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lauraschmitz1992

Denis Cristol : « Instaurer une culture où l'on n'apprendrait pas seulement p... - 0 views

  • Il y a d’un côté des systèmes d’information pilotés par les DSI, et de l’autre des usages numériques emmenés par les utilisateurs. Les deux univers peuvent se confronter, par exemple quand les dirigeants sont rigides et ne veulent rien changer. Mais ils peuvent aussi se marier, fusionner harmonieusement. C’est le cas quand il y a, de part et d’autre, une volonté de redonner du sens pour le collectif.
  • De la puissance : cette puissance, c’est celle du collectif. Le vrai défi est de réussir à instaurer une culture où l’on n’apprendrait pas seulement pour sa carrière (ce que l’on fait dans toutes les grandes écoles françaises), mais aussi pour sa communauté.
lauraschmitz1992

Social Learning : pourquoi nous apprenons mieux avec les autres - 0 views

  • Le Social Learning repose sur la théorie de l’apprentissage social développée par le psychologue canadien Albert Bandura. L’enfant apprend davantage par l’observation de ses pairs et l’imitation de modèles comportementaux que par le biais de conditionnements. Issu des travaux du pédagogue américain Edgar Dale, le cône de l’apprentissage [1] valide par ailleurs la démarche du Social Learning. Nous retenons 90 % de l’information que nous partageons ou enseignons contre 10 % seulement de ce que nous lisons et 20 % de ce que nous entendons.
  • Cette co-construction des savoirs s’incarne de plusieurs façons : En insufflant l’esprit du Social Learning dans le cadre de formations Blended ou à distance ; Des temps de partage et d’expérimentation en commun structurent la formation présentielle. La construction de nouvelles pratiques s’appuie sur des approches de codéveloppement professionnel[1] Un groupe WhatsApp prolonge par exemple la réflexion. Le partage de bonnes pratiques se poursuit à l’occasion d’un e-coaching (Blended learning). En constituant de véritables communautés d’apprentissage qu’il convient alors d’organiser et d’animer pour les doter d’un maximum d’efficacité. Dans cette optique, la connaissance des motivations de l’apprenant à rejoindre la communauté d’apprentissage est importante. L’animation d’échanges réguliers autour du thème de la formation et la définition d’objectifs précis et réalistes vont permettre de nourrir des relations affectives et sociales. Si le Social Learning permet de « mieux apprendre », c’est notamment par que le partage de connaissances (qui en est son principe actif) conforte la confiance en soi de ceux qui le pratiquent. Il active également la dimension de solidarité et de lien social, réduisant le sentiment d’impuissance et d’isolement. Face aux multiples possibilités d’apprentissage et de progression professionnelle qui s’ouvrent à lui, l’apprenant social se révèle dynamique, agile et enthousiaste
Jean-Marie Cognet

Mettre en ligne des cours, ils s'en mordront les doigts ? - 1 views

  • Le cours filmé est en quelque sorte une marchandise d’appel qui doit amener à rejoindre une communauté d’apprentissage puis de voir certifier ses apprentissages. D’ailleurs les universités américaines qui font cela ont bien compris le filon…. ils attirent avec la vidéo, ils retiennent avec la certification… et l’accompagnement.
Jean-Marie Cognet

Aline Pesse, Akor Consulting : | Les interviews de la formation - 2 views

  • Comment se matérialise l'apprentissage collaboratif (ou social learning) ? Les échanges entre pairs, le partage de bonnes pratiques, la recherche d’aide auprès d’une communauté sont autant de pratiques sources d’apprentissage. C’est pourquoi COOC&BOOST est une solution résolument sociale, conçue pour favoriser les échanges, la mise en commun et la collaboration. Que ce soit à travers des forums, des exercices collectifs interactifs (construction d’un nuage de mots, image interactive, vidéo interactive…) ou des commentaires, les interactions sont sans cesse facilitées et encouragées pour maximiser l’engagement des apprenants, les positionner en acteurs de leur formation et ancrer les apprentissages.
  • L'Enseignement Assisté par Ordinateur lancé il y a quelques années, et le e-learning n’ont pas suscité l’émulation et se sont souvent révélés peu efficaces. Ces écueils sont sans doute liés au faible degré d’interactivité de ces formats pédagogiques inscrits dans une dynamique de contenus descendants. La plateforme de COOC social, par définition collaborative, incite chacun à mettre ses informations à jour, à suivre l’actualité sur les groupes et parcours de formation auxquels il participe. Le fait de contribuer aux échanges, de partager, d’être suivi, d’avoir des commentaires « likés »… est donc bien entendu valorisant, mais c’est également une question de e-reputation dans l’entreprise. Le côté social contribue fortement à maximiser le taux de complétude des modules. Par ailleurs, selon l’étude réalisée par Charles Jennings et Jérôme Wargnier * explorant l’impact des nouvelles technologies sur le modèle d’apprentissage, la règle bien connue des 70:20:10 * demeure incontestée. Ce qui signifie que les collaborateurs qui réussissent attribuent leurs succès avant tout à leurs challenges professionnels (à hauteur de 70 %), puis aux interactions avec leur entourage (à hauteur de 20 %) et enfin à la formation professionnelle (à hauteur de 10 %).
Jean-Marie Cognet

