À l'université, l'apprentissage ne se résume pas aux conférences et aux cours magistraux. C'est un fait. De la même façon, les plateformes de MOOCs passent aujourd'hui à la vitesse supérieure en favorisant, tout d'abord, la collecte de données et la création de nouveaux contenus évolutifs. Cet espoir (ou cet objectif, c'est selon) a un nom : l'écosystème d'apprentissage coopératif. L'idée ? Dès que quelqu'un a appris quelque chose, l'apprenant suivant doit pouvoir l'apprendre plus facilement. Une amélioration perpétuelle au service de la transmission des savoirs, dont les universités se veulent le fer de lance.
Ensuite, les MOOCs évoluent en se mettant sur la voie de la recherche. L'avenir du MOOC pourrait ainsi être la MOOR (Massive online open research), dont l'avenir est étudié par l'université. Une manière de redonner la parole aux étudiants !
le lent recul de la formation présentielle (en salle avec un formateur) se confirme même si l'Allemagne et la France restent en retrait sur la digitalisation des contenus, vis à vis notamment de l'Espagne où 65 % des salariés disent avoir bénéficié d'une formation à distance en ligne _ ils ne sont que 29 % en France !