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Jean-Marie Cognet

Quand l'éducation devient collaborative - Page 2 sur 2 | Page 2 - 0 views

  • Motivation, implication et réussite sont les dynamiques les plus observées. Des chercheurs se sont même réunis pour s’intéresser au sujet : le peer instruction et les classes d’apprentissage actif permettent d’aborder des domaines auxquels l’étudiant n’aurait pas forcément eu accès sans l’expérience d’un pair.
  • Avec l’apprentissage entre pairs, l’enseignement devient surtout accessible à tous : à condition que le professeur soit un initié expérimenté dans son domaine, l’apprentissage peut se faire en toute liberté. Un cours en ligne, un atelier collectif, un tutoriel, etc. : que ce soit en face à face ou dématérialisée, la connaissance se partage entre celui qui désire apprendre et celui qui a un enseignement particulier.
  • Le peer instruction connaît un tel engouement que les innovations en la matière font légion : les écrans tactiles connectés entre eux de l’école de management de Lyon, les boîtiers électroniques participatifs de l’université Pierre-et-Marie-Curie, les cas pratiques de l’Université Paris-Est… Les learning labs et les fablabs (laboratoires d’apprentissage et de fabrication) sont les nouvelles salles de cours : ultra-connecté et modulable, l’enseignement passe par la pratique et les expérimentations. Il ne s’agit plus de se contenter d’avoir des idées mais de les concrétiser.La construction d’un savoir en communLe savoir est partout : le professeur n’est plus son seul détenteur ! Les connaissances fusent et sortent des salles de classes, elles deviennent accessibles à tous. Les encyclopédies collaboratives ont à elles seules transformé le visage de l’éducation.
Jean-Marie Cognet

Apprentissage actif ou passif ? Élargissez vos horizons avec les 4 modes d'en... - 0 views

  • L’apprentissage actif fait référence à des approches pédagogiques centrées sur l’apprenant. Ces approches témoignent, dans le chef des enseignants, de la volonté de concevoir des activités d’apprentissage visant à impliquer les étudiants de manière dynamique dans le processus d’apprentissage. Comme le soulignait récemment Mikaël Declerck – chercheur à l’UCLouvain – lors d’une présentation de synthèse organisée au Louvain Learning Lab, l’apprentissage actif se caractérise par le fait de : impliquer l’étudiant dans la construction de l’apprentissage, engager l’étudiant dans un traitement en profondeur de la matière, construire l’apprentissage par l’interaction (avec l’enseignant et avec les autres étudiants), concevoir l’apprentissage comme une évolution des connaissances et des compétences.
Jean-Marie Cognet

Amphi-b ouvre aujourd'hui [immersive lab] « Tapahont.info - 0 views

  • Amphi-b est une offre de location d’amphithéâtres virtuels en mode SaaS.
  • Amphi-b est donc un site web sur lequel il est possible de réserver un des quatres amphis de 250 places et de gérer ses invitations (spectateurs/intervenants/VIP) et d’uploader ses documents (.pdf, images, .doc…). Le site est associé à un univers 3D accessible dans le navigateur (Mac/Pc – tous les navigateurs) dans lequel il est possible de se déplacer, prendre place dans l’amphi, utiliser le chat ou la VoIP et bien sûr afficher les documents cités plus haut.
Jean-Marie Cognet

Onboarding… L'université donne l'exemple ! - 1 views

  • "Une rentrée bien préparée grâce à l’UTT Training Lab" (quand l’université se met au marketing). Le contenu répond en tous points à ce cahier des charges : un module d’accueil et de découverte de l’école (on pense à l’apps de découverte de Thales Université), un module d’évaluation des méthodes de travail ; interactif : le dispositif fourmille de tests disciplinaires en mathématiques, physique et chimie qui incitent aux révisions, si nécessaire ; accompagné : des rendez-vous par "tchat". Il y a du MOOC là-dedans, d’autant que les ressources comprennent des vidéos.
  • Une inspiration pour l’intégration des nouveaux salariés dans l’entreprise ? Certainement : on sait l’importance que les entreprises accordent à la réduction du délai d’opérationnalité, car il s’agit que le salarié soit aussi rapidement que possible intégré dans les opérations. On sait par ailleurs que la qualité de la formation et de l’accompagnement du salarié permet très largement de contenir les démissions en période d’essai. A quand ces "Corporate Training Lab" qui pourraient rendre de grands services aux entreprises ?
Jean-Marie Cognet

Le CNED passe par un living lab pour concilier technologies et éducation | L'... - 0 views

  • Le laboratoire a été créé dans le but d'adapter les outils multimédia au domaine de l'éducation. Pour ce faire, il est soutenu dans son projet par des entreprises et d'autres organisations de recherche.
Jean-Marie Cognet