5 conseils pour partager du contenu e-learning sur Twitter - 0 views

  • Fédérez une communauté autour d’un #hashtag
  • Adoptez le micro-learning
  • Initiez des discussions en temps réel
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  • Tirez parti de la curation de contenu
  • Liez des événements d’actualité à vos cours
Jean-Marie Cognet

Formation : vers un nouveau modèle et une... - 1 views

  • L’environnement dans lequel nous nous vivons est bouleversé par 4 grandes dimensions sociétales: -       Consumériste
  • Technologique,
  • Règlementaire
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  • -       Générationnelle,
  • la place de la formation est clé ; elle est la pierre angulaire de la transformation. Si on se place au niveau des collaborateurs, être capable de s’adapter signifie être capable d’apprendre et de se développer au rythme du changement.
  • La mission de la formation dans ce contexte est bien d’anticiper l’évolution des compétences et de développer les collaborateurs et leur employabilité pour soutenir la croissance de l’entreprise et sa compétitivité.
  • en dehors du cadre du travail, nous avons modifié nos habitudes d’apprentissage.
  • Nous sommes acteurs de sa création (notamment avec l’émergence des blogueurs et autres youtubers). De la même manière que nous consommons des biens, nous consommons désormais la connaissance souvent dans l’immédiateté, par un apprentissage déstructuré en fonction de l’usage et du besoin que l’on a à un moment précis. La prolifération des « tutos » et leur utilisation massive est une illustration de l’apprentissage par des vidéos courtes, axées sur la pratique et du « comment faire »
  • l’ensemble des études sur le sujet montre que les MOOC sont surtout utilisés par des salariés qui souhaitent acquérir des connaissances nouvelles ou des expertises sur leur position actuelle ou par des salariés qui souhaitent se développer pour changer de position.
  • 1. Multiplier les opportunités de développement en proposant une diversité de modalités d'apprentissage
  • 70% de ce que l’on apprend vient des expériences que l’on vit (dont les mobilités internes, les participations à des projets), 20% provient des interactions avec notre réseau (participation à des communauté ou par les pratiques de type Reverse Mentoring,…) et 10% des formations structurées formelles
  • 2. Anticiper les évolutions de compétences distinctives et proposer des offres segmentées pour un apprentissage individualisé
  • Pour pouvoir supporter cette transformation, il est de s’appuyer sur 2 leviers :
  • La responsabilisation des managers et des collaborateurs
  • L’évolution des capacités organisationnelles de la Formation et des interfaces/systèmes
Gabriel Escobar-Mesley

LMS et nouvelles technologies de la formation : précipité de data au confluen... - 1 views

  • Outre la responsabilité personnelle de l'apprenant sur son poste et ses propos, le fournisseur du service peut également voir sa responsabilité engagée. Cas possible : le contenu peut être faux, mais on peut alors compter sur la communauté, force d'échange et d'argumentation, pour rétablir une certaine "vérité". Autre cas : le contenu est diffamant, injurieux, contraire à l'ordre public, portant atteinte à la vie privée d'un tiers, divulguant des informations personnelles voire sensibles, portant atteinte à un droit d'auteur. On comprend que les conditions générales d'utilisation de la plateforme et/ou une charte des apprenants doivent venir encadrer l'utilisation des outils collaboratifs en mettant en avant les règles d'apprentissage mais également de bonnes conduites
Jean-Marie Cognet

