubliera pas de citer Workday, bien décidé à entrer sur le marché des plateformes LMS (3 milliards de dollars par an), justement à travers un positionnement vidéo original. Impact aussi sur les outils auteurs, dont l’avenir semble s’assombrir avec le développement de la prise de vidéo ou de photos, et les possibilités de montage offertes par les smartphones évolués.
  • en matière de granularité des savoirs, car l’apprenant devra pouvoir jouer les quelques secondes qui l’intéressent dans une vidéo de dix minutes et plus (Ted Talk, par exemple) : question de tagging des contenus, pas toujours bien supporté actuellement.
Jean-Marie Cognet

Transformation digitale : Top et Flop des pratiques internes en 2017 - Agorize - 1 views

  • Le COOC (Corporate Open Online Course) est une formation en ligne proposée par une entreprise à ses employés, quelle que soit leur ancienneté. C’est un très bon outil pour former les nouvelles recrues, remettre à niveau les plus séniors et inscrire ses équipes dans la formation continue.
  • Enfin, qu’une formation soit en ligne ou hors ligne, on ne peut échapper à la courbe de l’oubli d’Ebbinghaus : au bout de 6 jours, le taux de rétention des apprentissages chute à 25% !  
  • N°2 : Le hackathon interne (top) Le terme hackathon est la contraction du mot anglais hack (solution rapide et bricolée pour contourner un problème) et marathon (épreuve d’endurance mettant au défi la résistance des participants). Un hackathon est donc une compétition qui invite les participants à apporter la réponse la plus pertinente et innovante à une problématique d’entreprise. Le principe du hackathon interne est simple : l’entreprise identifie une ou plusieurs problématiques à résoudre en utilisant l’intelligence collective de ses employés. Le challenge peut être de créer un nouveau produit, imaginer une campagne de communication innovante ou encore réaménager les bureaux pour favoriser le bien-être au travail.
Jean-Marie Cognet

L'utilisation pédagogique des vidéos TED, c'est maintenant et c'est gratuit - 0 views

  • TED a développé, grâce à une aide substantielle*, une plate-forme d’intégration et de gestion de vidéos éducatifs accessible et gratuite, et toujours avec la qualité «TED». Elle se nomme TED-Ed.
Jean-Marie Cognet

La vidéo s'impose comme l'un des contenus de choix sur tablette - 0 views

  • Ces supports sont de plus en plus utilisés aux Etats-Unis, et plus particulièrement chez les propriétaires de smartphones. Près de 10 % les utilisent quotidiennement pour regarder des vidéos.
Jean-Marie Cognet

Adobe abandonne également le lecteur Flash sur TV - 0 views

  • Nous apprenions hier que la société Adobe ne souhaitait plus développer son lecteur Flash pour les systèmes d'exploitation mobiles. La firme expliquait vouloir encourager davantage les développeurs à utiliser ses outils pour encapsuler leurs applications afin qu'elles tournent de manière native sur différents OS.
Jean-Marie Cognet

E-LEARNING-INFOS : Article/Dépêche - Les entreprises investissent dans le e-l... - 0 views

  • 77% des 600 entreprises et organisations répondantes (sur un panel total de 1800, à 66% britanniques) considèrent que le e-learning (au sens large) leur permettra de s'adapter plus rapidement au contexte créé par la crise, soit 11% de plus qu'en 2010
  • les motifs de développer le e-learning sont identiques un peu partout en Europe, à ceci près que nos voisins d'Outre-Manche investissent 18% de leur budget formation dans le e-learning… Français encore un effort !
  • Autre confirmation : les nouvelles technologies de la formation viennent en soutien d'une plus grande implication des salariés (78%) et de la stratégie de gestion des talents (68%).
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  • les entreprises semblent assez matures pour avoir mis en œuvre de nombreux nombreux médias de formation (au-delà du présentiel et des modules e-learning) : classes virtuelles (77%) (prochaine conquête des entreprises françaises ?), utilisation de la vidéo (61%), les activités d'évaluation à égalité avec les médias sociaux à usage de formation (41%), le mobile learning fait une percée importante (39%)… Enfin on commence à parler sérieusement du Cloud (20%)…
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