Digitalisation : l'AFPA franchit un nouveau cap - 2 views

  • l’association nationale pour la formation professionnelle des adultes dévoile deux nouvelles initiatives. La première est le lancement du Lab’ Social Learning, une structure co-fondée avec huit start-up du secteur de la formation qui vise à définir les contours de la pédagogie de demain
  • ’AFPA, qui a formé 140 000 personnes en 2015, dont 87 000 demandeurs d’emploi, a également capitalisé sur son partenariat avec Orange. Elle a développé Métis, une plateforme de formation généraliste qui intègre non seulement toutes les ressources pédagogiques de l’association (QCM, vidéos, photos, tests…), mais aussi les livrets des stagiaires et les guides des formateurs.
  • Les 4000 formateurs de l’AFPA ne sont pas en reste. Grâce à cet outil de travail, "ils sont désormais en mesure de créer de nouvelles activités pédagogiques, de personnaliser le parcours de leurs apprenants, d’enrichir les formations avec leurs propres ressources…", précise Yves Barou. Disponible sur 10 sites pilotes et pour 11 formations qualifiantes ou certifiantes
Jean-Marie Cognet

L'Afpa accélère sa transformation digitale - E-learning & MOOc - Focus RH - 0 views

  • La transformation digitale est au cœur de notre stratégie pour les prochaines années. L’Afpa a, selon moi, deux atouts pour la concrétiser : d’abord, avec 140 000 personnes formées chaque année, nous avons une force de frappe et une capacité de tests et de déploiement uniques. Ensuite, nos principes fondamentaux restent adaptés à la digitalisation de la formation : reproduction de situations de travail grâce à des simulations par exemple, apprentissage de l’autonomie dans un cadre collectif et transmission des gestes professionnels.
  • Nous venons de lancer une plateforme numérique de formation, Métis, la première à être à la fois multimétiers et francophone. Co-développée avec Orange, elle intègre l’ensemble des ressources pédagogiques ainsi que des outils d’échange permettant de travailler en groupe, en même temps ou de façon asynchrone, avec ou sans le concours du formateur. Les stagiaires peuvent échanger avec leurs homologues du même groupe ou avec des stagiaires d’autres formations
  • L’Afpa vient également de lancer le Lab Social Learning. De quoi s’agit-il ? Ce dispositif est justement orienté sur l’émergence de nouvelles modalités pédagogiques, en lien avec les évolutions technologiques. Nous nous associons aujourd’hui avec huit start-up qui apportent leur expertise et des points de vue différents.
Jean-Marie Cognet

Qui est donc le "salarié self RH" ? - Carrière RH - Focus RH - 0 views

  • Elle met en évidence la montée en puissance d’un "salarié self RH" qui, grâce au  numérique, met en œuvre ses propres pratiques RH de développement et de revente de ses compétences. Une évolution que l'on doit aux NTIC, qui ont massivement transformé nos façons de travailler : 88% des salariés interrogés confirment que le numérique a modifié leur métier.
  • "Le salarié self RH est celui qui met en place ses propres pratiques RH pour développer ses compétences (notion d’apprentissage numérique informel, comme perfectionner son anglais dans le train avec une appli mobile), les faire connaître (travailler sa visibilité sur Internet, mettre à jour son réseau social, poster ou partager des news, développer son propre blog) et les revendre (en changeant d’entreprise ou en proposant ses compétences en tant que freelance)" explique Emmanuel Baudoin, responsable du HRM Digital Lab et professeur associé à Télécom Ecole de Management. (link is external)
  • 52% des salariés déclarent avoir recours à l’apprentissage numérique informel, que ce soit sur une base quotidienne ou plus sporadiquemen
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  • La formation en entreprise est également présente présente mais loin derrière. Voici donc les méthodes d’apprentissage les plus utilisées : 93% : S’autoformer grâce à internet (via des articles, forums..) 84% : Demander à des connaissances personnelles (amis, famille) 84% : Demander à un(e) collègue 56% : Suivre une formation proposée par son entreprise 43% : Suivre une formation en dehors du cadre du travail.
Jean-Marie Cognet

[Newsletter #145] Silence, ça tourne ! La vidéo fait sa star en formation - 2 views