4 leaders donnent leurs tendances du digital learning 2019+ - 1 views

  • La mobilité et le mode collaboratif sont de plus une nécessité pour les entreprises avec le partage des données dans le Cloud.
  • Dans cet environnement, le digital Learning est le canal d’apprentissage qui convient
  • L‘expérience utilisateur se simplifie grâce aux chaînes de formation qui s'inspirent de la plateforme « Netflix » et aux centres d’intérêts par « mots clés ». Le catalogue de formation doit s’adapter en continu aux évolutions des usages et aux besoins opérationnels des lignes métiers - vers la curation des contenus. D’autre part, le style d’apprentissage doit être proposé avec différentes modalités pour répondre aux attentes du moment de l’apprenant : Vidéo, Livre, Audio et la mise en pratique avec des exercices
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  • Et aussi experts, à même de partager leur savoir métier avec leurs pairs.
  • Cette situation où seuls 8% des départements formation peuvent démontrer leur impact n’est plus tenable. Ancrez les formations dans le réel, pour répondre aux besoins de développement et de performance opérationnelle de l’organisation
  • Troisième tendance : Data. Les données n’ont jamais été aussi riches. Réactions, interactions, progression, feedback, scores... sont autant d'éléments à exploiter pour accroître la valeur des programmes de formation, y incorporer les retours de l’écosystème, et transformer les modèles organisationnels. Les données, partie immergée de l’iceberg de l’organisation apprenante en 2019 ?
  • Grâce à l’intelligence artificielle, le profiling permettra de recommander le bon contenu, au bon moment à la bonne personne ; l’humanisation avec les mises en relation entre experts, le mentoring et la gestion du coaching, le mobile et les communautés d’échange dessinent ce nouveau visage du Digital Learning
  • orce est de constater que l’autoformation a ses limites. Face aux besoins d’interaction des apprenants, la place du formateur sera pleinement réhabilitée dans les parcours de digital learning
Jean-Marie Cognet

Les MOOC au coeur de la transformation des enseignements de l'Institut Mines ... - 2 views

  • Fin avril l’Institut Mines Télécom publiait son premier rapport d’activité sur le développement des Massive Open Online Courses (MOOC) depuis son démarrage en 2013 jusqu’à fin 2016. Un rapport très complet, téléchargeable depuis ce lien
  • Vous avez produit 26 MOOC dont 10 sur les 12 derniers mois. Comment gérez vous l’industrialisation de cette production ? Je vais peut-être vous étonner, mais on pourrait dire qu’en pratique, chacun de nos MOOC est un prototype, une nouvelle aventure pédagogique. Nous avons assez peu d’industrialisation mais plutôt du partage d’expérience.
  • Il n’y a pas de processus organisé sur la production des vidéos comme peut le faire le  CNAM. La plupart des écoles ont un studio, et il en existe un au niveau de la direction générale de L’Institut.
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  • Cette industrialisation a-t-elle permis de réduire fortement les coûts de production ? Non, car chaque MOOC est différent. Les MOOC  construits avec des activités relativement standards sont globalement moins coûteux à produire que la moyenne
  • Je constate des différences d’appétences personnelles des enseignants vis à vis du format MOOC. Je distinguerais trois grandes catégories de motivation, un enseignant pouvant avoir les trois.   Il y a d’abord l’enseignant sur le campus qui pense à ses élèves et veut introduire le numérique dans sa pédagogie. Il raisonne au fond sur un cours numérique, mais pas vraiment sur un cours ouvert à tous et massif. Une deuxième catégorie conçoit les MOOC comme un outil de promotion pour leur matière et éventuellement pour eux-mêmes. Enfin, une troisième aborde ce format comme  une nouvelle pédagogie et s’interroge sur comment s’adresser à une communauté qui n’est pas celle des étudiants habituels des écoles, et de ce fait sur la façon de transmettre.
  • Et concernant les activités proposées ? Quelle est la bonne activité pour faire acquérir la connaissance ou la compétence ?  Les concepteurs de MOOC ont un tropisme vers la vidéo, mais nous avons constaté, parfois de manière très factuelle, que pour certains grains de connaissance elle n’est pas le médium le plus adapté.  Il faudrait se poser la question de comment utiliser au mieux la vidéo ?  Ainsi, pour le MOOC “S’initier à la fabrication numérique”, des vidéos de reportage dans des fab lab montrent des exercices pratiques, c’est très démonstratif. Le MOOC “Introduction à la mécanique des fluides” inclut des vidéos de terrain.
  • Certains enseignants ont-ils du mal à passer de l’autre côté de la caméra ?   Oui évidemment cela arrive, mais je trouve aussi très intéressant qu’un enseignant chercheur ne souhaite pas passer devant la caméra. Si vous prenez l’exemple du cinéma, on peut avoir envie d’aller voir un film réalisé par Steven Spielberg sans forcément s’attendre à le voir à l’écran. Pour moi, la valeur ajoutée unique de l’enseignant chercheur, c’est le contenu et la façon de le transmettre, c’est à dire la pédagogie. C’est le coeur de son métier.
  • Le portrait type d’un incrit à vos MOOC est un homme (75%) entre 25 et 44 ans (58 %) avec un niveau d’étude au moins égal à Bac +5 (53 %). Allez vous élargir cette cible ?
  • Exploitez vous cette base d’inscrits ? La base d’inscrits ne nous est en pratique pas facilement accessible. Avec edX, nous y avons en principe accès, mais nous n’avons pas encore d’interlocuteur en matière de données à qui edX transmettrait les fichiers
  • En 2015-2016, sur les 10 000 étudiants de nos campus, le nombre d’inscriptions d’étudiants à un MOOC a été de 5 000, dont un peu moins de 2 000 sur des MOOC externes. Les trois écoles qui les utilisent le plus dans leur pédagogie sont : IMT Atlantique (école résultant de la fusion de Télécom Bretagne et Mines Nancy), Télécom SudParis et IMT Lille-Douai
  • Par ailleurs, pour l’appel à projet “Nouveaux cursus à l’université”, l’Institut  a proposé un projet de collection de formations en ligne incluant un parcours diplômant. Nous étudions la possibilité d’en développer d’autres ciblant plus spécifiquement l’Afrique francophon
  • Fondamentalement cela nous a beaucoup apporté. Nous constatons une grande similitude de valeur et de fonctionnement entre Fun et Edx ce qui est logique car toutes deux ont été créées par des acteurs académiques. Même si Coursera a été fondée par d’anciens enseignants de Stanford, en pratique la plateforme est financée par des fonds d’investissement de la Silicon Valley. Coursera est donc plus une start-up du numérique. Si un but de Coursera est l’accès à l’enseignement pour le plus grand nombre, nous constatons aussi que  l’entreprise est très active dans la  recherche d’un modèle économique
  • Quel bilan faites vous de l’utilisation des MOOC en formation continue ? On est encore au début de l’histoire. Notre MOOC “Innover et entreprendre dans un monde numérique” a déjà  été utilisé par un acteur du secteur de l’énergie pour former  2 500 salariés.
Jean-Marie Cognet

Apprendre l'architecture grâce au MOOC : vices et vertus - Archicree - 1 views

  • Alors que le 28 février dernier l’université d’Harvard mettait à disposition de tous ses modules d’architecture sur la plateforme de cours en ligne ouvert et massif (MOOC*) edX, des universitaires français questionnent ce modèle d’enseignement.
  • Ces cours sont dispensés en visio-conférence sous titrée. Ils sont suivis de questions qui permettent l’obtention de crédit.
  • Un forum est mis à disposition pour que chacun puisse débattre du sujet et l’enrichir, en interagissant en ligne avec d’autres membres de la communauté. Le temps pour suivre une leçon complète est d’environ deux à trois heures. Des tableaux de progression offrent un suivi personnalisé aux fils des exercices.
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  • selon un sondage auprès des apprenants edX, permettrait d’augmenter ses perspectives d’emploi : 43% ont déclaré que les cours ont contribué à faire progresser leur carrière. Pour autant une étude du MIT – Harvard indique que seulement 5% des inscrits vont jusqu’au bout de la formation et la valide, et que 9% suivent plus de la moitié du cursus. En chiffre, la plateforme se vante de 10 millions d’apprenants, de plus de 1265 cours, de plus de 110 institutions prestigieuses dans le monde, de 34 millions d’inscriptions aux cours, avec un âge moyen de 28 ans. En pourcentage, 25% des apprenants seraient d’USA (une réponse au coût élevé des universités américaines), 11 % d’Inde, 4% du Royaume Uni, 4% du Brésil, 3% de Chine.
  • les MOOC semblent avoir trouvé un système économique non lucratif mais autonome pour démocratiser et ré-imaginer l’éducation
  • Mais les détracteurs du MOOC ne sont pas du même avis. Annie Vinokur, dans « La normalisation de l’université » soutien que le développement des MOOC dans les années 2010 est concomitant de la hausse des frais de scolarité dans les universités américaines, et qu’in fine, elles banaliseraient l’enseignement et donc les métiers auxquels elles préparent. Selon le sociologue Jérôme Valluy, dans l’entretien « Un ersatz de prestations pédagogiques… », les MOOC tiendraient plus du marketing académique que de la pédagogie numérique, et ne seraient qu’une version low cost de l’enseignement : « Le danger est de créer des illusions : faire croire aux étudiants qu’ils accèdent par les Mooc à des universités prestigieuses. C’est du marketing qui confine à la tromperie. Ils n’accèdent qu’à un ersatz de prestations pédagogiques de ces universités et les certifications qu’elles délivrent ne valent pas, au regard des employeurs, les diplômes délivrés sur la base de formations principales ». Ainsi, les opposants au MOOC craignent que la réduction de coûts par la diffusion en ligne se fasse au détriment de la qualité des contenus et que la généralisation des cours en ligne aboutisse à une mise en concurrence des facultés dans un contexte de restriction budgétaire. Ils se méfient de l’accès différencié à l’équipement informatique ainsi qu’au risque d’isolement des étudiants.
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