  • Avant tout, la vidéo n’est pas un média miraculeux. Elle ne doit pas et ne peut pas se substituer à tous les médias et supports utilisés jusqu’à présent en formation. Son succès repose cependant sur de solides arguments : elle est en phase avec nos penchants sensoriels naturels ; entre « voir » et « faire », les neurosciences nous ont appris que la différence est faible ; elle nous donne de petits moments de repos dans nos journées intenses en nous mettant dans une posture relativement passive ; elle apporte une quantité importante d’informations en peu de temps et, quand elle combine parole + pictogramme + 1 mot, facilite grandement la compréhension des informations clés ; elle permet d’incarner le propos quand un personnage, un expert, un narrateur, est à l’écran ; elle peut être accélérée, zappée, rejouée, en toute facilité.   Ses usages en formation sont multiples : inciter, donner envie, surprendre, étonner, intriguer : par une séquence courte et rythmée, souvent appelée « teaser », qui s’apparente aux bandes-annonces du cinéma ; exposer, expliquer, démontrer, argumenter : par un expert, une animation (aussi appelée motion design), une simple présentation PowerPoint commentée ; faire réfléchir : en scénarisant un exercice sous forme d’énigme racontée ; convaincre : par des propos structurés et incarnés (et le biais cognitif de simple exposition) ; distraire : pour diminuer la charge mentale pendant quelques minutes et permettre de reconstituer ses capacités d’attention, de réflexion et de mémorisation ; surprendre : par une dose d’humour, un décalage, une mise en scène et provoquer des émotions qui renforcent l’attention et la motivation ; captiver : en incarnant et mettant en scène le sujet, d’autant plus en utilisant les techniques de Storytelling.
  • Les plus connues pour le stockage et la diffusion de vidéos sont : YouTube : simple, gratuit, très performant, mais parfois bloqué par les services informatiques, Vimeo : l’alternative Pro à YouTube, Microsoft Streem : quand on est condamné à ne pas avoir le choix…, DailyMotion : quand on est audacieux et un tantinet chauvin, Momindum ou Inwicast : pour mettre en place votre propre espace privé. Cependant, la vidéo peut aussi être diffusée en « live » pour retransmettre une conférence, un atelier, une session en ligne. Là encore des solutions existent : Google Hangout live : simple, rapide, gratuit, Périscope : pour profiter des audiences de Twitter, Facebook Live : l’incontournable, Instagram : le challenger de la famille Facebook (en surveillant iGTV), ou les solutions Pro comme VeoLabs, UbiCast.
Jean-Marie Cognet

Transformation numérique : des synergies DRH-DSI encore perfectibles, Transfo... - 1 views

  • SynapsCore, cabinet de conseil qui a réalisé une étude sur « les enjeux de l’interface entre la DRH et la DSI dans le cadre de la transformation digitale », conjointement avec Télécom Ecole de Management. Près de 40 représentants, DRH et DSI, de 33 entreprises (essentiellement grands comptes) ont été questionnés en face à face.
  • Au vu des résultats de l’enquête, les DRH et les DSI sont en demande d’une collaboration accrue : 49 % des DRH et 44 % des DSI estiment qu’il est indispensable de travailler conjointement sur des priorités RH de gestion du changement. Parmi les sujets où cette « co-élaboration » est attendue figurent notamment la mise en place de nouvelles organisations du travail, de nouvelles manières de manager les équipes, la gestion des compétences (cartographie, recrutement, formation), ou encore le Big Data. Trois points sont particulièrement saillants : le Big Data, le recrutement et la cartographie des compétences.
  • « Ce que les DRH attendent des DSI sur la question du Big Data, c’est notamment qu’ils assurent une veille technologique, qu’ils identifient les nouveaux usages et qu’ils développent les solutions permettant de gérer ces nouveaux flux »
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  • « ce que les DSI attendent des DRH c’est, d’une part une meilleure compréhension des enjeux du Big Data et ce que cela peut apporter à l’entreprise.
  • Emmanuel Baudoin, responsable de la majeure Management des Ressources Humaines de Telecom Ecole de Management et directeur du HRM Digital Lab
  • Autre sujet où les aspects humains et technologiques se rencontrent : la gestion des talents. Trouver la bonne place, pour le bon profil, au sein de l’entreprise, nécessite des outils informatiques autant qu’une expertise RH. « Les DRH sont sollicités autant pour identifier la ressource en compétences numériques qui existe déjà en interne que sur le plan du développement des ambitions professionnelles des profils digitaux », constate François Jarry. « De leur côté, les DSI plébiscitent une meilleure anticipation des besoins », note Ludovic Dervaux.
  • 46 % des personnes interrogées estiment que les synergies pourraient être plus efficaces qu’elles ne le sont aujourd’hui.
Jean-Marie Cognet

Les MOOC au coeur de la transformation des enseignements de l'Institut Mines ... - 2 views

  • Fin avril l’Institut Mines Télécom publiait son premier rapport d’activité sur le développement des Massive Open Online Courses (MOOC) depuis son démarrage en 2013 jusqu’à fin 2016. Un rapport très complet, téléchargeable depuis ce lien
  • Vous avez produit 26 MOOC dont 10 sur les 12 derniers mois. Comment gérez vous l’industrialisation de cette production ? Je vais peut-être vous étonner, mais on pourrait dire qu’en pratique, chacun de nos MOOC est un prototype, une nouvelle aventure pédagogique. Nous avons assez peu d’industrialisation mais plutôt du partage d’expérience.
  • Il n’y a pas de processus organisé sur la production des vidéos comme peut le faire le  CNAM. La plupart des écoles ont un studio, et il en existe un au niveau de la direction générale de L’Institut.
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  • Cette industrialisation a-t-elle permis de réduire fortement les coûts de production ? Non, car chaque MOOC est différent. Les MOOC  construits avec des activités relativement standards sont globalement moins coûteux à produire que la moyenne
  • Je constate des différences d’appétences personnelles des enseignants vis à vis du format MOOC. Je distinguerais trois grandes catégories de motivation, un enseignant pouvant avoir les trois.   Il y a d’abord l’enseignant sur le campus qui pense à ses élèves et veut introduire le numérique dans sa pédagogie. Il raisonne au fond sur un cours numérique, mais pas vraiment sur un cours ouvert à tous et massif. Une deuxième catégorie conçoit les MOOC comme un outil de promotion pour leur matière et éventuellement pour eux-mêmes. Enfin, une troisième aborde ce format comme  une nouvelle pédagogie et s’interroge sur comment s’adresser à une communauté qui n’est pas celle des étudiants habituels des écoles, et de ce fait sur la façon de transmettre.
  • Et concernant les activités proposées ? Quelle est la bonne activité pour faire acquérir la connaissance ou la compétence ?  Les concepteurs de MOOC ont un tropisme vers la vidéo, mais nous avons constaté, parfois de manière très factuelle, que pour certains grains de connaissance elle n’est pas le médium le plus adapté.  Il faudrait se poser la question de comment utiliser au mieux la vidéo ?  Ainsi, pour le MOOC “S’initier à la fabrication numérique”, des vidéos de reportage dans des fab lab montrent des exercices pratiques, c’est très démonstratif. Le MOOC “Introduction à la mécanique des fluides” inclut des vidéos de terrain.
  • Certains enseignants ont-ils du mal à passer de l’autre côté de la caméra ?   Oui évidemment cela arrive, mais je trouve aussi très intéressant qu’un enseignant chercheur ne souhaite pas passer devant la caméra. Si vous prenez l’exemple du cinéma, on peut avoir envie d’aller voir un film réalisé par Steven Spielberg sans forcément s’attendre à le voir à l’écran. Pour moi, la valeur ajoutée unique de l’enseignant chercheur, c’est le contenu et la façon de le transmettre, c’est à dire la pédagogie. C’est le coeur de son métier.
  • Le portrait type d’un incrit à vos MOOC est un homme (75%) entre 25 et 44 ans (58 %) avec un niveau d’étude au moins égal à Bac +5 (53 %). Allez vous élargir cette cible ?
  • Exploitez vous cette base d’inscrits ? La base d’inscrits ne nous est en pratique pas facilement accessible. Avec edX, nous y avons en principe accès, mais nous n’avons pas encore d’interlocuteur en matière de données à qui edX transmettrait les fichiers
  • En 2015-2016, sur les 10 000 étudiants de nos campus, le nombre d’inscriptions d’étudiants à un MOOC a été de 5 000, dont un peu moins de 2 000 sur des MOOC externes. Les trois écoles qui les utilisent le plus dans leur pédagogie sont : IMT Atlantique (école résultant de la fusion de Télécom Bretagne et Mines Nancy), Télécom SudParis et IMT Lille-Douai
  • Par ailleurs, pour l’appel à projet “Nouveaux cursus à l’université”, l’Institut  a proposé un projet de collection de formations en ligne incluant un parcours diplômant. Nous étudions la possibilité d’en développer d’autres ciblant plus spécifiquement l’Afrique francophon
  • Fondamentalement cela nous a beaucoup apporté. Nous constatons une grande similitude de valeur et de fonctionnement entre Fun et Edx ce qui est logique car toutes deux ont été créées par des acteurs académiques. Même si Coursera a été fondée par d’anciens enseignants de Stanford, en pratique la plateforme est financée par des fonds d’investissement de la Silicon Valley. Coursera est donc plus une start-up du numérique. Si un but de Coursera est l’accès à l’enseignement pour le plus grand nombre, nous constatons aussi que  l’entreprise est très active dans la  recherche d’un modèle économique
  • Quel bilan faites vous de l’utilisation des MOOC en formation continue ? On est encore au début de l’histoire. Notre MOOC “Innover et entreprendre dans un monde numérique” a déjà  été utilisé par un acteur du secteur de l’énergie pour former  2 500 salariés.
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